Coïts à Marrakech (1)

Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Coïts à Marrakech (1)
Elise et son mari Philibert, 35 ans tous les deux, se trouvaient enfin dans l'avion qui les conduisait à Marrakech pour un séjour d'une semaine. Ils attendaient ce moment depuis plusieurs mois, rompus par les exigences de leur travail, de plus en plus énervés par leurs deux enfants malgré l'amour qu'ils leur portaient et très heureux de se retrouver enfin en couple en confiant leur progéniture aux parents d'elle. Enfin, ils allaient pouvoir faire l'amour en prenant leur temps et non à la sauvette, cherchant davantage la discrétion pour ne pas alerter la maisonnée que l'exultation du plaisir. Un acte plus hygiénique qu'érotique.
Philibert ne se tenait plus. Dans la salle d'embarquement, il avait maté avec concupiscence la croupe bombée d'Elise moulée par une robe fuseau, devinant le string dessous, la ficelle qui se perdait entre ses fesses joufflues, et il se promettait déjà de fendre cette croupe en deux dès leur arrivée à l'hôtel. Ce cul, c'était l'atout érotique majeur d'Elise, petite femme à la coupe châtain au carré, aux yeux émeraude et aux seins pointus. Elle le savait et en tenait compte par ses tenues, y compris au travail, où certains collègues mâles la suivaient des yeux quand elle marchait, louchant sur ces deux globes en mouvement qui semblaient leur faire la nique en roulant sous le tissu.
Elise était plus discrète dans son désir mais elle aussi avait hâte de retrouver la bite de Philibert, enfin rendue à sa raideur, son volume même, alors qu'elle la trouvait parfois un peu molle du fait du surmenage de son mari. Aussi, lorsque pendant le voyage aérien, très pressant, très amoureux, il lui murmura à l'oreille :
- Je te promets vingt centimètres dès notre arrivée dans la chambre.
Elle sourit et répondit :
- Tu te vantes.
Mais c'était exactement ce qu'elle espérait. Passer leur séjour à se promener, à faire des découvertes mais surtout à baiser. Totalement, sans tabous et le plus souvent possible. Elle venait juste d'avoir ses règles, son stérilet était bien en place, elle était open, vraiment open. Et Philibert avait intérêt à être à la hauteur.
Dans le taxi qui les emmenait à l'hôtel, ils étaient déjà chauds. Philibert se retint de lui caresser les seins, se méfiant du chauffeur marocain, et se contenta d'une main sur sa cuisse à la chair dense, un peu trop épaisse au goût d'Elise qui n'aimait pas ses jambes mais que Philibert rêvait déjà de les sentir croisées dans son dos. Elise aurait volontiers tâté aussi la braguette de son mari mais vérifier la réalité de son désir mais se retint pour les mêmes raisons que lui.
Les formalités d'enregistrement à l'hôtel leur parurent interminables. Un truc à tuer l'amour. Mais dans l'ascenseur, leur désir se réveilla et ils se roulèrent une pelle comme deux ados. A peine arrivés dans la chambre, vaste et confortable, ils ne prirent même pas le temps de défaire leur valise. Elle fit valser ses escarpins et se jeta sur le lit pour en éprouver la fermeté, aussitôt rejointe par Philibert qui la couvrit de baisers. Elle se dégagea, fit passer sa robe longue par dessus sa tête, apparut en soutif et en string tandis qu'il se dégageait péniblement de son pantalon. Elle se mit à plat ventre pour qu'il dégrafe son soutif et surtout mate ses fesses nues mises en valeur par le string. Elle le regarda sur le côté, découvrant son érection.
- Tu peux faire mieux, gloussa-t-elle, alors que Philibert était déjà bien tendu.
Il la délesta de son soutif et tira sur le string, collant sa bouche sur les deux globes à tour de rôle, les écartant pour titiller l'anus rose et l'entendit roucouler de plaisir. Elise était anale. C'était une caractéristique érotique rare chez les femmes et Philibert était fier d'avoir "éduqué" son épouse à cette variante dès leurs premiers ébats. Mais elle se retourna, découvrit son mari nu et lui dit :
- J'ai très envie mais on ne va pas se presser. Pour une fois, on a tout le temps. Je veux baiser, pas faire l'amour comme un vieux couple. Je veux que tu me baises au lit mais aussi dans la salle de bain. S'il te plait, retiens-toi. Je te sens très excité et il faut que tu dures un peu.
