COLLECTION ADULTÈRE. Jogging sur la plage (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ADULTÈRE. Jogging sur la plage (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ADULTÈRE. Jogging sur la plage (1/1)
• Allez, viens courir sur la plage, à la fraiche comme l’on dit, ça va être divin !
• Astride, tu es folle, je cours toute l’année pour mon boulot afin de rapporter notre pitance à notre foyer.
Permet que je me repose deux ou trois jours avant de venir avec toi faire disparaitre les quelques bourrelets disgracieux qui commence à poindre.
• Bon je te laisse dormir, j’y vais-je pense être de retour dans une heure.

Comme l’a dit mon mari, je m’appelle Astride trente-trois ans essayant d’avoir des enfants, le temps passe vite à notre époque.
Mais nous avons eu tellement de déboire que nous pensons à adopter.
Par chance, j’ai épousé un homme riche !
Enfin la chance ça ce provoque, ce fut le cas avec Yves que j’ai un jour croisé alors que par Juliette mon amie j’avais su qu’il était directeur d’une startup très prometteur dans les tours de la défense.
Nous avons un appartement de cinq pièces, avenue de la Grande Armée.
De mon balcon en me penchant un peu je peux voir l’Arc de Triomphe.
Pour les vacances d’été comme bon nombre de Parisiens, nous louons une villa sur les bords de l’atlantique.
Yves était mer Méditerranée, moi mer Atlantique, mais ce qu’une femme veut, elle l’obtient avec un peu de dispute, certes, mais elle l’obtient.
J’aime les vagues, lui non.
Il devait m’avouer avoir été pris dans un rouleau étant petit et il avait dû son salut à la main d’un vieux nageur l’ayant agrippé et sortie de l’eau après qu’il est déjà bu la tasse.
Mais un rapprochement de mes idées s’est fait sur l’oreiller.
Je suis la reine de la réconciliation sur l’oreiller les jambes écartées, car je suis une chaude du cul, mais seulement avec lui.
Je connais ses points faibles et je sais comment le sucer allant même jusqu’à le faire éjaculer.
J’adore avaler son sperme, je sais par Juliette que peu de femmes acceptent le foutre dans leur bouche avant leur estomac.
Moi je m’en délecte depuis la première fois où un garçon de mon lycée m’a proposé de lui sucer sa bite dans les toilettes.
Le peu de temps que nous avions et la peur d’être enceinte à cette époque nous obligeait à préférer de leur faire des sucettes plutôt qu’ils ne nous sautent en risquant la maternité.
Je suis restée vierge jusqu’à vingt ans ou j’ai rencontré Édouard, quelle connerie d’appeler son fils Édouard.
C’était en boîte et lorsqu’il m’a proposé un dernier verre, je savais que le moment de devenir pleinement une femme était arrivée.
J’ai eu mal à la chatte, Juliette m’a dit que c’était que j’étais restée vierge trop longtemps, mon hymen s’était fossilisé.
Pour sa part, elle avait sauté le pas au moment où moi je commençais mes fellations.
Elle a eu la chance de partir avec ses parents à la campagne dans les monts du Cantal.
Dans le camping-car voisin de celui de ses parents, un vieux dépravé, la soixantaine, il venait de prendre sa retraite, l’a culbutée pendant que ses parents de son côté faisaient une sieste crapuleuse.
Ils en faisaient tous les jours et tous les jours elle se faisait défoncer par la verge noueuse de ce vieux salop sautant une jeunette tout juste sortie de l’adolescence.
Il lui était resté quelques séquelles, Robert son mari a lui aussi la soixantaine et ses amants, car elle en a de très nombreux sont tous des hommes d’âge mûr.
À y bien y réfléchir, je ne la vois pas nous présenter un garçon de nos âges.

Je suis prête, tenue légère, short ras la moule, débardeur mes seins libre, j’aime les voir sauter lorsque je cours et d’enfiler mes chaussures de jogging dans l’entrée de notre chambre.
Je rejoins la plage, à cette heure, je suis la seule courageuse.
Je cours depuis une quinzaine de minutes lorsque j’arrive aux cailloux naturels séparant notre plage de celle de la commune voisine.
Une grosse pierre arrondie par les marées et l’érosion me permet de faire quelques assouplissements.
J’ai la jambe gauche posée et tendue lorsque du rocher voisin, j’entends que l’on me parle.

