COLLECTION ADULTÈRE. Une chance de cocu (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ADULTÈRE. Une chance de cocu (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ADULTÈRE. Une chance de cocu (2/2)
Je m’excuse de vous avoir quitté ayant juste entendu un coup de frein.
Bonjour madame en blanc !
Pourquoi ai-je ce tuyau dans la bouche, avant de comprendre que j’étais cocu, le virus sévissant, les gens se retrouvaient en réanimation avec ce genre de tuyaux dans la bouche.
Ai-je attrapé à mon tour le virus, me retrouvant en réanimation ?
J’étais bien à dormir, je sais que les gens intubés y restent environ trois semaines, c'était hier que mon cerveau a enregistré ce coup de frein et je rajoute, le grand choc, le lando m’ayant percuté.
Ça, aujourd’hui je m’en souviens.

• Docteur, notre patient vient de se réveiller.

Le temps, Phil connaît bien, par où je passe, avant d’apprendre que je suis cocu et que j’étais au chômage lisant par les lignes de Chris71 son histoire avec Iris, son épouse.
J’ai bien aimé, comment il s’est fait avoir par Livio dont il a cru qu’il voulait, lui aussi le faire cocu alors que s’était seulement un gay refusant de s’assumer.
Pourquoi cette histoire me revient-elle dans mon crâne ?
À oui, il se réveillait et replongeait, comme je me réveille et que je replonge.
Dans leur histoire, j’étais pro Iris, car j’avais la certitude qu’une femme que l’on aime nous le rend comme je pensais que Salomé me le rendait.
Aujourd’hui, je vais reprendre mon jugement, toutes les femmes sont des salopes.
Mais bon j’ai envie de dormir.

• Bonjour, monsieur Julien, je suis content que vous nous ayez rejoints !
Vous revenez de loin, vous avez eu un accident de la route et j’ai été obligé de vous mettre dans un coma artificiel.
Nous vous avons réveillé en douceur, dès que j’ai pu réduire vos fractures et que j’ai principalement sauvé cette jambe coincée sous le lando et le camion qui vous a renversé !
• Docteur, la mémoire me revient, j’étais avec une dame d’un certain âge, la baronne.

Tient, c’est drôle, j’ai passé des mois à me faire sucer la queue et lui bouffant sa vieille chatte dans mes délires élitiques, je l’ai toujours appelé par ce qui devait être son titre, « la baronne ».

• Aujourd’hui, vous êtes sorti d’affaire, j’ai la douloureuse charge de vous dire que le camion l’a tuée !
Elle a déjà été enterrée.

Voilà pourquoi j’ai dans les oreilles un grand bruit de freins, nous étions bourrés, mais sur un passage clouté.
Il est interdit de rouler en étant bourré, mais marcher sur un passage sur piéton, c’est le gros cul qui va l’avoir dans le cul !

Phil avait la vision un arbre au milieu de la route qu’il avait percuté ce demandant ce qu’il faisait là !
Ce con, il a dû donner un coup de volant voulant en finir avec sa vie.
Pardon Phil, ce con est de trop, moi, c’est dans le picrate que je me suis réfugié quand j’ai vu que j’étais cocu de longue date.
Phil, toi, c’est dans la vitesse que tu avais extériorisé ta frustration, finissant dans un arbre , moi c’est dans l’alcool.
Chacun son destin.
Par compte, la baronne, j’ignorais même son nom et même le motif l’ayant amené à la déchéance où elle vivait, malgré les bouteilles extraordinaires qu’elle me faisait boire.

Dans cette chambre d’hôpital une chose nous rapproche avec Phil, la jeune infirmière qui vient de rentrer dans ma chambre.
Il les entendait, moi je la vois en chair et en os, jolie blonde aux yeux bleus !
Hélas, elle a deux bagues aux doigts, une pour ses fiançailles, l'autre un anneau de mariage.
Sur sa blouse à l’endroit du sein que j’aperçois quand elle se penche par l’échancrure de sa blouse, le nom Pauline est imprimé !
Pauline je t’aime, mais là ce sont les tranquillisants qui me font dire des conneries.
Je finis par retrouver toute ma lucidité, on frappe à ma porte, poli je fais entrer.

