COLLECTION ADULTÈRE. Je me suis mis le doigt dans l’œil jusqu’au coude (1/2)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ADULTÈRE. Je me suis mis le doigt dans l’œil jusqu’au coude (1/2)
• Bonjour madame, votre petite fille est très jolie !
• Votre fils aussi, ça semble bien ce passer cette rentrée pour sa première année de maternel !
• Oui, ils ont vu les jeux et ont filé oubliant de nous embrasser !
Avec Hamed, mon compagnon nous l’avons bien conditionné.
Lorsque je regarde ce beau jeune homme, il est impossible de voir ou même de penser qu’il peut être homosexuel.
• Comment s’appelle votre fille, notre fils, c’est Hugo et moi Pierre ?
• Ma fille Ludivine et moi Jacinthe, maman adorait cette fleur, car elle pousse à la sortie de l’hiver.
Mon mari, Christian, nous avons vingt-cinq ans et nous sommes mariés depuis cinq ans.
Nous marchons dans la même direction, coup de chance, car malgré son homosexualité il est charmant, je pense que c’est gâché même et surtout que j’aime mon mari.
• Il aurait pu prendre un moment pour accompagner sa fille à sa première entrée à la maternel !
• Ce serait dur, il est à des centaines de kilomètres plus précisément à Stockholm en Suède !
• En Suède, il a une double vie !
Pardon, je dis quelquefois des inepties, c’est mon travail de scénariste qui me fait dire ces bêtises, je pense toujours à de nouvelles histoires.
• Il était mécanicien dans la marine et travaillait sur les turbines.
À la fin de son engagement, lorsque nous nous sommes mariés, cette boîte suédoise cherchait des spécialistes, comme lui, a fini par l’embaucher.
• Tu aurais pu le suivre.
• Et me retrouver déraciné, en plus mes parents aurait du mal à supporter de voir leur petite fille seulement aux vacances.
Stockholm, c’est la maison mère, mais il se déplace sur toute l’Europe, tu nous vois faire changer d’école à notre fille à chaque nouveau chantier.
• Je comprends, tu dois te demander pourquoi je suis seul, Hamed aurait pu venir.
Je constate qu’instinctivement nous nous sommes mis à nous tutoyer, je trouve cela sympa.
• Hamed, c’est un grand sentimental, il avait peur de pleurer devant Hugo, il a préféré lui faire de gros poutous en se cachant dans son cou.
• Tu m’as dit écrire des scénarios, tu es dans le cinéma ou le théâtre.
Il éclate de rire, il a un rire qui illumine son visage.
Je serais célibataire, je crois que je m’intéresserais sérieusement à lui, mais j’aime Christian et en plus, il est homo, c’est une immense barrière.
• Non, j’écris des scénarios pour des bandes dessinées, Hamed est le dessinateur, c’est ce qui nous a rapprochés.
• Je suis arrivée, je suis heureuse de vous avoir rencontré, je vous verrais ce soir, ma fille reste à la cantine.
• Hugo aussi, ce sera la première fois que nous mangerons seuls avec Hamed depuis que l’administration nous l’a confié.
• Vous pourriez aller le chercher, toi ou Hamed !
• Impossible, nous sommes dans la conception d’une nouvelle bande dessinée, Pipo et Poupette, lorsqu’il est là, nous perdons du temps, car il faudrait que l’un de nous le surveille.
Et toi, tu travailles !
• Non, Christian refuse, car il veut que je sois disponible lorsqu’il revient.
Pour notre fille, il veut qu’elle apprenne la vie en communauté, il est vrai qu’elle est un peu capricieuse.
• Viens jusque chez nous, tu pourras rencontrer mon ami !
Notre maison est presque voisine, nous avons emménagé à la fin du mois lorsque la rénovation nous l’a permis.
• Je te remercie Pierre, mais j’ai mis sur le feu un bœuf bourguignon et il faut que j’aille le surveiller, demain peut-être, je vais m’arranger pour être libre.
