Colle à l'internat
Récit érotique écrit par de la taille [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Colle à l'internat
COLLE A L’INTERNAT
Ayant un peu de temps, je vais vous narrer mon année d’internat. Celle-ci s’est déroulée il y a quelques années. Je pense que c’est durant cette année scolaire que ma sexualité s’est affirmée et confirmée.
Mes parents m’ont mis à la suite à mes résultats de lycéen guère brillants dans cette institution privée qui reçoit un très grand nombre de fils de bonnes familles. Pour cette dernière année du cycle, j’ai déjà atteint mes vingt ans. Toute cette classe de l’institution ne compte que quatorze élèves, constituée que de garçons de mon âge avec ce retard dû à notre peu d’envie d’étudier sérieusement malgré notre potentiel et notre petit groupe de se faire souvent plaisir.
Vous comprenez bien que nous sommes souvent collés. C’est toujours notre même petit groupe de quatre. Avec la discipline de cette institution, lors des heures de colle il y a un surveillant par élève pour nous faire correctement travailler individuellement. Les progrès furent très concluants avec ces heures successives. Au fil des mois une certaine cordialité s’est inconsciemment installée entre les quatre professeurs et nous les quatre élèves.
Ces pions-professeurs encadrants ont à peine la trentaine d’années. Je ne sais pas où la direction les a recrutés, mais ils auraient pu sortir de l’école de mannequinat tellement leur beauté était intense. Pas moins d’un mètre quatre-vingt-douze, musculature bien dessinée et harmonieuse. Trois étaient châtain clair et l’autre blond. Ils ont toujours des tenues moulantes mettant en valeur l’ensemble de leur corps et le haut de leur entrejambe Nous saurons après que deux sont imberbes ou rasés et les autres avec une très fine pilosité descendant du milieu de leur poitrine vers la ceinture de leur sous-vêtement.
A partir du mois de janvier, les heures de colle pour le rattrapage du programme changent un peu de forme. Edouard, Côme, Baptiste et moi Eudes entrons dans la salle où nous attendent nos éducateurs (messieurs de Bayser, du Manoir, du Jonchay et du Frayes). Comme d’habitude nous prenons nos places. Quelques minutes après Côme est appelé par monsieur de Bayser et monsieur du Manoir et les trois s’éclipsèrent dans la pièce d’à côté. Notre copain nous revient plus d’un quart d’heure après complètement cramoisi et reprit sa place sans rien dire la tête baissée et c’est le tour de Baptiste de sortir, pour revenir dans le même temps et la même attitude. Les deux professeurs reviennent le sourire aux lèvres. Et c’est à messieurs du Jonchay et du Frayes de sortir en m’appelant. Je me lève et les suis. J’entre et suis positionné debout devant ces deux apollons. Après quelques reproches sur mes résultats qu’ils trouvent à peine meilleurs ; mais ma conduite dans le dortoir avec les trois autres n’est plus tolérable. Et monsieur du Jonchay s’approcha de moi en me regardant droit dans les yeux, sans sourire, me demande d’un ton sec de descendre mon pantalon et mon sous-vêtement. - Mais pourquoi monsieur du Jonchay ? Il réplique, tous les soirs vous vous donnez du plaisir seul, quand ce n’est pas avec vos amis. Je devins un peu honteux, en lui répondant quand même c’est de notre âge et nous sommes enfermés tout le mois, c’est naturel, non. A ce moment-là son confrère monsieur du Frayes vient nous rejoindre et s’agenouille devant moi. Je commence à avoir une demie molle. Dans mon for intérieur je me réjouis de me faire faire une fellation par ce beau monsieur, et qu’elle n’est pas ma stupeur lorsqu’il empoigne fermement mon sexe et pressant un peu mes couilles pour les enfiler dans une cage de chasteté qu’il ferme à clef. Tout est emprisonné dans cette cage. A peine a-t-il enlevé la clef de la serrure que monsieur du Jonchay intervient en me disant remettez vos affaires et retournez à votre place. Je compris pourquoi mes deux amis sont rentrés dans la classe aussi tristes et honteux. Et c’est le même sort pour Edouard. Maintenant tous réunis dans la classe, l’un des prof’ prend la parole, maintenant vous ne vous épuiserez plus avec vos exercices nocturnes manuels, vous serez donc plus concentrés sur vos études. Deux semaines s’écoulent dans ces conditions, jusqu’à un samedi. . . .
