COLLECTION ADULTÈRE. Dans la cabine de mon tracteur (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ADULTÈRE. Dans la cabine de mon tracteur (2/2)
- J’ai peur, on va mourir !
Ce sont les mots que prononce Mélanie jeune femme d’une vingtaine d’années venue dépanner mon tracteur dans le champ de la Fraiche.
Il sera dit que ce champ rythmerait ma vie.
La parcelle que j’espérais terminer avant le méga orage qui commence à frapper à tripler depuis une vingtaine d’années suite à des remembrements.
Ces remembrements étaient un échange de parcelles entre propriétaires agricoles et nous permettaient de travailler plus vite les surfaces et le matériel évoluant.
Au moment présent, ces grandes surfaces s’avèrent catastrophiques, car nous nous sommes empressés d’enlever les haies tuant toute une faune et une flore.
Sans être un militant écolo actif, l’orage qui nous atteint est de ceux complètement inutiles après deux mois sans la moindre goutte d’eau.
En dix à quinze minutes, il va tomber des trombes d’eau qui vont ruisseler en pénétrant sur quelques centimètres dans ce sol dur comme du béton.
J’avais une petite parcelle entourant l’arbre toujours présent au bas de la cote du même nom.
C’est là que j’ai rencontré Louise parisienne en vacances chez sa grand-mère.
Nous avons roulé dans le foin avec pour conséquence, quelques semaines plus tard, la visite de ses parents dont le père est huissier de justice à la capitale.
Son ventre s’arrondissait et il voulait que je répare.
Louise acceptant de venir vivre à la campagne, je me suis empressé de dire « Oui ».
Que de collibet, j’ai dû subir, tous mes copains dont certains sont toujours célibataires, les jeunes femmes préférant le confort et les attraits de la ville aux bouses des vaches et au purin.
Depuis, ma vie est toute droite comme la cote de la Fraiche ou en vélo elle la dévalait quand je l’ai vu terminer dans un buisson de suraux.
Trois enfants dont l’un pressé de venir au monde après quelques roulades dans le foin.
Choix du roi après mon fils, ce fut Livia et Jeanne qui sont venues embellir notre ferme.
Je sais le choix du roi, ce sont deux enfants de sexe différent.
Moi je suis le roi de deux et belles jeunes filles dont l’une Livia veut reprendre notre ferme.
Sylvain, mon aîné est un premier de la classe comme l’était sa mère avant qu’elle quitte ses études parisiennes pour venir m’aider quand le temps le permet.
Depuis que les enfants ont grandi, elle a trouvé qu’elle avait du temps libre et j’ai fait installer un poulailler avec des poules élevées en plein air.
Elle produit des œufs bio bien sûr et sa petite affaire roule.
Avec les chèvres qui nous donnent des fromages, comment fait-elle ?
Sylvain fait des études d’ingénieur agronome et Jeanne plus jeune veut devenir astronaute.
Être dans les étoiles, de qui tient-elle, je l’ignore certainement de sa grand-mère parisienne qui est toujours la tête dans les étoiles.
Est-ce le fait qu’elle ait travaillé au moulin rouge.
De temps en temps mes beaux-parents viennent au ravitaillement en fruits et en légumes de notre verger et de notre jardin.
Nous l’entretenons Louise, Livia où moi suivant notre temps libre, mais aussi tous les soirs lorsqu’il faut arroser.
Notre grand plaisir avec ma femme, à la fin de ces journées d’été harassantes, ce sont nos bains comme celui d’hier au soir.
L’hiver dernier, j’ai réalisé le rêve de Louise, bonne élève et future championne de natation quand j’en ai fait ma femme.
Une salle de bain dernier cri, douche à l’italienne lorsque nous sommes pressés et baignoire aussi grande qu’un Jacuzzi, c’est là que je l’ai caressé avant de la prendre comme elle aime être prise.
Depuis cette installation, nous avons repris nos jeux amoureux qui avaient tendance à s’étioler.
Au moment où Mélanie se jette dans mes bras par peur malgré l’espace restreint, loin de moi l’idée de faire l’amour à cette jeune femme même si elle est très jolie.
Je le vois, car lorsque sa poitrine se retrouve sur la mienne, alors qu’un nouvel éclair très proche nous entoure de nouveau, lui faisant pousser un cri, son masque se détache.
D’un côté nos bouches se trouvent et ma main attrape le système qui permet de tirer les deux fermetures en même temps la dénudant jusqu’à ses seins.
