COLLECTION ADULTÈRE. Esclave d’une première erreur (1/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ADULTÈRE. Esclave d’une première erreur (1/4)
C’est ici qu’il habite et que ça s’est passé.
Pourquoi suis-je passer devant chez lui ce matin en me rendant à mon super-marcher ?
La question est simple donc la réponse aussi, j’ai aimé ce que j’ai fait, j’ai aimé ce que nous avons fait.
Et pourtant, il y a deux jours lorsque Jeff m’a aidé à installer mon stand sur le parking du super-marcher pour la brocante de notre quartier, j’étais loin de penser que le soir même je le cocufierais !
Six heures, il a mis ma table pendant que je déchargeais les objets dont certains pour moi étaient bons pour le rebut, mais qu’il m’avait été dit que pour certain ça avaient de la valeur.
Table et chaise de camping mis, j’ai placé les BD de mon fils dont certaines venaient de Jeff alors qu’il s’est mis à parler avec un homme qui comme moi venait de s’installer à mes côtés.
Jeff m’a aidé avant de partir prendre la route avec les juniors de son club de rugby de notre quartier.
Ils vont pour huit jours au vert comme ils disent en Allemagne dans une auberge de jeunes avant la finale internationale de nos deux provinces.
Je vais être seule une semaine, car il entraîne notre fils William dans cette équipe.
J’ai décidé de continuer le ménage dans le garage et le grenier Solange mon amie doit m’emmener à d’autres brocantes pour écouler tous ces surplus.
Je viens de finir, les places nous étant attribuées.
Faisant partie des organisateurs je vois Solange un peu plus loin.
J’aurais voulu l’avoir comme voisine, mais comme les places sont meilleures les unes où les autres, elle fait partie des privilégiés.
Un homme s’approche de moi, il regarde ce que j’ai à vendre, j’ai des étiquettes de prix, Solange doit venir dès qu’elle est installée m’aider à les placer, car Jeff a descendu quelques objets au dernier moment.
Des livres et une vieille lampe venant de ma grand-mère que j’aurais mieux fait de mettre à la poubelle.
• Combien pour cette lampe ?
Je suis étonnée que cet homme, le mégot éteint à la bouche veuille m’acheter cette horreur.
Solange avait raison, tout se vend dans ces brocantes.
• 10 €, s’il vous plait.
• Je vais être généreux, je vous en offre 50.
• Fiche le camp vieil escroc, sinon j’appelle la police.
• De quoi tu te mêles espèce de vieux con !
• Vieux peut-être, mais con, tu peux te lever de bonne heure.
• Alors 50 on fait affaire !
• Non, je vais attendre, mon amie doit venir me voir, repasser en fin de matinée, je vous la réserve.
Je remets ma lampe dans le panier où j’ai une un thermo de café et un sandwich au jambon.
• Vous avez échappé à un escroc, un du matin dans ce genre de brocante pour des associations ou des œuvres, votre lampe vient de la manufacture de Daum et ça vaut plus de 2 000.
Il connaissait la valeur de votre objet et regardez comme il était magnanime en vous offrant 50 €.
En cinq minutes, il faisait 40 fois la culbute, c’est strictement interdit, si vous connaissez la valeur, en bon professionnel vous devez signaler au vendeur l’erreur qu’il fait.
• Vous habitez dans le quartier, c’est la première fois que je vous vois !
• Oui, il y a moins d’un mois, avant je louais à l’autre bout de la ville et je viens d’hériter de la maison de maman ou j’ai commencé à habiter.
Je dois vous avouer, que si je suis là, c’est pour ressentir les ambiances de brocantes ayant quelques belles pièces à vendre venant de ma succession.
• Mais vous semblez connaitre les objets d’art, vous êtes dans le métier !
• On peut le dire, lorsque j’ai commencé dans la brocante, je faisais comme l’a fait cet homme tout à l’heure, j’achetais au-dessous du prix.
