COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Mission en France. Début de la saison I (

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Mission en France. Début de la saison I ( Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Mission en France. Début de la saison I (
Voici le début d’une de mes aventures.
Celle-ci se déroulera en France et comportera III saisons de 3 et 4 chapitres.
Bonne lecture.

- Bonjours madame Marion, monsieur le président désir vous voir en toute urgence.
- Merci Alexandre je m’y rends tout de suite.

Vous vous rappelez, c’est moi qui suis allée en mission avec le lieutenant Luc, béret vert comme moi où nous avons été exécuter les cibles qui nous sont désignées.
Je suis la femme aux deux facettes, mère au foyer aimant la douceur de son mari et de mes deux enfants.
Mais devenant chienne capable de couper la gorge des cibles qui me sont désignées par notre président.
Le service que je dirige est tout à fait illégal et pour cela invisible de tous.
Surtout de l'administration gérée par des hommes et des femmes de l’ombre qui sont prêts à tout pour garder notre démocratie même si pour cela il faut s’absoudre des règles habituelles.
J’ai à ma disposition la crème des services tous issus des bérets verts dont je suis originaire.
Qui croyez-vous vous protège en ce moment de garçons et même de filles partie combattre à l’autre bout du monde pour une cause réprouvée par tous dans le monde.
Nous.
Lorsque l’un ou l’une de ces soldats est repéré, c’est nous qui nous arrangeons pour qu’ils ou elles évitent de se retrouver devant nos juges.
Jusqu’à ce jour nous croyons en elle, mais avec ces fanatiques elle est bien impuissante, nous comme je l’ai prouvé dans la mission avec Luc nous en avons les capacités.
En règle générale, mes équipes et moi agissons en opérations extérieures.
Là c’est sur le territoire plus précisément à Paris qu’en solo je dois agir.
La drogue est un fléau or depuis quelque temps un réseau s’est développé parallèlement à la crise des réfugiés et se sert d’eux pour faire fructifier leur business.
La police des drogues a enquêté mais est dans l’incapacité d’infiltrer cette bande leur formation étant tout autre que celle que j’ai subie.
Savoir se dissimuler c’est l’un de nos atouts et éliminer définitivement cette gangrène de la surface de la terre.

- C’est à moi seul que vous rendrez compte dès que vous aurez trouvé qui peut être à la tête de ce réseau.
- Je peux rester en contact avec Alexandre mon bras droit si j’ai besoin d’un coup de main.
Par exemple, avec votre prédécesseur j’ai déjà réalisé une mission du même type et je mettrais un bracelet en cuir comme on en trouve dans toutes les boutiques de souvenirs où il est marqué Paris.
C’est discret et nous saurons où nous retrouver pour que je demande un coup de main.
- Je vous fais entièrement confiance, si vous dites que votre mission sera renforcée si vous pouvez rencontrer votre bras droit vous avez carte blanche.
- Merci monsieur le Président, je vais tous faire pour servir notre république.

Je quitte le bureau de notre chef suprême quand il me retient.

- Commandant Marion, gaffe à vous, vous savez comme….
- Oui monsieur le Président.

Couper la parole au Président peu de gens ont la capacité de le faire, je me le permets.

- Commandant Marion, vous allez vous retrouver dans un marigot impossible, si vous sentez ou voyez quelque chose qui peut servir le pays, frappez sans attendre mon ordre.

Ça c’est la cerise sur le gâteau, par ces mots je deviens OSS117, James Bond, il me donne le permis de tuer si j’en sens la nécessité.

- Louis, je rentre chez moi, demain matin à l’heure habituelle.
- Bien madame, je serais là.

Par chance, c’est mercredi, mes enfants étant gardés par la nurse.

- Alicia, prenez votre journée, je m’occupe de mes enfants.
Voulez-vous aller au zoo ?
- Oui maman.
Tu vas nous quitter ?
- Bonjour chérie, j’ai reçu un coup de téléphone de mon ministre de venir te rejoindre pour passer l’après-midi en famille.
Tu pars en mission.
- Oui.
- J’espère que ce sera moins dangereux que le Mali, j’ai bien vu qu’un des marins était blessé.
- Sois sans crainte, je pars en Martinique, à ce que je sais, c’est calme là-bas.
- Tu vas t’occuper de pomme de terre maman ?
- Non mon chéri, là ce sont des bananes qui nous sont livrées alors qu’elles sont traitées au chlordécone ce qui est interdit pour être livré à nos armées.
- Maman avec ma sœur on va manger des bananes tous les jours en pensant à toi.

Nous sommes en décembre, à quinze jours de Noël, c’est dur car je sais qu’à Noël je les abandonnerais à leur père.
Je me souviens des patates il y a presque un an.
Entre-temps mon fils est rentré au CP montrant les mêmes signes d’intelligence que sa maman et son papa.
Quant à ma fille bientôt quatre ans, sa première année de maternel c’est bien passée, elle me fait des dessins où son papa c’est papa et moi c’est maman Marion.
Commandant Marion, maman Marion, j’ai presque une larme aux yeux.