Louise pomme, Mélanie poire, j’ai croqué la pomme hier, je croque ses poires aujourd’hui.
Il est bien connu qu’il faut manger cinq fruits par jour, là je déguste deux d’entre eux en peu de temps.
J’ai conscience de la situation, mais l’orage qui semble stagner au-dessus de nous déversant pluie et grêle en quantité exorbitante nous fait perdre toute retenue.
Elle est nue sous sa cotte comme moi je suis déjà torse nu par cette chaleur ayant ôté ma chemise quand j’ai quitté ma cabine en l’attendant.
Ma bouche saisit sa fraise, tient un troisième fruit, que je mordille alors qu’elle passe sa main entre nous.
Elle se soulève faisant tomber sa cotte me la montrant entièrement nue et épilée.
Comment puis-je dans un tel moment comparer la chatte de cette jeune femme à la chatte d’une femme ayant presque la quarantaine ?
Lèvres charnues pour Mélanie, grandes lèvres qu’il m’a fallu écarter pour atteindre le centre de l’intérêt féminin, son clito.
La coquine semble experte en jeu du sexe, une autre idée que j’efface très vite, mes jumelles !
Pas celles qui me servent à admirer la faune et la flore lorsque je me balade en forêt le dimanche
Celles qui sont à la ferme.
Elles ont presque l’âge ou dans ce temps-là, les parents disaient que nous avions fauté alors que les jeunes générations font l’apprentissage de la vie.
J’ai déjà entendu des Motocyclettes tourner autour de la maison et mes filles sauter sur le porte-bagage une serviette de toilettes autour du cou.
De mon temps nous avions des vélos et de simple bécane faisant un boucan pas possible.
Officiellement tous se rendent à l’étang non loin du bois du Loup.
J’espère que le loup, c’est moi qui le rencontre quand la coquine fait sortir ma bite et qu’elle me fait une fellation.
Tout ça dans un inconfort total, mais qui réalise mes fantasmes les plus fous et que je garde en moi jusqu’à cet orage démentiel.
Mélanie a-t-elle toujours peur ou est-elle une assoiffée de cul comme ils en existaient de mon temps.
Sylvaine en faisait partie, mais elle a fini pute en Italie.
Du moins c’est ce qui se disait à l’époque lorsque l’on a su qu’elle avait fugué avec ce bel italien qui avait fait escale pour quelques jours à l’auberge du village.
Voiture de sport, costume sur mesure, lunettes rabanes américaines, à la mode à cette époque et bronzage de tous les instants.
Là encore évolution alors que mes doigts viennent se perdre dans la fente de la coquine qui mouille énormément.
J’ai des lunettes de vue, hélas, là encore l’âge, qui fonce dès que le soleil se montre.
C’est le cas, là-bas sur les monts morvandiaux, l’orage partant vers Dijon.
On pourrait en rester là, mais la situation et la bouche de Mélanie m’a mis dans un tel état que ce serait gâcher de me laisser comme ça.
C’est un véritable ver de terre qui vient s’empaler sur le dôme de mon plaisir réussissant à se placer les genoux de chaque côté de mon siège.
Comme mes doigts l’avaient senti elle mouille tellement que nous sommes parfaitement emboités.
On dirait que sa chatte est entièrement aux dimensions que ma verge, elle m’embrasse et se met en mouvement.
L’orage est passé, mais c’est la tempête qui se déclenche dans la cabine de mon tracteur.
Louise se donne avec passion, mais elle est battue de deux têtes peut être trois par cette petite salope qui hurle son plaisir quand un orgasme le traverse.
Je suis à deux doigts de décharger, mais quitte à pratiquer l’adultère, ignorant si une autre fois se présenterait dans ma vie, j’arrive à me retenir.
Je l’assieds sur le volant, assez plat dans nos engins et c’est moi qui me contorsionne pour sucer son clito.
Faire jouir ma femme avec ma bouche, ça je suis à mon affaire et Mélanie repart dans des expressions verbales assez crues.
Je sais, je suis un salop, elle une salope, mais je finis par la faire simplement hurler de plaisir quand un nouvel orgasme la submerge.
Un instant j’ai l’envie de sortir à l’extérieur pour mieux la prendre, l’orage étant passé, mais s’il est bon de baiser dans les foins secs, le faire lorsqu’ils sont détrempés serait irraisonnable.
