COÏTÉE PAR LE MARI ET L’AMANT - Dévergondages 07
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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COÏTÉE PAR LE MARI ET L’AMANT - Dévergondages 07
COÏTÉE PAR LE MARI ET L’AMANT - Dévergondages 07
Lors d’un récent déplacement, un Français nommé Michel B., est venu en voyage d’affaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il m’a confié les fantasmes qu’il a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il l’a connu avec une maîtresse durant une dizaine d’années. Pour cela, il m’a demandé d’imaginer des récits pouvant l’amener à se pervertir.
« Heureux qui peut, au lever de l'aurore, à la clarté de ses premiers rayons, contempler les beautés d'une épouse qui a de la pudeur à les montrer et que l'amour seul rend libertine (citations de Claude Adrien Helvétius)
Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête à tête chez Edmond, Odile s’est laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime d’un chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés, se rendant à lui sans aucune retenue durant une soirée et une nuit extatiques.
Puis, allant chercher sa fille à l’aéroport avec son mari, lorsqu’ils dinent dans un restaurant, elle aperçoit Edmond qui dine seul à une table voisine. Il lui envoie un sms comminatoire. Elle le rejoint, malgré elle, dans les toilettes du restaurant, et se fait trousser et baiser en levrette d’une façon des plus triviales. En la quittant, Edmond lui remet une enveloppe qu’elle enfouit dans son sac.
Lorsqu’avec son mari et sa fille ils rentrent dans leur pavillon, elle se précipite sous la douche et lave avec force son corps, souillé par le notaire qui s’est comporté ce soir comme un goujat. Enfilant une chemise de nuit en satin rose, elle se glisse dans le lit conjugal, alors que Michel, son époux est encore affairé dans son bureau. Elle s’endort assez vite, épuisée par les jours et la nuit de dépravations qu’elle vient de vivre.
Alors qu’elle dort du sommeil du « juste », rêvant au plaisir qu’elle a éprouvé dans les bras du vieux notaire, qui avec une adresse incroyable, lui a fait connaître une jouissance encore inconnue pour elle jusqu’à ce jour, elle ressent des caresses sur ses fesses, lorsque le tissu de la chemise de nuit est relevé. Elle n’ose bouger, ne sachant si c’est Edmond, car il en est bien capable le bougre, ou alors son mari, ayant l’intention de faire son devoir conjugal hebdomadaire. Pourtant ce n’est pas son jour, vu que nous sommes un jeudi. Habituellement, c’est uniquement le samedi soir, et encore, depuis deux ans, ce n’est devenu qu’une semaine sur deux. Odile, tétanisée, n’ose pas faire un geste, ni dire un mot. Les caresses deviennent plus précises, écartant les globes charnus de ses fesses, des doigts s’infiltrent jusqu’au gros abricot de ses lèvres, encore gonflées par le traitement intensif de la journée de mercredi, et de la nuit qui a suivi et même de ce matin. Elle sent la mouille couler de son vagin, alors qu’habituellement elle est très sèche. Soudain un baiser dans le cou et la voix de son mari qui lui susurre :
- Eh ! Bien ma chérie, je te trouve bien trempée, c’est bien la première fois que ma petite femme laisse s’écouler du jus de sa fente.
Odile reste coite. C’est la première fois que son mari parle de sexe, surtout aussi trivialement ; ils ont toujours fait l’amour dans le noir sans se parler, sans se toucher. Juste une pénétration rapide sans préliminaires. Alors qu’elle sent les doigts qui explorent sa grotte intime, lui faisant ressurgir les sensations éprouvées sous les doigts diaboliques d’Edmond, elle ne peut s’empêcher de gémir quand la main effleure son clitoris, alors qu’une odeur caractéristique de stupre envahit leur lit. Elle sent couler sa liqueur de plus en plus et, lorsque son mari enfonce sa verge entre ses lèvres, qui s’ouvrent facilement, alors qu’il la prend en levrette ; ce qu’elle lui a toujours refusé jusqu’ici. Michel la coïte avec force et elle se mord les lèvres, pour ne pas hurler sa jouissance, car son mari ne comprendrait pas, lui qui l’a toujours prise pour une frigide jusqu’ici. D’ailleurs, elle pensait qu’elle l’était, c’est Edmond qui l’a révélée aux plaisirs charnels.