• Et madame, bonjour, tu fais ta course à pied !

Instinctivement je réponds alors que je devrais prendre peur.
Un grand noir sort de derrière le rocher, il est beau comme les noirs le sont lorsqu’ils sont longilignes.

• Oui, j’arrive en vacances depuis hier, j’avais besoin d’exercice, je profite de l’air frais du matin avant la fournaise de ces journées d’été.
Et vous que faite vous à cette heure dans les rochers ?

La conversation s’engageant, est irréaliste, il descend à ma hauteur en sautant prestement, je dirais presque félinement.

• Je me cache de la police, ils veulent me renvoyer dans mon pays.
Derrière ce rocher, il y a une langue de sable où j’étale mon tapis pour y dormir la nuit, ici je suis tranquille.

Je regarde ce grand noir sans faire attention à ma jambe qui glisse du rocher mon point d’appui dans le sable se dérobant.
Je pousse un cri en m’affalant de tout mon long.

• Aie, je crois que je viens de me fouler une cheville !
• Assieds toi et laisse moi regarder, dans mon pays je suis un peu guérisseur.

Je suis subjugué par le parfait français parlé par mon grand noir malgré son accent alors que certaines de mes copines fantasmeraient pour avoir une bite noire à portée de main.
Enfin quand je dis main…
Il s’assied lui aussi et me prenant la jambe, il la pose sur les siennes.
Il me délace ma chaussure, me l’enlève et m’ôte ma socquette.
Prenant mon pied en main, il commence à le masser en faisant des incantations dans la langue de son pays.

• C’est ma grand-mère qui m’a appris les mots qu’il faut dire pour faire fuir le mal.

Je suis incapable de les dire, encore moins de les écrire, mais je sens la chaleur montée de ses mains et venir irradier toute ma jambe.
Mon molet est posé sur une partie de son anatomie, qui elle aussi commence à s’échauffer.
En même temps sa main glisse vers le haut, de ma jambe.
Je sens qu’il s’approche de mon sexe, mais sans que je lui en donne l’ordre, elles repartent vers le bas.

• Je dois refaire cela trois fois de suite, afin de chasser le mal de ta jambe, sinon dès que tu vas remettre le pied parterre, il va revenir.

Pourquoi avoir peur des risques que je prends, isolée du monde, avec ce grand garçon venu d’Afrique et a qui sa grand-maman lui a fait découvrir les sciences de son pays lorsque l’un d’eux est malade ?
Ses mains remontent, redescendent, remonde, je finis par fermer les yeux tellement la douceur m’envahit, mais aussi que mon mal disparait.

• Comment tu t’appelles, moi c’est Astride, j’ai trente-trois ans et je suis mariée avec Yves ?
• Ton mari, je le vois, il dort profondément à quelques pas d’ici, je suis un peu voyant, ma grand-mère, elle m’a aussi appris cela.
• Qu’est-ce que ta grand-mère a oublié de t’apprendre ?
• Rien, elle m’a même appris à faire les plats de mon pays, mais ici en France, c’est impossible, car il me manque la plupart des épices qui font des bons plats avec le lait des chèvres de chez nous.
• Mais dit donc, nous parlons et je sens ma jambe reposée sur quelque chose qui a tendance à durcir, je me trompe.
• Abdalla, il bande, ton mal il est parti et c’est elle qui l’a récupéré.
Dans mon pays, je te ferai voir comment le faire partir, mais en France, les jolies dames comme toi, elle crie au viol dès qu’on leur montre.

Une folie me prend, Abdalla a dû m’envouter avec ses mains si près de mon sexe.

• Sors là, regarde, nous sommes seules sur cette plage, il y a un homme qui court au loin, mais il est parti dans l’autre sens, on n’a rien à craindre.

