COLLECTION ANNE MA MUSE. Comptable, je fais la pute pour aider mon patron (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Comptable, je fais la pute pour aider mon patron (1/2)
- Anne, j’ai besoin de vous à double titre, pouvez-vous vous libérer demain soir auprès de votre mari ?
- Ça peut se faire, pourquoi ?
- Demain soir, je voudrais vous emmener au restaurant.
- Je veux bien, mais il faut que Pierre soit là, ça serait mal vu de sortir sans lui surtout avec vous, vous qui êtes mon patron !
Il éclate de rire.
- Vous vous méprenez, vous êtes très présentable surtout pour une femme de votre âge, mais c’est professionnellement que j’ai besoin de vous.
Je reçois demain après-midi, Monsieur Abdalla, chef de cabinet du président de Papouasie Supérieure.
Comme vous le savez, sinon, je vous mets au courant, mais il faut me jurer de ne rien dire, nous sommes sur un énorme coup avec ce pays qui peut sauver notre entreprise de transports.
Notre entreprise, Monsieur le directeur, votre entreprise Monsieur, ou plutôt celle de votre femme que vous dirigez depuis le décès de votre beau-père !
Peut-être, mais pour autant j’ai besoin de vous.
Comme je vous l’ai dit, à double titre, comme comptable car dans ce repas, je vais discuter avec Monsieur Abdalla de chiffres et vous seule pouvez me dire après ce repas, sur combien je dois tabler pour emporter ce contrat.
Et pour être crédible, je vous présenterais comme ma petite amie !
- Votre maîtresse ?
- Calmez-vous, restez assise, si vous vous levez, je risque de louper l’affaire et si vous sortirez de ce bureau, ce sera pour aller à Pôle emploi.
- Vous me faites du chantage à l’emploi !
- Nullement, je serais contraint de vous licencier ainsi que dix de nos chauffeurs et une autre personne des services administratifs.
Si vous m’apportez les éléments qu’il me manque, vous aurez une assistante au service comptabilité et j’embaucherai cinq chauffeurs de plus.
L’affaire m’a été apportée par l’intermédiaire d’un ami, le contrat porte sur des transports de pièces mécaniques fabriquées dans l’usine voisine et le pays de Monsieur Abdalla.
Trois rotations par semaine.
Alors vous voyez c’est pour le bien de tous que je vous invite.
- Je comprends, mais pourquoi me présenter comme votre petite amie, je connais votre femme et passer pour votre maîtresse me gêne.
- Si je vous présente comme ma femme, j’aurai le risque que dans le futur, s’il y a un voyage avec mon épouse en Papouasie Supérieure, cela pose des problèmes.
D’autant que nous ne serons pas seuls à ce repas.
Gisèle votre amie vous accompagnera.
- Gisèle, je n’ai pas d’amie de ce nom.
- Bien sûr Anne, je le sais mais je dirais que Gisèle c’est le cadeau que je réserve à Monsieur Abdalla.
L’ami qui m’a présenté l’affaire m’a dit qu’il était porté sur le beau sexe lors de ses déplacements.
Disons que c’est le cadeau que nous allons lui faire.
- Est-ce une pute, cette Gisèle ?
- Comme vous y allez Anne, tout juste une escorte girl qui va nous aider pour emporter l’affaire.
Je vous fais confiance pour trouver un alibi auprès votre mari pour qu’il n’ait aucun soupçon.
- Vu sous cet angle, j’accepte.
Il va sans dire que si je joue le rôle de votre maîtresse, je veux que vous évitiez les mains baladeuses.
- Ne vous en faites pas, je suis fidèle à ma femme, j’ai trop à perdre et sans vous vexer, vous êtes un peu vieille pour moi !
Un dernier point, avez-vous une robe du soir car je vous emmène au restaurant de son hôtel cinq étoiles !
- Non, tout juste un tailleur présentable, je vis en jean hors du bureau.
- Voici l’adresse d’une modiste non loin d’ici, c’est une amie, elle va palier ce problème.
Je m’arrangerais pour le paiement, elle vous fournira tout ce qu’il vous faut et je passerai vous chercher à huit heures à cette adresse, Prenez un taxi, entrez dans le hall, code ABB40.
Tu seras rejointe par Gisèle et vous sortirez toutes les deux quand j’arriverai avec Monsieur Abdalla.
Je constate le "tu", mais je me tais, ne suis-je pas sa maîtresse, donc pas d’impair demain, si c’est mon amant, il serait mal venu que je lui dise "vous".
Je vais chez la modiste, elle me sort une robe du soir à ma taille.
