COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Saison II (5/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Saison II (5/6)
Commandant Marion.
Deux bites dans ma bouche qui je l’espère vont me déchirer afin de laisser retomber la tension accumulée en moi après la mission que nous venons de terminer avec le lieutenant Boby.
Rasade de rhum fournie par Samuel le pacha du sous-marin atomique qui nous a amené sur zone et qui nous attendais pour nous rapatrier.
On va me dire salope et sur certain côté on a raison, mais côtoyer la mort entraîne dans mon corps des obligations de le satisfaire pour pouvoir rester debout.
Quand Boby me prend la tête pour se masturber dans ma bouche, ma chatte pisse de joie dans cette cabine de douches multiples.
Je sais que l’endroit est mal adapté pour subir l’assaut des deux hommes mais malgré l’âge avançant j’ai encore assez de souplesse pour lever une jambe pour que m’étant relevé Boby entre dans ma chatte.
Samuel semble hésiter, c’est moi après avoir fait boire une grande rasade à Boby, en prenant une nouvelle aussi qui le prend avec ma main et l’amène à hauteur de mon anus.
Double péné debout, heureusement qu’un sous-marin est stable en plongé sinon je sens que nous aurions échoués.
Comme je l’ai dit lors de mes précédentes missions, j’ai évacué la tension accumulée avec mon sexe mais là, là prise entre ces deux verges, je sens immédiatement le plaisir monter.
Chez moi à Neuilly, mes deux enfants garçon et fille nous obligent à avoir de la retenue dans nos ébats sexuelles pour éviter de les réveiller et les voir débouler au pied de notre lit.
Mais là complètement isolée du monde des tonnes d’eau au dessus de notre tête et dans un compartiment sans aucune présence humaine que les deux sexes qui me pénètre je hurle le plaisir qu’ils me donnent.
Je sais comment je suis quand je décompresse une chienne lubrique sans aucun tabou.
Chaque fois ma soif de sexe se trouve décuplée par la peur que j’ai eue.
Ce coup-ci elle a été maximum au moment où nous étions ligotés les seins sur la table, ma chatte et mon cul à la merci de nos bourreaux.
Cul, sodomisation.
Je suis à deux doigts de les mettre dans l’anus de Boby quand jouissant mes mains ont saisi ses reins.
Je recule ayant peur de le faire débander au souvenir de ce qu’il a subit humiliant pour un homme de sa trempe.
Du moins je le pense bien que question sexe, les pratiques des uns ou des autres se fait dans l’intimité d’une chambre même si certains baisent dans la nature.
- Continuez les gars, Samuel, une petite rasade et toi aussi Boby.
Je réussi à faire boire le pacha qui doit sentir le coup de fouet car je le sens mieux dans mon anus.
Boby lui égale à lui-même malgré la fatigue qui commence à m’assaillir, je repars dans un deuxième orgasmes.
Quand ils me quittent du moins leurs sexes ayant déchargé, reposant les pieds sur le carrelage, je récupère une serviette et je commence à les essuyer.
J’ai commencé à genou à les masturber dans ma bouche, je les nettoie de nouveaux avec cette même bouche.
- Si nous allions dans ta cabine Samuel, tu pourrais libérer les douches pour les membres de ton équipe.
Le pacha retrouve une allure présentable pour son équipage.
Boby et moi nous nous servons de serviette lui à hauteur de sa taille et moi nouée sous mes seins.
Je sais que je vais décevoir les matelots qui doivent m’attendre pour me matter et après avoir vidée la bouteille tous les trois nous retournons chez notre hôte.
« Infirmerie »
Nous passons devant une porte ainsi libellée.
- Commandant, est-il possible que je vois le second-maître blessé dans le canot.
- Aucun problème, entre.
- Je voudrais être seule, peux-tu faire le nécessaire pour éloigner le toubib.
- Aucun problème, entre.
J’ouvre, le toubib est là.
- Vous pouvez venir avec moi au carré des officiers je voudrais que vous me fassiez un rapport sur le cas du second maître Richard.
Le commandant Robin va rester avec lui quelques minutes pour lui tenir compagnie.
J’entre dans un coin de l’infirmerie le garçon est couché le bras bandé jusqu’à son épaule et l’autre reposant sur le drap.
- Bonjours Richard comment vas-tu ?