Enfin, rien à craindre, pas tout à fait !
Je risque comme Juliette de passer de femme fidèle à femme infidèle surtout qu’il me prend au mot reposant ma jambe et sortant de son pantalon de survêtement un machin tout noir, et phénoménale.
Juliette m’avait avoué qu’elle en cherchait désespérément dés de ce calibre, moi sans chercher, je fais bingo du premier coup.
Juliette, viens m’aider, on ne sera pas trop de deux, pour nous occuper de ce véritable avant bras, du moins le mien qu’il vient de me découvrir.
Bien sûr, c’est dans ma tête que je l’appelle au secours sachant bien que je suis seule devant mon destin.
Un dernier instant de lucidité et je craque directement.

• Oui, suce là bien, tu vas faire partir ton mal à jamais, tu verras ton pied il est guéri pour toute ta vie.

Mon pied, je le prends lorsqu’il descend mon short de jogging et que sa verge cherche son chemin, là où le mal est venu se nicher.
Ma bouche était trop petite, mais ma chatte dégoulinant de cyprine, est tout à fait capable d’en absorbé vingt de la trentaine de centimètres qu’il me propose.
La grosseur en rapport de sa longueur passe sans mal, mon hymen semblant m’avoir définitivement quitté et mes grandes lèvres se sont façonnés à ce pieu qui me déchire.
Seules les mouettes entendent les cris de plaisir que je lâche vers le ciel lorsqu’un orgasme me traverse.
Mon clitoris que je frotte consciencieusement dessus m’y aide bien et je sens même que pour la première fois de ma vie mon corps expulse des litres de liquide qui inonde la bite d’Abdalla.

• Oh ! Astride, tu es une femme chameau, ça va porter chance à Abdalla.

Après être devenue la femme que je voulais éviter d’être, j’ai remis mon pantalon de jogging, ma soquette et ma chaussure.
Plus je m’éloigne de son rocher plus la sensation de ma cheville est étrange.
J’ai l’impression d’un roc en même temps que dans mon ventre, le sperme qu’il m’a envoyé lorsqu’il a éjaculé coule le long de mes jambes.

• Ma chérie, tu as bien couru, moi j’ai bien récupéré, va prendre une douche et rejoins-moi, je crois que cette fois, c’est la bonne, je bande comme un taureau.

Le taureau, enfin presque, plutôt un...
Inutile de dire la petitesse de ce qu’il me propose, comparé à celle d’Abdalla, mais voulant effacer mon inconduite, je m’astreins à le satisfaire.
Bien sûre, la femme chameau a disparu, tout juste un petit frison.
Les jours suivants, nous courons ensemble, c’est trois jours plus tard que je fais des mouvements avec Yves le pied sur le rocher rond usé par les marées.
Abdalla semble être parti dormir ailleurs, ce qui me rassure.

• Poussez madame, je vois la tête, voilà vous avez un joli petit garçon.
Monsieur, vous lui avez donné ce qu’il faut, lorsqu’il sera grand, il va les tomber, toutes les unes après les autres.
J’ai mis au monde, presque mille bébés, votre fils est celui qui aura été le plus gatté par la nature.

On a compris Abdalla n’a pas fait que guérir ma cheville, il s’est aussi occupé de mon système de reproduction.

• Chérie, je dois t’avouer l’impensable, mon arrière-grand-mère a été envoyée au bagne de Guyane et a rencontré mon arrière-grand-père dans ce pays.
Une légende familiale m’a été rapportée, elle se prostituait en Bretagne avec des marins en bordées, elle était noire et c’était un gardien.
Ils sont revenus en France à sa fermeture et la famille, dont mon grand-père, a continué à vivre sa vie.
Clovis, est un peu noir, ça doit venir de cette génération.

Bien sûr que ça vient de cette génération.
De retour de couches et voulant battre le fer pendant qu’il était chaud, Juliette et moi, nous trainons dans un quartier très foncé de la capitale.
Je veux donner une petite sœur à Clovis, le temps presse, l’âge avançant.

• Juliette, je t’ai parlé d’Abdalla, regarde ce grand garçon noir devant nous, je crois que c’est lui.

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