Elle est rose, elle se porte sans soutien-gorge, à la limite de l’indécence, moi qui malgré mes cinquante-huit ans en ai des lourds mais encore très fermes.
- Madame Anne, il y a un petit problème.
Je viens d’enfiler la robe.
Elle est courte dégageant mes genoux.
Son décolleté est arrondi, ce qui fait ressortir mes "poires".
- Vous portez toujours de telles petites culottes ?
- Oui, elles plaisent à mon mari.
- Deux solutions, vous l’enlevez et vous restez nue sous la robe où vous mettez un string.
Elle ajuste deux ou trois détails.
Le soir j’embobine Pierre en lui racontant qu’une amie que je connaissais avant de le rencontrer, s’appelant Gisèle habitant à Rome, étant de passage à Paris m’invite à dîner ensemble.
Elle m’a demandé de mettre cette robe du soir ainsi que les chaussures et le sac à main assortie, ça ne va pas nous coûter un sou, elle paye tout.
J’ai de la chance, Pierre est près de ses sous, même un peu radin alors rassuré, comme tout est payé, il retourne lire tranquillement son journal.
Quant à Gisèle, je lui ai dit, qu’elle avait fait fortune et ne fréquentait que les hôtels de hauts standings, d’où la robe et les accessoires.
C’est comme ça que j’arrive à l'adresse indiquée par Jean, nom de mon patron, je fais le code et je rentre, je suis pile à l’heure.
Cinq minutes plus tard, la porte s’ouvre et une grande liane, tout l’opposé de moi, entre.
Elle a une jolie robe qui doit elle aussi coûter bonbon étant violine, comment fait-elle pour tenir debout sur ses talons qui ont au moins 15 cm de haut.
Ils sont au moins cinq centimètres plus hauts que les miens !
Nous avons à peine le temps de nous présenter.
Elle est au courant d’une partie de la soirée, son but étant l’homme noir qui descend de la voiture du patron pour nous ouvrir la porte arrière.
Stature d’athlète, une vraie montagne, il fait une tête de plus que moi !
- Anne, montez à l’avant à côté de votre ami, il m’a dit pour vous, je constate que vous avez bon goût Jean.
Je suis rouge de honte, Jean lui a donc déjà dit que j’étais sa maîtresse.
Dès que je serai seule avec lui, je lui dirai que je pensais qu’il voulait me séduire d’où son invitation et non pas une attaque directe.
Pendant le repas, je suis assise en face de Monsieur Abdalla, je suis mal à l’aise en deux points.
Il plonge souvent son regard dans mon décolleté et sous la table il me fait du pied !
Il fixe mon décolleté et comme je ne porte pas de soutien-gorge et que cela me donne des frissons.
Il voit et moi aussi mes tétons durs tendant le devant de ma robe.
J’ai envie de retirer ma jambe, mais je pense à mon travail et je me concentre sur ses propos avec Jean concernant le contrat.
À la fin du repas, délicieux d’ailleurs.
Je pourrais dire à mes petits-enfants quand mon fils m’en aura donné, que j’ai mangé dans un établissement de cette classe, il nous propose une boîte dont il a entendu parler.
Mon patron me regarde et je me sens obligée de dire oui, toujours mon risque de chômage.
Je vais bien trouver un motif pour expliquer à Pierre pourquoi cette soirée se prolongeait.
Nous nous y rendons à pied, des verres de whisky nous sont servis, je bois peu d’alcool, je suis un peu ivre.
- Anne, dansons !
Je regarde mon patron qui semble dépassé par la situation.
Il ne s'attendait pas que Monsieur Abdalla m'invite à danser.
Il en fait de même avec Gisèle, faute de merle on mange des grives.
À chaque slow que nous dansons, entrecoupé de rocks que je pratique très facilement malgré mon âge, il me fait sentir qu’il a ce qu’il faut dans son pantalon.
Je vais vers les toilettes avec Gisèle, nous ressortons, nos maquillages réparés quand Jean est devant nous.
- Les filles c’est la cata, Gisèle tu n’y es pour rien, Anne, Abdalla fantasme sur toi.
Il vient de me demander de finir la nuit avec toi, il a eu une nourrice française dans sa jeunesse qui l’a dépucelé.
Il m’a proposé à une partie carrée dans sa chambre d’hôtel.
J’ai été obligé de lui dire que tu n’étais pas opposé à un peu d’échangisme.
Que fait-on ?
- Jean, tu ne baiseras pas avec moi, tu reste mon patron, Gisèle est payée pour ça, elle, tu la sauteras si tu veux.
