COLLECTION ADULTÈRE. Je me suis mis le doigt dans l’œil jusqu’au coude (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ADULTÈRE. Je me suis mis le doigt dans l’œil jusqu’au coude (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ADULTÈRE. Je me suis mis le doigt dans l’œil jusqu’au coude (2/2)
« Bonjour madame, votre petite fille est très jolie. »
« Allez y, baisez-moi, si vous saviez comment le sexe me manque par moments ! »

La première phrase, c’est devant l’école où j’ai conduit ma fille, entrant pour la première fois à l’école maternelle que Pierre la prononce.
La deuxième, c’est moi, alors que Pierre me baise pendant que je suce Hamed, son ami pourtant homosexuel.
Homosexuel, c’est en comprenant que Pierre vivait avec un autre homme que je me suis mis le doigt dans l’œil jusqu’au coude pensant certainement que ces garçons étaient peu enclins à être intéressés à ma féminité.
Mon plus grand plaisir, c’est que, rapidement je commence à prendre du plaisir jusqu’à un début d’orgasme surtout lorsque Pierre derrière moi fait jaillir des flèches de sperme.

• Hamed, je pense que Jacinthe serait partante pour qu’à ton tour tu la prennes comme je viens de la prendre, elle va me nettoyer ma queue, je vais prendre ta place !
J’ai apporté des capotes, je les ai posées sur la table du jardin !

Nettoyer sa queue, comment mon cerveau peut-il commander mes muscles sans mon plein accord ?
Pourtant lorsque je me retourne découvrant la verge qui vient de me faire jouir, c’est sans aucun remords qu’après celle d’Hamed, ma langue part de son méat pour venir jusqu’à ses couilles.
Un morceau de plastique est au sol, il a retiré la capote qu’il avait mise, ce qui me rassure.
J’ai fait des études d’infirmière, même si mon mari refuse que je pratique, j’ai eu des cours sur les maladies vénériennes et je me vois mal refiler ce qu’entre nous nous appelions « la chtouille » à mon mari.

Dans le coin de mon œil, je vois une main prendre une capote dans un saladier.
Celle dont je viens de parler est remplie du sperme après qu’il ait déchargé.
Je peux nettoyer certaines particules restées sur son sexe avec ma langue en attendant la nouvelle pénétration qui va faire de moi une salope adultérine.
.......
Ces petits points, ce sont ceux que j’écris pendant qu’Hamed me prend à son tour et que je repars dans le néant de la jouissance prise de deux côtés à la fois.
Je jouis sous les coups de queue de Christian, mais la situation est bien différente dans cette situation d’adultère où je me suis mise.
Une grande différence, c’est qu’avec mon mari, il me baise sans fioritures, comme le disent les Marseillais dont il est fan, « droits au but. »
Et le but avec Pierre et Hamed, je l’atteins à des niveaux jamais connus lorsque je hurle de plaisir.

• On lui explique ou on la laisse dans l’étonnement que je peux lire sur son visage, Hamed !
• Je veux bien, mais crois-tu que de nous dévoiler pourrais être préjudiciable pour Hugo !
• Jacinthe, je vais t’expliquer les décisions que nous avons été dans l’obligation de prendre pour avoir notre enfant.

C’est couché sur la pelouse appuyée sur la poitrine puissante d’Hamed, sa main posée sur l’un de mes seins caressant ma fraise entretenant la douce torpeur que nos débordements ont créée.
Ce sont mes pieds sur les jambes de Pierre me les caressant doucement remontant jusqu’à mon sexe et le caressant le faisant couler de plaisir que Pierre a commencé à me raconter, comment ils en étaient arrivés à vivre ensemble.

