COLLECTION ADULTÈRE. Esclave d’une première erreur (2/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ADULTÈRE. Esclave d’une première erreur (2/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ADULTÈRE. Esclave d’une première erreur (2/4)
C’est ici qu’il habite et que ça s’est passé.
Pourquoi suis-je passer devant chez lui ce matin en me rendant à mon super-marcher ?

J’ai la réponse à cette question en ce moment même.
Je suis une salope, car je suis loin d’avoir des récriminations pour Jeff, mon mari.
Il est parti avec mon fils en Allemagne pour un tournoi de rugby international junior ou joue mon fils entraîné par son père.
Pourquoi dis-je cela ?
À plusieurs titres, j’ai fait l’amour avec mon mari hier avant son départ et nous le faisons à chaque fois que nous en avons envie.
Certes, depuis la naissance de William, j’ai dû freiner mes envolées lyriques quand je jouissais, notre fils dormant dans la chambre voisine.
La fellation que je commence à pratiquer sur la verge de Victor, là encore, hier comme toutes les fois, j’ai sucé Jeff.
Le whisky qu’il m’a offert et qui, certes, en petite dose, sentant mon sang commencer à s’échauffer.

• Suce ma belle, tu vois, lorsque tu avais peur de venir chez moi et que je te viole, c’est de toi-même que tu as pris ma verge dans ta jolie bouche, tu es une belle salope.

Il a raison, mais maman m’a appris à éviter de parler la bouche pleine, mais c’est un poncif.
Mais je dois être réaliste, lorsque j’étais jeune, je me demandais comment une femme, voire un homme, pouvait sucer des queues.
Jeff, sans être macho aimant que je lui fasse des pipes, au début je m’y suis contrainte et maintenant je devance l’appel chaque fois.
Je pourrais l’écrire en gros, mais mes mains se sont portées sur le sexe qu’il m’est offert ou que je me suis offert et il m’est impossible de changer de taille d’écriture.
« Salope », je le reconnais lorsque je le libère, que je me laisse aller en arrière et qu’avec délice, je lui présente ma chatte blonde parfaitement taillée.
Je la taille tous les jours dans mon bain, c’est un moment privilégié pour moi lorsque je suis seule, mari et fils parti soit au travail soit à son lycée, il est en terminale.
Mon bain, ou j’aime me servir de la puissance du jet de la douche pour gueuler un bon coup lorsque l’eau m’amène au plaisir.
Quand je vois sa bouche s’approcher de ma vulve offerte, je dois constater que j’attends beaucoup de plaisir, même si Jeff m’a fait le même cunnilingus lors de nos rapports hier.
Je découvre que chacun d’entre eux a sa méthode personnelle.
Jeff met sa langue en pointe et s’en sert comme d’une petite bite.
Victor me lève les jambes m’offrant de manière bien impudique, je suis légèrement coincée et me passe sa langue de mon anus à mon clito.
Chaque fois qu’elle le quitte, je me sens frustré jusqu’à ce qu’elle revienne jusqu’à me faire éclater de plaisir.
Ce relevant légèrement, c’est à ce moment que Jeff devient intégralement cocu.
Il glisse en moi d’une seule poussée.
Je suis à deux doigts de comparer cette pénétration à celle de mon mari ;mais je m’envole, je vole, je vole, je vole.

• Ben dit donc, toi quand tu jouis, tu jouis.
Tu hurlais à faire fuir toutes les souris de ma cave, j’ai cru que tu allais tourner de l’œil.

Je venais de retrouver mes premiers instincts femelles avant la naissance de William ou chez nous j’exprimais tout le plaisir que je prenais.

• Oh ! toi ce que tu me fais faire.
• C’est qu’un début, je vais faire de toi une belle salope.

C’est sur cette promesse que j’étais sûr d’oublier dès que je serais rentrée chez moi que je le quitte ma chatte rassasiée, d’avoir hurlé mon plaisir m’ayant vidé de vouloir recommencer.
De retour chez moi, je jette les billets sur mon lit, je me dénude et je vais sous ma douche.
Économisez l’eau, disent-ils, moi c’est pendant un temps infini que je la laisse couler sur moi.
Je passe mes doigts dans ma chatte, quelle conne, certes, j’ai joui comme du temps de ma jeunesse, mais j’ai un goût amer dans ma bouche d’avoir trompé Jeff et un peu mon fils.

Ça fait deux jours que je suis rentrée, deux jours à osciller entre recommencer ou rester chaste et redevenir celle que j’étais avant cette brocante.
Je suis seule devant mon dilemme, mais il faut manger et c’est là que je reviens au début de mon histoire ou je me rends à mon super-marcher.
Ma voiture me conduit devant chez Victor, mais dans un sursaut de lucidité, dès le retour de Jeff et William, ma vie va être un enfer me partageant entre couple et amant.
J’arrive au super-marcher.
J’ai mis quelques fruits et légumes dans mon caddy, ils nous disent d’économiser l’eau, mais aussi de manger cinq fruits et légumes, lorsque je percute un homme au détour d’une travée.

• Bonjour Chloé, le monde est petit, je pensais justement à toi, tu es toujours aussi croquante, j’ai envie d’une bonne fellation.
Ma voiture est dans un coin du parking un peu retiré suit moi, je suis sûr que tu en meures d’envie.
• Laisse-moi, j’ai eu un moment de faiblesse et je vais reprendre le droit chemin.
• Le droit chemin il passe par ma voiture très jolie salope !
• Que vas-tu me faire pour que j’aille jusqu’à elle, me tirer par les cheveux ?

