COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (9/13)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (9/13)
Dans cette collection qui m’est dédiée, vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71.
Comment ai-je pu suivre Josyane dans sa quette de queues pour se faire sauter ?
Je savais Josyane libertine profitant du fric que sont ex lui avait laissé certainement compléter par une pension lui coutant bonbon.
Mais je serais de mauvaise foi de me plaindre de l’avoir suivi pour commencer aux restaurant et enfin dans le club libertin où Joël et Noël m’ont fait sucer et masturber des bites sortant d’un mur.
Mais c’est ce qui va m’arriver qui m’interpelle.
Toujours tenue par les laisses attachées au mousqueton du collier de chien qu’ils m’ont mis avant de quitter la salle de restaurant qu’ils m’entraînent dans cette cage en verre légèrement fumée.
On dirait que je suis attendue, sur l’arrière, je vois plusieurs personnes qui sont tranquillement assises sur des poufs à deviser.
J’entre, je suis obligée d’être penché, impossible de rester entièrement debout.
• On a vu que tu savais sucer, prends la verge de Noël.
Un petit coup sec sur la laisse, Noël à genoux devant moi, me présente sa verge que j’ai eu le plaisir de dépuceler avant qu’il ne quitte tout pour rejoindre Lucie.
Je suis à quatre pattes quand je sens une langue venir me caresser l’œillet.
J’ignore encore comment Joël se sert de sa verge, mais je peux assurer que sa langue est vachement efficace.
En plus de ma bouche, ma main prend Noël et je le pompe tout en le masturbant.
Dieu que c’est bon, j’ai bien fait de prendre quelques jours de repos si tenté que depuis que je suis là, je me sois bien reposée.
Une bite devant une langue qui va de mon anus à ma chatte, comment rester insensible.
Malgré la musique diffusée sourdement même dans cette cage, je commence à jouir.
J’entends du bruit au-dessus de nous.
Je lève la tête, une femme est elle aussi à genoux en levrette et un homme est derrière elle qui lui a mis sa verge au fond de son vagin.
À ses côtés cet homme qui me regarde comme il regarde sa femme se faire prendre, c’est le couple qui a cédé leur place à Noël et Lucie.
Par combien de mecs c’est tel déjà fait sauter depuis le début de soirée sous le regard bienveillant de son mari ?
Je l’ignore, mais certainement par un certain nombre, ayant franchi le rideau une fois avant la fin du repas.
• Ouf !
Ma bouche obstruée lâche cette simple interjection quand celui que j’espère depuis si longtemps entre en moi.
Il me pénètre sans le moindre problème, tellement je suis mouillée, on peut dire que ma chatte ruisselle.
C’est normal après une si longue attente, enfin je suis à lui.
A lui, mais aussi à eux, Noël en plus de sa verge, avance sa main et me parle mon sein droit.
Inutile de regarder, j’en serais bien incapable empalé par une verge devant et l’autre derrière, mais je sens que la pointe de mon mamelon bande elle aussi.
Joël m’enserre les hanches, l’un de ses doigts venant même me caresser l’anus.
Je pratique la sodomie m’étant déjà fait sauter en double pénétration, mais le regard derrière la vitre ajoute du piment à notre copulation.
Un instant j’ai l’impression d’être une chienne livrée à une meute de mâle même si ma meute ne se compose que de deux éléments.
Je sens au fond de moi en même temps que les soubresauts de la verge dans ma bouche que le plaisir est aux portes de ma chatte.
Depuis combien de temps suis-je entrée dans cette cage, impossible de le dire, mais il est sûr que j’ai deux amants sachant se retenir.
• Noël glisse-toi sous notre amie, elle regardait ta copine se faire prendre en double vaginale, on va lui faire ressentir ce même plaisir.
Au-dessus de nos têtes, notre copine lâche les chevaux, étant libéré de la queue dans ma bouche, je lève de nouveau ma tête, c’est sûr, c’est un autre qui est en elle.
À côté de son mari, un troisième se masturbe.
La salope elle se fait un véritable gang bang au-dessus de notre tête.