- Je te le promets, tu pourras me demander tout ce que tu veux, 10 000 €, on en fait des choses avec 10 000 €, sauve-nous !
Avec une telle somme on peut effectivement faire beaucoup de choses, pourquoi pas la piscine dont rêve Pierre dans la maison de ses parents en province où nous passons nos week-ends et nos vacances.
Direction la chambre qui est très spacieuse, je suis gauche.
Comment fait Gisèle pour toucher son fric en baisant avec des inconnus ?
Il faut avoir une force de caractère que je ne me sentais pas capable d’avoir.
Le risque de chômage, plus que la tromperie avec Pierre, me fait continuer ce que j’ai accepté de faire, la pute.
Du coin de l’œil, je suis ce que fait Gisèle, elle dévêt Jean, lui caressant la nuque.
Abdalla est direct, il me prend la main et la pose sur son sexeIl bande déjà, mon dieu, mon dieu.
Pourquoi appeler Dieu à l’aide, il ne me sera d’aucun secours surtout qu’il me lâche la main ce qui m’aurait permis de me sauver.
Mais je ne me sauve pas.
Il ouvre sa braguette, je baisse les yeux et je vois ce gourdin, plus beau que dans mes fantasmes.
Eh oui, depuis mon adolescence, j’ai un fantasme.
Il m’arrive de faire démarrer les images quand Pierre me baise et que mon corps n’est pas au rendez-vous.
Un jour à la piscine, à la douche, alors que j’avais ouvert une porte sans savoir qu'elle était occupée, je suis tombée nez à nez, avec un homme qui se masturbait.
Je voyais son braquemart, j’ignore combien il mesurait, je ne me suis pas attardé, mais celle d’Abdalla est supérieure.
J’avais à l'époque rapidement fermé la porte, mais le mal était fait, mon cerveau était imprégné de sexes noirs démesurés.
Une envie irrésistible qui ne me quitte pas.
Il me reprend la main, il la pose sur son énormité me tirant vers le bas.
Je me trouve la bouche à la hauteur de son envie.
Je n’ai jamais sucé d’autre homme que Pierre.
C’est presque avec gourmandise que je veux lui avaler le gland, inutile d’essayer, il me sera impossible de la faire entrer dans ma bouche.
Alors sans aucune gêne, voyant que Gisèle en est au même point avec Jean, je suce, je suce et je suce encore, pardon, je lèche, je lèche et je lèche encore même ses énormes testicules…
- Ça peut se faire, pourquoi ?
- Demain soir, je voudrais vous emmener au restaurant.
- Je veux bien, mais il faut que Pierre soit là, ça serait mal vu de sortir sans lui surtout avec vous, vous qui êtes mon patron !
Il éclate de rire.
- Vous vous méprenez, vous êtes très présentable surtout pour une femme de votre âge, mais c’est professionnellement que j’ai besoin de vous.
Je reçois demain après-midi, Monsieur Abdalla, chef de cabinet du président de Papouasie Supérieure.
Comme vous le savez, sinon, je vous mets au courant, mais il faut me jurer de ne rien dire, nous sommes sur un énorme coup avec ce pays qui peut sauver notre entreprise de transports.
Notre entreprise, Monsieur le directeur, votre entreprise Monsieur, ou plutôt celle de votre femme que vous dirigez depuis le décès de votre beau-père !
Peut-être, mais pour autant j’ai besoin de vous.
Comme je vous l’ai dit, à double titre, comme comptable car dans ce repas, je vais discuter avec Monsieur Abdalla de chiffres et vous seule pouvez me dire après ce repas, sur combien je dois tabler pour emporter ce contrat.
Et pour être crédible, je vous présenterais comme ma petite amie !
- Votre maîtresse ?
- Calmez-vous, restez assise, si vous vous levez, je risque de louper l’affaire et si vous sortirez de ce bureau, ce sera pour aller à Pôle emploi.
- Vous me faites du chantage à l’emploi !
- Nullement, je serais contraint de vous licencier ainsi que dix de nos chauffeurs et une autre personne des services administratifs.
Si vous m’apportez les éléments qu’il me manque, vous aurez une assistante au service comptabilité et j’embaucherai cinq chauffeurs de plus.
L’affaire m’a été apportée par l’intermédiaire d’un ami, le contrat porte sur des transports de pièces mécaniques fabriquées dans l’usine voisine et le pays de Monsieur Abdalla.
Trois rotations par semaine.
Alors vous voyez c’est pour le bien de tous que je vous invite.
- Je comprends, mais pourquoi me présenter comme votre petite amie, je connais votre femme et passer pour votre maîtresse me gêne.