Evidemment nous n’avons pas pu nous adonner à l’onanisme, ou à des fellations réciproques ou parfois que rarement plus. Vous vous doutez que nous avons de grosses envies de nous vider en seulement éjaculant de nos fortes excitations, mais la cage nous l’empêche, sans compter que seulement de bander nous est très difficile et douloureux pour tout contenir dans ce petit panier.
Monsieur de Bayser, avec un petit sourire entre le style narquois, ironique et sadique et désigne deux d’entre nous. C’est Edouard et baptiste sont désignés. Il leur demande d’ôter pantalon et sous-vêtement et relever la chemise. Ensuite il ordonne qu’ils se penchent un peu sur les bureaux. Nous sommes interrogatifs, que va-t-il leur faire ? ? Après quelques minutes les trois autres pions entrent tout souriant. Deux se mettent derrière nos camarades et les deux autres devant. Presque en même temps les deux pions qui sont derrière font descendre leur pantalon et ensuite leur sous-vêtement pendant que les deux qui sont devant descende la fermeture à glissière de leur braguette. Nous pouvons constater, qu’il n’y a pas un sexe de moins de dix-neuf centimètres et de quatre de diamètre. C’est impressionnant de voir ces enseignants dieux de la beauté avec de tels engins soient rasés, soient épilés soient aux poils très courts. Ceux qui sont devant s’approchent entenant la tête de leurs victimes afin qu’ils ouvrent leur bouche et leur enfourner ces impressionnants rouleaux de chair et ces pions commencent d’imposer un mouvement de va et vient pour se procurer le plaisir égoïste de la fellation. Monsieur de Bayser bascule sa tête en arrière en fermant ses yeux, et monsieur du Jonchay entrouvre sa bouche pour laisser passer des sons de plaisir. A l’arrière de nos camarades les deux autres vicieux enduisent les petits trous de gel, c’est normal car ce sont les braquemards les plus épais de cinq à six centimètres de diamètre. Au moment ou les glands franchissent le seuil critique, Edouard et Baptiste, protestent « non, non ça me fait mal !!!» ou « allez-y doucement, j’ai mal, j’ai mal, arrêtez, s’il vous plait !!! » Les deux pions : « oh, c’est trop bon pour nous, ces petits trous bien serrés, c’est meilleur que les chattes molles. Ces sadiques, ne tiennent pas comptent des douleurs occasionnées, et commencent un bourrage de cul avec rythme assez cadencé et élevé. Nous entendons même les couilles frapper sur les fessiers des jeunes ; Ensuite des murmures et des gloussements de nos forniqueurs « OH c’est bon, c’est bon, il fau que je tienne encore », et de l’avant venaient des « oh c’est chaud, c’est bien humide, les langues travaillent nos couronnes, je ne vais pas tarder à venir »
Le corps de nos camarades sont complètement secoués et presque mal menés par les à-coups de va et vient se faisant dans leur fondement, et les queuse pénétrant volontairement profondément dans les bouches pour obtenir des gorges profondes. Maintenant, ce n’est que gémissements, onomatopées venant des deux parties, malgré des cris de souffrance dus aux sexes comprimés dans ces maudites cages ; les coups de bite des pions atteignent surement la prostate d’Edouard et de Baptiste, et ces derniers crient, hurlent vocifèrent « je jouis, je jouis du cul, c’est bon et à ce moment une cascade de sperme s’écoule des cages de chasteté. Ce ne sont pas des jets, mais un flot continu de substance claire et liquide très très abondante. Je n’avais jamais vu autant de sperme se déverser d’une bite. Le corps de nos camarades se mirent à trembler avec