• Monsieur, je m’appelle Baudoin.
Je suis l’avocat de votre femme, elle vous a fait chercher pendant les longs mois de votre disparition.
Elle demande le divorce, voici les papiers.
Étudiez-les, je repasserai dans quelques jours, vous me direz ce que vous en pensez.

Me séparer de Salomé après ce que je sais, si c’est pour qu’elle épouse le beau Serge, elle risque d’attendre longtemps !
C’est le lendemain, que les choses s’accélèrent, une nouvelle fois on frappe à ma porte.
Un avocat hier et aujourd’hui deux hommes, se présentant à moi.

• Bonjour, monsieur Julien, j’étais le majordome de la baronne de Laissac, qui, hélas, vient de mourir sous les roues d’un camion.
Je m’appelle Salvador.
La baronne est morte sans enfants et aussi sans la moindre descendance.
La dernière fois qu’elle était venue prendre des bouteilles dans la cave de son regretté mari, elle m’a laissé des directives !
Elle avait perdu la notion des choses à la mort de son mari et à celle dans le même temps de sa maman dont elle était très proche.
C’est dans la maison de sa maman qu’elle s’était réfugiée et où elle vivait avec vous.
Lors de sa venue, elle m’a demandé de convoquer, maître Jacques, ici présent, notaire de son état et vous a fait légataire de tous ces biens.
Maître, c’est à vous !

Je vais faire court, j’hérite de bien en maison et autres hectares de vignes, mais aussi après impôt payé de plus de 200 millions d’euros.

• J’ai combien de temps pour accepter l’héritage ?
• Vous avez dix ans, vous envisagez de refuser dans ce cas, tout ira à l’état.
• Vous verrez bien, revenez dans quelques jours.

Les papiers du divorce, je trouve le numéro de téléphone de l’avocat de ma femme.
Un coup de fil, je signe des deux mains sans poser la moindre question.
Salomé pourrait réclamer une partie des biens dont j’hérite, alors une fois que notre séparation est entérinée, le magot est intégralement pour moi.
J’ai une chance de cocu, c’est le cas de le dire.

Je suis debout sur des béquilles pour signer le contrat à l’amiable avec Salomé qui comme je le pressentais étais accompagnée par le beau Serge.
Dans le palais nous passons après Pauline l’infirmière qui rendait ses bagues à son mari, une cocue de plus.
Je pourrais trouver le moyen de l’inviter, voire de l’épouser, mais pourquoi prendre des risques.
Je suis sur la terrasse du manoir qui était dans l’héritage, servi par Salvador, je lis la page économique du journal local, quand je tombe sur un titre.

« Un entrepreneur bien connu de notre région, il était surnommé le beau Serge, il vient d’être arrêté avec Salomé sa future femme enceinte de lui après la découverte dans la forêt d’un corps déterré par des sangliers.
Le couple machiavélique a reconnu avoir tué et enterré cette pauvre femme, Constance, afin d’épouser sa maîtresse.
Nous vous tiendrons au courant des suites de l’enquête, ce qui est certain, c’est que depuis hier le couple dort en prison préventive ! »
Dans ma tête, je bande littéralement de plaisir, nul au-dessus des lois, un jour ou l’autre lorsque l’on fait des saloperies, la justice vous rattrape.
Lorsque je suis partie, après les révélations sur la fidélité de Clarisse, j’avais abandonné ma petite Twingo, dans une petite rue en panne d’essence.
Ou peut-elle être, je confis à Salvator le soin de la retrouver.
C’est à la fourrière de la grande ville qu’elle est retrouvée.
Elle est dans les écuries que le mari de celle que je continue à appeler simplement la baronne les avait transformés en garage.
Elle est enterrée, du moins son urne au pied d’une statue devant moi sur la pelouse.
Lorsque j’étais à l’hôpital, conformément à ses désirs, Salvator l’a fait incinérer, mais sachant déjà que j’étais son héritier sans m’avoir vu, je l’ai trouvé sur la cheminée de sa chambre.
J’ai fait une petite cérémonie et j’ai fait une déclaration sur l’honneur que ses cendres avaient été dispersées sur le domaine du manoir.
Toutes les semaines, la fleuriste de notre village vient déposer un bouquet de roses rouge sur sa tombe que Salvator a creusée.
C’est ma contribution au cadeau qu’elle m’a faite alors que je voulais simplement ses bouteilles de vin en la baisant chaque fois que je le voulais.
Mais à part moi qui le sait.
Les femmes, je suis encore jeune et toutes traces d’alcool, disparu de mon sang après analyses, j’ai pris l’habitude d’en fréquenter.
La cave ou des centaines de bouteilles, de toutes les régions de France, je lui ai fait mettre une grille fermée par une clef dans les mains de mon cher Salvador, étant devenu mon ange gardien.
C’est aussi lui qui connaît mes goûts en matière de femme.