J’ai fait quelques transactions interdites, j’ai été pris et par chance j’ai eu une grosse amende, mais assortie d’une interdiction d’exercer de dix ans.
• Mais si vous êtes pris, vous risquez chère !
• Ce qui est sur ma table, ce sont des objets que je vends, lorsqu’on achète une pièce comme la vôtre, il faut faire deux choses.
Remplir un carnet qui permet de contrôler l’achat et un chèque de paiement qui prouve la transaction.
Je voudrais bien vous acheter cette lampe je peux vous en donner 2 000 €, j’ai des acheteurs peu scrupuleux sur la réglementation pour cette très belle pièce.
Cet argent, je peux vous le donner en liquide, sans trace et vous aurez vendu cette lampe que je sens vous indiffère.
• Vous voulez que j’aille chez vous !
• Soyez, sans crainte, violer les femmes est loin d’être mon fantasme.
Cet argent je l’ai dans mon coffre, je peux vous assurer que vous ferez une excellente affaire.
• Bonjour Chloé, tu arrives à vendre !
• J’ai failli, mais monsieur m’a dit que ma lampe que je pensais vendre à 10 € valait bien plus que ça.
• Victor je voyais bien ma copine parler avec un mec, si j’avais su te revoir sur une brocante, tu t’es dégagé de tes emmerdes.
• Le temps passe Solange et il faut savoir reprendre une vie normale.
Je suis très étonnée mon amie parle avec cet homme comme à une vieille connaissance.
• Je suis revenu pour la mort de maman et je libère quelques-unes de ses affaires pour m’installer.
• Tu aurais pu me prévenir, tu sais que je suis toujours partante !
• J’envisage un truc marrant dans quelques jours, je te ferais signe.
• Merde, une Daume, c’est cette lampe que tu voulais vendre pour 10 €, merci d’avoir aidé mon amie Victor.
Si tu as une offre jusqu’à 1 500 €, tu vends au-dessous tu la gardes.
Je vous laisse, je vois un couple près de mon stand, une belle vente est si vite loupée.
Mon ami s’en va en courant, me laissant seul avec Victor, c’est le nom qu’il m’a donné après que nous soyons installés.
Il semble avoir bien connu Solange, le milieu des brocanteurs est un monde clos.
La journée est longue, les totaux faits, 290 €, presque toutes les BD, bien sûr, sans compter la lampe à 2 000 que je vais récupérer en vendant cette horreur.
Je me vois déjà faisant les boutiques avec Solange qui doit rester après la vente étant dans le groupe des organisateurs.
L’orage monte, des enfants regardent les BD restante avec envies.
• Choisissez-en une chacun, ce sera autant de moins à décharger lorsque je serais à la maison.
• Un dernier conseil, ces chenapans viennent toujours au moment où nous remballons, ils font leur marché à peu de frais.
• Victor, 5 fois 5 €, 25, si je sais encore compter, si je déduis la lampe que j’ai vendu 2 000 € et que tu vas me donner.
Ça vaut le coup de voir le regard de ces enfants lorsqu’ils partent en courant les lires.
• Finissons, je vais t’aider !
Nos voitures que nous avons été recherchés se chargent quand de grosses gouttes commencent à tomber.
Au dernier carton nous sommes trempés, nous montons en voiture sans avoir le temps de lui dire que j’aurais voulu passer chez moi me changer, cette pluie risque de me faire attraper la mort.
Deux kilomètres à 3 de chez moi.
Il se gare sort en courant et je le vois aller ouvrir la porte d’une jolie petite maison que j’avais remarqué me disant qu’il serait plaisant de la posséder chaque fois qu’il m’arrive de passer devant.
Je saisis le panier ou j’ai mis la lampe, Victor avait raison l’escroc a brillé par son absence comme je lui avais proposé en fin de matinée.
L’orage a faibli, mais je suis de nouveau mouillée le temps d’arriver.
• Entre, viens t’assoir dans mon salon, je vais chercher de quoi nous sécher.
Je suis devant le canapé, il part et revient avec serviettes et un peignoir.
