COLLECTION ADULTÈRE. Ma baby-sitter m’oblige à devenir une salope (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ADULTÈRE. Ma baby-sitter m’oblige à devenir une salope (2/2)
Vais-je réussir à devenir une salope pour essayer de récupérer mon mari qui pendant deux jours en baise une autre plus jeune que moi ?
Qui plus est Mado, celle qui l’aide à me faire cocu, est notre jeune baby-sitter ?
C’est en découvrant un mail sur le portable de Maurice mon mari que j’ai appris qu’ils étaient amants.
Je sais, c’est mal de regarder les messages de son mari.
Mais si je l’ai fait, c’est parce qu’il était sous la douche et que je savais que dans son métier d’inspecteur de police, souvent il a des urgences de travail.
Je décide moi aussi d’apprendre à en être une.
Pour apprendre, j’ai suivi un homme bien mis que j’ai trouvé dans un bar ayant servi à un de mes clients pour suivre sa femme et se faire ce qu’il appelait justice au tribunal.
Il me conduit dans sa chambre et commence mon éducation pour faire de moi la salope égale de Mado sa petite pute.
Il faut être une vraie pute pour baiser avec un homme marié ayant des enfants, même ça elle ne peut l’ignorer, c’est notre baby-sitter.
• Une salope après ce baiser, s’agenouillerait pour sortir la queue de son amant pour lui faire une bonne fellation.
Je sais que j’ai raison, car si j’ai bien compris, elle propose à ton homme de venir se faire faire ce que vulgairement on appelle des pipes ou des bouffardes.
Une fellation, j’ai déjà entendu ce mot, ce sont les putes qui font des fellations à leurs clients.
Dois-je devenir une pute, pour égaler la maîtresse de Maurice, mais je suis là pour apprendre, je me baisse en même temps qu’il défait sa ceinture ?
Sa verge me saute à la figure, je suis fière, pour la première fois du moins en le sachant et le voyant un homme bande pour moi.
J’évite toute comparaison avec mon habituel, surtout lorsque je la prends en main, là, c’est la première que je fais coulisser une verge entre mes doigts.
C’est drôle, c’est chaud alors que dans ma minette je n’ai jamais senti cette chaleur,
• C’est bien branle moi !
Moins vite, oui là tu as la bonne cadence, maintenant moment suprême ta bouche, sors ta langue et promène là sur mon gland avant de la faire entrer au plus loin que tu peux.
Vais-je pouvoir mettre ce morceau de chair, même bandant au maximum, dans ma bouche, ça demande quelques instants de réflexion.
J’ai encore le temps de me reprendre, de me lever, de lui dire merci et de le quitter.
• Je vois que tu as un moment d’hésitation, c’est normal si c’est la première fois.
Moi aussi j’étais comme ton mari, j’avais des fantasmes sans jamais les assouvir, depuis je lève des salopes comme toi !
Pardon, tu vois à te voir agenouiller ma bite en main, tu es déjà une salope, aller suces, ou veux-tu que je devienne un peu plus violent.
Certaines salopes aiment prendre quelques baffes avant de passer à l’action.
• Non, je suis contre la violence, petite mon père nous battait pour un rien et j’avais horreur de ça.
C’est vrai mon père était violent surtout avec maman, je l’entendais hurler de mon lit, mais à la remarque d’Henri, était-ce vraiment de la simple violence ?
Dans mes dossiers, j’en vois des vertes et des pas mûrs, j’ai souvent constaté que les gens violents aimaient retranscrire ce qu’ils avaient subi étant petits.
Aucune méprise, jamais au grand jamais, je n’ai levé la main sur mes filles, suis-je celle qui confirme ou non la règle.
Enfin lorsque je dis jamais, il m’est arrivé une fois ou deux de m’énerver, surtout lorsque je suis fatiguée ou que j’ai perdu une affaire, suis-je pour autant une salope tortionnaire.