La terre est transformée en boue et c’est dans les films x que les couples baisent dans la boue.
Ici en pleine nature, que dirais-je à ma bergère lorsque de retour à la maison, mon pantalon que je finis par dégrafer en me soulevant le faisant tomber à mes pieds.
Mélanie arrive à se retourner et ce sont ses pieds sur le sol de ma cabine que ses seins coucher sur le volant j’entre de nouveau en elle.
Après cette partie de jambes, non en l’air, je vais être obligé d’aller voir le père François, rebouteux un peu sorcier, de son état, qui devra remettre le bonhomme en état.
Là encore, c’est elle qui manœuvre pour notre plus grand plaisir me portant vers le sommet de notre état et de notre débordement.
Une fois, deux fois, et là trois fois, Mélanie a un orgasme qui nous traverse simultanément.
Mes couilles vidées hier par ma femme se déversent en elle alors que je hurle à mon tour des mots comme...
Excusez, j’étais à deux doigts de tourner de l’œil de plaisir.
Perdre pied, cela arrive, mais les remettre sur terre, c’est bien plus dur.
J’ai pris quelques cuites dans ma vie avec les copains du village, le soir il est facile de boire bière sur bière jusqu’à plus soif.
Le matin, chaque fois, la gueule de bois était là et chaque fois, je me disais plus jamais ça.
Quand j’ouvre la porte du tracteur permettant à Mélanie de sauter à terre avec seulement ses chaussures de sécurité obligatoire dans sa société, je reste quelques secondes hébété assis sur mon siège.
Putain qu’elle est belle, je vois la chance que j’ai eu à lui faire l’amour.
J’ai eu la chance d’être là lors de la chute de Louise finissant par trouvant mon épouse.
Est-ce une chance d’avoir été là alors que cet orage éclatait avec une violence telle que là encore j’étais là pour récupérer la peur de Mélanie.
Sa cotte réajustée, c’est une jeune fille insoucieuse que je vois partir vers le bas du champ de la Fraiche qui semblerait être mon champ aux surprises.
Je finis par remonter mon pantalon et à mon tour sauter au sol.
De retour, la pièce à la main, c’est ensemble que nous changeons ce croisillon source de notre rapprochement.
Je la vois soucieuse.
- Mélanie, tu regrettes déjà ce qui est arrivé ?
- Non, car tu m’as aidé à surmonter ma peur, l’orage était si violent que lorsque je me suis jetée sur toi ça s’est fait naturellement !
Oui, car je suis fiancée et je l’aime pour faire ma vie avec lui !
- Moi aussi, j’ai beaucoup apprécié ce moment et sois sans crainte, je suis marié et j’aime ma femme.
J’ai pu redémarrer mon tracteur, j’ai vu Mélanie redescendre jusqu’à sa voiture, mais c’est deux jours plus tard que je suis venu finir mes meules de foin le temps qu’il sèche.
De retour à ma ferme, nous avons discuté de l’orage et des grands vents en ayant découlé.
Par chance dans ma ferme, rien de grave sauf deux tuiles qui se sont envolées sur l’une des granges.
Je suis obligé de monter et faire l’acrobate pour les remplacer.
- Bonjour Max, pendant mon isolement ma stagiaire a-t-elle été à la hauteur, je sais que tu l’as appelée pour une intervention en urgence !
C’était le jour de l’immense orage qui a dévasté la région ?
Je sens le vent du boulet passé sur ma nuque, Louise est là avec nous.
- Tient tu as oublié de me dire que c’était la stagiaire de Méca Service qui était intervenue mon chéri !
Un deuxième vent passe sur ma nuque.
- Je t’en ai parlé le jour où tu classais les factures mon cœur.
Mais pendant l’orage, j’étais dans mon tracteur en haut du champ de la fraiche alors que je voyais quelqu’un dans la voiture de la société en contrebas près de notre arbre.
J’ai vu que tu étais absent après l’orage et que j’ai vu sa crinière rousse monter vers moi.
Mélanie ayant fini son stage est retournée vers son fiancé, je m’en sors les cuisses propres avant seulement des images plein la tête qui me serviront pour mes vieux jours.
Jacques est intervenu sur ma moissonneuse-batteuse, je tourne la clef de contact, ça démarre, je peux retourner près d’une autre parcelle de l’autre côté de la côte de la fraiche, le blé est bon à récolter.
