COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Mission en France. Saison I (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Mission en France. Saison I (2/3)
Voilà c’est parti, je suis en chemin pour la nouvelle mission que la présidence m’a confié pour protéger la France.
Ma formation chez les commandos marines bérets verts avant qu’un des anciens présidents me confie la mission de créer une cellule spéciale dont je suis le fer de lance pour réaliser des missions secrètes, plus que secrètes car officiellement inexistante en cas d’accident.
« Marche ou crève »
Telle est la devise que nous avons choisie.
Crève, je suis loin d’être pressée et marcher ?
Marcher je l’ai déjà fait deux jours durant m’arrêtant simplement pour pisser ou boire une bouteille d’eau.
Mais ça s’était lors de ma formation, aujourd’hui je lève le pouce préférant rouler en camion.
C’est ce que je fais quelques kilomètres après que Louis mon chauffeur m’eut déposé au bord de cette route vide de toute présence humaine susceptible de dire m’avoir vu en descendre.
Dans cette mission, je vais me servir de mes connaissances en arabe que je parle couramment pour entrer dans le milieu de réfugier venant de plusieurs pays du Maghreb, du Moyen-Orient ou d’ailleurs pour la réussir.
- Calais ?
- Ya.
Je lui parle en Arabe.
Je vois qu’il est loin de me comprendre.
Je parle allemand parmi les neuf langues que je pratique mais il faut que j’évite de me découvrir.
- Français ?
- Un peu.
J’ai dit français comme pourrait le dire une vache espagnole, surtout dans l’accent.
- England.
- Si, fammily !
- Marida ?
- No freiro.
- Ya breder !
- No freiro.
- Si frère !
- Ah si.
Crevant mais efficace, on se comprend.
Il s’arrête sur une aire pour camion.
Je vais la faire courte car avec ce chauffeur il faut des plombes pour lui faire croire que je finis par comprendre.
Voici ce qu’il me propose.
- Argent, si tu en as, je te fais passer directement en Angleterre, j’ai des amis qui ferment les yeux quand je passe.
- Je suis sans argent, mon manteau, c’est à Paris que le secours au réfugié me l’a donné.
- J’ai une couchette, allonge-toi et je te fais passer sans que tu me payes.
- Non, je vais à Calais avant de passer en Angleterre car mon mari est là-bas, avec nos enfants et nous passerons ensemble.
- Je comprends.
Si tu te laisses baiser, je te donne un contact dans la jungle qui t’aidera et qui sera capable de me prévenir pour que je vienne vous chercher.
Me faire sauter, on sait qu’en mission c’est facile pour moi, mais je veux faire voir que mon corps m’appartient et je sens que j’ai affaire à un fumier qui se sert de son camion pour baiser de pauvres femmes.
- Je te suce si tu me donnes ce papier.
Avec ma main, je mime une sucette.
- Ya, papier, lutscher, ya.
Il ouvre son ceinturon et sort son sexe.
- Le papier d’abord.
J’ai du mal mais il comprend et me le donne.
Je le mets dans mon sac à dos aussi crade que mon jean trouvé dans les réserves de vêtements que nous pouvons choisir pour nos missions.
Pour ma première bite de cette mission, il est bien pourvu.
Le volant me gêne un peu, mais je veux avancer dans ma mission et cette fellation doit être vite faite bien faite.
Je le prends en main en faisant le tour malgré son diamètre et ma bouche s’avance jusqu’à le faire entrer au fond de ma gorge.
Je manque de le comparer avec Gontran mais j’ai une règle en mission aucune allusion à mon autre vie alors je pompe mon Allemand pour mieux en finir et qu’il me dépose à Calais.
C’est marrant, j’ignore si je m’étais fait sauter si mon chauffeur aurait respecté son contrat et qu’il m’aurait fait passer de l’autre côté, alors que je sais que pour certains il faut des jours voir des semaines pour y arriver.
Je sens que ça se précipite du côté de la verge que je masturbe et retrouvant le goût du sperme, je le bois avidement lorsqu’il décharge.
- Dépose-moi là, j’espère que je vais retrouver mon mari.
Une fois descendu du camion, je relève son numéro.
KA PA 7777Je le mémorise, dès que je le pourrais, les douanes seront contentes que je leur facilite la tâche en arrêtant un passeur qui profite de sa situation pour se faire du fric et baiser à l’œil.
Je le vois reprendre sa route vers le quai des ferrys.