J’ouvre ma bouche et il rentre presque à ce que je fasse des hauts le cœur.
• Tu vois, une simple menace et tu te mets au travail, syntonisent bien tes mouvements entre ta main et ta bouche.
Tu vois, c’est facile d’être une belle petite pouliche ou une petite chienne si tu préfères, oui, je vais faire de toi une petite chienne qui fera joujou avec des bites pour y prendre son plaisir.
Je recrache son morceau et je lève ma tête vers lui.
• Attends, tu as dû mal comprendre, je veux apprendre pour reconquérir mon mari contre Mado.
Tu seras le seul avec qui je vais le tromper et après c’est avec lui que je serais ce que tu veux que je sois, même sa petite chienne.
Henri éclate de rire, il est à deux doigts de me vexer.
• Je ris, car je suis là pour deux jours, je suis sûr que lorsque je t’aurais bien baisé, ce sera toi qui me demanderas de revenir demain pour une autre saillie.
Les belles chiennes cherchant leur lubricité en redemandent toujours dès le lendemain.
Dans mon courroux, je me suis relevée, Henri m’empoigne, il me retourne, soulève ma jupe et comme sa queue est dehors, il veut me sexer.
Je m’échappe.
• C’est ça que je veux que je mette, je voulais voir si dans ta précipitation à te faire mettre tu aurais oublié la petite protection nécessaire à toute salope.
J’espère que ton mari en fait de même avec sa petite Mado, certaines jeunes filles, nous font croire qu’elles sont vierges alors qu’elles ont des heures de vol sans protection.
Je me revois, apprendre que Maurice a un rancard avec sa pute.
À y bien y regarder, la lumière depuis ce jour a toujours été éteinte dans notre chambre, si Mado lui a refilé la chtouille ou toute autre maladie, suis-je protégée.
Le principal c’est qu’Henri se couvre.
• Veux-tu que je t’apprenne autre chose, même si tu dois baiser avec ton mari sans capote, lorsque tu te feras d’autres amants, tu peux les étonner en déroulant la capote avec ta jolie bouche ?
Regarde, tu la sors en ayant déchiré l’étui avec tes dents, tu la places sur la verge du salop que tu veux satisfaire et avec tes lèvres tu la déroules au maximum que tu peux.
Je franchie une étape, la capote est déroulée en place pour que nous puissions enfin baiser, j’ai tout bien fait comme Henri me l’a dit.
Je me surprends à avoir où mieux sentir cette verge à ma disposition en moi, ce doit être ça, être une chienne, ça coule entre mes jambes mouillant ma petite culotte.
Et à partir de là tout va très vite, nous sommes toujours dans l’entrée de la chambre, un guéridon est là, qui va me servir à me pencher, pour tendre mon cul.
Ma jupe est soulevée et j’entends un craquement en même temps que ma petite culotte me tire le ventre avant le moment où elle cède.
Henri est un peu violent, mais là j’apprécie surtout qu’il entre en moi d’une seule poussée.
Un veulement sort de ma bouche, merde, que c’est bon de le recevoir en moi.
• Tu vois, c’est ça une salope, simplement une femme qui se donne sans rechigner à l’ouvrage, je vois que tu reviens sur terre, j’ai cru que tu avais fait une attaque.
Comment je me retrouve nue sur le lit, les volets ouverts la lumière remplissant la chambre ?
Je suis dans les bras de cet homme inconnu de moi il y a encore quelques minutes, j’allais dire quelques heures.
• Tu es fou, c’est la première fois que je jouis comme ça, je suis ta salope.
• Arrête tu vas dire des choses que tu regretteras d’avoir dit lorsque tu rentreras chez toi.
Si j’ai été un bon coup, c’est tellement mieux pour toi, je dois rester un bon souvenir.
Tu m’as démontré que tu es une belle salope, du moins aussi belle que les autres que je me fais lorsque je m’échappe.
Tu peux me demander pourquoi j’en ramène dans ma chambre alors qu’il suffirait de faire de ma femme, l’une d’entre elles.