- J’ai eu de la chance, la balle est entrée et ressortie sans toucher l’omoplate.
Trois semaines à un mois de convalescence à Concarneau en Bretagne a mangé le poisson ramener par mon père et mon frère il y a pire.
- Tu vie dans une très belle ville, j’adore me promener sur le port quand je passe dans ta ville.
- Je peux vous demander quelque chose commandant.
- Appelle moi Marion, si la balle t’avait épargné c’est moi qui serais à ta place ou avec un drap sur la tête.
- Je voudrais revoir vos seins.
C’est la dernière vision que j’ai eue avant de penser que j’étais mort.
Je dénoue la serviette que je laisse tomber au sol.
- Ils te plaisent, tu as une copine.
- Trois.
- Tu veux dire que tu as trois femmes.
- Une femmes dans chaque port.
- Une à Brest, une à Lorient où je vais de temps en temps et à Concarneau pour mes vacances.
- Tu respecte la tradition des marins, une femme dans chaque port.
- Oui, je suis jeune il faut bien s’amuser.
Je peux les toucher Marion, mes copines sont plates comme les limandes que pèche mon père.
- Tu verras un jour l’une des trois ou une autre te séduira et tu la demanderas en mariage.
Quand tu lui auras fait des mouflets si comme j’étais, étant jeune quand j’ai commencé dans l’armée, tu les verras se développer.
Il me caresse, je sens ma chatte s’enflammer de nouveau.
Quand je suis avec Gontran, mon ventre s’enflamme mais dès qu’il m’a prise, le feu retombe quand il a déchargé.
Il est vrai comme je l’ai souvent dit, avec mon mari, nos rapports sont plus tendres et durent plus longtemps.
Alors qu’à la fin d’une mission je veux du sexe sauvage même s’il est bref.
Surtout mon regard se pose sur son sexe.
Il a un drap sur lui la température de l’infirmerie étant régulée.
Il commence à faire une toile de tente.
Et quelle tente.
- Tu bande, mes seins te font bander.
- Oui Marion, ta peau est douce, les Bretonnes ont la peau sèche et rêche.
Ça doit être dû au sel de l’air marin.
Je glisse ma main sous le drap, le jeune homme est monstrueux.
Celle qui l’épousera aura de quoi se satisfaire.
Je dégage ce pieu, j’en ai vu des belles celle là est la plus belle diamètre et longueur.
J’hésite seulement une seconde et j’approche la bouche.
J’ai une bouche très grande et par chance le gland entre avec un peu de mal tout de même.
Dès gorges profondes, j’en ai fait à Boby et Samuel dans les douches, là impossible, mais je sais compenser grâce à ma langue qui se promène d’un bout à l’autre.
Pour ses roubignoles, même problème elles restent en dehors.
Je suis en train de les sucer quand il éjacule m’en mettant plein les cheveux.
Je lui nettoie la queue qui commence à retomber.
- Marion, veux-tu m’épouser ?
- J’aimerais beaucoup mais tu sais ma vie est ailleurs et dès que nous serons rentrés à Toulon, je la retrouverais.
- Es-tu mariée ?
- Garde en toi ce moment que tu viens de vivre, je suis simplement un ange qui aura traversé ta vie.
Tu verras quand tu seras vieux tu te souviendras du jour où ta vie a pris un tournant alors que tu étais à deux doigts de la perdre.
- Je comprends, continue bien ta vie.
Un lavabo et une glace sont près du lit.
Je me nettoie le visage et mes cheveux, je récupère ma serviette et lui faisant un signe de la main.
- Merci Marion.
- De rien, mais à partir de maintenant, nous reprenons nos distances si par hasard nous nous retrouvons.
- Affirmatif commandant, merci commandant.
Je quitte celui qui je le pense sera la dernière fois.
Le pacha est dans son carré avec le médecin.
Je lui fais signe, il parle avec le toubib et se lève pour me suivre.
Nous rejoignons sa cabine où Boby est là ayant remis son slip.
- Samuel, tu as parlé de deux bouteilles de rhum dans ton coffre.
Le second-maître Richard à pris son pied, inondant ma figure et mes cheveux et en plus réveillant le feu qui inexorablement couve en moi.