Heureusement, Michel ne tient pas la cadence et il éjacule très vite, évitant ainsi à Odile de laisser ses sens déborder, en ne pouvant éviter de hurler son bonheur de la queue qui vient de lui labourer sa matrice. Elle se lève rapidement et va s’enfermer dans la salle de bains, où enfoncée dans un bain bouillant, elle se masturbe furieusement pour aller au bout de la jouissance qu’elle n’a pu éprouver, par l’acte trop bref qu’elle vient de subir.
Par bonheur, son mari ne l’a pas rejoint, et lorsque, au bout d’une bonne heure, après avoir échangé sa chemise de nuit pour un pyjama en coton, elle retourne dans le lit conjugal sur la pointe des pieds, Michel dort à poing fermé, certainement épuisé par cet écart à sa conduite habituelle.
Odile, malgré l’acte qu’elle subissait précédemment avec soulagement, car très bref, n’éprouvant aucun plaisir à l’acte conjugal qu’elle se devait à son époux, est heureuse tout de même d’avoir eu, pour cette fois, une brève jouissance à la pénétration du sexe marital. Mais elle est angoissée, à l’idée d’avoir des explications à donner à son mari, pour l’onctuosité de ses parties intimes, qu’il lui était impossible de lui dissimuler. Elle est inquiète, qu’il puisse croire qu’elle a une aventure adultère, alors qu’elle se défend de son innocence. Elle n’a cédé, pense-t-elle que parce qu’elle est victime d’un odieux chantage et qu’elle ne peut se refuser à celui qui l’a sauvé, en l’occurrence, Edmond, le notaire.
Odile a beaucoup de mal à s’endormir, ressassant sans cesse ce qu’elle a vécu ses derniers jours ; elle sent dans son ventre des sensations bizarres et ses doigts, vont tout naturellement sur son pubis, en se glissant sous la culotte du pyjama. Elle se caresse jusqu’à atteindre les replis de ses lèvres, frottant délicatement le bourgeon d’amour, se donnant un plaisir progressif, jusqu’à l’extase finale. Ses mains sont devenues gluantes de la liqueur qui s’écoule sans discontinuer de son vagin. Elle mord même dans son drap, pour ne pas laisser passer les gémissements qu’elle retient le plus possible, afin de ne pas réveiller son époux.. Elle s’endort enfin, repue de fatigue et de la jouissance éprouvée.
Lorsqu’elle se réveille, appréhendant l’entrevue avec son mari, celui-ci apparaît à la porte de la chambre avec un plateau comportant son petit déjeuner. Il embrasse amoureusement son épouse, lui caressant même les seins à travers sa veste de pyjama. Odile n’ose regarder son époux, sentant ses joues s’empourprer à la pensée qu’elle va certainement bafouiller lorsque son mari va lui parler de cette nuit. Pourtant, Michel n’évoque que le week-end qui approche et, la randonnée à vélo qu’ils avaient prévue il y a peu. Aucune allusion à la moiteur de sa vulve et même à la cyprine qui avait envahi son vagin lorsque les doigts maritaux l’avaient pénétré profondément.
Lorsqu’Odile se retrouve seule, un soupir de soulagement s’échappe de sa poitrine. Elle ne cherche pas à comprendre le pourquoi du comment, bien heureuse de ne pas être confrontée à un nouveau problème. Cela lui fait penser qu’elle n’en n’a pas fini avec Edmond, puisqu’hier soir, il lui a laissé une petite enveloppe, qu’elle se décide enfin à ouvrir. Un peu tremblante, elle déchire le pli et retire une carte de visite vierge sur laquelle elle peut lire ce qui suit :
- Ma chère, je désire vous voir demain à 10 heures, chez moi, revêtue du tailleur que je vous ai offert , des escarpins tabac qui vont avec, des bas Dim-up et surtout comme je vous l’ai recommandé, pas de dessous, ni soutien-gorge, ni culotte !