Heureusement, aucun orage en vue.
Ce sont les mots que prononce Mélanie jeune femme d’une vingtaine d’années venue dépanner mon tracteur dans le champ de la Fraiche.
Il sera dit que ce champ rythmerait ma vie.
La parcelle que j’espérais terminer avant le méga orage qui commence à frapper à tripler depuis une vingtaine d’années suite à des remembrements.
Ces remembrements étaient un échange de parcelles entre propriétaires agricoles et nous permettaient de travailler plus vite les surfaces et le matériel évoluant.
Au moment présent, ces grandes surfaces s’avèrent catastrophiques, car nous nous sommes empressés d’enlever les haies tuant toute une faune et une flore.
Sans être un militant écolo actif, l’orage qui nous atteint est de ceux complètement inutiles après deux mois sans la moindre goutte d’eau.
En dix à quinze minutes, il va tomber des trombes d’eau qui vont ruisseler en pénétrant sur quelques centimètres dans ce sol dur comme du béton.
J’avais une petite parcelle entourant l’arbre toujours présent au bas de la cote du même nom.
C’est là que j’ai rencontré Louise parisienne en vacances chez sa grand-mère.
Nous avons roulé dans le foin avec pour conséquence, quelques semaines plus tard, la visite de ses parents dont le père est huissier de justice à la capitale.
Son ventre s’arrondissait et il voulait que je répare.
Louise acceptant de venir vivre à la campagne, je me suis empressé de dire « Oui ».
Que de collibet, j’ai dû subir, tous mes copains dont certains sont toujours célibataires, les jeunes femmes préférant le confort et les attraits de la ville aux bouses des vaches et au purin.
Depuis, ma vie est toute droite comme la cote de la Fraiche ou en vélo elle la dévalait quand je l’ai vu terminer dans un buisson de suraux.
Trois enfants dont l’un pressé de venir au monde après quelques roulades dans le foin.
Choix du roi après mon fils, ce fut Livia et Jeanne qui sont venues embellir notre ferme.
Je sais le choix du roi, ce sont deux enfants de sexe différent.
Moi je suis le roi de deux et belles jeunes filles dont l’une Livia veut reprendre notre ferme.
Sylvain, mon aîné est un premier de la classe comme l’était sa mère avant qu’elle quitte ses études parisiennes pour venir m’aider quand le temps le permet.
Depuis que les enfants ont grandi, elle a trouvé qu’elle avait du temps libre et j’ai fait installer un poulailler avec des poules élevées en plein air.
Elle produit des œufs bio bien sûr et sa petite affaire roule.
Avec les chèvres qui nous donnent des fromages, comment fait-elle ?
Sylvain fait des études d’ingénieur agronome et Jeanne plus jeune veut devenir astronaute.
Être dans les étoiles, de qui tient-elle, je l’ignore certainement de sa grand-mère parisienne qui est toujours la tête dans les étoiles.
Est-ce le fait qu’elle ait travaillé au moulin rouge.
De temps en temps mes beaux-parents viennent au ravitaillement en fruits et en légumes de notre verger et de notre jardin.
Nous l’entretenons Louise, Livia où moi suivant notre temps libre, mais aussi tous les soirs lorsqu’il faut arroser.
Notre grand plaisir avec ma femme, à la fin de ces journées d’été harassantes, ce sont nos bains comme celui d’hier au soir.
L’hiver dernier, j’ai réalisé le rêve de Louise, bonne élève et future championne de natation quand j’en ai fait ma femme.
Une salle de bain dernier cri, douche à l’italienne lorsque nous sommes pressés et baignoire aussi grande qu’un Jacuzzi, c’est là que je l’ai caressé avant de la prendre comme elle aime être prise.
Depuis cette installation, nous avons repris nos jeux amoureux qui avaient tendance à s’étioler.
Au moment où Mélanie se jette dans mes bras par peur malgré l’espace restreint, loin de moi l’idée de faire l’amour à cette jeune femme même si elle est très jolie.
Je le vois, car lorsque sa poitrine se retrouve sur la mienne, alors qu’un nouvel éclair très proche nous entoure de nouveau, lui faisant pousser un cri, son masque se détache.
D’un côté nos bouches se trouvent et ma main attrape le système qui permet de tirer les deux fermetures en même temps la dénudant jusqu’à ses seins.
Louise pomme, Mélanie poire, j’ai croqué la pomme hier, je croque ses poires aujourd’hui.