• Nous nous sommes rencontrés ce matin devant l’école maternelle où tu conduisais Ludivine ta fille et moi Hugo notre fils.
Avec Hamed, c’est dans les bureaux de l’aide à l’adoption que cela c’est fait.
Malgré qu’étant tous les deux célibataires, nous avions une grande envie d’enfants.
Très vite nous avons compris qu’il nous serait impossible d’en adopté un dans notre situation de célibataire.
Nous avions découvert notre point commun concernant la bande dessinée, moi scénariste et lui dessinateur.
Nous avons travaillé ensemble sur une première histoire qui a cartonné et a été primée à Angoulême au salon de la BD.
Des enfants étaient confiés à des couples et c’est au moment de la possibilité du mariage pour tous que nous avons mesuré l’augmentation de nos chances que malgré que nous soyons des hommes on nous confie un enfant.
Nous avons acheté cette maison, fait faire des travaux avec les beaux billets rapportés par la sortie et le prix de Pipo et Poupette que nous l’avons acquise.
Nous avons même fait construire cette piscine afin qu’Hugo nous soit confié.
Les services de l’adoption sont venus plusieurs fois contrôler notre couple et nous avons pu enfin avoir un enfant à nous.
• Vous êtes donc de parfaits hétéros et vous avez profité de la faible femme que je suis esseulée par son mari pour faire de moi une femme adultérine.
• Ce sont les circonstances qui ont fait que nous venons de faire l’amour avec toi, tous les deux.
À notre âge, nous aimons baiser de jolies petites chattes comme la tienne.
Chaque week-end l’un de nous se rend jusqu’à Genève pour rencontrer de jeunes femmes, hélas contre rétribution.
Ta venue a bouleversé nos habitudes et je pense qu’Hamed comme moi nous sommes loin de nous en plaindre.

C’est à ce moment que la cloche de l’église de notre village sonne seize heures.

• Mon dieu, les enfants, le temps est passé si vite avec vous, je vais être en retard.
• Notre voiture est devant la maison, on y va, juste le temps de nous remettre en tenue décente.

Nous arrivons, juste à l’heure, je vois certaines mamans me regarder d’un drôle d’œil. Certainement celui que je me suis mis dans l’oeil jusqu’au coude en pensant que deux hommes habitant ensemble sont automatiquement homosexuels.
Les enfants sortent, Hugo tient Ludivine par la main.

• C’est ma copine, mes papas !

Je suis à deux doigts de lui répondre que je suis devenue un peu plus que lui pour ses papas, même s’il est trop jeune pour comprendre que je suis devenue la maîtresse de deux hommes d’un coup.
Mais là je m’enfonce « la maîtresse », ils viennent de connaitre mademoiselle Panelle dès ce matin et « d’un coup », celui que nous avons tiré au bord de leur piscine avec ses papas.
Nous prenons le chemin du retour.

• Jacinthe, viens à la maison, nous ferons gouter les enfants et ils pourront profiter de la piscine comme nous l’avons faite.
Je te ferais visiter la maison et l’endroit sous une verrière où nous créons nos bandes dessinées.
• Je dois rentrer avec ma fille, Christian mon mari doit m’appeler de Stockholm dans une demi-heure pour savoir comment la rentrée de notre fille s’est passée.
• Je comprends, alors demain nous t’invitons après avoir conduit les enfants à l’école de venir visiter et tu pourras manger avec nous, c’est nous qui t’invitons.
Ce soir nous dégusterons le plat que tu nous as apporté et qui nous a permis de faire plus amplement connaissance.

Pour être plus ample, elle fut plus ample, ma chatte en dégouline encore d’envie, j’ai rarement eu autant de plaisir qu’à me partager avec ces deux hommes d’une trentaine d’années comme moi.
De retour chez moi, je fais mécaniquement le travail que toute femme fait attendant l’appelle de son mari.
Christian appelle, j’ai un drôle de sentiment, lui si volubile en temps normal semble distant jusqu’à ce que j’entende des gloussements suspects.
Il sait me faire croire que ce sont deux pigeons qui roucoulent devant lui dans le parc où il se trouve après sa journée de travail.
Comme j’ai bien des choses à me faire pardonner, je fais attention à éviter les impaires avant de raccrocher, il doit me rappeler mercredi prochain avant de revenir le samedi.
Je passe une nuit exécrable, changeant d’intention toutes les heures sonnant au clocher de l’église.
Demain, j’y vais, demain, je n’y vais pas, à la fin j’ai dû m’endormir sur une « je n’y vais pas ».
Alors pourquoi, dès que je suis levée je fais mon lit avant d’aller réveiller Ludivine, aussi faire sa chambre et de la faire déjeuner ?

• Bonjours Hamed, c’est toi qui conduis Hugo à l’école ce matin ?
• Oui, Pierre est allé à Genève chez notre graphiste récupérer la planche d’essai des nouvelles aventures de Pipo et Poupette, il devait la mettre en couleur, ni Pierre ni moi sommes capables de faire ce travail très méticuleux.