Odile défaille, se peut-il que son suborneur, veuille toujours, comme il lui a dit, qu’elle se déplace en public, sans au moins avoir un mini shorty, comme elle en met habituellement. Elle veut bien ne pas couvrir sa poitrine ; mais se savoir entièrement dénudée sous sa jupe, dans sa voiture ou celle d’Edmond, dans la foule qui déambule dans les rues de Bordeaux, dans les restaurants et les magasins où elle devra se rendre – comment va t-elle supporter, le regard de tous ces gens, qui vont deviner sa nudité et la traiter de catin ou pire………….
Il est déjà huit heures et demi, et elle n’a pas de temps à perdre. Elle se prépare tout de même soigneusement dans la salle de bains, puis elle revêt le très joli tailleur en lin écru, à la jupe droite et aux doubles coutures surpiquées qu’Edmond lui a offert. Lorsqu’elle ajuste ses bas autofixants, elle ne peut s’empêcher de paniquer à nouveau à l’idée de sortir sans culotte. Enfin elle sort de sa maison et monte dans sa voiture. L’air un peu frais qui s’est glissé sous sa jupe, a caressé sa vulve et le rouge lui est monté aux joues.
Lorsque qu’elle arrive sur le Cours Victor Hugo, elle passe rapidement devant la société où elle travaille, dont elle est en congé aujourd’hui. Plusieurs centaines de mètres plus loin, elle s’engage dans le parking de l’immeuble où demeure Edmond, bien aise, de la discrétion qui évite de voir sa Clio garée devant chez lui. Le vieux notaire, qui l’attend de pied ferme, ne perd pas de temps et l’entraine dans les rues avoisinantes qui regorgent de commerces en tous genres, notamment dans la rue du Mirail, où, poussant la porte d’une boutique au fronton orné d’un « CHARNEL » accrocheur, il se retrouve avec Odile dans un lieu où les mannequins présentent une affriolante panoplie de vêtements et sous-vêtements les plus érotiques qui soient.
Odile, de plus en plus mal à l’aise, doit se mettre nue devant Edmond et une des vendeuses, se prêtant aux essayages de nuisettes et déshabillés en voile et dentelle, de babydolls, de mini corsets et autres bodys et bustiers aux seins nus, en soie et satin, ornementés de dentelles et la faisant ressembler à une hétaïre ou courtisane du XIXe siècle ; puis il choisit des bas de toutes les couleurs ainsi que des porte-jarretelles, dont les tons sont assortis aux bas. Ensuite ce sont des robes presque transparentes, des jupes et des corsages qui découvrent ses cuisses et sa poitrine qu’elle doit essayer, se demandant comment elle pourrait emporter tout cela dans sa maison, sans que son mari ou sa fille ne puissent les remarquer. Elle n’ose poser de questions, surtout quand elle voit sur la caisse enregistreuse un chiffre approchant les huit mille euros !
Edmond la prenant par le bras, l’emmène dans une maroquinerie, où il lui fait choisir des sacs et des gants assortis aux toilettes qu’il vient d’acheter. Ensuite, chez un chausseur bien connu, elle essaie différentes paires d’escarpins et autres sandales, et là encore, la somme dépensée est astronomique. Pour terminer, chez un bagagiste, deux grands sacs de voyages sont expédiés à l’adresse du notaire, comme le reste des achats. Le couple se dirige ensuite vers une grande brasserie qui se trouve à proximité pour déjeuner.
En prenant place à une table, Edmond s’arrange pour que sa convive soit face à la salle. Après avoir choisi dans le menu, plats et bons vins, Edmond explique à Odile qu’il est propriétaire d’un immeuble près du Jardin Botanique, sur une place très discrète, et qu’il vient de refaire faire un appartement qu’il lui destine pour entreposer la lingerie et les robes qu’elle ne pourrait pense-t-il pas entreposer chez elle.
Odile est soulagée pour les vêtements, mais elle est angoissée aussi par cet appartement, où, elle l’a bien compris, Edmond pourra, honteusement pour elle, profiter de son corps tout à son bon vouloir. La pauvre femme sait qu’il n’y a plus moyen de lui échapper et qu’elle est condamnée à tromper son mari indéfiniment. C’est à ce moment qu’Edmond lui demande une chose complètement incongrue :
- Odile, il y a en face de vous deux messieurs qui vous fixent depuis le début du repas – les connaissez-vous ?