Aussi commencèrent-ils par le sexe buccal. Un 69 tranquille sur le lit où Elise se gava de la queue verticale et Philibert de sa chatte trempée, inondant son museau de cyprine. Ils poursuivirent par des masturbations réciproques, assis face à face, en s'excitant par le verbe. Elise parla à Philibert de sa bite et lui la prévint qu'il allait la défoncer, lui casser le cul. Ce à quoi elle répondit qu'elle en avait très envie, qu'elle était en feu, qu'il ne devrait pas la ménager, qu'elle n'était pas en sucre. Et ils se retrouvèrent aussitôt emboités l'un dans l'autre, elle allongée les pieds croisés dans les reins de son mari-amant, lui la pilonnant avec frénésie dans un claquement de peaux et de râles de plaisir cette fois non contraints par la chambre parentale, et se moquant bien des chambres adjacentes. Elle eut un orgasme violent qui la mit en arc de cercle et il se retira vivement pour ne pas éjaculer prématurément, en serrant sa queue, la regardant haleter, les seins mouvants, les cuisses ouvertes. Reconnaissante du plaisir offert, elle l'embrassa, se leva, le prit par la main et l'entraina dans la salle de bain.
Elle s'assit sur l'ensemble lavabo et lui ouvrit les cuisses.
- Viens. Prends-moi debout.
Philibert était enchanté de cette initiative. Voilà pourquoi il n'avait jamais trompé sa femme. Elle aimait vraiment le sexe et pourquoi aurait-il cherché ailleurs ? Son corps n'était peut-être pas parfait mais plus elle vieillissait et plus se tabous disparaissaient. Elle faisait tout, vraiment tout, et il savait que ses collègues mâles n'avaient pas cette chance avec leur épouse. Il s'enfonça immédiatement en elle, jusqu'à la garde, tant elle était fondante. Avec d'autant plus de facilité que les deux sexes étaient à la bonne hauteur, sans qu'il ait besoin de plier les genoux ou de se mettre sur la pointe des pieds. Tout en limant et clapotant, il lui broutait le museau, lui léchait les lèvres, enroulait sa langue dans la sienne, suçait ses pointes de seins bien érigées. Elise était heureuse de lui plaire, de le sentir aussi dur, aussi profond en elle, malgré les imperfections de son corps car une femme n'est jamais totalement satisfaite de son physique. Elise était heureuse que son mari la baise comme une maitresse, non comme une épouse. Posant ses mains dans son dos pour maintenir son équilibre, elle lui talonna les reins pour lui montrer à quel point elle baisait. Lui se régalait de son comportement d'amoureuse, autant de lui que de sa queue.
Mais la position était un peu inconfortable et il se détacha en l'aidant à descendre de son perchoir. Sans transition, il la mit face au miroir au-dessus des lavabos. Il allait la prendre par derrière pour qu'elle se regarde baiser, mais non la sodomiser, pas encore, c'était pour le bouquet final. Avant-bras sur l'ensemble lavabos, Elise se découvrit avec Philibert en arrière-plan, bien enfoncé en elle, les mains sur ses hanches rebondies. Son visage n'était pas celui qu'elle voyait le matin en se maquillant. C'était celui d'une femme en train de baiser, tantôt grimaçant, tantôt rayonnant, bouche ouverte ou langue sur les lèvres ou toutes dents dehors. Leurs regards se croisèrent via le miroir et ils échangèrent quelques mots crus, lui l'interrogeant sur la qualité de sa pénétration, elle vérifiant le plaisir qu'elle lui donnait. Il la fit un peu décoller ce qui la fit couiner et se retint de justesse de coller son gland contre son anneau intime, tant son fessier le subjuguait.
- Non, pas tout de suite, plus tard, l'implora-t-elle, devinant son désir.
Et ils se détachèrent à nouveau pour regagner le lit. Elle voulait LE baiser, le chevaucher, imposer son rythme.