- Si je vous présente comme ma femme, j’aurai le risque que dans le futur, s’il y a un voyage avec mon épouse en Papouasie Supérieure, cela pose des problèmes.
D’autant que nous ne serons pas seuls à ce repas.
Gisèle votre amie vous accompagnera.
- Gisèle, je n’ai pas d’amie de ce nom.
- Bien sûr Anne, je le sais mais je dirais que Gisèle c’est le cadeau que je réserve à Monsieur Abdalla.
L’ami qui m’a présenté l’affaire m’a dit qu’il était porté sur le beau sexe lors de ses déplacements.
Disons que c’est le cadeau que nous allons lui faire.
- Est-ce une pute, cette Gisèle ?
- Comme vous y allez Anne, tout juste une escorte girl qui va nous aider pour emporter l’affaire.
Je vous fais confiance pour trouver un alibi auprès votre mari pour qu’il n’ait aucun soupçon.
- Vu sous cet angle, j’accepte.
Il va sans dire que si je joue le rôle de votre maîtresse, je veux que vous évitiez les mains baladeuses.
- Ne vous en faites pas, je suis fidèle à ma femme, j’ai trop à perdre et sans vous vexer, vous êtes un peu vieille pour moi !
Un dernier point, avez-vous une robe du soir car je vous emmène au restaurant de son hôtel cinq étoiles !
- Non, tout juste un tailleur présentable, je vis en jean hors du bureau.
- Voici l’adresse d’une modiste non loin d’ici, c’est une amie, elle va palier ce problème.
Je m’arrangerais pour le paiement, elle vous fournira tout ce qu’il vous faut et je passerai vous chercher à huit heures à cette adresse, Prenez un taxi, entrez dans le hall, code ABB40.
Tu seras rejointe par Gisèle et vous sortirez toutes les deux quand j’arriverai avec Monsieur Abdalla.
Je constate le "tu", mais je me tais, ne suis-je pas sa maîtresse, donc pas d’impair demain, si c’est mon amant, il serait mal venu que je lui dise "vous".
Je vais chez la modiste, elle me sort une robe du soir à ma taille.
Elle est rose, elle se porte sans soutien-gorge, à la limite de l’indécence, moi qui malgré mes cinquante-huit ans en ai des lourds mais encore très fermes.
- Madame Anne, il y a un petit problème.
Je viens d’enfiler la robe.
Elle est courte dégageant mes genoux.
Son décolleté est arrondi, ce qui fait ressortir mes "poires".
- Vous portez toujours de telles petites culottes ?
- Oui, elles plaisent à mon mari.
- Deux solutions, vous l’enlevez et vous restez nue sous la robe où vous mettez un string.
Elle ajuste deux ou trois détails.
Le soir j’embobine Pierre en lui racontant qu’une amie que je connaissais avant de le rencontrer, s’appelant Gisèle habitant à Rome, étant de passage à Paris m’invite à dîner ensemble.
Elle m’a demandé de mettre cette robe du soir ainsi que les chaussures et le sac à main assortie, ça ne va pas nous coûter un sou, elle paye tout.
J’ai de la chance, Pierre est près de ses sous, même un peu radin alors rassuré, comme tout est payé, il retourne lire tranquillement son journal.
Quant à Gisèle, je lui ai dit, qu’elle avait fait fortune et ne fréquentait que les hôtels de hauts standings, d’où la robe et les accessoires.
C’est comme ça que j’arrive à l'adresse indiquée par Jean, nom de mon patron, je fais le code et je rentre, je suis pile à l’heure.
Cinq minutes plus tard, la porte s’ouvre et une grande liane, tout l’opposé de moi, entre.
Elle a une jolie robe qui doit elle aussi coûter bonbon étant violine, comment fait-elle pour tenir debout sur ses talons qui ont au moins 15 cm de haut.
Ils sont au moins cinq centimètres plus hauts que les miens !
Nous avons à peine le temps de nous présenter.
Elle est au courant d’une partie de la soirée, son but étant l’homme noir qui descend de la voiture du patron pour nous ouvrir la porte arrière.
Stature d’athlète, une vraie montagne, il fait une tête de plus que moi !
- Anne, montez à l’avant à côté de votre ami, il m’a dit pour vous, je constate que vous avez bon goût Jean.
Je suis rouge de honte, Jean lui a donc déjà dit que j’étais sa maîtresse.
Dès que je serai seule avec lui, je lui dirai que je pensais qu’il voulait me séduire d’où son invitation et non pas une attaque directe.