• Avec Hamed, nous adorons le bœuf bourguignon, mais la cuisine et nous, c’est principalement des plats surgelés mis au micro-ondes.
C’est dans l’après-midi lorsque j’ai fini de remettre ma cuisine en l’état que l’idée me vient d’apporter deux parts de bœuf aux deux hommes.
L’idée d’être seule avec eux m’effleure, mais des homos, j’ai peu de chose à craindre.
En ce début septembre, c’est l’été indien et il fait très chaud, j’ai encore ma robe d’été en tissus léger dégagent un peu mes seins qui sont de bonne taille depuis la naissance de Ludivine.
Je sonne, j’attends comme une conne mon plat dans les mains, la porte finit par s’ouvrir.
• Jacinthe, que nous vaut cette visite, nous étions à notre piscine avec Hamed, nous faisons une petite pose dans notre travail.
Nous voulons profiter des derniers jours de soleil, je vois que tu es venue les bras bien chargés, entre.
Un instant j’hésite, pas par peur de ce que pourraient penser certains voisins, pour une femme venir chez des homos, les risques sont certainement minimums.
Pierre referme un peignoir de bain, sans que je puisse voir son slip de bain.
Nous passons vers l’arrière, comment aurais-je pu penser que dans notre coin de montagne savoyarde une maison puisse cacher une petite piscine bien suffisante pour se rafraichir en ces périodes de canicule.
Hamed nage sans nous voir, arrivé au bout du bassin, il se retourne ce que je vois me laisse sans voix, il est nu.
• Tu sembles choqué, avec mon ami lorsque nous sommes chez nous, on aime vivre nu.
Pierre a posé le plat en passant sur un guéridon, il ouvre son peignoir et lui aussi me montre une verge un peu moins imposante que celle que me montre Hamed.
Il a dû me repérer, car il s’adresse à moi en me donnant mon nom.
• Jacinthe enlève ta robe et viens me rejoindre, tu verras, elle est divine.
Je suis ce que l’on appelle à la croisée des chemins, soit je me sauve, soit j’enlève ma robe et je rejoins les deux garçons, Pierre ayant plongé.
L’appelle de l’eau est la plus forte, il fait si chaud.
À mon tour je saute dans l’eau, j’ai simplement gardé ma petite culotte rose, pour les seins, je suis topless.
Je dois reconnaitre que c’est la première fois, Christian a deux défauts, il est prude et surtout il est très jaloux.
Il aurait été présent, je me serais abstenue de me mettre à poil devant lui et eux.
Je fais quelques longueurs entre ces deux hommes, par chance, je suis persuadée que leurs mœurs me protègent de toute malveillance de leur part.
Pierre souplement saute sur le bord de la piscine et encore tout ruisselant part vers la maison.
• Je vais mettre ton plat au frigo, avec cette chaleur, il risque de tourner.
Je le vois disparaitre et arrivant au bord où j’ai pied, je me redresse.
Je saute et pose mes fesses sur le bord, l’eau du débordement continuant à me rafraichir les fesses.
Hamed arrive et lui aussi souplement s’assoit à mes côtés, par chance l’effet de l’eau le laisse au repos côté sexe.
• Jacinthe, tu as épaté Pierre, lorsqu’il est revenu de l’école, il m’a plus parlé de votre rencontre que les premiers pas d’Hugo à son école.
J’ai failli être jaloux.
Je vois qu’il tourne la tête et moi aussi je vois sa queue se tendre.
• Hamed, tu bandes, je suis mariée et j’aime mon mari même s’il est bien loin en ce moment.
• Comment veux-tu que je sois insensible, regarde ta petite culotte.
Je baisse la tête, j’ai un mont de Vénus très proéminent.
Je laisse pousser une petite fouffe à son sommet, Christian adore, même s’il a une grande pudeur lorsque nous sommes tous les deux, il aime plonger son nez dans ma fourche et lécher cette jolie petite touffe.
L’eau a plaqué ma culotte sur mon corps montrant comme si elle était nue ma pilosité noire.