Pour ma part, je traîne en ville en quête de légitimité dans ces lieux.
- Tu cherches quelque chose ?
- Quelqu’un pour me payer un café.
- Tu parles Français ?
- Non seulement l’Arabe.
Le garçon qui m’a abordé m’a parlé en Français et je lui ai répondu en arabe, comme avec le chauffeur allemand.
À un détail près il parle l’arabe et notre conversation se poursuit dans cette langue.
- Il y a longtemps que tu es là ?
- Je viens d’arriver.
- Tu veux passer en Angleterre, je peux t’aider.
- Je cherche mon mari, il a dû arriver il y a deux jours avec mes enfants.
Regarde ce sont eux, tu les as vus ?
Je sors de mon sac à dos où se trouve mon fétiche, couteau de commando très célèbre pour vous depuis la première mission où je vous ai fait voir savoir m’en servir.
Un couteau comme celui-là, je peux l’avoir trouvé au fil de mon périple de Syrie jusqu’ici ayant traversé la Méditerranée sur une structure gonflable.
Bien sûr mon mari et mes enfants, vu l’endroit où cette photo prise par mes services il y a plusieurs années est parfaitement neutre devant un mur blanc.
Il est certain que ce serait une très grande coïncidence qu’ils soient dans la jungle de Calais.
Si je suis ici, c’est pour me forger une carapace indestructible de femme réfugiée cherchant sa famille, mais prête à tout pour y arriver.
- Je suis venu avec un chauffeur allemand qui m’a donné ce papier avec ce nom.
Il m’a dit qu’il m’aiderait à les retrouver.
- Montre ?
Je sors le papier donné par le chauffeur.
- Hamed, oui je le connais, c’est lui qui tient l’épicerie dans la zone où se trouve certainement ton mari.
Viens, je t’emmène.
Nous rentrons dans ce lieu de misère où les cabanes qui protègent les gens sont en carton en bois et en ferraille.
- Hamed, je t’amène une femme, elle vient de Syrie et elle cherche son mari et ses deux enfants.
Fait voir ta photo.
Je la fais voir au tenancier de cette épicerie improbable mais bien là.
- Naïm, certes, elle a un beau cul pour qu’elle soit clean, t’as vérifié d'où elle vient et comment elle s’appelle ?
- Attifa, Hamed, je m’appelle Attifa et je suis syrienne.
Il me parle en arabe, mais là je le piège, j’avais bien préparé ma mission.
- Tu me parles en arabe levantin comme on parle en Syrie.
Oui je suis mariée à Younès, ma fille je l’ai prénommée Yasmine et mon fils Ayoub.
Je vois qu’il est surpris, mais je viens de réussir mon examen de passage.
- Naïm, elle est bien syrienne.
Ton mari, je pense qu’il est déjà passé, ça figure m’est inconnu.
Naïm laisse là ici, je vais la loger, demain je ferais plus de recherche.
Tu as faim ?
Une réfugiée qui a assez manger, ça sonne faux.
Naïm nous quitte me laissant seules avec cet homme barbu.
- J’ouvre une boîte de cassoulet de Castelnaudary.
- Au poulet j’espère.
- Tu es marrante, du cassoulet, dit moi que tu es musulmane.
Penser à tous, je suis Syrienne, là aussi j’ai préparé ma réponse avec Alexandre le temps de ma préparation.
- Non, je suis chrétienne, mon mari est musulman et mes enfants aussi.
On m'a baptisé, je mange du porc.
- Je vais te protéger ici et dans le camp si les gens savent que tu es ma femme, tu seras tranquille vient te pieuter sinon fou le camp.
Dans moins de cent mètres tu auras deux bites dans le cul.
Je serais doux quoi que.
Il m’a fallu peu de temps dans ce milieu hostile pour trouver mes marques.
Ma bouche a déjà des restes de sperme allemand quand Hamed me four la sienne bien profonde.
Il a un poêle à gaz qui me permet d’avoir chaud quand sous la couverture où je me glisse nue, il me prend dans ses bras puissant.
Dès mon premier soir, je fais cocu Younès, mari parfait inconnu pour moi.
Dès le premier soir je montre que j’ai des dispositions pour me faire tringler par le premier venu.
Mais si je suis là c’est pour passer pour une femme facile ce qui va m’aider à réaliser ma mission.
Il est derrière moi, je lève une jambe pour qu’il me pénètre, voilà je viens de passer en mode salope situation que j’apprécie beaucoup.