Elle s’affole, pensant que ce sont des connaissances et qu’ils risquent d’être étonnés de la voir en galante compagnie. Mais, jetant un regard en coin, elle ne reconnaît personne. Elle fait un signe négatif à Edmond, qui lui lance alors :
- Ma chère, voulez-vous remonter votre jupe à mi-cuisses s’il vous plaît.
Odile se statufie, se pourrait-il que son suborneur lui demande encore de s’exhiber, comme il lui a demandé mercredi dernier dans ce restaurant de Saint-Macaire ? Sous l’emprise du vieil homme, elle s’exécute, remontant sa jupe mais gardant les genoux serrés. Celui-ci, lui souffle distinctement, avec une certaine sécheresse :
- Ouvres tes genoux salope, et fais nous voir tes cuisses et ta chatte !
Devant l’ordre péremptoire et insultant de son amant, Odile a un sursaut de révolte, mais, fermant les yeux, elle ouvre le compas de ses cuisses, offrant ainsi aux deux messieurs et à son amant, le spectacle bien agréable de son intimité la plus totale. Elle sent son cœur qui bat à rompre, se sentant ainsi exposée à toutes les personnes qui pourraient se présenter dans cet endroit du restaurant. D’ailleurs, ouvrant à demi les yeux, elle voit un serveur qui n’en perd pas une miette, se régalant de la vulve qu’il voit distinctement. Un des messieurs a même l’audace de prendre une ou deux photos avec son téléphone portable. Odile sent les larmes monter à ses yeux, se retenant de ne pas éclater en sanglots.
Edmond a enfin pitié d’elle et il lui fait signe de la main de se rajuster. La femme mature soupire de soulagement, surprise tout de même, qu’encore une fois, elle sente son ventre bouillonner et son entrejambe s’humidifier. Si Edmond le voulait, elle se sentirait prête à se faire enfiler par le premier homme qui voudrait d’elle. Mais que lui arrive-t-il, se pourrait-il qu’elle mérite, le nom de « salope » que lui a jeté le notaire, il y a quelques instants ?
Enfin, après avoir réglé la note, Edmond prend Odile par le bras et ils reviennent à son domicile. Alors qu’elle se recoiffe et se remaquille dans la salle de bains, Edmond entre sans frapper et lui ordonne :
- À genoux, sort ma queue et pompe-moi bien !
Odile, ne proteste même plus, elle s’agenouille, dégrafe la braguette du vieil homme et en sort la verge d’une bonne taille, qu’elle prend en bouche, se rappelant qu’elle a déjà dû, par deux fois prendre le sexe d’Edmond dans sa bouche, et même, avaler le sperme pour la première fois de sa vie. Elle prend presque plaisir à sucer le pénis qui vibre et tressaute sous ses lèvres et sa langue, heureuse de sentir le pouvoir qu’elle a sur cet homme autoritaire en lui faisant une fellation qui le rend tributaire de la bouche féminine.
Lorsque, les joues de l’homme et sa queue, congestionnées par l’excitation sont à leurs paroxysme, dans un cri rauque, Edmond déverse son foutre au fond de la gorge de cette bourgeoise qui se laisse malmener et dépraver sans aucune pudeur à présent, mais tout de même envahie de dégoût pour elle-même et remplie de remords et d’humiliation……………
A suivre………………..
Lors d’un récent déplacement, un Français nommé Michel B., est venu en voyage d’affaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il m’a confié les fantasmes qu’il a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il l’a connu avec une maîtresse durant une dizaine d’années. Pour cela, il m’a demandé d’imaginer des récits pouvant l’amener à se pervertir.
« Heureux qui peut, au lever de l'aurore, à la clarté de ses premiers rayons, contempler les beautés d'une épouse qui a de la pudeur à les montrer et que l'amour seul rend libertine (citations de Claude Adrien Helvétius)
Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête à tête chez Edmond, Odile s’est laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime d’un chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés, se rendant à lui sans aucune retenue durant une soirée et une nuit extatiques.