Ce que j’appelle ma jolie touffe est plus impudique que ce que j’en vois lorsque je suis en petite culotte sèche devant Christian, mon mari.
Qui de lui ou de moi porte ma main vers cette tige, à cette heure je suis incapable de le dire, d’un coup je réalise que j’ai fait l’impensable.
Mais ce que je sais, sait que ma tête se penche amenant ma bouche au-dessus de ce mât de cocagne, Cyrano, parlait d’un pic, d’un cap, voir une péninsule en parlant de son nez.
Lorsque ce sexe, faisant de moi une femme infidèle, est mon mât à moi, que dire, un pic, voir ma péninsule.
Ai-je oublié que des homos peuvent être bi-sexuelles, ou secrètement Pierre m’ayant subjugué lorsque je l’ai rencontré devant l’école, c’est vers lui que j’étais venue chercher du sexe commençant à me manquer ?
D’un coup, alors que je me réveille avec cette bite dans ma bouche, j’ai dû pivoter pour mieux faire descendre ma bouche le long de cette tige dont j’ignorais l’existence il y a encore moins d’une heure.
Des mains douces m’empoignent par les hanches et sans attendre mon consentement je sens que mes grandes lèvres sont écartées par une autre verge.
Viol, non, car j’aurais pu me laisser tomber sur cette pelouse entourant la piscine.
Viol, non, lorsque comprenant que Pierre vient de nous rejoindre, c’est lui qui me prend en levrette et qu’une nouvelle fois, je reste stoïque.
• Allez y, baisez-moi, si vous saviez comment le sexe me manque par moments !
• On va s’occuper de ça ma belle, après tu seras tranquille un long moment après être prise par nos deux bites et que tu auras explosé de plaisir !
Et dire que puérilement, j’étais simplement venue apporter du bœuf bourguignon...
• Votre fils aussi, ça semble bien ce passer cette rentrée pour sa première année de maternel !
• Oui, ils ont vu les jeux et ont filé oubliant de nous embrasser !
Avec Hamed, mon compagnon nous l’avons bien conditionné.
Lorsque je regarde ce beau jeune homme, il est impossible de voir ou même de penser qu’il peut être homosexuel.
• Comment s’appelle votre fille, notre fils, c’est Hugo et moi Pierre ?
• Ma fille Ludivine et moi Jacinthe, maman adorait cette fleur, car elle pousse à la sortie de l’hiver.
Mon mari, Christian, nous avons vingt-cinq ans et nous sommes mariés depuis cinq ans.
Nous marchons dans la même direction, coup de chance, car malgré son homosexualité il est charmant, je pense que c’est gâché même et surtout que j’aime mon mari.
• Il aurait pu prendre un moment pour accompagner sa fille à sa première entrée à la maternel !
• Ce serait dur, il est à des centaines de kilomètres plus précisément à Stockholm en Suède !
• En Suède, il a une double vie !
Pardon, je dis quelquefois des inepties, c’est mon travail de scénariste qui me fait dire ces bêtises, je pense toujours à de nouvelles histoires.
• Il était mécanicien dans la marine et travaillait sur les turbines.
À la fin de son engagement, lorsque nous nous sommes mariés, cette boîte suédoise cherchait des spécialistes, comme lui, a fini par l’embaucher.
• Tu aurais pu le suivre.
• Et me retrouver déraciné, en plus mes parents aurait du mal à supporter de voir leur petite fille seulement aux vacances.
Stockholm, c’est la maison mère, mais il se déplace sur toute l’Europe, tu nous vois faire changer d’école à notre fille à chaque nouveau chantier.
• Je comprends, tu dois te demander pourquoi je suis seul, Hamed aurait pu venir.
Je constate qu’instinctivement nous nous sommes mis à nous tutoyer, je trouve cela sympa.
• Hamed, c’est un grand sentimental, il avait peur de pleurer devant Hugo, il a préféré lui faire de gros poutous en se cachant dans son cou.
• Tu m’as dit écrire des scénarios, tu es dans le cinéma ou le théâtre.