Noël en moi, je sens mon deuxième amant se contorsionner ce qui est normal vu l’exiguïté de l’endroit et viens se glisser le long de la verge finissant par pousser un coup sec.
• Ah, ah, ah, oh !
Excusez, je suis en train de prendre mon pied d’une façon dont il est impossible de décrire ce que je ressens.
Les deux verges déversent leurs deux jets exactement en même temps.
Mon utérus est à la fête quand ils éclatent sur lui.
Ils sont tellement performants que leurs couilles déversant leur trop-plein, ma chatte transpercée de ces deux verges est dans l’impossibilité de recevoir tout le sperme qu’ils éjaculent, sa coule de partout.
Nous éclatons de rire, car nous nous écroulons enchevêtrés incapable de trouver la sortie.
Tout problème trouve sa solution nous passons dans les douches.
Qui aurait pu croire lorsque j’ai donné ma valise à Gaston que je me doucherais dans une douche commune ou une femme et deux hommes font comme nous.
Un des hommes s’approche de nous, je reconnais le mari candauliste.
• Merci du spectacle que vous nous avez offert dans votre cage.
Ma femme grâce à vous était déchaînée, il y a longtemps que l’ami qui la sexait lui avait donné autant de plaisir.
Messieurs puis-je emmener votre amie dans une cabine si vous êtes d’accord madame.
J’ai l’impression que je suis une bête de foire, un maquignon qui vient tâter le cul d’une vache avant de se la payer ?
Mais je dois dire que j’aime bien.
• Mes amis m’ont dit que vous veniez ici simplement regarder votre femme aux mains d’autres hommes.
Il éclate de rire.
• Si j’offre ma femme à d’autres hommes c’est qu’elle est boulimique de sexe, tu as peut-être vu, même pendant le repas il a fallu qu’elle passe le rideau avec des partenaires.
Il me tutoie j’aime les confidences de cet homme la cinquantaine bien mis de sa personne qui était en train de savonner sa femme certainement pour qu’elle soit appétissante pour une nouvelle saillie.
• Nous faisons l’amour plusieurs fois par jour et dans les clubs que nous fréquentons il m’arrive de demander à une partenaire de me suivre dans une pièce cachée des regards.
Tu me plais et si tes amis acceptent, je vois qu’ils t’ont choisi pour la soirée.
• Chère amie Anne es-tu d’accord pour suivre cet homme.
Ici, c’est facile, tu détaches ton collier toi-même et tu le suis on se retrouve plus tard.
• Anne, vas-y en toute confiance, Paul mon mari est très doux, trop doux pour moi.
Les garçons et si je vous emmenais au mur des lamentations.
Je détache mon collier, pas par pitié mais par envie, deviendrais-je moi aussi folle des sexes !
• Merci Betty, amuse-toi au mur, je sais que tu adores finir la nuit là-bas.
Paul me prend la main et m’entraîne le long d’un couloir.
• Je peux te poser une question.
• Tu m’as plu car j’aime les femmes mûres.
J’ai été dépucelé par ma nourrice quand j’avais 18 ans, depuis chaque fois que je le peux.
J’aime faire l’amour à des femmes ayant des seins comme les tiens bien rond et j’espère très ferme.
• Pourquoi avoir aimé une femme plus jeune qui s’avère être folle de sexe ?
• L’amour Anne, j’aime Betty et pour rien au monde je me séparerais d’elle, nous avons consulté car nous voulons un enfant.
Elle s’offre à tellement d’hommes que nous avons peur qu'en cas d'arrêt sa contraception l’enfant ne soit d’un autre, ça ils nous seraient impossibles de le supporter.
Nous avons trouvé une solution.
• Avez-vous une solution ?
• Oui, c’est notre dernière soirée dans ce club libertin, les docteurs pensent que si Betty est enceinte, la maternité a des chances de soigner cette addiction au sexe.
La femme maternelle devant prendre le pas sur la chaude qu’elle est.
Nous partons à partir de lundi dans une résidence en Suisse où nous serons enfermés dans une magnifique chambre d’un château isolé du reste du monde.
Nous serons nourris par un passe plat.