Tu vas rentrer chez toi, ton mari va te rejoindre, comme je le fais avec ma femme.
Tu voudras bien lui montrer ce que tu viens d’apprendre, mais tu seras bloquée, lui faisant comprendre qu’il est impossible que tu aies trouvé par toi-même tout ce que je viens de t’apprendre.
Je suis consciente de ce que me dit Henri, sa verge est flasque à quelques centimètres de ma bouche, ma main et cette dernière viennent s’en emparer.
C’est bien agréable de sucer une bite même différente de celle de mon homme.
Il bande, je fais quelque chose d’impensable, je me glisse sur lui et je m’empale sur ce pieu que j’ai aidé à déclencher.
Je m’empale un long moment, Henri est très résistant, il me fait jouir trois fois, mes cris emplissant la chambre.
• Touche finale à ta formation de salope, as-tu entendu parler de la levrette ?
• La femelle du lévrier ?
• Tu te serais foutu de ma gueule en me faisant croire que tu es là pour apprendre ce qu’est une salope !
Et ainsi récupérer ton mari qui en préfère une plus jeune à toi qui commence à prendre de l’âge, je me dirais que suis loin d’être dupe.
Mais la force de la conviction que tu as mise de me parler de la femelle du lévrier me fait penser que tu dis vrai sur tes connaissances de la sexualité.
Met toi à quatre pattes, à la limite met ta tête dans tes bras, c’est ça la levrette.
• Oh ! mon cul relevé, je suis à la merci que tu me la mettes dans le cul !
• Oui, c’est ce qu’il y a de bien dans cette position, une salope attendra le bon vouloir de son partenaire.
Je vais te donner le choix, ta chatte ou ton anus !
• J’ai trop peur d’avoir mal, recommence à me faire jouir par la chatte.
Voilà je suis rentré chez moi après qu’Henri m’ait bien défoncé la chatte, je suis paré pour le retour de Maurice après son prétendu planque se passant réellement dans les bras de Mado.
Là où je me suis sentie salope, c’est de prendre le métro la chatte à l’air sous ma jupe, ma petite culotte étant morte au champ d’honneur de mon dévergondage.
• Chéri, je suis contente que tu sois rentré de ces longues journées enfermées dans votre estafette.
Henri avait raison sur un point, je l’embrasse et comme l’autre salope a dû lui vider les couilles, il prétexte une grande fatigue pour aller dormir dès que l’on a diné.
Les enfants aussi le sont, je suis seule dans le salon, je regarde le morceau de papier de la nappe du roomservice qu’Henri a fait monter pendant deux séances de baise.
Son 06 me fait envie, je finis par lui envoyer un SMS
« Ce numéro... »
Le salop, c’est un mauvais numéro, j’en suis quitte pour me remémorer cette journée ou j’ai osé essayer d’apprendre à être une chienne, une salope.
• Chérie, j’emmène les enfants à l’école, passe une bonne journée.
Il me quitte, Henri avait raison, impossible de franchir les étapes que j’ai franchies avec lui jusqu’à onze heures où l’on sonne à la porte.
• Madame Sonia, un colis pour vous !
• Mais je te reconnais, tu as bien grandi, tu es le fils de notre gardienne, tu es en vacances, ça te fait quel âge ?
• Je suis Damien, j’ai dix-sept ans madame depuis trois jours.
Oui je suis en vacances mon internat est fermé et j’aide maman à distribuer le courrier, courir dans les étages, c’est plutôt de mon âge.
• Entre, tu veux une orangeade ou une bière, en me montant ce colis tu l’as bien mérité.
Si j’étais inculte en matière de salope, se faire sauter par un puceau, je sais que ça porte bonheur.
Damien a une tête de puceau, que la fête commence, surtout que j’ai bien entendu, il est là la durée des vacances.
Qui plus est Mado, celle qui l’aide à me faire cocu, est notre jeune baby-sitter ?