Il a lui-même enlevé ses affaires et en porte un aussi.
• Essuie toi et change toi, je vais mettre tes affaires aux sèches linge, ça va t’éviter d’attraper la mort.
Je vois que je suis sur la même longueur d’onde concernant les risques d’attraper la mort, il semble vouloir rester planté devant moi sans respecter ma pudeur.
Il me tend les mains, pour récupérer mon petit short et mon débardeur.
Je commence à avoir froid, je les ôte et je lui donne m’enveloppant dans le peignoir, mais il a le temps de se rincer l’œil lorsque je suis en string mes seins à l’air.
• Assieds-toi, tient j’en ai profité pour prendre ton argent, 20 billets de 100.
• C’est la première fois que j’ai autant d’argent liquide en une seule fois dans mes mains Victor.
Il vient s’assoir à mes côtés et me saisis les billets et mes mains.
• Tu les as bien gagnés, toute la journée lorsque tu te baisais pour chercher dans un carton, je voyais ton joli petit cul se trémousser devant mes yeux.
Tient prend ce whisky, ça va te réchauffer, en plus, tu viens de me montrer tes très beaux seins.
C’est là que ça dérape, peut être le whisky que je bois rarement.
• Mes seins, ils sont trop gros, j’envisage de les faire diminuer par chirurgie esthétique.
• Une folle, j’ai rencontré une folle, montre-moi, ouah ! ils sont magnifiques, lourds dans la main, une vraie merveille.
Ça dérape, car il a ouvert mon peignoir et me caresse les seins, mes pointes s’érigent d’un coup réagissant à ses doigts et à sa bouche qui vient se poser dessus de manière alternative.
C’est lui ou moi qui écarte les pans de son peignoir et qui saisis sa verge en me traitant de folle, j’ai toujours été fidèle à Jeff et hier avant son départ nous avons fait l’amour.
C’est lui ou moi qui baisse la tête et qui la fais entrer dans ma bouche.
Suis-je frustré de fellations ?
Non, hier j’ai sucé Jeff.
Alors pourquoi je me laisse faire ?
J’ai une réponse, je suis une salope...
Pourquoi suis-je passer devant chez lui ce matin en me rendant à mon super-marcher ?
La question est simple donc la réponse aussi, j’ai aimé ce que j’ai fait, j’ai aimé ce que nous avons fait.
Et pourtant, il y a deux jours lorsque Jeff m’a aidé à installer mon stand sur le parking du super-marcher pour la brocante de notre quartier, j’étais loin de penser que le soir même je le cocufierais !
Six heures, il a mis ma table pendant que je déchargeais les objets dont certains pour moi étaient bons pour le rebut, mais qu’il m’avait été dit que pour certain ça avaient de la valeur.
Table et chaise de camping mis, j’ai placé les BD de mon fils dont certaines venaient de Jeff alors qu’il s’est mis à parler avec un homme qui comme moi venait de s’installer à mes côtés.
Jeff m’a aidé avant de partir prendre la route avec les juniors de son club de rugby de notre quartier.
Ils vont pour huit jours au vert comme ils disent en Allemagne dans une auberge de jeunes avant la finale internationale de nos deux provinces.
Je vais être seule une semaine, car il entraîne notre fils William dans cette équipe.
J’ai décidé de continuer le ménage dans le garage et le grenier Solange mon amie doit m’emmener à d’autres brocantes pour écouler tous ces surplus.
Je viens de finir, les places nous étant attribuées.
Faisant partie des organisateurs je vois Solange un peu plus loin.
J’aurais voulu l’avoir comme voisine, mais comme les places sont meilleures les unes où les autres, elle fait partie des privilégiés.
Un homme s’approche de moi, il regarde ce que j’ai à vendre, j’ai des étiquettes de prix, Solange doit venir dès qu’elle est installée m’aider à les placer, car Jeff a descendu quelques objets au dernier moment.
Des livres et une vieille lampe venant de ma grand-mère que j’aurais mieux fait de mettre à la poubelle.
