COLLECTION ADULTÈRE. Semaine de rêve et pourtant (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ADULTÈRE. Semaine de rêve et pourtant (1/2)
Voilà, dans 30 minutes nous atterrirons à Orly.
Dans 30 minutes je retrouverais Bob, Lilas et Luc.
Bob bel homme la quarantaine, signes particuliers, se dégarnit et ses cheveux deviennent poivre et sel.
Lilas et Luc 20 ans, jumeaux dizygotes nés un an après notre mariage.
Pour eux le signe particulier, est qu’ils me pourrissent la vie toujours à se chamailler.
J’espérais qu’avec l’âge ça s’arrangerait mais hélas à ce jour je dois déchanter.
Tout a commencé deux mois plus tôt quand je suis rentrée du travail.
Je suis responsable de dossiers chez un courtier rachetant des crédits et autres prêts pour des personnes ayant des difficultés à constituer leur dossier.
- Georgina, tu as reçu une lettre de ta société.
Que te veulent-ils ?
J’ouvre la lettre, je la lis.
- Maman dit nous, ils te virent et il va falloir que nous abandonnions notre vie actuelle car les moyens vont nous manquer.
- Non, c’est une invitation.
- Une invitation, ton patron t’envoies une lettre pour t’inviter au restaurant.
Bob est un hyper jaloux.
J’en ai souffert au début de notre mariage surtout qu’il démarrait pour un rien.
C’est là que j’ai décidé de retravailler.
J’étais bien décidée à m’assumer pensant même le quitter si la situation empirait.
Je lui en ai fait grief et il s’est calmé, m’expliquant qu’il avait vu Marise ma belle-mère être volage et la peur que je sois la même le travaillait.
- Non pour une semaine dans un village de vacances en Martinique.
- C’est pire, il veut t’emmener dans un village de vacances pour me faire cocu.
- Papa tu nous emmerdes, attends que maman nous dise pourquoi cette invitation.
- Merci Lilas, c’est pour le cinquantième anniversaire de notre société et nous sommes tous invités.
Il est ajouté que pour ceux qui seront dans l’impossibilité de se libérer du 8 au 15 juin une prime de 1 000 € leur sera versé.
- Tu prends la prime, impossible que tu partes une semaine.
- Papa arrête d’être jaloux, on sait comment tu es !
Maman a trimé toute sa vie en s’occupant de nous et tu voudrais qu’elle touche de l’argent au lieu de se donner du bon temps en Martinique gratuitement.
- Lilas a raison papa, à son âge qui pourrait te faire cocu.
Ces mots ont été méchants mais sortants de la bouche de Luc j’ai trouvé ça normal.
Luc premier de la classe mais loin d’être une lumière lorsqu’il s’agit des relations humaines.
C’est un scientifique comme son père alors que moi et Lilas sommes très fortes dans les relations humaines.
Dans mon travail il faut rester calme devant des clients étant sûrs de leur bon droit pour emprunter de l’argent afin de réaliser leur fantasme.
Avant de partir, une cliente voulait de l’argent alors que le couple était à la limite du rouge bancaire pour sauver un vieux canasson dont le vieux propriétaire voulait l’envoyer pour être transformé en steak.
Elle m’a traité de salope et de pute.
Salope, je l’ignore avec Bob nous faisons l’amour classiquement depuis nos premiers rapports.
Tous juste la branlette classique allongée dans notre lit avant qu’il me pénètre me faisant jouir avec retenue à cause des enfants ayant leur chambre en face de la nôtre.
Rien que de bien classique après 20 ans de mariage.
Quant à Lilas, elle fait des études pour être politicienneÀ 10 ans, elle nous a dit qu’elle serait la première femme présidente de la République.
À ce jour c’est toujours possible, la France est dirigée par des hommes.
- Maman, répond que tu seras du voyage pour cette semaine au soleil.
Luc et moi nous nous occuperons de papa.
- Oui papa, tu verras nous te bichonnerons.
J’ai repéré un petit club échangiste, je t’y emmènerais, ça te fera passer le temps.
- Luc arrête tes conneries surtout quand on est encore puceau à 20 ans.
- Tu déconnes Lilas, il y a longtemps que je saute des gonzesses.
- Puisque vous êtes tous contre je m’incline.