Puis, allant chercher sa fille à l’aéroport avec son mari, lorsqu’ils dinent dans un restaurant, elle aperçoit Edmond qui dine seul à une table voisine. Il lui envoie un sms comminatoire. Elle le rejoint, malgré elle, dans les toilettes du restaurant, et se fait trousser et baiser en levrette d’une façon des plus triviales. En la quittant, Edmond lui remet une enveloppe qu’elle enfouit dans son sac.
Lorsqu’avec son mari et sa fille ils rentrent dans leur pavillon, elle se précipite sous la douche et lave avec force son corps, souillé par le notaire qui s’est comporté ce soir comme un goujat. Enfilant une chemise de nuit en satin rose, elle se glisse dans le lit conjugal, alors que Michel, son époux est encore affairé dans son bureau. Elle s’endort assez vite, épuisée par les jours et la nuit de dépravations qu’elle vient de vivre.
Alors qu’elle dort du sommeil du « juste », rêvant au plaisir qu’elle a éprouvé dans les bras du vieux notaire, qui avec une adresse incroyable, lui a fait connaître une jouissance encore inconnue pour elle jusqu’à ce jour, elle ressent des caresses sur ses fesses, lorsque le tissu de la chemise de nuit est relevé. Elle n’ose bouger, ne sachant si c’est Edmond, car il en est bien capable le bougre, ou alors son mari, ayant l’intention de faire son devoir conjugal hebdomadaire. Pourtant ce n’est pas son jour, vu que nous sommes un jeudi. Habituellement, c’est uniquement le samedi soir, et encore, depuis deux ans, ce n’est devenu qu’une semaine sur deux. Odile, tétanisée, n’ose pas faire un geste, ni dire un mot. Les caresses deviennent plus précises, écartant les globes charnus de ses fesses, des doigts s’infiltrent jusqu’au gros abricot de ses lèvres, encore gonflées par le traitement intensif de la journée de mercredi, et de la nuit qui a suivi et même de ce matin. Elle sent la mouille couler de son vagin, alors qu’habituellement elle est très sèche. Soudain un baiser dans le cou et la voix de son mari qui lui susurre :
- Eh ! Bien ma chérie, je te trouve bien trempée, c’est bien la première fois que ma petite femme laisse s’écouler du jus de sa fente.
Odile reste coite. C’est la première fois que son mari parle de sexe, surtout aussi trivialement ; ils ont toujours fait l’amour dans le noir sans se parler, sans se toucher. Juste une pénétration rapide sans préliminaires. Alors qu’elle sent les doigts qui explorent sa grotte intime, lui faisant ressurgir les sensations éprouvées sous les doigts diaboliques d’Edmond, elle ne peut s’empêcher de gémir quand la main effleure son clitoris, alors qu’une odeur caractéristique de stupre envahit leur lit. Elle sent couler sa liqueur de plus en plus et, lorsque son mari enfonce sa verge entre ses lèvres, qui s’ouvrent facilement, alors qu’il la prend en levrette ; ce qu’elle lui a toujours refusé jusqu’ici. Michel la coïte avec force et elle se mord les lèvres, pour ne pas hurler sa jouissance, car son mari ne comprendrait pas, lui qui l’a toujours prise pour une frigide jusqu’ici. D’ailleurs, elle pensait qu’elle l’était, c’est Edmond qui l’a révélée aux plaisirs charnels.
Heureusement, Michel ne tient pas la cadence et il éjacule très vite, évitant ainsi à Odile de laisser ses sens déborder, en ne pouvant éviter de hurler son bonheur de la queue qui vient de lui labourer sa matrice. Elle se lève rapidement et va s’enfermer dans la salle de bains, où enfoncée dans un bain bouillant, elle se masturbe furieusement pour aller au bout de la jouissance qu’elle n’a pu éprouver, par l’acte trop bref qu’elle vient de subir.
Par bonheur, son mari ne l’a pas rejoint, et lorsque, au bout d’une bonne heure, après avoir échangé sa chemise de nuit pour un pyjama en coton, elle retourne dans le lit conjugal sur la pointe des pieds, Michel dort à poing fermé, certainement épuisé par cet écart à sa conduite habituelle.