• Monsieur Julien, mademoiselle Cassiopée est arrivée, je lui ai remis l’enveloppe, elle se prépare dans la salle de bain.

Cassiopée, certainement un nom d’emprunt, mais je m’en contrefiche, seul son cul et sa chatte m’intéresse.
Ça fait deux fois que cette pute vient au manoir pour que nous baisions.
J’ai parlé de Pauline, je la revois chaque fois que je me rends à l’hôpital dans cette très belle voiture de marque Bentley.
C’est Salvador qui la conduit, elle était dans l’écurie où je l’ai découverte à mon arrivée.
Elle me fait les yeux doux, mais malgré moi qui serait attiré si la trahison de Clarisse étant toujours imprimée en moi montait à mon cerveau chaque fois que j’envisage de lui proposer de sortir avec moi.
Avec Cassiopée, c’est facile, surtout que c’est la deuxième fois que Salvator la paye pour venir se faire sauter.
Deuxième et dernière fois, c’est un principe que j’ai mis en pratique, même d’une pute, je me méfie.
Il y en a tant sur le marché, même blonde comme Cassiopée qui arrive en bas et porte-jarretelles du plus bel effet me faisant bander immédiatement.

• Viens me sucer Cassiopée !

Avec ces escortes, c’est facile, tu payes et tu donnes des ordres au prorata de ce que tu as payé.
Et payer, j’en ai largement les moyens.
Dans l’enveloppe que Salvador lui a remise sa prestation comprenait une bonne sodomie, j’adore les sodomiser, certainement mon côté macho.

Aujourd’hui, j’ai rendez-vous à l’hôpital, pour m’enlever mes béquilles.
Je suis dans un escalier où je loupe la dernière marche pressée que l’on m’ôte mes tuteurs.
Une infirmière vient m’aider à me relever.

• Pauline, êtes-vous libre ce soir, j’aimerais vous inviter au restaurant.

Je sais mes résolutions sur les femmes et le risque d’être cocu.
Ce genre de résolution peut être cru que par ceux qui les transgressent.

• Salvador, apporte-nous deux jus d’orange bien frappés.

Phil, je tiens le coup, c’est facile Pauline a horreur de boire de l’alcool.
Elle a pris une cuite lorsqu’elle a eu son diplôme d’infirmière se retrouvant mariés quelques jours plus tard avec ce gros con dont nous savons qu’elle a divorcé le même jour que moi avec Clarisse.

• Chérie, appelle Louison qui joue avec les roses de la baronne qui ont été livrées ce matin.

Louison, presque deux ans et qui adore effeuiller le bouquet de roses depuis qu’elle a fait ses premiers pas.
Je pose ma main sur son ventre, petit Christophe est là, la baronne s’appelait Louise de Lissac, son mari Christian de Lissac.
En choisissant les noms des enfants, c’est un peu pour les remercier de la chance de cocu que nous avons eu que nous leur avons donnés.

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