C’est en découvrant un mail sur le portable de Maurice mon mari que j’ai appris qu’ils étaient amants.
Je sais, c’est mal de regarder les messages de son mari.
Mais si je l’ai fait, c’est parce qu’il était sous la douche et que je savais que dans son métier d’inspecteur de police, souvent il a des urgences de travail.
Je décide moi aussi d’apprendre à en être une.
Pour apprendre, j’ai suivi un homme bien mis que j’ai trouvé dans un bar ayant servi à un de mes clients pour suivre sa femme et se faire ce qu’il appelait justice au tribunal.
Il me conduit dans sa chambre et commence mon éducation pour faire de moi la salope égale de Mado sa petite pute.
Il faut être une vraie pute pour baiser avec un homme marié ayant des enfants, même ça elle ne peut l’ignorer, c’est notre baby-sitter.
• Une salope après ce baiser, s’agenouillerait pour sortir la queue de son amant pour lui faire une bonne fellation.
Je sais que j’ai raison, car si j’ai bien compris, elle propose à ton homme de venir se faire faire ce que vulgairement on appelle des pipes ou des bouffardes.
Une fellation, j’ai déjà entendu ce mot, ce sont les putes qui font des fellations à leurs clients.
Dois-je devenir une pute, pour égaler la maîtresse de Maurice, mais je suis là pour apprendre, je me baisse en même temps qu’il défait sa ceinture ?
Sa verge me saute à la figure, je suis fière, pour la première fois du moins en le sachant et le voyant un homme bande pour moi.
J’évite toute comparaison avec mon habituel, surtout lorsque je la prends en main, là, c’est la première que je fais coulisser une verge entre mes doigts.
C’est drôle, c’est chaud alors que dans ma minette je n’ai jamais senti cette chaleur,
• C’est bien branle moi !
Moins vite, oui là tu as la bonne cadence, maintenant moment suprême ta bouche, sors ta langue et promène là sur mon gland avant de la faire entrer au plus loin que tu peux.
Vais-je pouvoir mettre ce morceau de chair, même bandant au maximum, dans ma bouche, ça demande quelques instants de réflexion.
J’ai encore le temps de me reprendre, de me lever, de lui dire merci et de le quitter.
• Je vois que tu as un moment d’hésitation, c’est normal si c’est la première fois.
Moi aussi j’étais comme ton mari, j’avais des fantasmes sans jamais les assouvir, depuis je lève des salopes comme toi !
Pardon, tu vois à te voir agenouiller ma bite en main, tu es déjà une salope, aller suces, ou veux-tu que je devienne un peu plus violent.
Certaines salopes aiment prendre quelques baffes avant de passer à l’action.
• Non, je suis contre la violence, petite mon père nous battait pour un rien et j’avais horreur de ça.
C’est vrai mon père était violent surtout avec maman, je l’entendais hurler de mon lit, mais à la remarque d’Henri, était-ce vraiment de la simple violence ?
Dans mes dossiers, j’en vois des vertes et des pas mûrs, j’ai souvent constaté que les gens violents aimaient retranscrire ce qu’ils avaient subi étant petits.
Aucune méprise, jamais au grand jamais, je n’ai levé la main sur mes filles, suis-je celle qui confirme ou non la règle.
Enfin lorsque je dis jamais, il m’est arrivé une fois ou deux de m’énerver, surtout lorsque je suis fatiguée ou que j’ai perdu une affaire, suis-je pour autant une salope tortionnaire.
J’ouvre ma bouche et il rentre presque à ce que je fasse des hauts le cœur.
• Tu vois, une simple menace et tu te mets au travail, syntonisent bien tes mouvements entre ta main et ta bouche.
Tu vois, c’est facile d’être une belle petite pouliche ou une petite chienne si tu préfères, oui, je vais faire de toi une petite chienne qui fera joujou avec des bites pour y prendre son plaisir.