Elise aimait dominer Philibert en cavalant sur sa queue et en caressant son torse soyeux, tantôt roulant des hanches, tantôt se relevant pour se laisser tomber sèchement, tantôt basculant vers l'arrière les mains sur le matelas pour accentuer le frottement de la pénétration, si jouissive. Mais Philibert goûtait aussi cette position car il pouvait admirer sa femme prendre son plaisir. Il aimait voir les mouvements circulaires de son nombril, les poussées vers l'avant de son bas-ventre, l'agitation de ses seins, son sourire en banane, ses brefs commentaires un peu salaces. Mais aussi, quand il lui prenait la fantaisie de se retourner, de pétrir son cul somptueux, de glisser son pouce humide dans son anus bien ouvert tout en regardant sa queue entrer et sortir de l'antre béant dans un bruit clapotant, surtout quand elle se penchait vers l'avant, la tête entre ses bras, pour regarder elle aussi la source de son plaisir.
- Tu baises, hein ? lui lançait il alors.
- Mmmmhh ouiii, je baaaise, elle est bonne ta biiiite, répondait elle car elle savait que son mari adorait qu'elle lui parle de son organe mâle.
Et de ponctuer en roulant des hanches. Philibert avait alors une pensée fugitive pour sa femme dans le cadre de son travail, quand ses collègues mataient ses fesses avec concupiscence. Il savourait sa chance de les voir nues, bien fendues, frémissantes, et c'est lui Philibert qui allait les fendre de sa queue et gicler à l'intérieur. Il souriait intérieurement à l'idée que cette petite femme somme toute ordinaire pour le commun des mortels se révélât aussi géniale au plumard, et même franchement cochonne et que c'est lui Philibert et lui seul qui en profitait.
Elle se releva, une sueur légère sur les seins, lui fit face en vérifiant son érection et lui dit :
- Tu as encore envie hein ? Le Maroc te réussit.
- Et toi, tu as encore envie ?
- Idiot. Bien sûr que oui. Je la veux dans mon cul maintenant, comme toi, gros cochon. Va chercher le gel dans la salle de bain.
C'était alors une sorte de rituel qu'ils connaissaient par coeur. Le gel dans la main, il la doigtait longuement, profondément, pour qu'elle puisse l'accueillir sans souffrir. Et quand elle lui soufflait "viens maintenant", il s'introduisait lentement, millimètre par millimètre, la laissant venir à sa rencontre jusqu'à ce qu'il fût totalement engagé. C'était alors une vraie sarabande. Philibert ne se contentait pas de la prendre en levrette. Il s'allongeait et la laissait venir s'empaler elle-même, face à face. Elle l'encerclait de ses jambes en ondulant, il scrutait ses yeux émeraude pour deviner l'imminence de son orgasme anal. Et quand elle laissait échapper son cri rauque de femelle comblée, il lâchait tout. Et elle filait aux toilettes pour soulager son rectum surmené, sans la moindre honte, ayant depuis longtemps dépassé le stade de la pudeur en matière de relations sexuelles complètes. Lui aussi se nettoyait parfois sans davantage de gêne. Quand Philibert et Elise avaient décidé de baiser, plus aucun tabou n'entravaient leur plaisir. Ils cochonnaient dans l'euphorie, avant de retomber dans la conjugalité classique. Comme cela allait être le cas les heures suivantes, lorsqu'ils décidèrent de partir en calèche à la découverte de Marrakech.
Au programme, la place jemaa el fna et ses charmeurs de serpents, la Mamounia et ses somptueuses mosaïques, les fantasias, les vendeurs de tapis, le thé à la menthe et surtout pour Elise le souk. Les vacances pouvaient vraiment commencer.
A SUIVRE
Philibert ne se tenait plus. Dans la salle d'embarquement, il avait maté avec concupiscence la croupe bombée d'Elise moulée par une robe fuseau, devinant le string dessous, la ficelle qui se perdait entre ses fesses joufflues, et il se promettait déjà de fendre cette croupe en deux dès leur arrivée à l'hôtel. Ce cul, c'était l'atout érotique majeur d'Elise, petite femme à la coupe châtain au carré, aux yeux émeraude et aux seins pointus. Elle le savait et en tenait compte par ses tenues, y compris au travail, où certains collègues mâles la suivaient des yeux quand elle marchait, louchant sur ces deux globes en mouvement qui semblaient leur faire la nique en roulant sous le tissu.