Pendant le repas, je suis assise en face de Monsieur Abdalla, je suis mal à l’aise en deux points.
Il plonge souvent son regard dans mon décolleté et sous la table il me fait du pied !
Il fixe mon décolleté et comme je ne porte pas de soutien-gorge et que cela me donne des frissons.
Il voit et moi aussi mes tétons durs tendant le devant de ma robe.
J’ai envie de retirer ma jambe, mais je pense à mon travail et je me concentre sur ses propos avec Jean concernant le contrat.
À la fin du repas, délicieux d’ailleurs.
Je pourrais dire à mes petits-enfants quand mon fils m’en aura donné, que j’ai mangé dans un établissement de cette classe, il nous propose une boîte dont il a entendu parler.
Mon patron me regarde et je me sens obligée de dire oui, toujours mon risque de chômage.
Je vais bien trouver un motif pour expliquer à Pierre pourquoi cette soirée se prolongeait.
Nous nous y rendons à pied, des verres de whisky nous sont servis, je bois peu d’alcool, je suis un peu ivre.
- Anne, dansons !
Je regarde mon patron qui semble dépassé par la situation.
Il ne s'attendait pas que Monsieur Abdalla m'invite à danser.
Il en fait de même avec Gisèle, faute de merle on mange des grives.
À chaque slow que nous dansons, entrecoupé de rocks que je pratique très facilement malgré mon âge, il me fait sentir qu’il a ce qu’il faut dans son pantalon.
Je vais vers les toilettes avec Gisèle, nous ressortons, nos maquillages réparés quand Jean est devant nous.
- Les filles c’est la cata, Gisèle tu n’y es pour rien, Anne, Abdalla fantasme sur toi.
Il vient de me demander de finir la nuit avec toi, il a eu une nourrice française dans sa jeunesse qui l’a dépucelé.
Il m’a proposé à une partie carrée dans sa chambre d’hôtel.
J’ai été obligé de lui dire que tu n’étais pas opposé à un peu d’échangisme.
Que fait-on ?
- Jean, tu ne baiseras pas avec moi, tu reste mon patron, Gisèle est payée pour ça, elle, tu la sauteras si tu veux.
- Je te le promets, tu pourras me demander tout ce que tu veux, 10 000 €, on en fait des choses avec 10 000 €, sauve-nous !
Avec une telle somme on peut effectivement faire beaucoup de choses, pourquoi pas la piscine dont rêve Pierre dans la maison de ses parents en province où nous passons nos week-ends et nos vacances.
Direction la chambre qui est très spacieuse, je suis gauche.
Comment fait Gisèle pour toucher son fric en baisant avec des inconnus ?
Il faut avoir une force de caractère que je ne me sentais pas capable d’avoir.
Le risque de chômage, plus que la tromperie avec Pierre, me fait continuer ce que j’ai accepté de faire, la pute.
Du coin de l’œil, je suis ce que fait Gisèle, elle dévêt Jean, lui caressant la nuque.
Abdalla est direct, il me prend la main et la pose sur son sexeIl bande déjà, mon dieu, mon dieu.
Pourquoi appeler Dieu à l’aide, il ne me sera d’aucun secours surtout qu’il me lâche la main ce qui m’aurait permis de me sauver.
Mais je ne me sauve pas.
Il ouvre sa braguette, je baisse les yeux et je vois ce gourdin, plus beau que dans mes fantasmes.
Eh oui, depuis mon adolescence, j’ai un fantasme.
Il m’arrive de faire démarrer les images quand Pierre me baise et que mon corps n’est pas au rendez-vous.
Un jour à la piscine, à la douche, alors que j’avais ouvert une porte sans savoir qu'elle était occupée, je suis tombée nez à nez, avec un homme qui se masturbait.
Je voyais son braquemart, j’ignore combien il mesurait, je ne me suis pas attardé, mais celle d’Abdalla est supérieure.
J’avais à l'époque rapidement fermé la porte, mais le mal était fait, mon cerveau était imprégné de sexes noirs démesurés.
Une envie irrésistible qui ne me quitte pas.
Il me reprend la main, il la pose sur son énormité me tirant vers le bas.
Je me trouve la bouche à la hauteur de son envie.
Je n’ai jamais sucé d’autre homme que Pierre.
C’est presque avec gourmandise que je veux lui avaler le gland, inutile d’essayer, il me sera impossible de la faire entrer dans ma bouche.
Alors sans aucune gêne, voyant que Gisèle en est au même point avec Jean, je suce, je suce et je suce encore, pardon, je lèche, je lèche et je lèche encore même ses énormes testicules…
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