Nourriture trois fourchettes, nous serons libérés dès que Betty m’annoncera qu’elle est enceinte.
La seule personne qui rentrera dans notre chambre, c’est la doctoresse qui dirige cette résidence cinq étoiles.Elle viendra une fois par jour voir si tout se passe bien.
• Va la rejoindre, elle le mérite.
• Non, elle a le droit une dernière fois à être offerte au mur.
• Peux-tu me dire ce qu’est le mur.
• Une pièce, trois lits sur roulettes, plutôt une planche sur roues avec un matelas pour le confort, c’est mixte pour femme ou homme.
On s’allonge, un trou dans le mur, le lit roule pour que votre corps se retrouve de l’autre côté, impossible de sortir sa tête qui reste derrière le mur.
Vous êtes offerte à ceux qui sont dans l’autre pièce sans savoir ceux qui vous font l’amour de l’autre côté.
Si tu veux, je t’y emmène, il y a peut-être un lit de libre derrière ce mur.
Betty doit être dans l’un d’eux !
• Non Paul, je comprends ton envie et ce que tu viens de dire me touche, emmène-moi dans une cabine où nous pourrons fermer la porte.
Il me fait entrer dans une pièce, un lit, recouvert d'un drap.
Il referme, nous sommes un couple qui a envie de faire l’amour en toute intimité.
Hélas, nous sommes dans un club libertin au moment où Paul m’allonge pour me sucer le clitoris, le club libertin me rattrape sur plusieurs des quatre murs des trous, des voyeurs doivent se rincer l’œil.
Je devrais me sauver en courant mais Paul semble être l’amant que Betty m’a prôné alors je me concentre pour le rendre heureux…
Anne merci pour les corrections.
Comment ai-je pu suivre Josyane dans sa quette de queues pour se faire sauter ?
Je savais Josyane libertine profitant du fric que sont ex lui avait laissé certainement compléter par une pension lui coutant bonbon.
Mais je serais de mauvaise foi de me plaindre de l’avoir suivi pour commencer aux restaurant et enfin dans le club libertin où Joël et Noël m’ont fait sucer et masturber des bites sortant d’un mur.
Mais c’est ce qui va m’arriver qui m’interpelle.
Toujours tenue par les laisses attachées au mousqueton du collier de chien qu’ils m’ont mis avant de quitter la salle de restaurant qu’ils m’entraînent dans cette cage en verre légèrement fumée.
On dirait que je suis attendue, sur l’arrière, je vois plusieurs personnes qui sont tranquillement assises sur des poufs à deviser.
J’entre, je suis obligée d’être penché, impossible de rester entièrement debout.
• On a vu que tu savais sucer, prends la verge de Noël.
Un petit coup sec sur la laisse, Noël à genoux devant moi, me présente sa verge que j’ai eu le plaisir de dépuceler avant qu’il ne quitte tout pour rejoindre Lucie.
Je suis à quatre pattes quand je sens une langue venir me caresser l’œillet.
J’ignore encore comment Joël se sert de sa verge, mais je peux assurer que sa langue est vachement efficace.
En plus de ma bouche, ma main prend Noël et je le pompe tout en le masturbant.
Dieu que c’est bon, j’ai bien fait de prendre quelques jours de repos si tenté que depuis que je suis là, je me sois bien reposée.
Une bite devant une langue qui va de mon anus à ma chatte, comment rester insensible.
Malgré la musique diffusée sourdement même dans cette cage, je commence à jouir.
J’entends du bruit au-dessus de nous.
Je lève la tête, une femme est elle aussi à genoux en levrette et un homme est derrière elle qui lui a mis sa verge au fond de son vagin.
À ses côtés cet homme qui me regarde comme il regarde sa femme se faire prendre, c’est le couple qui a cédé leur place à Noël et Lucie.
Par combien de mecs c’est tel déjà fait sauter depuis le début de soirée sous le regard bienveillant de son mari ?
Je l’ignore, mais certainement par un certain nombre, ayant franchi le rideau une fois avant la fin du repas.
• Ouf !
Ma bouche obstruée lâche cette simple interjection quand celui que j’espère depuis si longtemps entre en moi.