- Papa regarde, c’est un nasique, Nasalis Larvatus, ils vivent en liberté sur l’île de Bornéo où il en reste environ 7 000.
Ils sont en voie de disparition.
Regarde papa il a un gros nez un peu comme toi.

Plus de 6 ans, intelligent sur les animaux, il veut toujours des livres sur eux.
Mais encore petit pour éviter les comparaisons blessantes bien que lorsque je lève la tête posée sur l’épaule de celui avec lequel je partage la part claire de ma vie.
Il est vrai qu’il a un gros nez.
Le soir je suis de nouveau lové dans ses bras, il m’embrasse avec amour.
Jusqu’à où sous son regard tendre se doute-t-il la chienne qui est capable de tout pour servir mon pays, c’est ça les bérets verts principalement issus des commandos marines.
Quand nous avons créé notre section spéciale, il nous a fallu trouver une devise.
Tous ont été unanime même si cette devise est connue seulement des initiés.

« Marche ou crève. »
Marche, non, écarte tes cuisses pour recevoir le sabre familial.
Sans avoir oublié de fermer notre porte à clef car mon fils est encore venu l’autre nuit pour nous demander un renseignement sur les lions d’Afrique.
Il est bien capable de venir me demander ce qu’est le chlordécone pour les bananes.
J’ai trouvé cette réponse quand il a posé la question, avant mon retour je vais devoir apprendre ce qu’est un régime bien que je sois loin d’en avoir besoin surtout quand demain je pars en mission.

Au matin, je vais embrasser mes enfants avant qu’ils se réveillent.
Ce serait trop dur de les serrer sur mon cœur sachant ce que je risque d’aller faire.
Gontran m’a apporté le havre de paix qu’il est pour moi.
J’ai joui différemment que lors de ma mission officiellement au Mali je me suis donnée pour calmer les frayeurs intérieures des moments que nous avons passées avec Boby mon halter égo béret vert.
Marche ou crève, je rejoins ma pièce interdite.
Je sais que ma tenue de combat me sera interdite si je veux réussir ma mission, mais je l’enfile car il va me falloir me préparer à me transformer si je veux avoir de la crédibilité dans ma mission.
Sans oublier, j’enlève mon alliance que je pose sur son support mis là à cet usage.

Le commandant Marion entre en piste.

- Bonjours Alexandre, tout est près.
- Oui madame, Giselle vous attend.
- Vous pouvez venir, je dois voir des détails avec vous et je souhaite être prête le plus tôt possible.

Je passe dans une salle où je vais changer mon look pour passer pour celle que je veux ressembler.
Comme d’habitude faisons cours l’action est meilleure que sa préparation.
Je montre mes fesses à Giselle, la jeune maquilleuse de notre équipe.
C’est elle qui me donne le bain pour foncer mon corps afin de ressembler à la communauté que je vais rejoindre.
La teinture quelle emploi est indélébile pendant presque six mois.
Sauf à se tremper dans une autre solution qui me donnera mon corps d’avant.
Alexandre est là et semble toujours flegmatique, on dirait un Anglais.
Si pour le commun des mortels, l’ensemble de ceux qui travaillent avec lui l’ignore, j’ai bien vu son dossier et il vit en couple avec un assistant parlementaire d’un député.
Les femmes il s’en fiche, il est comme moi quand je suis en mode salope, il adore la bite.

- Commandant, donnez-moi vos mains.

Marche ou crève.
Je suis à deux doigts de vouloir crever quand elle se sert de pince à ongles me coupant les miens que j’ai laissé repousser depuis ma dernière mission.
Une de nos agents est tombée car elle était trop belle pour la mission qu’elle devait couvrir.
Par chance, nous avons réussi à sauver sa vie mais dans la check liste que Giselle doit suivre avant de me dire bonne au combat, les ongles en font partis.
Si mon mari et mes enfants pouvaient me voir quand je suis prête, ils passeraient vers moi sans me reconnaître.
Cheveux en broussaille, pantalon crade avec basket du même genre.
Marcel bleu, vous savez ceux que les hommes portes sur les chantiers ayant du mal à empaqueter mes seins plus que bronzés.
Seule touche, un blouson blanc pouvant passer pour saugrenue.
À trop se cacher, on est suspect et ce blouson blanc est celui qui va me permettre d’éviter ce problème.
Sous mes ongles, de la terre me les salit comme toute routarde pourrait en avoir.

Je rejoins Louis au parking avec le sac à dos oui j’ai quelques affaires de rechange.
Dans mes affaires, aucune pièce d’identité.
Prenant un peu de risque, je place mon objet fétiche ma lame que j’ai sorti de sa retraite.
Il est au volant d’une voiture banalisé et me dépose à Saint-Omer à quelques kilomètres de Calais.
Je fais du stop sur cette petite route, un transporteur routier s’arrête.
Ma mission commence officiellement quand je monte à ses côtés.
Madame Marion a de nouveau laissé la place au commandant Marion…

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