Elise était plus discrète dans son désir mais elle aussi avait hâte de retrouver la bite de Philibert, enfin rendue à sa raideur, son volume même, alors qu'elle la trouvait parfois un peu molle du fait du surmenage de son mari. Aussi, lorsque pendant le voyage aérien, très pressant, très amoureux, il lui murmura à l'oreille :
- Je te promets vingt centimètres dès notre arrivée dans la chambre.
Elle sourit et répondit :
- Tu te vantes.
Mais c'était exactement ce qu'elle espérait. Passer leur séjour à se promener, à faire des découvertes mais surtout à baiser. Totalement, sans tabous et le plus souvent possible. Elle venait juste d'avoir ses règles, son stérilet était bien en place, elle était open, vraiment open. Et Philibert avait intérêt à être à la hauteur.
Dans le taxi qui les emmenait à l'hôtel, ils étaient déjà chauds. Philibert se retint de lui caresser les seins, se méfiant du chauffeur marocain, et se contenta d'une main sur sa cuisse à la chair dense, un peu trop épaisse au goût d'Elise qui n'aimait pas ses jambes mais que Philibert rêvait déjà de les sentir croisées dans son dos. Elise aurait volontiers tâté aussi la braguette de son mari mais vérifier la réalité de son désir mais se retint pour les mêmes raisons que lui.
Les formalités d'enregistrement à l'hôtel leur parurent interminables. Un truc à tuer l'amour. Mais dans l'ascenseur, leur désir se réveilla et ils se roulèrent une pelle comme deux ados. A peine arrivés dans la chambre, vaste et confortable, ils ne prirent même pas le temps de défaire leur valise. Elle fit valser ses escarpins et se jeta sur le lit pour en éprouver la fermeté, aussitôt rejointe par Philibert qui la couvrit de baisers. Elle se dégagea, fit passer sa robe longue par dessus sa tête, apparut en soutif et en string tandis qu'il se dégageait péniblement de son pantalon. Elle se mit à plat ventre pour qu'il dégrafe son soutif et surtout mate ses fesses nues mises en valeur par le string. Elle le regarda sur le côté, découvrant son érection.
- Tu peux faire mieux, gloussa-t-elle, alors que Philibert était déjà bien tendu.
Il la délesta de son soutif et tira sur le string, collant sa bouche sur les deux globes à tour de rôle, les écartant pour titiller l'anus rose et l'entendit roucouler de plaisir. Elise était anale. C'était une caractéristique érotique rare chez les femmes et Philibert était fier d'avoir "éduqué" son épouse à cette variante dès leurs premiers ébats. Mais elle se retourna, découvrit son mari nu et lui dit :
- J'ai très envie mais on ne va pas se presser. Pour une fois, on a tout le temps. Je veux baiser, pas faire l'amour comme un vieux couple. Je veux que tu me baises au lit mais aussi dans la salle de bain. S'il te plait, retiens-toi. Je te sens très excité et il faut que tu dures un peu.
Aussi commencèrent-ils par le sexe buccal. Un 69 tranquille sur le lit où Elise se gava de la queue verticale et Philibert de sa chatte trempée, inondant son museau de cyprine. Ils poursuivirent par des masturbations réciproques, assis face à face, en s'excitant par le verbe. Elise parla à Philibert de sa bite et lui la prévint qu'il allait la défoncer, lui casser le cul. Ce à quoi elle répondit qu'elle en avait très envie, qu'elle était en feu, qu'il ne devrait pas la ménager, qu'elle n'était pas en sucre. Et ils se retrouvèrent aussitôt emboités l'un dans l'autre, elle allongée les pieds croisés dans les reins de son mari-amant, lui la pilonnant avec frénésie dans un claquement de peaux et de râles de plaisir cette fois non contraints par la chambre parentale, et se moquant bien des chambres adjacentes. Elle eut un orgasme violent qui la mit en arc de cercle et il se retira vivement pour ne pas éjaculer prématurément, en serrant sa queue, la regardant haleter, les seins mouvants, les cuisses ouvertes. Reconnaissante du plaisir offert, elle l'embrassa, se leva, le prit par la main et l'entraina dans la salle de bain.