des soubresauts convulsifs successifs. Je n’avais pas encore pu constater un homme avec un tel orgasme. Ils continuent à fortement soupirer et pousser des « c’est bon, c’est bon ouiiii » pendant ces orgasmes inconnus de nos amis, nos pions se vidangent dans les entrailles ou dans la bouche de nos amis ; les verges monstrueuses éjectent encore des jets de substances assez épaisses hors de ces lieux, venant maculer les visages et les fessiers. Après cette demi-heure plus qu’intense de chevauchée, de suçage et de rut, les pions nous demandent d’aspirer le trop plein de jute du trou de nos camarades, mais surtout d’être les bouches nettoyeuses de ces solides queues encore en érection. En nous appliquant à nettoyer les glands et couronnes de ces pieux du plaisir, je sens une réaction et une contraction de monsieur du Jonchay qui reprenait du plaisir avec mes lèvres et langues nettoyeuses ; et ce salaud, d’un coup me tient la tête pour que je reçoive une rassade qu’il avait dans ses burnes de sa meilleure liqueur qui m’a complètement remplie la bouche. J’ai dû avaler cette substance aigre-douce.
Ils ont laissé nos camarades épuisés, et un peu honteux d’avoir été autant exhibés. Messieurs les pions ceux sont partis le pantalon sur l’épaule prendre une douche pour nettoyer toutes leurs souillures du plaisir et de dépravation.
C’était terminé –
En franchissant le seuil de la porte, monsieur de Bayser se retourne et en s’adressant à Côme et moi-même, ‘Pour vous, ce sera pour la semaine prochaine, il faut que nous rechargions nos balloches pour vous alimenter.
Ce n’est qu’un mois après que les cages nous furent enlevées, et je vous raconterai prochainement cette séance qui nous a permis de se faire de nouveau plaisir et obtenir de mémorables orgasmes avec nos pions chéris.
Ayant un peu de temps, je vais vous narrer mon année d’internat. Celle-ci s’est déroulée il y a quelques années. Je pense que c’est durant cette année scolaire que ma sexualité s’est affirmée et confirmée.
Mes parents m’ont mis à la suite à mes résultats de lycéen guère brillants dans cette institution privée qui reçoit un très grand nombre de fils de bonnes familles. Pour cette dernière année du cycle, j’ai déjà atteint mes vingt ans. Toute cette classe de l’institution ne compte que quatorze élèves, constituée que de garçons de mon âge avec ce retard dû à notre peu d’envie d’étudier sérieusement malgré notre potentiel et notre petit groupe de se faire souvent plaisir.
Vous comprenez bien que nous sommes souvent collés. C’est toujours notre même petit groupe de quatre. Avec la discipline de cette institution, lors des heures de colle il y a un surveillant par élève pour nous faire correctement travailler individuellement. Les progrès furent très concluants avec ces heures successives. Au fil des mois une certaine cordialité s’est inconsciemment installée entre les quatre professeurs et nous les quatre élèves.
Ces pions-professeurs encadrants ont à peine la trentaine d’années. Je ne sais pas où la direction les a recrutés, mais ils auraient pu sortir de l’école de mannequinat tellement leur beauté était intense. Pas moins d’un mètre quatre-vingt-douze, musculature bien dessinée et harmonieuse. Trois étaient châtain clair et l’autre blond. Ils ont toujours des tenues moulantes mettant en valeur l’ensemble de leur corps et le haut de leur entrejambe Nous saurons après que deux sont imberbes ou rasés et les autres avec une très fine pilosité descendant du milieu de leur poitrine vers la ceinture de leur sous-vêtement.