• Combien pour cette lampe ?
Je suis étonnée que cet homme, le mégot éteint à la bouche veuille m’acheter cette horreur.
Solange avait raison, tout se vend dans ces brocantes.
• 10 €, s’il vous plait.
• Je vais être généreux, je vous en offre 50.
• Fiche le camp vieil escroc, sinon j’appelle la police.
• De quoi tu te mêles espèce de vieux con !
• Vieux peut-être, mais con, tu peux te lever de bonne heure.
• Alors 50 on fait affaire !
• Non, je vais attendre, mon amie doit venir me voir, repasser en fin de matinée, je vous la réserve.
Je remets ma lampe dans le panier où j’ai une un thermo de café et un sandwich au jambon.
• Vous avez échappé à un escroc, un du matin dans ce genre de brocante pour des associations ou des œuvres, votre lampe vient de la manufacture de Daum et ça vaut plus de 2 000.
Il connaissait la valeur de votre objet et regardez comme il était magnanime en vous offrant 50 €.
En cinq minutes, il faisait 40 fois la culbute, c’est strictement interdit, si vous connaissez la valeur, en bon professionnel vous devez signaler au vendeur l’erreur qu’il fait.
• Vous habitez dans le quartier, c’est la première fois que je vous vois !
• Oui, il y a moins d’un mois, avant je louais à l’autre bout de la ville et je viens d’hériter de la maison de maman ou j’ai commencé à habiter.
Je dois vous avouer, que si je suis là, c’est pour ressentir les ambiances de brocantes ayant quelques belles pièces à vendre venant de ma succession.
• Mais vous semblez connaitre les objets d’art, vous êtes dans le métier !
• On peut le dire, lorsque j’ai commencé dans la brocante, je faisais comme l’a fait cet homme tout à l’heure, j’achetais au-dessous du prix.
J’ai fait quelques transactions interdites, j’ai été pris et par chance j’ai eu une grosse amende, mais assortie d’une interdiction d’exercer de dix ans.
• Mais si vous êtes pris, vous risquez chère !
• Ce qui est sur ma table, ce sont des objets que je vends, lorsqu’on achète une pièce comme la vôtre, il faut faire deux choses.
Remplir un carnet qui permet de contrôler l’achat et un chèque de paiement qui prouve la transaction.
Je voudrais bien vous acheter cette lampe je peux vous en donner 2 000 €, j’ai des acheteurs peu scrupuleux sur la réglementation pour cette très belle pièce.
Cet argent, je peux vous le donner en liquide, sans trace et vous aurez vendu cette lampe que je sens vous indiffère.
• Vous voulez que j’aille chez vous !
• Soyez, sans crainte, violer les femmes est loin d’être mon fantasme.
Cet argent je l’ai dans mon coffre, je peux vous assurer que vous ferez une excellente affaire.
• Bonjour Chloé, tu arrives à vendre !
• J’ai failli, mais monsieur m’a dit que ma lampe que je pensais vendre à 10 € valait bien plus que ça.
• Victor je voyais bien ma copine parler avec un mec, si j’avais su te revoir sur une brocante, tu t’es dégagé de tes emmerdes.
• Le temps passe Solange et il faut savoir reprendre une vie normale.
Je suis très étonnée mon amie parle avec cet homme comme à une vieille connaissance.
• Je suis revenu pour la mort de maman et je libère quelques-unes de ses affaires pour m’installer.
• Tu aurais pu me prévenir, tu sais que je suis toujours partante !
• J’envisage un truc marrant dans quelques jours, je te ferais signe.
• Merde, une Daume, c’est cette lampe que tu voulais vendre pour 10 €, merci d’avoir aidé mon amie Victor.
Si tu as une offre jusqu’à 1 500 €, tu vends au-dessous tu la gardes.
Je vous laisse, je vois un couple près de mon stand, une belle vente est si vite loupée.
Mon ami s’en va en courant, me laissant seul avec Victor, c’est le nom qu’il m’a donné après que nous soyons installés.
