COLLECTION ADULTÈRE. Ma baby-sitter m’oblige à devenir une salope (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ADULTÈRE. Ma baby-sitter m’oblige à devenir une salope (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ADULTÈRE. Ma baby-sitter m’oblige à devenir une salope (1/2)
• Chéri, ton portable vibre tu as reçu un SMS !

C’est comme ça que j’ai appris que j’étais cocu, Maurice mon mari était sous la douche, il venait de rentrer de planque et de sa garde de nuit.
Douche et café que je suis en train de lui préparer avant dodo, quand son portable qu’il avait posé sur le meuble de cuisine avec ses clefs de voitures s’est mis à vibrer.
Sans penser à mal, entendant toujours l’eau couler, je l’ai pris en main.
Code de sécurité en service, je le connais, bien qu’il le garde pour lui.
Le geste qu’il fait chaque fois qu’il est avec moi est toujours un « M ».
« Mado », c’est bizarre, la seule Mado que nous connaissons est notre baby-sitter.
La dernière fois que nous l’avons employé s’était pour notre anniversaire de mariage.
Nous avons été au restaurant, Mado est venue à la maison garder Sissy et Lison, nos deux filles.
Nous sommes revenus à une heure du matin après avoir été à l’Olympia voire Bernard Lavilliers, depuis toute petite, je suis fan de ce chanteur.
Ça fait dix ans que nous sommes mariés avec Maurice, lorsqu’il m’a donné les billets, ce fut le plus beau cadeau qu’il pouvait me faire ayant matériellement tout ce dont j’ai besoin.
Lorsque nous nous sommes rencontrés, nous étions étudiants, lui à l’école de police pour devenir inspecteur et moi en fac de droit, je voulais être juge et faire l’école de la magistrature.
C’était dans une soirée entre copines, que nous nous sommes croisée dans un bar où ils vendent du vin.
J’étais au bar, les autres étant parti aux toilettes, lorsque Maurice, à ce moment j’ignorais qu’il s’appelait Maurice, mais bien vite je criais son prénom lorsqu’il m’a dépucelé.
Ce prénom, je continue à le dire, chaque fois que nous faisons l’amour, sauf que depuis la naissance des filles, des jumelles, je le fais tout bas, afin d’éviter qu’elles apprennent que les adultes font l’amour.

De retour de notre soirée, Maurice a reconduit Mado chez ses parents comme le prévoyait notre contrat.
À dix-huit ans, faire à pied trois kilomètres de nuit, la jeune fille prendrait trop de risques à rentrer seule avec tous les tarés qui peuplent nos rues.
Ce soir-là, j’avais attendu son retour, car j’avais envie qu’il me fasse l’amour pour le récompenser de la soirée qu’il m’avait fait passer.
Ce sont nos filles qui nous ont réveillés, je m’étais endormi avant son retour, mais il dormait du sommeil du juste à mes côtés.
À mes côtés le livre que j’avais lu en l’attendant.
J’ai retrouvé deux pages, celle ou j’étais lorsque j’avais commencé et celle ou mes yeux se sont fermés de fatigue, le temps avait été long à la vitesse ou je lis.
C’est certainement ce soir-là qu’il m’a trompé avec cette petite pute.

« Tu viens ce soir, ta petite salope te sucera la queue, puisque ta femme te refuse ce plaisir, mes parents sont absents pour le week-end.
Depuis le temps que nous voulons passer une nuit ensemble ! »

Sucer la queue de ce salopard, lorsqu’il revient de sa douche, il regarde son portable en buvant son café.

• Merde, un pote est malade, ce soir, je dois retourner à la planque pour surveiller le mec que nous avons dans le collimateur.
Nous sommes obligés d’attendre qu’il bouge pour le prendre en flagrant délit.

Je suis à deux doigts de lui dire qu’il va retrouver sa petite pute et que j’ai lu son message, mais il y a mes filles et je ferme ma bouche.
Lorsqu’il me quitte avec son sandwich et sa gourde de café, là encore j’ai envie de lui dire que sa salope pourrait lui faire à manger.
Mais sachant qu’il va sauter sa pétasse, une nouvelle fois je ferme ma bouche.

« Sonia, je dois rester en planque vingt-quatre heures de plus, notre cible est toujours dans son hôtel.
Je pensais que je pourrais rentrer, lorsqu’il est sorti dans la rue, mais il est entré au bistrot du coin pour seulement boire un café avant de retourner dans sa chambre.
Plus le temps passe et plus nous nous rapprochons du moment où il va bouger, notre indict a été précis, il a monté un coup, mais il ignorait quel jour et encore moins à quelle heure. »

C’est ce qu’il me dit lorsqu’il m’appelle certainement du lit de sa greluche, suceuse de bite.

• Tu es parti avec un seul sandwich, veux-tu que je t’apporte de quoi manger ?

« Non, Sonia, à tour de rôle lorsque la rue est calme, nous sortons avec mes deux copains à tour de rôle et nous allons dans ce même café boire un coup, manger et nous rendre aux toilettes. »

Maurice a réponse à tous, si j’ai bien lu, sa pétasse est seule pour le week-end et il veut profiter de son cul vingt-quatre heures de plus.
J’ai passé la première nuit sans dormir pensant à ce qu’elle avait écrit.

