COLLECTION ADULTÈRE. Esclave d’une première erreur (3/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ADULTÈRE. Esclave d’une première erreur (3/4)
Cette fois, c’est loin d’être ma faute !
La première fois chez Victor, il lui a été facile de faire de moi sa maîtresse.
Certes, la pluie ayant détrempé mes vêtements m’ayant obligé à me dénuder pour qu’il les place dans son séchoir ont été déterminants dans mon abandon.
J’ai lu des histoires ou des femmes justifient leur infidélité pour divers motifs tous plus valables les uns que les autres.
Pour ma part, rien de tout ça, Victor pourrait être mieux monté que mon mari.
Je peux dire didite entre eux, même calibre, même façon de me faire l’amour.
Un seul détail, chez Victor, contrairement à chez moi, je peux hurler mon plaisir chose impossible dans notre logement à cause de William, mon fils, couchant depuis sa naissance dans la pièce voisine.
J’aurais pu en rester là, mais je suis dans l’obligation d’aller faire des courses au super-marcher.
Certes, je me dévie légèrement pour passer devant chez mon amant étant à deux doigts de m’arrêter.
Heureusement, un moment de lucidité me fait accélérer évitant de succomber.
Chance ou pas chance, c’est dans une allée du magasin que je tombe sur lui, mais il manque de tact en me proposant de rejoindre sa voiture pour que je le suce.
Pour me convaincre de le suivre, c’est d’une voix forte que je comprends qu’il va claironner à tout le monde que je suis une salope.
Alors, je le suis sur le parking passant même tout près de la voiture.
J’ai laissé mon caddy avec quelques courses, mais j’ai mon sac en main et mes clefs à porter.
Pourtant, je baisse mon short lorsqu’il ouvre sa braguette sortant ce morceau qui m’a donné bien du plaisir.
Lorsque j’ai fini ma fellation alors que pour la première fois il me met un doigt dans le cul.
Sachant que Jeff sera de retour dimanche prochain, m’invite à ce qu’il semble être une partouse dans la maison de sa mère dont il vient d’hériter.
Nous sommes vendredi, ma résolution est prise, j’ai fauté une première fois, une deuxième sur le parking, je suis une femme fidèle, pardon, j’étais une femme fidèle et je tends à le redevenir.
Ça c’est vendredi lorsque je me couche.
Mais ma chatte me rattrape, je connais bien cette sensation de manque, ça m’est arrivé une fois depuis le début de mon mariage.
En entrainant ses jeunes, l’un d’eux a plaqué Jeff lui cassant quatre côtes, quinze jours la poitrine bandée, quinze jours où j’ai fait rideau.
Au bout de huit jours, j’ai bien essayé de l’enfourcher, mais lorsque nous faisons l’amour nos mouvements, nous échappe et j’ai eu la malencontreuse idée de poser ma main sur son torse.
C’est lui qui a crié, non hurlé, me mettant dans une situation que j’avais essayé d’éviter toute ma vie depuis la naissance de William.
L’ouverture de la porte de notre chambre par mon fils croyant que son père était tombé, m’a mise dans un moment de panique ou tout y est passée.
La bite de Jeff flamboyante car lui aussi était en manque, mais ma chatte que je lui ai présentée.
Il s’est excusé et a détalé comme un voleur, résultat de l’exercice, une côte presque consolidée déplacée et une temps d’attente renouvelé.
Je me masturbais dans mon bain revenant à des lustres en arrière avant de connaître la bite de Jeff.
Samedi matin, j’ai enfin réussi à m’endormir, lorsque les éboueurs ont fait le bruit que font tous les éboueurs en vidant les poubelles.
Peut-être que s’ils m’avaient laissé dormir, ma résolution du soir de rester à la maison aurait été ma décision enfin raisonnée.
Mais je me pomponne et mettant mon petit short en cuir, ma clef de contact tourne toute seule afin de démarrer ma voiture.
• Chloé, j’étais sûr que tu viendrais, viens, tu es la dernière, tous sont dans le jardin sur l’arrière.
Je vois un sac à main sur le guéridon, j’ai l’impression d’avoir déjà vu le même de nombreuses fois.
Je suis bête, il y avait le même au super-marcher, je l’avais regardé, mais les anses étaient trop grandes, je l’avais laissé.
Je pose mon sac et je suis mon suborneur vers mon nouveau destin.
Quatre hommes et une femme, que je vois de dos, joli petit cul, dans une guêpière rose, lorsqu’elle se retourne, je comprends pourquoi ce sac je le connais.
Solange est là, seule femme avant mon arrivée avec ces mâles par chance tous en parfaite tenue.
Le sac, elle l’avait acheté et je l’avais vu depuis à son bras.
• Je me doutais que c’était toi qui devais arriver lorsque Victor nous a dit avoir rencontré une belle salope.