Ça c’est le premier coup, le deuxième c’est dans la nuit, ses couilles en se vidant semblant inépuisable…
Ma formation chez les commandos marines bérets verts avant qu’un des anciens présidents me confie la mission de créer une cellule spéciale dont je suis le fer de lance pour réaliser des missions secrètes, plus que secrètes car officiellement inexistante en cas d’accident.
« Marche ou crève »
Telle est la devise que nous avons choisie.
Crève, je suis loin d’être pressée et marcher ?
Marcher je l’ai déjà fait deux jours durant m’arrêtant simplement pour pisser ou boire une bouteille d’eau.
Mais ça s’était lors de ma formation, aujourd’hui je lève le pouce préférant rouler en camion.
C’est ce que je fais quelques kilomètres après que Louis mon chauffeur m’eut déposé au bord de cette route vide de toute présence humaine susceptible de dire m’avoir vu en descendre.
Dans cette mission, je vais me servir de mes connaissances en arabe que je parle couramment pour entrer dans le milieu de réfugier venant de plusieurs pays du Maghreb, du Moyen-Orient ou d’ailleurs pour la réussir.
- Calais ?
- Ya.
Je lui parle en Arabe.
Je vois qu’il est loin de me comprendre.
Je parle allemand parmi les neuf langues que je pratique mais il faut que j’évite de me découvrir.
- Français ?
- Un peu.
J’ai dit français comme pourrait le dire une vache espagnole, surtout dans l’accent.
- England.
- Si, fammily !
- Marida ?
- No freiro.
- Ya breder !
- No freiro.
- Si frère !
- Ah si.
Crevant mais efficace, on se comprend.
Il s’arrête sur une aire pour camion.
Je vais la faire courte car avec ce chauffeur il faut des plombes pour lui faire croire que je finis par comprendre.
Voici ce qu’il me propose.
- Argent, si tu en as, je te fais passer directement en Angleterre, j’ai des amis qui ferment les yeux quand je passe.
- Je suis sans argent, mon manteau, c’est à Paris que le secours au réfugié me l’a donné.
- J’ai une couchette, allonge-toi et je te fais passer sans que tu me payes.
- Non, je vais à Calais avant de passer en Angleterre car mon mari est là-bas, avec nos enfants et nous passerons ensemble.
- Je comprends.
Si tu te laisses baiser, je te donne un contact dans la jungle qui t’aidera et qui sera capable de me prévenir pour que je vienne vous chercher.
Me faire sauter, on sait qu’en mission c’est facile pour moi, mais je veux faire voir que mon corps m’appartient et je sens que j’ai affaire à un fumier qui se sert de son camion pour baiser de pauvres femmes.
- Je te suce si tu me donnes ce papier.
Avec ma main, je mime une sucette.
- Ya, papier, lutscher, ya.
Il ouvre son ceinturon et sort son sexe.
- Le papier d’abord.
J’ai du mal mais il comprend et me le donne.
Je le mets dans mon sac à dos aussi crade que mon jean trouvé dans les réserves de vêtements que nous pouvons choisir pour nos missions.
Pour ma première bite de cette mission, il est bien pourvu.
Le volant me gêne un peu, mais je veux avancer dans ma mission et cette fellation doit être vite faite bien faite.
Je le prends en main en faisant le tour malgré son diamètre et ma bouche s’avance jusqu’à le faire entrer au fond de ma gorge.
Je manque de le comparer avec Gontran mais j’ai une règle en mission aucune allusion à mon autre vie alors je pompe mon Allemand pour mieux en finir et qu’il me dépose à Calais.
C’est marrant, j’ignore si je m’étais fait sauter si mon chauffeur aurait respecté son contrat et qu’il m’aurait fait passer de l’autre côté, alors que je sais que pour certains il faut des jours voir des semaines pour y arriver.
Je sens que ça se précipite du côté de la verge que je masturbe et retrouvant le goût du sperme, je le bois avidement lorsqu’il décharge.
- Dépose-moi là, j’espère que je vais retrouver mon mari.
Une fois descendu du camion, je relève son numéro.
KA PA 7777Je le mémorise, dès que je le pourrais, les douanes seront contentes que je leur facilite la tâche en arrêtant un passeur qui profite de sa situation pour se faire du fric et baiser à l’œil.
Je le vois reprendre sa route vers le quai des ferrys.
Pour ma part, je traîne en ville en quête de légitimité dans ces lieux.
- Tu cherches quelque chose ?