« Ta petite salope te sucera la queue, puisque ta femme te refuse ce plaisir. »

Qu’a-t-elle voulu dire, lorsque mon mari veut me faire l’amour, il se met sur moi, me pénètre et lorsque je sens son sexe en moi, je l’entoure de mes bras et quelques fois, j’ai ce que je pense être du plaisir.
Je dis son nom et je sens sa semence jaillir.
Aurais-je loupé des étapes de notre sexualité ou lui qui aurait oublié de me parler de ses fantasmes ?
La deuxième nuit, j’arrive à m’endormir, je sais comment découvrir ce que cette petite semble connaitre à dix-huit ans alors que moi j’ignore tout à trente-trois ans.
Le lundi, je pars avant son retour, j’ai préparé nos filles et je les conduis à l’école comme tous les jours sauf lorsque Maurice est en rattrapage d’heures supplémentaire.
Je file au cabinet d’avocats mes envies de magistrature à cause de la venue des jumelles se sont transformées en serment d’avocat, mais mon métier m’éclate tout de même.

• Charles, je m’absente, je dois revoir mon client dans l’affaire sur laquelle je travaille, je serais de retour demain.

Charles, vieil homme de cinquante ans, m’a embauché dans son cabinet où je travaille avec deux autres avocats à essayer de gagner des affaires.
Je veux connaitre certaines choses pour reconquérir mon mari, on me dit accrocheuses dans mes dossiers, je veux qu’il en soit de même pour notre couple.
Lors d’une affaire de meurtre où je défendais le mari assassin, sa femme se rendait dans le quartier du centre international et allait baiser dans les hôtels avoisinants avec des hommes de passages.
Il avait des doutes, l’avait suivi et l’avait vu partir avec un homme.
Il les avait suivis jusqu’à la chambre d’hôtel ou il les avait flingués tous les deux.

• Je peux vous offrir un verre !

L’homme qui m’aborde est bien mis de sa personne, costume trois-pièces, mallette en cuir de la même couleur que ses chaussures et jusqu’au bracelet de sa montre, j’accepte.
Conversation entre amis, il est élégant, je le suis aussi, tailleur beige avec chemisier laissant apparaitre le début de la vallée de mes seins.
En temps normal, il est boutonné bien plus haut, lorsque je me suis regardé dans la glace des toilettes du cabinet, j’avais l’impression que je les montrais dans leurs intégralités.
Hauts talons, avec des bas noirs dont il peut admirer le début de mes jarretelles.
J’ai appris qu’il était au congrès à la conférence de dentistes et qu’il repartirait pour Nice le lendemain matin.
Nous nous échangeons nos prénoms, Sonia pour moi, Henri pour lui.
C’est dans l’ascenseur qui même à sa chambre qu’il me pose une question.

• Peux-tu me dire pourquoi une aussi jolie femme que toi, drague des mecs dans des bars ?
• C’est simple je voudrais que tu m’apprennes à être une salope.
• Explique-toi mieux ?
• Comme tu l’as vu à mon alliance, je suis mariée et mon mari me trompe avec une petite pétasse de dix-huit ans, notre baby-sitter.
Elle lui a laissé un message sur son portable lui disant que « sa petite salope lui sucera la queue, puisque ta femme te refuse ce plaisir. »
Je me suis mariée enceinte de mes filles, mais avec mon mari, je me laisse pénétrer sans savoir ce qu’il faut faire pour être une salope.
J’ai compris que j’avais des lacunes de ce côté et pour le reconquérir, je voudrais lui faire ce qu’elle lui fait !
• Je comprends, ma femme me refuse certaines privautés, c’est pourquoi lorsque je le peux, je vais dans des bars comme celui que nous venons de quitter chercher ce que la copine de ton mari appelle des salopes.
On est fait pour s’entendre, nous sommes à mon étage, je vais t’expliquer, lorsque nous serons dans ma chambre.

Les quelques mètres qui me séparent de sa chambre, sont un calvaire, cent fois j’ai envie de prendre mes jambes à mon cou et retourner vers les ascenseurs.

• Entre, nous avions peu de temps dans l’ascenseur, mais une femme mariée qui aime son mari est le seul qu’elle embrasse.
Je suis sûr que tu te demandes comment tu vas pouvoir accepter ma langue dans ta jolie bouche !
• Oui, je constate que c’est un instant difficile, déjà dans le couloir j’ai failli détaller.
• Je l’ai bien senti, je t’ai saisi la main plus fortement.
Une salope, dès la première fois m’aurait elle-même embrassé, sa bouche comme le reste elles aiment la partager.

Il me prend dans ses bras, suis-je déjà une salope, car mes lèvres s’ouvrent pour laisser passer sa langue.

• Merci, c’était très agréable, j’espère que pour toi aussi.
Étape numéro deux entre une femme fidèle comme tu l’étais et la copine de ton mari, c’est dans ta chambre et dans votre lit la lumière éteinte, il va de soi que vous décidez de faire l’amour.
Tu es mariée, tu as dû avoir des enfants comme moi j’en ai !
Lorsqu’il introduit son sexe en toi tu évites de faire du bruit à cause de tes enfants.

Je suis collé à lui, mes lèvres non loin de ses lèvres en attendant qu’il me révèle comment devenir une belle salope, même à mon âge...

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Début un peu brouillon on attend la suite



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