Il est bien connu qu’il faut manger cinq fruits par jour, là je déguste deux d’entre eux en peu de temps.
J’ai conscience de la situation, mais l’orage qui semble stagner au-dessus de nous déversant pluie et grêle en quantité exorbitante nous fait perdre toute retenue.
Elle est nue sous sa cotte comme moi je suis déjà torse nu par cette chaleur ayant ôté ma chemise quand j’ai quitté ma cabine en l’attendant.
Ma bouche saisit sa fraise, tient un troisième fruit, que je mordille alors qu’elle passe sa main entre nous.
Elle se soulève faisant tomber sa cotte me la montrant entièrement nue et épilée.
Comment puis-je dans un tel moment comparer la chatte de cette jeune femme à la chatte d’une femme ayant presque la quarantaine ?
Lèvres charnues pour Mélanie, grandes lèvres qu’il m’a fallu écarter pour atteindre le centre de l’intérêt féminin, son clito.
La coquine semble experte en jeu du sexe, une autre idée que j’efface très vite, mes jumelles !
Pas celles qui me servent à admirer la faune et la flore lorsque je me balade en forêt le dimanche
Celles qui sont à la ferme.
Elles ont presque l’âge ou dans ce temps-là, les parents disaient que nous avions fauté alors que les jeunes générations font l’apprentissage de la vie.
J’ai déjà entendu des Motocyclettes tourner autour de la maison et mes filles sauter sur le porte-bagage une serviette de toilettes autour du cou.
De mon temps nous avions des vélos et de simple bécane faisant un boucan pas possible.
Officiellement tous se rendent à l’étang non loin du bois du Loup.
J’espère que le loup, c’est moi qui le rencontre quand la coquine fait sortir ma bite et qu’elle me fait une fellation.
Tout ça dans un inconfort total, mais qui réalise mes fantasmes les plus fous et que je garde en moi jusqu’à cet orage démentiel.
Mélanie a-t-elle toujours peur ou est-elle une assoiffée de cul comme ils en existaient de mon temps.
Sylvaine en faisait partie, mais elle a fini pute en Italie.
Du moins c’est ce qui se disait à l’époque lorsque l’on a su qu’elle avait fugué avec ce bel italien qui avait fait escale pour quelques jours à l’auberge du village.
Voiture de sport, costume sur mesure, lunettes rabanes américaines, à la mode à cette époque et bronzage de tous les instants.
Là encore évolution alors que mes doigts viennent se perdre dans la fente de la coquine qui mouille énormément.
J’ai des lunettes de vue, hélas, là encore l’âge, qui fonce dès que le soleil se montre.
C’est le cas, là-bas sur les monts morvandiaux, l’orage partant vers Dijon.
On pourrait en rester là, mais la situation et la bouche de Mélanie m’a mis dans un tel état que ce serait gâcher de me laisser comme ça.
C’est un véritable ver de terre qui vient s’empaler sur le dôme de mon plaisir réussissant à se placer les genoux de chaque côté de mon siège.
Comme mes doigts l’avaient senti elle mouille tellement que nous sommes parfaitement emboités.
On dirait que sa chatte est entièrement aux dimensions que ma verge, elle m’embrasse et se met en mouvement.
L’orage est passé, mais c’est la tempête qui se déclenche dans la cabine de mon tracteur.
Louise se donne avec passion, mais elle est battue de deux têtes peut être trois par cette petite salope qui hurle son plaisir quand un orgasme le traverse.
Je suis à deux doigts de décharger, mais quitte à pratiquer l’adultère, ignorant si une autre fois se présenterait dans ma vie, j’arrive à me retenir.
Je l’assieds sur le volant, assez plat dans nos engins et c’est moi qui me contorsionne pour sucer son clito.
Faire jouir ma femme avec ma bouche, ça je suis à mon affaire et Mélanie repart dans des expressions verbales assez crues.
Je sais, je suis un salop, elle une salope, mais je finis par la faire simplement hurler de plaisir quand un nouvel orgasme la submerge.
Un instant j’ai l’envie de sortir à l’extérieur pour mieux la prendre, l’orage étant passé, mais s’il est bon de baiser dans les foins secs, le faire lorsqu’ils sont détrempés serait irraisonnable.
La terre est transformée en boue et c’est dans les films x que les couples baisent dans la boue.