Sans aucun scrupule, il se met à hurler autant que j’ai hurlé chez lui.

• Messieurs dames, madame me propose...
• Viens, finissons-en, allons à ta voiture, inutile que tous ici sache que je suis une salope.

Je voulais reprendre ma vie dans le droit chemin bien que mon passage devant sa maison soit loin de prouver que ma décision était définitive.
« Sortie sans achat »Font du parking, nous prenons place, il baisse son pantalon sortant sa verge qui m’a fait hurler de plaisir.

• Descend ton short, tu en as toute une panoplie, tu as raison, ton cul va très bien avec ce genre de vêtement, suce !

Quelle salope, lorsque nous sommes sorties du magasin, nous sommes passés devant ma voiture et mes clefs qui sont dans mon sac étaient facile à récupérer.
Il suffisait que j’ouvre ma portière et que je détalle, mais Victor a pris emprise sur moi, je suis contente que ma bouche retrouve sa verge.

• Je m’excuse de t’avoir un peu brusquée dans le magasin, mais je voulais te montrer ta vraie nature, tu fais partie de ces salopes qui s’ignorent.
Tu pompes comme une reine, je passe mon doigt dans ta raie remontant jusqu’à ton clito, il bande et il coule, mon doigt est trempé.

Je masturbe mon amant en même temps que je le suce et qu’il me doigte.
Pour la première fois, un homme entre dans mon cul, ces pratiques sodomites, Jeff m’a clairement fait comprendre qu’il y est opposé.
Pourtant, ces pratiques j’aurais bien aimé les explorer avec lui comme nous l’avons fait dans notre jeunesse ou ensemble nous nous sommes dépucelées.
J’étais ce que l’on appelle une fille pure lorsque nous nous sommes découvert un amour infini pour l’un et l’autre.
C’était dans un village du Massif central, que nous vivions.
Depuis la maternelle jusqu’au lycée, nous nous côtoyons jusqu’au bac ou nous nous sommes retrouvés cent jours avant déguisé lui en Bob l’éponge et moi en petite fée clochette.
Il a ri de mes ailes et nous offrions des bombons aux automobilistes contre quelques pièces pour nous faire un resto.
Une voiture s’est arrêtée, il y avait trois garçons, le chauffeur a ouvert sa fenêtre.
Je pensais lui donner un bonbon et lui une pièce lorsque j’ai cru qu’il cherchait son porte-monnaie, mais c’est sa queue qu’il a sortie.
J’en avais vu en cours de science sur la nature humaine, c’était la première fois que j’en voyais une réelle et très près de mes yeux.
J’évite de dire ce qu’il m’a dit bien que ce soit exactement ce que je fais à Victor au fond de ce parking de notre super-marcher.
Jeff l’a vu et a mis un grand coup de tatane dans la portière.
Étant trois, j’ai cru qu’ils allaient descendre et qu’il allait prendre une branlée.
Branlée en suçant avec ma main, c’est ce que je fais à Victor.
Bref, ils ont démarré et à partir de ce moment Bob l’éponge est devenue mon chevalier blanc.
C’est le soir de notre bac que nous nous sommes donné l’un à l’autre lors de la fête où nous participions avec l’argent ramassé le jour de notre rencontre, plutôt de notre rapprochement.
C’est dans la voiture de beau-papa Jeff venant d’avoir son permis que tout à nos cœurs débordant d’amour l’un pour l’autre que nous avons oublié le slogan rabâché partout, « sortez couvert. ».
Nous étions tellement découverts que William a sonné à ma porte.
C’est ce que je dirais la queue basse loin de celle de Victor que j’ai en bouche, toujours son doigt dans mon cul, qu’il est venu demander à mon père qu’il puisse m’épouser.
Maman bigote à ses heures semblait enchantée d’avoir un petit enfant à élever pendant que je finissais mes études.
Papa bourru comme à son habitude, trop content que Jeff assume sa paternité s’est vite calmé se retrouvant rapidement devant un match de rugby.
Je m’en souviens bien, s’était lors de la tournée de l’équipe de France de fin de saison en Nouvelle Zélande l’une des rares fois où nous avions gagné.
Comme je l’ai dit au début, William est né et jusque-là j’étais assez expansive en amour.
Lorsque Victor me remplit la bouche de sperme me tenant la tête évitant que je puisse m’échapper, j’avale une nouvelle fois, impossible de parler la bouche pleine.
Avec regret, j’ai senti son doigt quitter ma rosette pour que ses mains m’appuient sur ma tête.

• Putain, tu es bonne Chloé, à la brocante lorsque nous nous sommes parlé Jeff, il m’a dit qu’il partait vers l'Allemagne jusque dans la nuit de dimanche à lundi.
Samedi soir, je réunis quelques amis, étant seule, je suis sûr que tu auras plaisir à nous rejoindre, tu verras tu t’éclateras je te le promets.

Je quitte mon amant, il me crie, 21 h 30, au moment où je quitte sa voiture remontant mon short.
Une mémé chargeant dans son coffre doit comprendre que je viens de me faire baiser, me regarde avec un brin d’envie.
Je file à ma voiture, laissant le caddy dans l’allée lorsque j’ai rencontré Victor.
Je file chez moi en route directe, je mangerais des sardines bien décidées à rester chez moi samedi soir, j’ai assez fait de conneries avec les risques pris pour mon couple.
Mais combien de femmes disent, « plus jamais ça, » pourquoi échapperais-je à cela !...

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