C’est comme cela sous les mêmes yeux réprobateurs des mamans me voyant partir à côté d’Hamed que nous prenons le chemin de la maison de mes amants.
Hamed me fait entrer et comme si cela était naturel, il se met nu, je me sens obligée d’en faire de même chez ces naturistes.

• Je vois qu’on s’amuse bien, lorsque le chat n’est pas là...
• Les souris dansent Pierre.

Nous sommes dans la cuisine, hier près de la piscine, c’était la première fois que je baisais hors d’un lit.
Christian adore que nous fassions ça dans un certain confort.
Aujourd’hui, j’ai innové.
C’est sur une chaise de la cuisine qu’Hamed s’est assis et qu’en un premier temps, je l’ai sucée avant de venir m’empaler dessus sa verge prête à l’emploi après ma fellation.
Il va de soi que nous ne nous sommes pas arrêtés là, à la différence d’hier, c’est que j’ai visité leur demeure, spacieuse avec de nombreuses pièces inoccupées.
La véranda donnant sur les montagnes où ils travaillent est un appel à la luxure et c’est là que Poupette et Pipo sont entrés dans mon univers.

• Ludivine, veux-tu prendre Hugo comme époux, de l’aimer, de le chérir jusqu’au bout de ta vie ?
• Oui, je le veux !
• Et toi Hugo...

Eh oui, de nombreuses années sont passées entre ma visite de l’atelier où maintenant je travaille et le mariage de ma fille avec Hugo le fils de Pierre et Hamed.
Que s’est-il passé pendant ces années où nos enfants sont venus nous dire qu’ils s’aimaient, qu’ils avaient fauté sans capote et que tous les trois nous allons être grands-parents.
J’ai divorcé, au lieu de venir le samedi Christian m’a envoyé un avocat me signifiant mon divorce avec lui.
Les gloussements qu’il disait être ceux de pigeon se sont avéré être ceux d’une Suédoise s’amusant avec sa queue pendant qu’il me téléphonait.
Divorce à tort pour lui, pension, mais aussi déménagement pour moi.
Dans notre mairie où Hugo et Ludivine viennent d’unir leur vie, je suis assisé au premier rang à côté d’Hamed et Pierre, Hamed surveille Laure pendant que Pierre surveille Jules nos jumeaux dizygotes.
Ils sont nés après mon emménagement je voulais faire ce cadeau à mes amants et coéditeurs de Pipo et Poupette.
Ils me faisaient l’amour soi à tour de rôle, soi ensemble, le plus souvent, me prenant en double vaginale, ce qui me dévastait, mais me faisait jouir comme jamais.
D’ailleurs à presque cinquante ans, nous aimons le faire tous les trois alors qu’ils sont les deux en moi, et oui je suis une salope, leur salope.
Si je suis coéditeurs de nos bandes dessinées, c’est car je suis devenue leur maîtresse, mais aussi leur graphiste, c’est moi qui mets de la couleur pour nos petits personnages.
Tout a été facile lorsque nous étions dans notre maison, mais tous se compliquaient une fois à l’extérieur.
J’étais la pute de deux types, pédés jusqu’aux oreilles ce qui bien sûr est faux et contradictoire.
Que dire lorsque l’on a su que j’étais enceinte et surtout de faux jumeaux ?
Comme mes hommes disent souvent, nous nous en battons la queue, seule notre plaisir de vivre à trois avec nos enfants, est-ce qui nous rapproche.
Au moment du « oui » liant leur vie, je me doute de ce qu’il va se dire lorsque les commères du village parleront de la robe blanche de Ludivine alors que son ventre rond de plus de six mois est difficile à cacher.
La fille de la salope, est obligatoirement une salope.

Les avis des lecteurs

Daniel voilà sur ce texte la meilleur preuve que j'ai de travailler
J'avais un schéma que je développais, début corps du texte et fin comme les rédaction và l'école il y a bien des années mais en cour de son élaboration ler chemin vers l'adoption on fait de mes personnages ce qu'ils sont dans la finalité de l'histoire
J'essaye d'écrire de nombreuses histoire courte beaucoup plus lu que les sagas mes le déroulement de l'histoire m'entraine vers des histoires longues...

Histoire Erotique
Bravo Chris récit très bien structuré quel cheminement et quelle superbe fin seul les médisants et les jaloux peuvent s’en offusquer moi j’aurai aimé dans le même sens ou dans l’autre. Daniel



Texte coquin : COLLECTION ADULTÈRE. Je me suis mis le doigt dans l’œil jusqu’au coude (2/2)
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