Vous ayant vu partir sous le déluge, je savais qu’il saurait t’attirer dans ses filets, ça été de même pour moi.
Lorsqu’elle s’est retournée, ses seins ont sauté à mon visage, sa guêpière dégageait ses fesses, mais aussi ses seins sans soutien.
Sa chatte aussi était dégagée, s’était impudique surtout en présence de ces trois hommes.
Non, dans les trois un jeune garçon blond à côté d’un autre garçon aussi blond que lui, mais bien plus vieux, son frère ou son père, son père.
• Solange, peux-tu me dire, comment tu es là, je sais que tu es divorcée et que tu es donc une femme libre, mais de là à être ici.
Elle éclate de rire.
• Ma chérie, c’est toi une femme mariée qui profite de l’absence de son fils et son mari pour venir s’encanailler qui va le faire la morale.
Sache que si j’ai divorcé c’est après avoir rencontré Victor lors de brocantes.
Nous sommes devenus amant comme toi avec lui la semaine dernière.
Nous avons un peu baisé, mais surtout beaucoup trafiqué, jusqu’à ce que nous nous fassions prendre.
C’est Sylvain mon mari qui nous a donné pour se venger de son cocufiage.
Victor a été grand homme et a tout pris sur son dos, amende et interdiction d’exercer ont été sa sanction.
Lorsque je l’ai revu près de toi, j’ai su que les bons moments étaient de retour et à son invitation je suis ici.
Je suis décontenancé, mais Victor sentant ce moment de tension a repris la main.
• Merci Solange, mais nous sommes là pour faire la fête, la maison a deux chambres à l’étage, le salon et ce jardin, mesdames, j’ai un cadeau à vous faire.
J’aime les cadeaux, mais de la part de Victor, le doute m’assaille.
• Ce beau jeune homme s’appelle Christophe, son père Jérôme, il a dix-huit ans et est puceau.
Aujourd’hui c’est son anniversaire et en cadeau je lui ai promis une salope qui le déniaiserait.
Mesdames, voici deux allumettes de taille identique de mes doigts, la plus courte aura le plaisir d’être la première.
Il va sans dire, que je gagne le gros lot, me plongeant un peu plus dans un monde de luxure.
Je peux me sauver, faire l’amour avec un garçon de l’âge de mon fils, cela semble irréel.
• Viens pour une première fois, il faut de l’intimité, Victor nous montons dans une de tes chambres.
• Tu as gagné, je m’occupe de Victor et de Jérôme.
Je me rends compte que Solange est une pointure côté sexe, se faire deux hommes jamais au plus profond de ma mémoire, deux hommes s’occupant de moi un tel fantasme m’est venu.
Lorsque je monte les marches, mon puceau à la main, je repense à William, a-t-il déjà connu le sexe d’une femme ?
Jeune, vieille, c’est moi qui suis vieille à l’évocation de l’âge de fils, me renvoyant à ma propre première fois.
• Soit sans crainte, ça arrive souvent au garçon la première fois lorsqu’une femme lui touche la queue pour la première fois.
Tu as expurgé ton trop-plein d’adrénaline, nous allons recommencer en prenant notre temps.
Un beau gosse comme toi, je suis sûr que dans moins de cinq minutes, tu rebandes.
Trois, voire trois et demi lorsqu’il s’allonge sur le lit et que je le masturbe et que j’ai sa bite en bouche.
Mesdemoiselles qui oriez la chance de le rencontrer, vous serez la seconde, je serais celle à qui il pensera toute sa vie, mais vous verrez qu’un tel engin pour vous sera une chance extraordinaire.
Il est encore en pleine croissance et elle est phénoménale.
Et je gueule, gueule, gueule lorsque ayant ôté mes affaires, il me plante d’un coup précis.
Évitons de repenser à mon fils, lorsqu’il décharge je gueule encore, ici je le peux, même si je selle mon destin de femme adulaire.
• Merci, j’ai la chance d’avoir rencontré une femme comme toi, je regarde des pornos depuis l’âge de mes quatorze ans.
J’ai un fantasme que je voudrais que tu m’aides à réaliser.
• Un fantasme, il faut toujours les réaliser sinon tu risques de rester frustrer toute ta vie, dis-moi, nous allons le faire.
• Je voudrais te fister !
Quesaco, de quoi me parle-t-il, des pornos sur la chaine payante, j’en ai vu avec Jeff.
J’ai vu des sodomies, tiens, il faudra que j’essaye un jour, je voudrais éviter de mourir idiote, mais fister, jamais entendu parlé.
Des lesbiennes, une image me vient, Solange, serais-je capable de faire ce qu’elles faisaient ensemble avec elle ?
Des femmes enceintes faisant l’amour avec leur amant, je suis couverte lorsque nous venons de baiser avec Christophe, aucun risque que William est un petit frère.