Il éclate de rire, il a un rire qui illumine son visage.
Je serais célibataire, je crois que je m’intéresserais sérieusement à lui, mais j’aime Christian et en plus, il est homo, c’est une immense barrière.
• Non, j’écris des scénarios pour des bandes dessinées, Hamed est le dessinateur, c’est ce qui nous a rapprochés.
• Je suis arrivée, je suis heureuse de vous avoir rencontré, je vous verrais ce soir, ma fille reste à la cantine.
• Hugo aussi, ce sera la première fois que nous mangerons seuls avec Hamed depuis que l’administration nous l’a confié.
• Vous pourriez aller le chercher, toi ou Hamed !
• Impossible, nous sommes dans la conception d’une nouvelle bande dessinée, Pipo et Poupette, lorsqu’il est là, nous perdons du temps, car il faudrait que l’un de nous le surveille.
Et toi, tu travailles !
• Non, Christian refuse, car il veut que je sois disponible lorsqu’il revient.
Pour notre fille, il veut qu’elle apprenne la vie en communauté, il est vrai qu’elle est un peu capricieuse.
• Viens jusque chez nous, tu pourras rencontrer mon ami !
Notre maison est presque voisine, nous avons emménagé à la fin du mois lorsque la rénovation nous l’a permis.
• Je te remercie Pierre, mais j’ai mis sur le feu un bœuf bourguignon et il faut que j’aille le surveiller, demain peut-être, je vais m’arranger pour être libre.
• Avec Hamed, nous adorons le bœuf bourguignon, mais la cuisine et nous, c’est principalement des plats surgelés mis au micro-ondes.
C’est dans l’après-midi lorsque j’ai fini de remettre ma cuisine en l’état que l’idée me vient d’apporter deux parts de bœuf aux deux hommes.
L’idée d’être seule avec eux m’effleure, mais des homos, j’ai peu de chose à craindre.
En ce début septembre, c’est l’été indien et il fait très chaud, j’ai encore ma robe d’été en tissus léger dégagent un peu mes seins qui sont de bonne taille depuis la naissance de Ludivine.
Je sonne, j’attends comme une conne mon plat dans les mains, la porte finit par s’ouvrir.
• Jacinthe, que nous vaut cette visite, nous étions à notre piscine avec Hamed, nous faisons une petite pose dans notre travail.
Nous voulons profiter des derniers jours de soleil, je vois que tu es venue les bras bien chargés, entre.
Un instant j’hésite, pas par peur de ce que pourraient penser certains voisins, pour une femme venir chez des homos, les risques sont certainement minimums.
Pierre referme un peignoir de bain, sans que je puisse voir son slip de bain.
Nous passons vers l’arrière, comment aurais-je pu penser que dans notre coin de montagne savoyarde une maison puisse cacher une petite piscine bien suffisante pour se rafraichir en ces périodes de canicule.
Hamed nage sans nous voir, arrivé au bout du bassin, il se retourne ce que je vois me laisse sans voix, il est nu.
• Tu sembles choqué, avec mon ami lorsque nous sommes chez nous, on aime vivre nu.
Pierre a posé le plat en passant sur un guéridon, il ouvre son peignoir et lui aussi me montre une verge un peu moins imposante que celle que me montre Hamed.
Il a dû me repérer, car il s’adresse à moi en me donnant mon nom.
• Jacinthe enlève ta robe et viens me rejoindre, tu verras, elle est divine.
Je suis ce que l’on appelle à la croisée des chemins, soit je me sauve, soit j’enlève ma robe et je rejoins les deux garçons, Pierre ayant plongé.
L’appelle de l’eau est la plus forte, il fait si chaud.
À mon tour je saute dans l’eau, j’ai simplement gardé ma petite culotte rose, pour les seins, je suis topless.
Je dois reconnaitre que c’est la première fois, Christian a deux défauts, il est prude et surtout il est très jaloux.
Il aurait été présent, je me serais abstenue de me mettre à poil devant lui et eux.