Elle s'assit sur l'ensemble lavabo et lui ouvrit les cuisses.
- Viens. Prends-moi debout.
Philibert était enchanté de cette initiative. Voilà pourquoi il n'avait jamais trompé sa femme. Elle aimait vraiment le sexe et pourquoi aurait-il cherché ailleurs ? Son corps n'était peut-être pas parfait mais plus elle vieillissait et plus se tabous disparaissaient. Elle faisait tout, vraiment tout, et il savait que ses collègues mâles n'avaient pas cette chance avec leur épouse. Il s'enfonça immédiatement en elle, jusqu'à la garde, tant elle était fondante. Avec d'autant plus de facilité que les deux sexes étaient à la bonne hauteur, sans qu'il ait besoin de plier les genoux ou de se mettre sur la pointe des pieds. Tout en limant et clapotant, il lui broutait le museau, lui léchait les lèvres, enroulait sa langue dans la sienne, suçait ses pointes de seins bien érigées. Elise était heureuse de lui plaire, de le sentir aussi dur, aussi profond en elle, malgré les imperfections de son corps car une femme n'est jamais totalement satisfaite de son physique. Elise était heureuse que son mari la baise comme une maitresse, non comme une épouse. Posant ses mains dans son dos pour maintenir son équilibre, elle lui talonna les reins pour lui montrer à quel point elle baisait. Lui se régalait de son comportement d'amoureuse, autant de lui que de sa queue.
Mais la position était un peu inconfortable et il se détacha en l'aidant à descendre de son perchoir. Sans transition, il la mit face au miroir au-dessus des lavabos. Il allait la prendre par derrière pour qu'elle se regarde baiser, mais non la sodomiser, pas encore, c'était pour le bouquet final. Avant-bras sur l'ensemble lavabos, Elise se découvrit avec Philibert en arrière-plan, bien enfoncé en elle, les mains sur ses hanches rebondies. Son visage n'était pas celui qu'elle voyait le matin en se maquillant. C'était celui d'une femme en train de baiser, tantôt grimaçant, tantôt rayonnant, bouche ouverte ou langue sur les lèvres ou toutes dents dehors. Leurs regards se croisèrent via le miroir et ils échangèrent quelques mots crus, lui l'interrogeant sur la qualité de sa pénétration, elle vérifiant le plaisir qu'elle lui donnait. Il la fit un peu décoller ce qui la fit couiner et se retint de justesse de coller son gland contre son anneau intime, tant son fessier le subjuguait.
- Non, pas tout de suite, plus tard, l'implora-t-elle, devinant son désir.
Et ils se détachèrent à nouveau pour regagner le lit. Elle voulait LE baiser, le chevaucher, imposer son rythme.
Elise aimait dominer Philibert en cavalant sur sa queue et en caressant son torse soyeux, tantôt roulant des hanches, tantôt se relevant pour se laisser tomber sèchement, tantôt basculant vers l'arrière les mains sur le matelas pour accentuer le frottement de la pénétration, si jouissive. Mais Philibert goûtait aussi cette position car il pouvait admirer sa femme prendre son plaisir. Il aimait voir les mouvements circulaires de son nombril, les poussées vers l'avant de son bas-ventre, l'agitation de ses seins, son sourire en banane, ses brefs commentaires un peu salaces. Mais aussi, quand il lui prenait la fantaisie de se retourner, de pétrir son cul somptueux, de glisser son pouce humide dans son anus bien ouvert tout en regardant sa queue entrer et sortir de l'antre béant dans un bruit clapotant, surtout quand elle se penchait vers l'avant, la tête entre ses bras, pour regarder elle aussi la source de son plaisir.
- Tu baises, hein ? lui lançait il alors.
- Mmmmhh ouiii, je baaaise, elle est bonne ta biiiite, répondait elle car elle savait que son mari adorait qu'elle lui parle de son organe mâle.