Il semble avoir bien connu Solange, le milieu des brocanteurs est un monde clos.
La journée est longue, les totaux faits, 290 €, presque toutes les BD, bien sûr, sans compter la lampe à 2 000 que je vais récupérer en vendant cette horreur.
Je me vois déjà faisant les boutiques avec Solange qui doit rester après la vente étant dans le groupe des organisateurs.
L’orage monte, des enfants regardent les BD restante avec envies.
• Choisissez-en une chacun, ce sera autant de moins à décharger lorsque je serais à la maison.
• Un dernier conseil, ces chenapans viennent toujours au moment où nous remballons, ils font leur marché à peu de frais.
• Victor, 5 fois 5 €, 25, si je sais encore compter, si je déduis la lampe que j’ai vendu 2 000 € et que tu vas me donner.
Ça vaut le coup de voir le regard de ces enfants lorsqu’ils partent en courant les lires.
• Finissons, je vais t’aider !
Nos voitures que nous avons été recherchés se chargent quand de grosses gouttes commencent à tomber.
Au dernier carton nous sommes trempés, nous montons en voiture sans avoir le temps de lui dire que j’aurais voulu passer chez moi me changer, cette pluie risque de me faire attraper la mort.
Deux kilomètres à 3 de chez moi.
Il se gare sort en courant et je le vois aller ouvrir la porte d’une jolie petite maison que j’avais remarqué me disant qu’il serait plaisant de la posséder chaque fois qu’il m’arrive de passer devant.
Je saisis le panier ou j’ai mis la lampe, Victor avait raison l’escroc a brillé par son absence comme je lui avais proposé en fin de matinée.
L’orage a faibli, mais je suis de nouveau mouillée le temps d’arriver.
• Entre, viens t’assoir dans mon salon, je vais chercher de quoi nous sécher.
Je suis devant le canapé, il part et revient avec serviettes et un peignoir.
Il a lui-même enlevé ses affaires et en porte un aussi.
• Essuie toi et change toi, je vais mettre tes affaires aux sèches linge, ça va t’éviter d’attraper la mort.
Je vois que je suis sur la même longueur d’onde concernant les risques d’attraper la mort, il semble vouloir rester planté devant moi sans respecter ma pudeur.
Il me tend les mains, pour récupérer mon petit short et mon débardeur.
Je commence à avoir froid, je les ôte et je lui donne m’enveloppant dans le peignoir, mais il a le temps de se rincer l’œil lorsque je suis en string mes seins à l’air.
• Assieds-toi, tient j’en ai profité pour prendre ton argent, 20 billets de 100.
• C’est la première fois que j’ai autant d’argent liquide en une seule fois dans mes mains Victor.
Il vient s’assoir à mes côtés et me saisis les billets et mes mains.
• Tu les as bien gagnés, toute la journée lorsque tu te baisais pour chercher dans un carton, je voyais ton joli petit cul se trémousser devant mes yeux.
Tient prend ce whisky, ça va te réchauffer, en plus, tu viens de me montrer tes très beaux seins.
C’est là que ça dérape, peut être le whisky que je bois rarement.
• Mes seins, ils sont trop gros, j’envisage de les faire diminuer par chirurgie esthétique.
• Une folle, j’ai rencontré une folle, montre-moi, ouah ! ils sont magnifiques, lourds dans la main, une vraie merveille.
Ça dérape, car il a ouvert mon peignoir et me caresse les seins, mes pointes s’érigent d’un coup réagissant à ses doigts et à sa bouche qui vient se poser dessus de manière alternative.
C’est lui ou moi qui écarte les pans de son peignoir et qui saisis sa verge en me traitant de folle, j’ai toujours été fidèle à Jeff et hier avant son départ nous avons fait l’amour.
C’est lui ou moi qui baisse la tête et qui la fais entrer dans ma bouche.
Suis-je frustré de fellations ?
Non, hier j’ai sucé Jeff.
Alors pourquoi je me laisse faire ?
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