Odile, malgré l’acte qu’elle subissait précédemment avec soulagement, car très bref, n’éprouvant aucun plaisir à l’acte conjugal qu’elle se devait à son époux, est heureuse tout de même d’avoir eu, pour cette fois, une brève jouissance à la pénétration du sexe marital. Mais elle est angoissée, à l’idée d’avoir des explications à donner à son mari, pour l’onctuosité de ses parties intimes, qu’il lui était impossible de lui dissimuler. Elle est inquiète, qu’il puisse croire qu’elle a une aventure adultère, alors qu’elle se défend de son innocence. Elle n’a cédé, pense-t-elle que parce qu’elle est victime d’un odieux chantage et qu’elle ne peut se refuser à celui qui l’a sauvé, en l’occurrence, Edmond, le notaire.
Odile a beaucoup de mal à s’endormir, ressassant sans cesse ce qu’elle a vécu ses derniers jours ; elle sent dans son ventre des sensations bizarres et ses doigts, vont tout naturellement sur son pubis, en se glissant sous la culotte du pyjama. Elle se caresse jusqu’à atteindre les replis de ses lèvres, frottant délicatement le bourgeon d’amour, se donnant un plaisir progressif, jusqu’à l’extase finale. Ses mains sont devenues gluantes de la liqueur qui s’écoule sans discontinuer de son vagin. Elle mord même dans son drap, pour ne pas laisser passer les gémissements qu’elle retient le plus possible, afin de ne pas réveiller son époux.. Elle s’endort enfin, repue de fatigue et de la jouissance éprouvée.
Lorsqu’elle se réveille, appréhendant l’entrevue avec son mari, celui-ci apparaît à la porte de la chambre avec un plateau comportant son petit déjeuner. Il embrasse amoureusement son épouse, lui caressant même les seins à travers sa veste de pyjama. Odile n’ose regarder son époux, sentant ses joues s’empourprer à la pensée qu’elle va certainement bafouiller lorsque son mari va lui parler de cette nuit. Pourtant, Michel n’évoque que le week-end qui approche et, la randonnée à vélo qu’ils avaient prévue il y a peu. Aucune allusion à la moiteur de sa vulve et même à la cyprine qui avait envahi son vagin lorsque les doigts maritaux l’avaient pénétré profondément.
Lorsqu’Odile se retrouve seule, un soupir de soulagement s’échappe de sa poitrine. Elle ne cherche pas à comprendre le pourquoi du comment, bien heureuse de ne pas être confrontée à un nouveau problème. Cela lui fait penser qu’elle n’en n’a pas fini avec Edmond, puisqu’hier soir, il lui a laissé une petite enveloppe, qu’elle se décide enfin à ouvrir. Un peu tremblante, elle déchire le pli et retire une carte de visite vierge sur laquelle elle peut lire ce qui suit :
- Ma chère, je désire vous voir demain à 10 heures, chez moi, revêtue du tailleur que je vous ai offert , des escarpins tabac qui vont avec, des bas Dim-up et surtout comme je vous l’ai recommandé, pas de dessous, ni soutien-gorge, ni culotte !
Odile défaille, se peut-il que son suborneur, veuille toujours, comme il lui a dit, qu’elle se déplace en public, sans au moins avoir un mini shorty, comme elle en met habituellement. Elle veut bien ne pas couvrir sa poitrine ; mais se savoir entièrement dénudée sous sa jupe, dans sa voiture ou celle d’Edmond, dans la foule qui déambule dans les rues de Bordeaux, dans les restaurants et les magasins où elle devra se rendre – comment va t-elle supporter, le regard de tous ces gens, qui vont deviner sa nudité et la traiter de catin ou pire………….
Il est déjà huit heures et demi, et elle n’a pas de temps à perdre. Elle se prépare tout de même soigneusement dans la salle de bains, puis elle revêt le très joli tailleur en lin écru, à la jupe droite et aux doubles coutures surpiquées qu’Edmond lui a offert. Lorsqu’elle ajuste ses bas autofixants, elle ne peut s’empêcher de paniquer à nouveau à l’idée de sortir sans culotte. Enfin elle sort de sa maison et monte dans sa voiture. L’air un peu frais qui s’est glissé sous sa jupe, a caressé sa vulve et le rouge lui est monté aux joues.