Alors, fister, j’ai peut-être pris des risques.
• Allonge-toi, je vais prendre du gel dans la poche de mon pantalon...
La première fois chez Victor, il lui a été facile de faire de moi sa maîtresse.
Certes, la pluie ayant détrempé mes vêtements m’ayant obligé à me dénuder pour qu’il les place dans son séchoir ont été déterminants dans mon abandon.
J’ai lu des histoires ou des femmes justifient leur infidélité pour divers motifs tous plus valables les uns que les autres.
Pour ma part, rien de tout ça, Victor pourrait être mieux monté que mon mari.
Je peux dire didite entre eux, même calibre, même façon de me faire l’amour.
Un seul détail, chez Victor, contrairement à chez moi, je peux hurler mon plaisir chose impossible dans notre logement à cause de William, mon fils, couchant depuis sa naissance dans la pièce voisine.
J’aurais pu en rester là, mais je suis dans l’obligation d’aller faire des courses au super-marcher.
Certes, je me dévie légèrement pour passer devant chez mon amant étant à deux doigts de m’arrêter.
Heureusement, un moment de lucidité me fait accélérer évitant de succomber.
Chance ou pas chance, c’est dans une allée du magasin que je tombe sur lui, mais il manque de tact en me proposant de rejoindre sa voiture pour que je le suce.
Pour me convaincre de le suivre, c’est d’une voix forte que je comprends qu’il va claironner à tout le monde que je suis une salope.
Alors, je le suis sur le parking passant même tout près de la voiture.
J’ai laissé mon caddy avec quelques courses, mais j’ai mon sac en main et mes clefs à porter.
Pourtant, je baisse mon short lorsqu’il ouvre sa braguette sortant ce morceau qui m’a donné bien du plaisir.
Lorsque j’ai fini ma fellation alors que pour la première fois il me met un doigt dans le cul.
Sachant que Jeff sera de retour dimanche prochain, m’invite à ce qu’il semble être une partouse dans la maison de sa mère dont il vient d’hériter.
Nous sommes vendredi, ma résolution est prise, j’ai fauté une première fois, une deuxième sur le parking, je suis une femme fidèle, pardon, j’étais une femme fidèle et je tends à le redevenir.
Ça c’est vendredi lorsque je me couche.
Mais ma chatte me rattrape, je connais bien cette sensation de manque, ça m’est arrivé une fois depuis le début de mon mariage.
En entrainant ses jeunes, l’un d’eux a plaqué Jeff lui cassant quatre côtes, quinze jours la poitrine bandée, quinze jours où j’ai fait rideau.
Au bout de huit jours, j’ai bien essayé de l’enfourcher, mais lorsque nous faisons l’amour nos mouvements, nous échappe et j’ai eu la malencontreuse idée de poser ma main sur son torse.
C’est lui qui a crié, non hurlé, me mettant dans une situation que j’avais essayé d’éviter toute ma vie depuis la naissance de William.
L’ouverture de la porte de notre chambre par mon fils croyant que son père était tombé, m’a mise dans un moment de panique ou tout y est passée.
La bite de Jeff flamboyante car lui aussi était en manque, mais ma chatte que je lui ai présentée.
Il s’est excusé et a détalé comme un voleur, résultat de l’exercice, une côte presque consolidée déplacée et une temps d’attente renouvelé.
Je me masturbais dans mon bain revenant à des lustres en arrière avant de connaître la bite de Jeff.
Samedi matin, j’ai enfin réussi à m’endormir, lorsque les éboueurs ont fait le bruit que font tous les éboueurs en vidant les poubelles.
Peut-être que s’ils m’avaient laissé dormir, ma résolution du soir de rester à la maison aurait été ma décision enfin raisonnée.
Mais je me pomponne et mettant mon petit short en cuir, ma clef de contact tourne toute seule afin de démarrer ma voiture.
• Chloé, j’étais sûr que tu viendrais, viens, tu es la dernière, tous sont dans le jardin sur l’arrière.
Je vois un sac à main sur le guéridon, j’ai l’impression d’avoir déjà vu le même de nombreuses fois.
Je suis bête, il y avait le même au super-marcher, je l’avais regardé, mais les anses étaient trop grandes, je l’avais laissé.
Je pose mon sac et je suis mon suborneur vers mon nouveau destin.
Quatre hommes et une femme, que je vois de dos, joli petit cul, dans une guêpière rose, lorsqu’elle se retourne, je comprends pourquoi ce sac je le connais.
Solange est là, seule femme avant mon arrivée avec ces mâles par chance tous en parfaite tenue.
Le sac, elle l’avait acheté et je l’avais vu depuis à son bras.
• Je me doutais que c’était toi qui devais arriver lorsque Victor nous a dit avoir rencontré une belle salope.