Il va falloir que mes amants l’éteignent définitivement avant notre retour à Toulon et ma remonté vers Paris…
Deux bites dans ma bouche qui je l’espère vont me déchirer afin de laisser retomber la tension accumulée en moi après la mission que nous venons de terminer avec le lieutenant Boby.
Rasade de rhum fournie par Samuel le pacha du sous-marin atomique qui nous a amené sur zone et qui nous attendais pour nous rapatrier.
On va me dire salope et sur certain côté on a raison, mais côtoyer la mort entraîne dans mon corps des obligations de le satisfaire pour pouvoir rester debout.
Quand Boby me prend la tête pour se masturber dans ma bouche, ma chatte pisse de joie dans cette cabine de douches multiples.
Je sais que l’endroit est mal adapté pour subir l’assaut des deux hommes mais malgré l’âge avançant j’ai encore assez de souplesse pour lever une jambe pour que m’étant relevé Boby entre dans ma chatte.
Samuel semble hésiter, c’est moi après avoir fait boire une grande rasade à Boby, en prenant une nouvelle aussi qui le prend avec ma main et l’amène à hauteur de mon anus.
Double péné debout, heureusement qu’un sous-marin est stable en plongé sinon je sens que nous aurions échoués.
Comme je l’ai dit lors de mes précédentes missions, j’ai évacué la tension accumulée avec mon sexe mais là, là prise entre ces deux verges, je sens immédiatement le plaisir monter.
Chez moi à Neuilly, mes deux enfants garçon et fille nous obligent à avoir de la retenue dans nos ébats sexuelles pour éviter de les réveiller et les voir débouler au pied de notre lit.
Mais là complètement isolée du monde des tonnes d’eau au dessus de notre tête et dans un compartiment sans aucune présence humaine que les deux sexes qui me pénètre je hurle le plaisir qu’ils me donnent.
Je sais comment je suis quand je décompresse une chienne lubrique sans aucun tabou.
Chaque fois ma soif de sexe se trouve décuplée par la peur que j’ai eue.
Ce coup-ci elle a été maximum au moment où nous étions ligotés les seins sur la table, ma chatte et mon cul à la merci de nos bourreaux.
Cul, sodomisation.
Je suis à deux doigts de les mettre dans l’anus de Boby quand jouissant mes mains ont saisi ses reins.
Je recule ayant peur de le faire débander au souvenir de ce qu’il a subit humiliant pour un homme de sa trempe.
Du moins je le pense bien que question sexe, les pratiques des uns ou des autres se fait dans l’intimité d’une chambre même si certains baisent dans la nature.
- Continuez les gars, Samuel, une petite rasade et toi aussi Boby.
Je réussi à faire boire le pacha qui doit sentir le coup de fouet car je le sens mieux dans mon anus.
Boby lui égale à lui-même malgré la fatigue qui commence à m’assaillir, je repars dans un deuxième orgasmes.
Quand ils me quittent du moins leurs sexes ayant déchargé, reposant les pieds sur le carrelage, je récupère une serviette et je commence à les essuyer.
J’ai commencé à genou à les masturber dans ma bouche, je les nettoie de nouveaux avec cette même bouche.
- Si nous allions dans ta cabine Samuel, tu pourrais libérer les douches pour les membres de ton équipe.
Le pacha retrouve une allure présentable pour son équipage.
Boby et moi nous nous servons de serviette lui à hauteur de sa taille et moi nouée sous mes seins.
Je sais que je vais décevoir les matelots qui doivent m’attendre pour me matter et après avoir vidée la bouteille tous les trois nous retournons chez notre hôte.
« Infirmerie »
Nous passons devant une porte ainsi libellée.
- Commandant, est-il possible que je vois le second-maître blessé dans le canot.
- Aucun problème, entre.
- Je voudrais être seule, peux-tu faire le nécessaire pour éloigner le toubib.
- Aucun problème, entre.
J’ouvre, le toubib est là.
- Vous pouvez venir avec moi au carré des officiers je voudrais que vous me fassiez un rapport sur le cas du second maître Richard.
Le commandant Robin va rester avec lui quelques minutes pour lui tenir compagnie.
J’entre dans un coin de l’infirmerie le garçon est couché le bras bandé jusqu’à son épaule et l’autre reposant sur le drap.
- Bonjours Richard comment vas-tu ?