Chérie, je sais que je peux te faire confiance part en Martinique.
Ce soir-là, je lui ai sauté au cou tellement j’ai été surprise de son acceptation.
Surtout qu’il a ajouté.
- Que ferions-nous de 1 000 € ?
À la date, valise fermée, avec à l’intérieur le maillot de bain sexy que j’ai caché à Bob, choisi par Lilas ainsi que quelques fringues pour mon séjour.
Vol allé sans problème et arrivé au village de vacances.
Dès les premières heures ma famille m’a manqué.
Je passe les réunions pour l’avenir de la société pour en arriver au premier soir de mon séjour.
Je suis en chambre seule.
Après le repas du soir, je devrais dire le buffet du soir, je suis dans le coin du bar sirotant un cocktail sans alcool.
Les autres danses dans cette nuit douce près de l’équateur.
C’est là que tout a commencé.
- Vous semblez triste belle dame.
Ici l’article 1 de mon village interdit la morosité.
- L’article 1 de votre village, vous en êtes le propriétaire ?
- Seulement le gérant.
- Vous êtes bien jeune pour une telle responsabilité.
- Je sais, tout le monde me le dit mais j’ai 28 ans et toutes mes dents.
Voilà vous avez souri.
Vous revenez dans les critères du village.
Ici tout le monde m’appelle Bobo.
Souvenir d’un temps de ma jeunesse où j’étais un gentil clown dans des villages du même genre que celui-ci.
- Toi, tu t’appelles Georgina, tu es très jeune et très belle.
Votre patron nous a donné des fiches sur chacun d’entre vous.
J’aimerais que nous profitions de cette soirée douceur du soir pour faire une promenade le long de la plage.
C’est la pleine lune, je vais te montrer une vision idyllique.
Je suis descendue de mon tabouret sans aucunement penser à mal.
Pour moi c’était une simple promenade au fil de l’eau.
Nous marchons suivant le clapotis.
Sur ce coin de côte martiniquaise, les vagues sont calmes.
Dans ce village, dans les chambres, nous avons trouvé à notre disposition des paréos transparents que nous enroulons autour de nous sur nos maillots de bain.
Je l’ai choisi bleu ça va avec mes grands yeux verts.
J’ai enlevé mes tongs que je tiens d’une main l’autre du côté de Bobo.
Je préférerais Antoine, pourquoi pas Gaston moi il faut se souvenir que j’ai la chance de m’appeler Georgina.
Dans la nuit, chaque fois que je tourne légèrement la tête, ma vue sur ses pectoraux me les montre dans toute leur splendeur.
Lorsqu’il est venu vers moi, c’est la première chose que j’ai vue avant de remarquer son crâne impeccablement rasé et ses grands yeux bleus.
Ce que j’aurais dû dire, quand il a été près de moi en se présentant c’est qu’il les a fait vibrer comme peu d’hommes sont capables de le faire.
Séduite, non, mais impressionnée, ici les femmes avec un tel homme ont cas bien se tenir.
Nous marchons et à un moment nos mains se touchent.
Son petit doigt s’enroule autour de mon auriculaire créant le contact.
Je me considère comme une femme fidèle et sérieuse, j’aurais dû le faire lâcher mais ça me touchait qu’un jeune garçon semble s’intéresser à moi.
Comme je l’ai dit, Bob est prévenant même trop prévenant sans pour autant l’en plaindre.
- Nous voici arrivés, mettons nos paréos au sol, nous les avons conçus pour ça.
Je lâche le petit doigt avec regret.
Mais avec aucune intention particulière à ce moment de mes souvenirs.
- Regarde Georgina, la lune et la mer font l’amour.
Il est vrai que la lueur blanche de la lune venant finir dans l’eau comme si elle voulait se laisser gober est magnifique.
Sans que je m’en rende compte au premier abord, Bobo vient poser son menton sur mon épaule.
Il tend son bras rendant son geste presque naturel.
- Tu vois comme c’est beau.
Je tourne la tête nos lèvres se trouvent.
Là je dois reconnaître que je sens ce que je fais.
Son bras entoure mes épaules et je me laisse tomber en pâmoison, j’ai irrésistiblement envie de plus.
Je me laisse aller sur mon paréo.
Fini la lune c’est la langue de Bobo qui devient mon centre d’intérêt.