Vous ayant vu partir sous le déluge, je savais qu’il saurait t’attirer dans ses filets, ça été de même pour moi.
Lorsqu’elle s’est retournée, ses seins ont sauté à mon visage, sa guêpière dégageait ses fesses, mais aussi ses seins sans soutien.
Sa chatte aussi était dégagée, s’était impudique surtout en présence de ces trois hommes.
Non, dans les trois un jeune garçon blond à côté d’un autre garçon aussi blond que lui, mais bien plus vieux, son frère ou son père, son père.
• Solange, peux-tu me dire, comment tu es là, je sais que tu es divorcée et que tu es donc une femme libre, mais de là à être ici.
Elle éclate de rire.
• Ma chérie, c’est toi une femme mariée qui profite de l’absence de son fils et son mari pour venir s’encanailler qui va le faire la morale.
Sache que si j’ai divorcé c’est après avoir rencontré Victor lors de brocantes.
Nous sommes devenus amant comme toi avec lui la semaine dernière.
Nous avons un peu baisé, mais surtout beaucoup trafiqué, jusqu’à ce que nous nous fassions prendre.
C’est Sylvain mon mari qui nous a donné pour se venger de son cocufiage.
Victor a été grand homme et a tout pris sur son dos, amende et interdiction d’exercer ont été sa sanction.
Lorsque je l’ai revu près de toi, j’ai su que les bons moments étaient de retour et à son invitation je suis ici.
Je suis décontenancé, mais Victor sentant ce moment de tension a repris la main.
• Merci Solange, mais nous sommes là pour faire la fête, la maison a deux chambres à l’étage, le salon et ce jardin, mesdames, j’ai un cadeau à vous faire.
J’aime les cadeaux, mais de la part de Victor, le doute m’assaille.
• Ce beau jeune homme s’appelle Christophe, son père Jérôme, il a dix-huit ans et est puceau.
Aujourd’hui c’est son anniversaire et en cadeau je lui ai promis une salope qui le déniaiserait.
Mesdames, voici deux allumettes de taille identique de mes doigts, la plus courte aura le plaisir d’être la première.
Il va sans dire, que je gagne le gros lot, me plongeant un peu plus dans un monde de luxure.
Je peux me sauver, faire l’amour avec un garçon de l’âge de mon fils, cela semble irréel.
• Viens pour une première fois, il faut de l’intimité, Victor nous montons dans une de tes chambres.
• Tu as gagné, je m’occupe de Victor et de Jérôme.
Je me rends compte que Solange est une pointure côté sexe, se faire deux hommes jamais au plus profond de ma mémoire, deux hommes s’occupant de moi un tel fantasme m’est venu.
Lorsque je monte les marches, mon puceau à la main, je repense à William, a-t-il déjà connu le sexe d’une femme ?
Jeune, vieille, c’est moi qui suis vieille à l’évocation de l’âge de fils, me renvoyant à ma propre première fois.
• Soit sans crainte, ça arrive souvent au garçon la première fois lorsqu’une femme lui touche la queue pour la première fois.
Tu as expurgé ton trop-plein d’adrénaline, nous allons recommencer en prenant notre temps.
Un beau gosse comme toi, je suis sûr que dans moins de cinq minutes, tu rebandes.
Trois, voire trois et demi lorsqu’il s’allonge sur le lit et que je le masturbe et que j’ai sa bite en bouche.
Mesdemoiselles qui oriez la chance de le rencontrer, vous serez la seconde, je serais celle à qui il pensera toute sa vie, mais vous verrez qu’un tel engin pour vous sera une chance extraordinaire.
Il est encore en pleine croissance et elle est phénoménale.
Et je gueule, gueule, gueule lorsque ayant ôté mes affaires, il me plante d’un coup précis.
Évitons de repenser à mon fils, lorsqu’il décharge je gueule encore, ici je le peux, même si je selle mon destin de femme adulaire.
• Merci, j’ai la chance d’avoir rencontré une femme comme toi, je regarde des pornos depuis l’âge de mes quatorze ans.
J’ai un fantasme que je voudrais que tu m’aides à réaliser.
• Un fantasme, il faut toujours les réaliser sinon tu risques de rester frustrer toute ta vie, dis-moi, nous allons le faire.
• Je voudrais te fister !
Quesaco, de quoi me parle-t-il, des pornos sur la chaine payante, j’en ai vu avec Jeff.
J’ai vu des sodomies, tiens, il faudra que j’essaye un jour, je voudrais éviter de mourir idiote, mais fister, jamais entendu parlé.
Des lesbiennes, une image me vient, Solange, serais-je capable de faire ce qu’elles faisaient ensemble avec elle ?
Des femmes enceintes faisant l’amour avec leur amant, je suis couverte lorsque nous venons de baiser avec Christophe, aucun risque que William est un petit frère.
Alors, fister, j’ai peut-être pris des risques.
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