Et de ponctuer en roulant des hanches. Philibert avait alors une pensée fugitive pour sa femme dans le cadre de son travail, quand ses collègues mataient ses fesses avec concupiscence. Il savourait sa chance de les voir nues, bien fendues, frémissantes, et c'est lui Philibert qui allait les fendre de sa queue et gicler à l'intérieur. Il souriait intérieurement à l'idée que cette petite femme somme toute ordinaire pour le commun des mortels se révélât aussi géniale au plumard, et même franchement cochonne et que c'est lui Philibert et lui seul qui en profitait.
Elle se releva, une sueur légère sur les seins, lui fit face en vérifiant son érection et lui dit :
- Tu as encore envie hein ? Le Maroc te réussit.
- Et toi, tu as encore envie ?
- Idiot. Bien sûr que oui. Je la veux dans mon cul maintenant, comme toi, gros cochon. Va chercher le gel dans la salle de bain.
C'était alors une sorte de rituel qu'ils connaissaient par coeur. Le gel dans la main, il la doigtait longuement, profondément, pour qu'elle puisse l'accueillir sans souffrir. Et quand elle lui soufflait "viens maintenant", il s'introduisait lentement, millimètre par millimètre, la laissant venir à sa rencontre jusqu'à ce qu'il fût totalement engagé. C'était alors une vraie sarabande. Philibert ne se contentait pas de la prendre en levrette. Il s'allongeait et la laissait venir s'empaler elle-même, face à face. Elle l'encerclait de ses jambes en ondulant, il scrutait ses yeux émeraude pour deviner l'imminence de son orgasme anal. Et quand elle laissait échapper son cri rauque de femelle comblée, il lâchait tout. Et elle filait aux toilettes pour soulager son rectum surmené, sans la moindre honte, ayant depuis longtemps dépassé le stade de la pudeur en matière de relations sexuelles complètes. Lui aussi se nettoyait parfois sans davantage de gêne. Quand Philibert et Elise avaient décidé de baiser, plus aucun tabou n'entravaient leur plaisir. Ils cochonnaient dans l'euphorie, avant de retomber dans la conjugalité classique. Comme cela allait être le cas les heures suivantes, lorsqu'ils décidèrent de partir en calèche à la découverte de Marrakech.
Au programme, la place jemaa el fna et ses charmeurs de serpents, la Mamounia et ses somptueuses mosaïques, les fantasias, les vendeurs de tapis, le thé à la menthe et surtout pour Elise le souk. Les vacances pouvaient vraiment commencer.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Joli !
Je préfère quand ce sont de beaux seins, une poitrine lourde et volumineuse mais j’aime aussi les culs…
Bandant !
Jef
Je préfère quand ce sont de beaux seins, une poitrine lourde et volumineuse mais j’aime aussi les culs…
Bandant !
Jef
Vivement la suite.. bis
Les époux se sont pleinement retrouvés sur le plan sexuel, donnant libre cours à leur sensualité.
La suite promise s'annonce intéressante. Je suis impatiente de la connaitre!
La suite promise s'annonce intéressante. Je suis impatiente de la connaitre!
Micky ton récit sur ce couple qui se retrouve enfin est parfait leur baise est somptueusement bien racontée. Très beau début la suite vite stp. Daniel
Micky,
Magnifique l'histoire de ce couple qui le temps d'un séjour, sans la contraintes des enfants, peut enfin baiser librement.
Jusqu'où vont ils aller, quelles limites vont ils franchir, pour prendre un maximum de plaisir?
Après ce début prometteur j'attends la suite avec impatience pour découvrir jusqu'où ils vont aller, quelles limites ils vont franchir, pour prendre un maximum de plaisir...
Didier
Magnifique l'histoire de ce couple qui le temps d'un séjour, sans la contraintes des enfants, peut enfin baiser librement.
Jusqu'où vont ils aller, quelles limites vont ils franchir, pour prendre un maximum de plaisir?
Après ce début prometteur j'attends la suite avec impatience pour découvrir jusqu'où ils vont aller, quelles limites ils vont franchir, pour prendre un maximum de plaisir...
Didier