Ici en pleine nature, que dirais-je à ma bergère lorsque de retour à la maison, mon pantalon que je finis par dégrafer en me soulevant le faisant tomber à mes pieds.
Mélanie arrive à se retourner et ce sont ses pieds sur le sol de ma cabine que ses seins coucher sur le volant j’entre de nouveau en elle.
Après cette partie de jambes, non en l’air, je vais être obligé d’aller voir le père François, rebouteux un peu sorcier, de son état, qui devra remettre le bonhomme en état.
Là encore, c’est elle qui manœuvre pour notre plus grand plaisir me portant vers le sommet de notre état et de notre débordement.
Une fois, deux fois, et là trois fois, Mélanie a un orgasme qui nous traverse simultanément.
Mes couilles vidées hier par ma femme se déversent en elle alors que je hurle à mon tour des mots comme...
Excusez, j’étais à deux doigts de tourner de l’œil de plaisir.
Perdre pied, cela arrive, mais les remettre sur terre, c’est bien plus dur.
J’ai pris quelques cuites dans ma vie avec les copains du village, le soir il est facile de boire bière sur bière jusqu’à plus soif.
Le matin, chaque fois, la gueule de bois était là et chaque fois, je me disais plus jamais ça.
Quand j’ouvre la porte du tracteur permettant à Mélanie de sauter à terre avec seulement ses chaussures de sécurité obligatoire dans sa société, je reste quelques secondes hébété assis sur mon siège.
Putain qu’elle est belle, je vois la chance que j’ai eu à lui faire l’amour.
J’ai eu la chance d’être là lors de la chute de Louise finissant par trouvant mon épouse.
Est-ce une chance d’avoir été là alors que cet orage éclatait avec une violence telle que là encore j’étais là pour récupérer la peur de Mélanie.
Sa cotte réajustée, c’est une jeune fille insoucieuse que je vois partir vers le bas du champ de la Fraiche qui semblerait être mon champ aux surprises.
Je finis par remonter mon pantalon et à mon tour sauter au sol.
De retour, la pièce à la main, c’est ensemble que nous changeons ce croisillon source de notre rapprochement.
Je la vois soucieuse.
- Mélanie, tu regrettes déjà ce qui est arrivé ?
- Non, car tu m’as aidé à surmonter ma peur, l’orage était si violent que lorsque je me suis jetée sur toi ça s’est fait naturellement !
Oui, car je suis fiancée et je l’aime pour faire ma vie avec lui !
- Moi aussi, j’ai beaucoup apprécié ce moment et sois sans crainte, je suis marié et j’aime ma femme.
J’ai pu redémarrer mon tracteur, j’ai vu Mélanie redescendre jusqu’à sa voiture, mais c’est deux jours plus tard que je suis venu finir mes meules de foin le temps qu’il sèche.
De retour à ma ferme, nous avons discuté de l’orage et des grands vents en ayant découlé.
Par chance dans ma ferme, rien de grave sauf deux tuiles qui se sont envolées sur l’une des granges.
Je suis obligé de monter et faire l’acrobate pour les remplacer.
- Bonjour Max, pendant mon isolement ma stagiaire a-t-elle été à la hauteur, je sais que tu l’as appelée pour une intervention en urgence !
C’était le jour de l’immense orage qui a dévasté la région ?
Je sens le vent du boulet passé sur ma nuque, Louise est là avec nous.
- Tient tu as oublié de me dire que c’était la stagiaire de Méca Service qui était intervenue mon chéri !
Un deuxième vent passe sur ma nuque.
- Je t’en ai parlé le jour où tu classais les factures mon cœur.
Mais pendant l’orage, j’étais dans mon tracteur en haut du champ de la fraiche alors que je voyais quelqu’un dans la voiture de la société en contrebas près de notre arbre.
J’ai vu que tu étais absent après l’orage et que j’ai vu sa crinière rousse monter vers moi.
Mélanie ayant fini son stage est retournée vers son fiancé, je m’en sors les cuisses propres avant seulement des images plein la tête qui me serviront pour mes vieux jours.
Jacques est intervenu sur ma moissonneuse-batteuse, je tourne la clef de contact, ça démarre, je peux retourner près d’une autre parcelle de l’autre côté de la côte de la fraiche, le blé est bon à récolter.
Heureusement, aucun orage en vue.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tu as raison chère lectrice il faut varier un peu...
Tout est bien qui se finit bien , pas de grossesse ou autres.