A partir du mois de janvier, les heures de colle pour le rattrapage du programme changent un peu de forme. Edouard, Côme, Baptiste et moi Eudes entrons dans la salle où nous attendent nos éducateurs (messieurs de Bayser, du Manoir, du Jonchay et du Frayes). Comme d’habitude nous prenons nos places. Quelques minutes après Côme est appelé par monsieur de Bayser et monsieur du Manoir et les trois s’éclipsèrent dans la pièce d’à côté. Notre copain nous revient plus d’un quart d’heure après complètement cramoisi et reprit sa place sans rien dire la tête baissée et c’est le tour de Baptiste de sortir, pour revenir dans le même temps et la même attitude. Les deux professeurs reviennent le sourire aux lèvres. Et c’est à messieurs du Jonchay et du Frayes de sortir en m’appelant. Je me lève et les suis. J’entre et suis positionné debout devant ces deux apollons. Après quelques reproches sur mes résultats qu’ils trouvent à peine meilleurs ; mais ma conduite dans le dortoir avec les trois autres n’est plus tolérable. Et monsieur du Jonchay s’approcha de moi en me regardant droit dans les yeux, sans sourire, me demande d’un ton sec de descendre mon pantalon et mon sous-vêtement. - Mais pourquoi monsieur du Jonchay ? Il réplique, tous les soirs vous vous donnez du plaisir seul, quand ce n’est pas avec vos amis. Je devins un peu honteux, en lui répondant quand même c’est de notre âge et nous sommes enfermés tout le mois, c’est naturel, non. A ce moment-là son confrère monsieur du Frayes vient nous rejoindre et s’agenouille devant moi. Je commence à avoir une demie molle. Dans mon for intérieur je me réjouis de me faire faire une fellation par ce beau monsieur, et qu’elle n’est pas ma stupeur lorsqu’il empoigne fermement mon sexe et pressant un peu mes couilles pour les enfiler dans une cage de chasteté qu’il ferme à clef. Tout est emprisonné dans cette cage. A peine a-t-il enlevé la clef de la serrure que monsieur du Jonchay intervient en me disant remettez vos affaires et retournez à votre place. Je compris pourquoi mes deux amis sont rentrés dans la classe aussi tristes et honteux. Et c’est le même sort pour Edouard. Maintenant tous réunis dans la classe, l’un des prof’ prend la parole, maintenant vous ne vous épuiserez plus avec vos exercices nocturnes manuels, vous serez donc plus concentrés sur vos études. Deux semaines s’écoulent dans ces conditions, jusqu’à un samedi. . . .
Evidemment nous n’avons pas pu nous adonner à l’onanisme, ou à des fellations réciproques ou parfois que rarement plus. Vous vous doutez que nous avons de grosses envies de nous vider en seulement éjaculant de nos fortes excitations, mais la cage nous l’empêche, sans compter que seulement de bander nous est très difficile et douloureux pour tout contenir dans ce petit panier.
Monsieur de Bayser, avec un petit sourire entre le style narquois, ironique et sadique et désigne deux d’entre nous. C’est Edouard et baptiste sont désignés. Il leur demande d’ôter pantalon et sous-vêtement et relever la chemise. Ensuite il ordonne qu’ils se penchent un peu sur les bureaux. Nous sommes interrogatifs, que va-t-il leur faire ? ? Après quelques minutes les trois autres pions entrent tout souriant. Deux se mettent derrière nos camarades et les deux autres devant. Presque en même temps les deux pions qui sont derrière font descendre leur pantalon et ensuite leur sous-vêtement pendant que les deux qui sont devant descende la fermeture à glissière de leur braguette. Nous pouvons constater, qu’il n’y a pas un sexe de moins de dix-neuf centimètres et de quatre de diamètre. C’est impressionnant de voir ces enseignants dieux de la beauté avec de tels engins soient rasés, soient épilés soient aux poils très courts. Ceux qui sont devant s’approchent entenant la tête de leurs victimes afin qu’ils ouvrent leur bouche et leur enfourner ces impressionnants rouleaux de chair et ces pions