- J’ai eu de la chance, la balle est entrée et ressortie sans toucher l’omoplate.
Trois semaines à un mois de convalescence à Concarneau en Bretagne a mangé le poisson ramener par mon père et mon frère il y a pire.
- Tu vie dans une très belle ville, j’adore me promener sur le port quand je passe dans ta ville.
- Je peux vous demander quelque chose commandant.
- Appelle moi Marion, si la balle t’avait épargné c’est moi qui serais à ta place ou avec un drap sur la tête.
- Je voudrais revoir vos seins.
C’est la dernière vision que j’ai eue avant de penser que j’étais mort.
Je dénoue la serviette que je laisse tomber au sol.
- Ils te plaisent, tu as une copine.
- Trois.
- Tu veux dire que tu as trois femmes.
- Une femmes dans chaque port.
- Une à Brest, une à Lorient où je vais de temps en temps et à Concarneau pour mes vacances.
- Tu respecte la tradition des marins, une femme dans chaque port.
- Oui, je suis jeune il faut bien s’amuser.
Je peux les toucher Marion, mes copines sont plates comme les limandes que pèche mon père.
- Tu verras un jour l’une des trois ou une autre te séduira et tu la demanderas en mariage.
Quand tu lui auras fait des mouflets si comme j’étais, étant jeune quand j’ai commencé dans l’armée, tu les verras se développer.
Il me caresse, je sens ma chatte s’enflammer de nouveau.
Quand je suis avec Gontran, mon ventre s’enflamme mais dès qu’il m’a prise, le feu retombe quand il a déchargé.
Il est vrai comme je l’ai souvent dit, avec mon mari, nos rapports sont plus tendres et durent plus longtemps.
Alors qu’à la fin d’une mission je veux du sexe sauvage même s’il est bref.
Surtout mon regard se pose sur son sexe.
Il a un drap sur lui la température de l’infirmerie étant régulée.
Il commence à faire une toile de tente.
Et quelle tente.
- Tu bande, mes seins te font bander.
- Oui Marion, ta peau est douce, les Bretonnes ont la peau sèche et rêche.
Ça doit être dû au sel de l’air marin.
Je glisse ma main sous le drap, le jeune homme est monstrueux.
Celle qui l’épousera aura de quoi se satisfaire.
Je dégage ce pieu, j’en ai vu des belles celle là est la plus belle diamètre et longueur.
J’hésite seulement une seconde et j’approche la bouche.
J’ai une bouche très grande et par chance le gland entre avec un peu de mal tout de même.
Dès gorges profondes, j’en ai fait à Boby et Samuel dans les douches, là impossible, mais je sais compenser grâce à ma langue qui se promène d’un bout à l’autre.
Pour ses roubignoles, même problème elles restent en dehors.
Je suis en train de les sucer quand il éjacule m’en mettant plein les cheveux.
Je lui nettoie la queue qui commence à retomber.
- Marion, veux-tu m’épouser ?
- J’aimerais beaucoup mais tu sais ma vie est ailleurs et dès que nous serons rentrés à Toulon, je la retrouverais.
- Es-tu mariée ?
- Garde en toi ce moment que tu viens de vivre, je suis simplement un ange qui aura traversé ta vie.
Tu verras quand tu seras vieux tu te souviendras du jour où ta vie a pris un tournant alors que tu étais à deux doigts de la perdre.
- Je comprends, continue bien ta vie.
Un lavabo et une glace sont près du lit.
Je me nettoie le visage et mes cheveux, je récupère ma serviette et lui faisant un signe de la main.
- Merci Marion.
- De rien, mais à partir de maintenant, nous reprenons nos distances si par hasard nous nous retrouvons.
- Affirmatif commandant, merci commandant.
Je quitte celui qui je le pense sera la dernière fois.
Le pacha est dans son carré avec le médecin.
Je lui fais signe, il parle avec le toubib et se lève pour me suivre.
Nous rejoignons sa cabine où Boby est là ayant remis son slip.
- Samuel, tu as parlé de deux bouteilles de rhum dans ton coffre.
Le second-maître Richard à pris son pied, inondant ma figure et mes cheveux et en plus réveillant le feu qui inexorablement couve en moi.
Il va falloir que mes amants l’éteignent définitivement avant notre retour à Toulon et ma remonté vers Paris…
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