Je suis déjà à lui avant d’avoir fait quoi que ce soit sur son corps…
Dans 30 minutes je retrouverais Bob, Lilas et Luc.
Bob bel homme la quarantaine, signes particuliers, se dégarnit et ses cheveux deviennent poivre et sel.
Lilas et Luc 20 ans, jumeaux dizygotes nés un an après notre mariage.
Pour eux le signe particulier, est qu’ils me pourrissent la vie toujours à se chamailler.
J’espérais qu’avec l’âge ça s’arrangerait mais hélas à ce jour je dois déchanter.
Tout a commencé deux mois plus tôt quand je suis rentrée du travail.
Je suis responsable de dossiers chez un courtier rachetant des crédits et autres prêts pour des personnes ayant des difficultés à constituer leur dossier.
- Georgina, tu as reçu une lettre de ta société.
Que te veulent-ils ?
J’ouvre la lettre, je la lis.
- Maman dit nous, ils te virent et il va falloir que nous abandonnions notre vie actuelle car les moyens vont nous manquer.
- Non, c’est une invitation.
- Une invitation, ton patron t’envoies une lettre pour t’inviter au restaurant.
Bob est un hyper jaloux.
J’en ai souffert au début de notre mariage surtout qu’il démarrait pour un rien.
C’est là que j’ai décidé de retravailler.
J’étais bien décidée à m’assumer pensant même le quitter si la situation empirait.
Je lui en ai fait grief et il s’est calmé, m’expliquant qu’il avait vu Marise ma belle-mère être volage et la peur que je sois la même le travaillait.
- Non pour une semaine dans un village de vacances en Martinique.
- C’est pire, il veut t’emmener dans un village de vacances pour me faire cocu.
- Papa tu nous emmerdes, attends que maman nous dise pourquoi cette invitation.
- Merci Lilas, c’est pour le cinquantième anniversaire de notre société et nous sommes tous invités.
Il est ajouté que pour ceux qui seront dans l’impossibilité de se libérer du 8 au 15 juin une prime de 1 000 € leur sera versé.
- Tu prends la prime, impossible que tu partes une semaine.
- Papa arrête d’être jaloux, on sait comment tu es !
Maman a trimé toute sa vie en s’occupant de nous et tu voudrais qu’elle touche de l’argent au lieu de se donner du bon temps en Martinique gratuitement.
- Lilas a raison papa, à son âge qui pourrait te faire cocu.
Ces mots ont été méchants mais sortants de la bouche de Luc j’ai trouvé ça normal.
Luc premier de la classe mais loin d’être une lumière lorsqu’il s’agit des relations humaines.
C’est un scientifique comme son père alors que moi et Lilas sommes très fortes dans les relations humaines.
Dans mon travail il faut rester calme devant des clients étant sûrs de leur bon droit pour emprunter de l’argent afin de réaliser leur fantasme.
Avant de partir, une cliente voulait de l’argent alors que le couple était à la limite du rouge bancaire pour sauver un vieux canasson dont le vieux propriétaire voulait l’envoyer pour être transformé en steak.
Elle m’a traité de salope et de pute.
Salope, je l’ignore avec Bob nous faisons l’amour classiquement depuis nos premiers rapports.
Tous juste la branlette classique allongée dans notre lit avant qu’il me pénètre me faisant jouir avec retenue à cause des enfants ayant leur chambre en face de la nôtre.
Rien que de bien classique après 20 ans de mariage.
Quant à Lilas, elle fait des études pour être politicienneÀ 10 ans, elle nous a dit qu’elle serait la première femme présidente de la République.
À ce jour c’est toujours possible, la France est dirigée par des hommes.
- Maman, répond que tu seras du voyage pour cette semaine au soleil.
Luc et moi nous nous occuperons de papa.
- Oui papa, tu verras nous te bichonnerons.
J’ai repéré un petit club échangiste, je t’y emmènerais, ça te fera passer le temps.
- Luc arrête tes conneries surtout quand on est encore puceau à 20 ans.
- Tu déconnes Lilas, il y a longtemps que je saute des gonzesses.
- Puisque vous êtes tous contre je m’incline.
Chérie, je sais que je peux te faire confiance part en Martinique.
Ce soir-là, je lui ai sauté au cou tellement j’ai été surprise de son acceptation.