Je fais quelques longueurs entre ces deux hommes, par chance, je suis persuadée que leurs mœurs me protègent de toute malveillance de leur part.
Pierre souplement saute sur le bord de la piscine et encore tout ruisselant part vers la maison.
• Je vais mettre ton plat au frigo, avec cette chaleur, il risque de tourner.
Je le vois disparaitre et arrivant au bord où j’ai pied, je me redresse.
Je saute et pose mes fesses sur le bord, l’eau du débordement continuant à me rafraichir les fesses.
Hamed arrive et lui aussi souplement s’assoit à mes côtés, par chance l’effet de l’eau le laisse au repos côté sexe.
• Jacinthe, tu as épaté Pierre, lorsqu’il est revenu de l’école, il m’a plus parlé de votre rencontre que les premiers pas d’Hugo à son école.
J’ai failli être jaloux.
Je vois qu’il tourne la tête et moi aussi je vois sa queue se tendre.
• Hamed, tu bandes, je suis mariée et j’aime mon mari même s’il est bien loin en ce moment.
• Comment veux-tu que je sois insensible, regarde ta petite culotte.
Je baisse la tête, j’ai un mont de Vénus très proéminent.
Je laisse pousser une petite fouffe à son sommet, Christian adore, même s’il a une grande pudeur lorsque nous sommes tous les deux, il aime plonger son nez dans ma fourche et lécher cette jolie petite touffe.
L’eau a plaqué ma culotte sur mon corps montrant comme si elle était nue ma pilosité noire.
Ce que j’appelle ma jolie touffe est plus impudique que ce que j’en vois lorsque je suis en petite culotte sèche devant Christian, mon mari.
Qui de lui ou de moi porte ma main vers cette tige, à cette heure je suis incapable de le dire, d’un coup je réalise que j’ai fait l’impensable.
Mais ce que je sais, sait que ma tête se penche amenant ma bouche au-dessus de ce mât de cocagne, Cyrano, parlait d’un pic, d’un cap, voir une péninsule en parlant de son nez.
Lorsque ce sexe, faisant de moi une femme infidèle, est mon mât à moi, que dire, un pic, voir ma péninsule.
Ai-je oublié que des homos peuvent être bi-sexuelles, ou secrètement Pierre m’ayant subjugué lorsque je l’ai rencontré devant l’école, c’est vers lui que j’étais venue chercher du sexe commençant à me manquer ?
D’un coup, alors que je me réveille avec cette bite dans ma bouche, j’ai dû pivoter pour mieux faire descendre ma bouche le long de cette tige dont j’ignorais l’existence il y a encore moins d’une heure.
Des mains douces m’empoignent par les hanches et sans attendre mon consentement je sens que mes grandes lèvres sont écartées par une autre verge.
Viol, non, car j’aurais pu me laisser tomber sur cette pelouse entourant la piscine.
Viol, non, lorsque comprenant que Pierre vient de nous rejoindre, c’est lui qui me prend en levrette et qu’une nouvelle fois, je reste stoïque.
• Allez y, baisez-moi, si vous saviez comment le sexe me manque par moments !
• On va s’occuper de ça ma belle, après tu seras tranquille un long moment après être prise par nos deux bites et que tu auras explosé de plaisir !
Et dire que puérilement, j’étais simplement venue apporter du bœuf bourguignon...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Daniel merci pour lui
Je l'ai interrogé sur la suite tu sais qu'on est très proche...
Il m'a dit qu'il espère te surprendre encore, je n'en sais pas plus tu sais comment il est...
Je l'ai interrogé sur la suite tu sais qu'on est très proche...
Il m'a dit qu'il espère te surprendre encore, je n'en sais pas plus tu sais comment il est...
Encore une fois Chris un très beau texte ou une jeune femme délaissée et demandeuse se fait prendre dre par un couple d’homo bi sexuelle le tout malgré la sensibilité raconté trz quillement et sans vulgarité on attend avec impatience la suite de ce trio au départ improbable. Daniel