Je recrache son morceau et je lève ma tête vers lui.
• Attends, tu as dû mal comprendre, je veux apprendre pour reconquérir mon mari contre Mado.
Tu seras le seul avec qui je vais le tromper et après c’est avec lui que je serais ce que tu veux que je sois, même sa petite chienne.
Henri éclate de rire, il est à deux doigts de me vexer.
• Je ris, car je suis là pour deux jours, je suis sûr que lorsque je t’aurais bien baisé, ce sera toi qui me demanderas de revenir demain pour une autre saillie.
Les belles chiennes cherchant leur lubricité en redemandent toujours dès le lendemain.
Dans mon courroux, je me suis relevée, Henri m’empoigne, il me retourne, soulève ma jupe et comme sa queue est dehors, il veut me sexer.
Je m’échappe.
• C’est ça que je veux que je mette, je voulais voir si dans ta précipitation à te faire mettre tu aurais oublié la petite protection nécessaire à toute salope.
J’espère que ton mari en fait de même avec sa petite Mado, certaines jeunes filles, nous font croire qu’elles sont vierges alors qu’elles ont des heures de vol sans protection.
Je me revois, apprendre que Maurice a un rancard avec sa pute.
À y bien y regarder, la lumière depuis ce jour a toujours été éteinte dans notre chambre, si Mado lui a refilé la chtouille ou toute autre maladie, suis-je protégée.
Le principal c’est qu’Henri se couvre.
• Veux-tu que je t’apprenne autre chose, même si tu dois baiser avec ton mari sans capote, lorsque tu te feras d’autres amants, tu peux les étonner en déroulant la capote avec ta jolie bouche ?
Regarde, tu la sors en ayant déchiré l’étui avec tes dents, tu la places sur la verge du salop que tu veux satisfaire et avec tes lèvres tu la déroules au maximum que tu peux.
Je franchie une étape, la capote est déroulée en place pour que nous puissions enfin baiser, j’ai tout bien fait comme Henri me l’a dit.
Je me surprends à avoir où mieux sentir cette verge à ma disposition en moi, ce doit être ça, être une chienne, ça coule entre mes jambes mouillant ma petite culotte.
Et à partir de là tout va très vite, nous sommes toujours dans l’entrée de la chambre, un guéridon est là, qui va me servir à me pencher, pour tendre mon cul.
Ma jupe est soulevée et j’entends un craquement en même temps que ma petite culotte me tire le ventre avant le moment où elle cède.
Henri est un peu violent, mais là j’apprécie surtout qu’il entre en moi d’une seule poussée.
Un veulement sort de ma bouche, merde, que c’est bon de le recevoir en moi.
• Tu vois, c’est ça une salope, simplement une femme qui se donne sans rechigner à l’ouvrage, je vois que tu reviens sur terre, j’ai cru que tu avais fait une attaque.
Comment je me retrouve nue sur le lit, les volets ouverts la lumière remplissant la chambre ?
Je suis dans les bras de cet homme inconnu de moi il y a encore quelques minutes, j’allais dire quelques heures.
• Tu es fou, c’est la première fois que je jouis comme ça, je suis ta salope.
• Arrête tu vas dire des choses que tu regretteras d’avoir dit lorsque tu rentreras chez toi.
Si j’ai été un bon coup, c’est tellement mieux pour toi, je dois rester un bon souvenir.
Tu m’as démontré que tu es une belle salope, du moins aussi belle que les autres que je me fais lorsque je m’échappe.
Tu peux me demander pourquoi j’en ramène dans ma chambre alors qu’il suffirait de faire de ma femme, l’une d’entre elles.
Tu vas rentrer chez toi, ton mari va te rejoindre, comme je le fais avec ma femme.
Tu voudras bien lui montrer ce que tu viens d’apprendre, mais tu seras bloquée, lui faisant comprendre qu’il est impossible que tu aies trouvé par toi-même tout ce que je viens de t’apprendre.