commencent d’imposer un mouvement de va et vient pour se procurer le plaisir égoïste de la fellation. Monsieur de Bayser bascule sa tête en arrière en fermant ses yeux, et monsieur du Jonchay entrouvre sa bouche pour laisser passer des sons de plaisir. A l’arrière de nos camarades les deux autres vicieux enduisent les petits trous de gel, c’est normal car ce sont les braquemards les plus épais de cinq à six centimètres de diamètre. Au moment ou les glands franchissent le seuil critique, Edouard et Baptiste, protestent « non, non ça me fait mal !!!» ou « allez-y doucement, j’ai mal, j’ai mal, arrêtez, s’il vous plait !!! » Les deux pions : « oh, c’est trop bon pour nous, ces petits trous bien serrés, c’est meilleur que les chattes molles. Ces sadiques, ne tiennent pas comptent des douleurs occasionnées, et commencent un bourrage de cul avec rythme assez cadencé et élevé. Nous entendons même les couilles frapper sur les fessiers des jeunes ; Ensuite des murmures et des gloussements de nos forniqueurs « OH c’est bon, c’est bon, il fau que je tienne encore », et de l’avant venaient des « oh c’est chaud, c’est bien humide, les langues travaillent nos couronnes, je ne vais pas tarder à venir »
Le corps de nos camarades sont complètement secoués et presque mal menés par les à-coups de va et vient se faisant dans leur fondement, et les queuse pénétrant volontairement profondément dans les bouches pour obtenir des gorges profondes. Maintenant, ce n’est que gémissements, onomatopées venant des deux parties, malgré des cris de souffrance dus aux sexes comprimés dans ces maudites cages ; les coups de bite des pions atteignent surement la prostate d’Edouard et de Baptiste, et ces derniers crient, hurlent vocifèrent « je jouis, je jouis du cul, c’est bon et à ce moment une cascade de sperme s’écoule des cages de chasteté. Ce ne sont pas des jets, mais un flot continu de substance claire et liquide très très abondante. Je n’avais jamais vu autant de sperme se déverser d’une bite. Le corps de nos camarades se mirent à trembler avec des soubresauts convulsifs successifs. Je n’avais pas encore pu constater un homme avec un tel orgasme. Ils continuent à fortement soupirer et pousser des « c’est bon, c’est bon ouiiii » pendant ces orgasmes inconnus de nos amis, nos pions se vidangent dans les entrailles ou dans la bouche de nos amis ; les verges monstrueuses éjectent encore des jets de substances assez épaisses hors de ces lieux, venant maculer les visages et les fessiers. Après cette demi-heure plus qu’intense de chevauchée, de suçage et de rut, les pions nous demandent d’aspirer le trop plein de jute du trou de nos camarades, mais surtout d’être les bouches nettoyeuses de ces solides queues encore en érection. En nous appliquant à nettoyer les glands et couronnes de ces pieux du plaisir, je sens une réaction et une contraction de monsieur du Jonchay qui reprenait du plaisir avec mes lèvres et langues nettoyeuses ; et ce salaud, d’un coup me tient la tête pour que je reçoive une rassade qu’il avait dans ses burnes de sa meilleure liqueur qui m’a complètement remplie la bouche. J’ai dû avaler cette substance aigre-douce.
Ils ont laissé nos camarades épuisés, et un peu honteux d’avoir été autant exhibés. Messieurs les pions ceux sont partis le pantalon sur l’épaule prendre une douche pour nettoyer toutes leurs souillures du plaisir et de dépravation.
C’était terminé –
En franchissant le seuil de la porte, monsieur de Bayser se retourne et en s’adressant à Côme et moi-même, ‘Pour vous, ce sera pour la semaine prochaine, il faut que nous rechargions nos balloches pour vous alimenter.
Ce n’est qu’un mois après que les cages nous furent enlevées, et je vous raconterai prochainement cette séance qui nous a permis de se faire de nouveau plaisir et obtenir de mémorables orgasmes avec nos pions chéris.
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