Surtout qu’il a ajouté.
- Que ferions-nous de 1 000 € ?
À la date, valise fermée, avec à l’intérieur le maillot de bain sexy que j’ai caché à Bob, choisi par Lilas ainsi que quelques fringues pour mon séjour.
Vol allé sans problème et arrivé au village de vacances.
Dès les premières heures ma famille m’a manqué.
Je passe les réunions pour l’avenir de la société pour en arriver au premier soir de mon séjour.
Je suis en chambre seule.
Après le repas du soir, je devrais dire le buffet du soir, je suis dans le coin du bar sirotant un cocktail sans alcool.
Les autres danses dans cette nuit douce près de l’équateur.
C’est là que tout a commencé.
- Vous semblez triste belle dame.
Ici l’article 1 de mon village interdit la morosité.
- L’article 1 de votre village, vous en êtes le propriétaire ?
- Seulement le gérant.
- Vous êtes bien jeune pour une telle responsabilité.
- Je sais, tout le monde me le dit mais j’ai 28 ans et toutes mes dents.
Voilà vous avez souri.
Vous revenez dans les critères du village.
Ici tout le monde m’appelle Bobo.
Souvenir d’un temps de ma jeunesse où j’étais un gentil clown dans des villages du même genre que celui-ci.
- Toi, tu t’appelles Georgina, tu es très jeune et très belle.
Votre patron nous a donné des fiches sur chacun d’entre vous.
J’aimerais que nous profitions de cette soirée douceur du soir pour faire une promenade le long de la plage.
C’est la pleine lune, je vais te montrer une vision idyllique.
Je suis descendue de mon tabouret sans aucunement penser à mal.
Pour moi c’était une simple promenade au fil de l’eau.
Nous marchons suivant le clapotis.
Sur ce coin de côte martiniquaise, les vagues sont calmes.
Dans ce village, dans les chambres, nous avons trouvé à notre disposition des paréos transparents que nous enroulons autour de nous sur nos maillots de bain.
Je l’ai choisi bleu ça va avec mes grands yeux verts.
J’ai enlevé mes tongs que je tiens d’une main l’autre du côté de Bobo.
Je préférerais Antoine, pourquoi pas Gaston moi il faut se souvenir que j’ai la chance de m’appeler Georgina.
Dans la nuit, chaque fois que je tourne légèrement la tête, ma vue sur ses pectoraux me les montre dans toute leur splendeur.
Lorsqu’il est venu vers moi, c’est la première chose que j’ai vue avant de remarquer son crâne impeccablement rasé et ses grands yeux bleus.
Ce que j’aurais dû dire, quand il a été près de moi en se présentant c’est qu’il les a fait vibrer comme peu d’hommes sont capables de le faire.
Séduite, non, mais impressionnée, ici les femmes avec un tel homme ont cas bien se tenir.
Nous marchons et à un moment nos mains se touchent.
Son petit doigt s’enroule autour de mon auriculaire créant le contact.
Je me considère comme une femme fidèle et sérieuse, j’aurais dû le faire lâcher mais ça me touchait qu’un jeune garçon semble s’intéresser à moi.
Comme je l’ai dit, Bob est prévenant même trop prévenant sans pour autant l’en plaindre.
- Nous voici arrivés, mettons nos paréos au sol, nous les avons conçus pour ça.
Je lâche le petit doigt avec regret.
Mais avec aucune intention particulière à ce moment de mes souvenirs.
- Regarde Georgina, la lune et la mer font l’amour.
Il est vrai que la lueur blanche de la lune venant finir dans l’eau comme si elle voulait se laisser gober est magnifique.
Sans que je m’en rende compte au premier abord, Bobo vient poser son menton sur mon épaule.
Il tend son bras rendant son geste presque naturel.
- Tu vois comme c’est beau.
Je tourne la tête nos lèvres se trouvent.
Là je dois reconnaître que je sens ce que je fais.
Son bras entoure mes épaules et je me laisse tomber en pâmoison, j’ai irrésistiblement envie de plus.
Je me laisse aller sur mon paréo.
Fini la lune c’est la langue de Bobo qui devient mon centre d’intérêt.
Je suis déjà à lui avant d’avoir fait quoi que ce soit sur son corps…
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