Lorsque qu’elle arrive sur le Cours Victor Hugo, elle passe rapidement devant la société où elle travaille, dont elle est en congé aujourd’hui. Plusieurs centaines de mètres plus loin, elle s’engage dans le parking de l’immeuble où demeure Edmond, bien aise, de la discrétion qui évite de voir sa Clio garée devant chez lui. Le vieux notaire, qui l’attend de pied ferme, ne perd pas de temps et l’entraine dans les rues avoisinantes qui regorgent de commerces en tous genres, notamment dans la rue du Mirail, où, poussant la porte d’une boutique au fronton orné d’un « CHARNEL » accrocheur, il se retrouve avec Odile dans un lieu où les mannequins présentent une affriolante panoplie de vêtements et sous-vêtements les plus érotiques qui soient.
Odile, de plus en plus mal à l’aise, doit se mettre nue devant Edmond et une des vendeuses, se prêtant aux essayages de nuisettes et déshabillés en voile et dentelle, de babydolls, de mini corsets et autres bodys et bustiers aux seins nus, en soie et satin, ornementés de dentelles et la faisant ressembler à une hétaïre ou courtisane du XIXe siècle ; puis il choisit des bas de toutes les couleurs ainsi que des porte-jarretelles, dont les tons sont assortis aux bas. Ensuite ce sont des robes presque transparentes, des jupes et des corsages qui découvrent ses cuisses et sa poitrine qu’elle doit essayer, se demandant comment elle pourrait emporter tout cela dans sa maison, sans que son mari ou sa fille ne puissent les remarquer. Elle n’ose poser de questions, surtout quand elle voit sur la caisse enregistreuse un chiffre approchant les huit mille euros !
Edmond la prenant par le bras, l’emmène dans une maroquinerie, où il lui fait choisir des sacs et des gants assortis aux toilettes qu’il vient d’acheter. Ensuite, chez un chausseur bien connu, elle essaie différentes paires d’escarpins et autres sandales, et là encore, la somme dépensée est astronomique. Pour terminer, chez un bagagiste, deux grands sacs de voyages sont expédiés à l’adresse du notaire, comme le reste des achats. Le couple se dirige ensuite vers une grande brasserie qui se trouve à proximité pour déjeuner.
En prenant place à une table, Edmond s’arrange pour que sa convive soit face à la salle. Après avoir choisi dans le menu, plats et bons vins, Edmond explique à Odile qu’il est propriétaire d’un immeuble près du Jardin Botanique, sur une place très discrète, et qu’il vient de refaire faire un appartement qu’il lui destine pour entreposer la lingerie et les robes qu’elle ne pourrait pense-t-il pas entreposer chez elle.
Odile est soulagée pour les vêtements, mais elle est angoissée aussi par cet appartement, où, elle l’a bien compris, Edmond pourra, honteusement pour elle, profiter de son corps tout à son bon vouloir. La pauvre femme sait qu’il n’y a plus moyen de lui échapper et qu’elle est condamnée à tromper son mari indéfiniment. C’est à ce moment qu’Edmond lui demande une chose complètement incongrue :
- Odile, il y a en face de vous deux messieurs qui vous fixent depuis le début du repas – les connaissez-vous ?
Elle s’affole, pensant que ce sont des connaissances et qu’ils risquent d’être étonnés de la voir en galante compagnie. Mais, jetant un regard en coin, elle ne reconnaît personne. Elle fait un signe négatif à Edmond, qui lui lance alors :
- Ma chère, voulez-vous remonter votre jupe à mi-cuisses s’il vous plaît.
Odile se statufie, se pourrait-il que son suborneur lui demande encore de s’exhiber, comme il lui a demandé mercredi dernier dans ce restaurant de Saint-Macaire ? Sous l’emprise du vieil homme, elle s’exécute, remontant sa jupe mais gardant les genoux serrés. Celui-ci, lui souffle distinctement, avec une certaine sécheresse :
- Ouvres tes genoux salope, et fais nous voir tes cuisses et ta chatte !