- Quelqu’un pour me payer un café.
- Tu parles Français ?
- Non seulement l’Arabe.
Le garçon qui m’a abordé m’a parlé en Français et je lui ai répondu en arabe, comme avec le chauffeur allemand.
À un détail près il parle l’arabe et notre conversation se poursuit dans cette langue.
- Il y a longtemps que tu es là ?
- Je viens d’arriver.
- Tu veux passer en Angleterre, je peux t’aider.
- Je cherche mon mari, il a dû arriver il y a deux jours avec mes enfants.
Regarde ce sont eux, tu les as vus ?
Je sors de mon sac à dos où se trouve mon fétiche, couteau de commando très célèbre pour vous depuis la première mission où je vous ai fait voir savoir m’en servir.
Un couteau comme celui-là, je peux l’avoir trouvé au fil de mon périple de Syrie jusqu’ici ayant traversé la Méditerranée sur une structure gonflable.
Bien sûr mon mari et mes enfants, vu l’endroit où cette photo prise par mes services il y a plusieurs années est parfaitement neutre devant un mur blanc.
Il est certain que ce serait une très grande coïncidence qu’ils soient dans la jungle de Calais.
Si je suis ici, c’est pour me forger une carapace indestructible de femme réfugiée cherchant sa famille, mais prête à tout pour y arriver.
- Je suis venu avec un chauffeur allemand qui m’a donné ce papier avec ce nom.
Il m’a dit qu’il m’aiderait à les retrouver.
- Montre ?
Je sors le papier donné par le chauffeur.
- Hamed, oui je le connais, c’est lui qui tient l’épicerie dans la zone où se trouve certainement ton mari.
Viens, je t’emmène.
Nous rentrons dans ce lieu de misère où les cabanes qui protègent les gens sont en carton en bois et en ferraille.
- Hamed, je t’amène une femme, elle vient de Syrie et elle cherche son mari et ses deux enfants.
Fait voir ta photo.
Je la fais voir au tenancier de cette épicerie improbable mais bien là.
- Naïm, certes, elle a un beau cul pour qu’elle soit clean, t’as vérifié d'où elle vient et comment elle s’appelle ?
- Attifa, Hamed, je m’appelle Attifa et je suis syrienne.
Il me parle en arabe, mais là je le piège, j’avais bien préparé ma mission.
- Tu me parles en arabe levantin comme on parle en Syrie.
Oui je suis mariée à Younès, ma fille je l’ai prénommée Yasmine et mon fils Ayoub.
Je vois qu’il est surpris, mais je viens de réussir mon examen de passage.
- Naïm, elle est bien syrienne.
Ton mari, je pense qu’il est déjà passé, ça figure m’est inconnu.
Naïm laisse là ici, je vais la loger, demain je ferais plus de recherche.
Tu as faim ?
Une réfugiée qui a assez manger, ça sonne faux.
Naïm nous quitte me laissant seules avec cet homme barbu.
- J’ouvre une boîte de cassoulet de Castelnaudary.
- Au poulet j’espère.
- Tu es marrante, du cassoulet, dit moi que tu es musulmane.
Penser à tous, je suis Syrienne, là aussi j’ai préparé ma réponse avec Alexandre le temps de ma préparation.
- Non, je suis chrétienne, mon mari est musulman et mes enfants aussi.
On m'a baptisé, je mange du porc.
- Je vais te protéger ici et dans le camp si les gens savent que tu es ma femme, tu seras tranquille vient te pieuter sinon fou le camp.
Dans moins de cent mètres tu auras deux bites dans le cul.
Je serais doux quoi que.
Il m’a fallu peu de temps dans ce milieu hostile pour trouver mes marques.
Ma bouche a déjà des restes de sperme allemand quand Hamed me four la sienne bien profonde.
Il a un poêle à gaz qui me permet d’avoir chaud quand sous la couverture où je me glisse nue, il me prend dans ses bras puissant.
Dès mon premier soir, je fais cocu Younès, mari parfait inconnu pour moi.
Dès le premier soir je montre que j’ai des dispositions pour me faire tringler par le premier venu.
Mais si je suis là c’est pour passer pour une femme facile ce qui va m’aider à réaliser ma mission.
Il est derrière moi, je lève une jambe pour qu’il me pénètre, voilà je viens de passer en mode salope situation que j’apprécie beaucoup.
Ça c’est le premier coup, le deuxième c’est dans la nuit, ses couilles en se vidant semblant inépuisable…
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