Je suis consciente de ce que me dit Henri, sa verge est flasque à quelques centimètres de ma bouche, ma main et cette dernière viennent s’en emparer.
C’est bien agréable de sucer une bite même différente de celle de mon homme.
Il bande, je fais quelque chose d’impensable, je me glisse sur lui et je m’empale sur ce pieu que j’ai aidé à déclencher.
Je m’empale un long moment, Henri est très résistant, il me fait jouir trois fois, mes cris emplissant la chambre.
• Touche finale à ta formation de salope, as-tu entendu parler de la levrette ?
• La femelle du lévrier ?
• Tu te serais foutu de ma gueule en me faisant croire que tu es là pour apprendre ce qu’est une salope !
Et ainsi récupérer ton mari qui en préfère une plus jeune à toi qui commence à prendre de l’âge, je me dirais que suis loin d’être dupe.
Mais la force de la conviction que tu as mise de me parler de la femelle du lévrier me fait penser que tu dis vrai sur tes connaissances de la sexualité.
Met toi à quatre pattes, à la limite met ta tête dans tes bras, c’est ça la levrette.
• Oh ! mon cul relevé, je suis à la merci que tu me la mettes dans le cul !
• Oui, c’est ce qu’il y a de bien dans cette position, une salope attendra le bon vouloir de son partenaire.
Je vais te donner le choix, ta chatte ou ton anus !
• J’ai trop peur d’avoir mal, recommence à me faire jouir par la chatte.
Voilà je suis rentré chez moi après qu’Henri m’ait bien défoncé la chatte, je suis paré pour le retour de Maurice après son prétendu planque se passant réellement dans les bras de Mado.
Là où je me suis sentie salope, c’est de prendre le métro la chatte à l’air sous ma jupe, ma petite culotte étant morte au champ d’honneur de mon dévergondage.
• Chéri, je suis contente que tu sois rentré de ces longues journées enfermées dans votre estafette.
Henri avait raison sur un point, je l’embrasse et comme l’autre salope a dû lui vider les couilles, il prétexte une grande fatigue pour aller dormir dès que l’on a diné.
Les enfants aussi le sont, je suis seule dans le salon, je regarde le morceau de papier de la nappe du roomservice qu’Henri a fait monter pendant deux séances de baise.
Son 06 me fait envie, je finis par lui envoyer un SMS
« Ce numéro... »
Le salop, c’est un mauvais numéro, j’en suis quitte pour me remémorer cette journée ou j’ai osé essayer d’apprendre à être une chienne, une salope.
• Chérie, j’emmène les enfants à l’école, passe une bonne journée.
Il me quitte, Henri avait raison, impossible de franchir les étapes que j’ai franchies avec lui jusqu’à onze heures où l’on sonne à la porte.
• Madame Sonia, un colis pour vous !
• Mais je te reconnais, tu as bien grandi, tu es le fils de notre gardienne, tu es en vacances, ça te fait quel âge ?
• Je suis Damien, j’ai dix-sept ans madame depuis trois jours.
Oui je suis en vacances mon internat est fermé et j’aide maman à distribuer le courrier, courir dans les étages, c’est plutôt de mon âge.
• Entre, tu veux une orangeade ou une bière, en me montant ce colis tu l’as bien mérité.
Si j’étais inculte en matière de salope, se faire sauter par un puceau, je sais que ça porte bonheur.
Damien a une tête de puceau, que la fête commence, surtout que j’ai bien entendu, il est là la durée des vacances.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Non elle ne l’oblige à rien. Soit elle accepte et fait pareil soit elle divorce soit elle lui retourne le cerveau. 🤷♀️🤔
Atalante.
Atalante.
Bonjour. Je trouve ton histoire originale et intéressante même si parfois le lecteur peut se perdre lorsque le narrateur change. Par ailleurs essaie d’entrer encore plus dans les détails sexuels. Laisse moi un message mail si tu veux en savoir plus. Bises. Rémi