Devant l’ordre péremptoire et insultant de son amant, Odile a un sursaut de révolte, mais, fermant les yeux, elle ouvre le compas de ses cuisses, offrant ainsi aux deux messieurs et à son amant, le spectacle bien agréable de son intimité la plus totale. Elle sent son cœur qui bat à rompre, se sentant ainsi exposée à toutes les personnes qui pourraient se présenter dans cet endroit du restaurant. D’ailleurs, ouvrant à demi les yeux, elle voit un serveur qui n’en perd pas une miette, se régalant de la vulve qu’il voit distinctement. Un des messieurs a même l’audace de prendre une ou deux photos avec son téléphone portable. Odile sent les larmes monter à ses yeux, se retenant de ne pas éclater en sanglots.
Edmond a enfin pitié d’elle et il lui fait signe de la main de se rajuster. La femme mature soupire de soulagement, surprise tout de même, qu’encore une fois, elle sente son ventre bouillonner et son entrejambe s’humidifier. Si Edmond le voulait, elle se sentirait prête à se faire enfiler par le premier homme qui voudrait d’elle. Mais que lui arrive-t-il, se pourrait-il qu’elle mérite, le nom de « salope » que lui a jeté le notaire, il y a quelques instants ?
Enfin, après avoir réglé la note, Edmond prend Odile par le bras et ils reviennent à son domicile. Alors qu’elle se recoiffe et se remaquille dans la salle de bains, Edmond entre sans frapper et lui ordonne :
- À genoux, sort ma queue et pompe-moi bien !
Odile, ne proteste même plus, elle s’agenouille, dégrafe la braguette du vieil homme et en sort la verge d’une bonne taille, qu’elle prend en bouche, se rappelant qu’elle a déjà dû, par deux fois prendre le sexe d’Edmond dans sa bouche, et même, avaler le sperme pour la première fois de sa vie. Elle prend presque plaisir à sucer le pénis qui vibre et tressaute sous ses lèvres et sa langue, heureuse de sentir le pouvoir qu’elle a sur cet homme autoritaire en lui faisant une fellation qui le rend tributaire de la bouche féminine.
Lorsque, les joues de l’homme et sa queue, congestionnées par l’excitation sont à leurs paroxysme, dans un cri rauque, Edmond déverse son foutre au fond de la gorge de cette bourgeoise qui se laisse malmener et dépraver sans aucune pudeur à présent, mais tout de même envahie de dégoût pour elle-même et remplie de remords et d’humiliation……………
A suivre………………..
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
avec retard je savoure mais égal aux précédents épisodes ...
Sœur "Odile" jusqu'où l'absolution de sa conscience lui sera accordée
Sœur "Odile" jusqu'où l'absolution de sa conscience lui sera accordée
Quelle merveille de lire cette descente vers la luxure ! Odile comprendra surement que sa vie d'avant était bien monotone. Bravo Vieulou, continuez à nous enchanter !!!
Pour la dernière lectrice Merci pour votre commentaire.Une femme a écrit : C’est le mythe de la sainte et de la putain, il y a les deux faces en chacune de nous.”
Les sens de la belle Odile prendront ils la place de ses sentiments de culpabilités, de confusion voir de déshonneur
bravo et merci Vieu lou
bravo et merci Vieu lou
Merci cher vieux loup pour ce récit si excitant ! Les petites fautes (vénielles) ne gâchent en rien le plaisir que m'a donné sa lecture !
ton ami Didier
ton ami Didier
Cela faisait si longtemps que nous n'avions plus de nouvelles de la "Sainte Odile" .. régal comme tjrs cet épisode
Vieulou votre crescendo est un régal
vivement la suite
Vieulou votre crescendo est un régal
vivement la suite
Odile découvre avec horreur la jouissance qu'elle peut éprouver dans les bras de son mari ou de son amant et, toute honte bue, s'en masturber fébrilement
Récit incroyablement excitant sous l'excellente plume de Vieulou
Récit incroyablement excitant sous l'excellente plume de Vieulou
Toujours aussi bien écrit, on imagine la scène comme si Odile était devant nous. Les barrières de la belle tombent une à une. Jusqu'où ?
En tous cas, encore merci à Vieulou pour le plaisir qu'il nous donne à le lire (ou à le relire).
En tous cas, encore merci à Vieulou pour le plaisir qu'il nous donne à le lire (ou à le relire).