Il me pénètre sans le moindre problème, tellement je suis mouillée, on peut dire que ma chatte ruisselle.
C’est normal après une si longue attente, enfin je suis à lui.
A lui, mais aussi à eux, Noël en plus de sa verge, avance sa main et me parle mon sein droit.
Inutile de regarder, j’en serais bien incapable empalé par une verge devant et l’autre derrière, mais je sens que la pointe de mon mamelon bande elle aussi.
Joël m’enserre les hanches, l’un de ses doigts venant même me caresser l’anus.
Je pratique la sodomie m’étant déjà fait sauter en double pénétration, mais le regard derrière la vitre ajoute du piment à notre copulation.
Un instant j’ai l’impression d’être une chienne livrée à une meute de mâle même si ma meute ne se compose que de deux éléments.
Je sens au fond de moi en même temps que les soubresauts de la verge dans ma bouche que le plaisir est aux portes de ma chatte.
Depuis combien de temps suis-je entrée dans cette cage, impossible de le dire, mais il est sûr que j’ai deux amants sachant se retenir.
• Noël glisse-toi sous notre amie, elle regardait ta copine se faire prendre en double vaginale, on va lui faire ressentir ce même plaisir.
Au-dessus de nos têtes, notre copine lâche les chevaux, étant libéré de la queue dans ma bouche, je lève de nouveau ma tête, c’est sûr, c’est un autre qui est en elle.
À côté de son mari, un troisième se masturbe.
La salope elle se fait un véritable gang bang au-dessus de notre tête.
Noël en moi, je sens mon deuxième amant se contorsionner ce qui est normal vu l’exiguïté de l’endroit et viens se glisser le long de la verge finissant par pousser un coup sec.
• Ah, ah, ah, oh !
Excusez, je suis en train de prendre mon pied d’une façon dont il est impossible de décrire ce que je ressens.
Les deux verges déversent leurs deux jets exactement en même temps.
Mon utérus est à la fête quand ils éclatent sur lui.
Ils sont tellement performants que leurs couilles déversant leur trop-plein, ma chatte transpercée de ces deux verges est dans l’impossibilité de recevoir tout le sperme qu’ils éjaculent, sa coule de partout.
Nous éclatons de rire, car nous nous écroulons enchevêtrés incapable de trouver la sortie.
Tout problème trouve sa solution nous passons dans les douches.
Qui aurait pu croire lorsque j’ai donné ma valise à Gaston que je me doucherais dans une douche commune ou une femme et deux hommes font comme nous.
Un des hommes s’approche de nous, je reconnais le mari candauliste.
• Merci du spectacle que vous nous avez offert dans votre cage.
Ma femme grâce à vous était déchaînée, il y a longtemps que l’ami qui la sexait lui avait donné autant de plaisir.
Messieurs puis-je emmener votre amie dans une cabine si vous êtes d’accord madame.
J’ai l’impression que je suis une bête de foire, un maquignon qui vient tâter le cul d’une vache avant de se la payer ?
Mais je dois dire que j’aime bien.
• Mes amis m’ont dit que vous veniez ici simplement regarder votre femme aux mains d’autres hommes.
Il éclate de rire.
• Si j’offre ma femme à d’autres hommes c’est qu’elle est boulimique de sexe, tu as peut-être vu, même pendant le repas il a fallu qu’elle passe le rideau avec des partenaires.
Il me tutoie j’aime les confidences de cet homme la cinquantaine bien mis de sa personne qui était en train de savonner sa femme certainement pour qu’elle soit appétissante pour une nouvelle saillie.
• Nous faisons l’amour plusieurs fois par jour et dans les clubs que nous fréquentons il m’arrive de demander à une partenaire de me suivre dans une pièce cachée des regards.
Tu me plais et si tes amis acceptent, je vois qu’ils t’ont choisi pour la soirée.
• Chère amie Anne es-tu d’accord pour suivre cet homme.
Ici, c’est facile, tu détaches ton collier toi-même et tu le suis on se retrouve plus tard.
• Anne, vas-y en toute confiance, Paul mon mari est très doux, trop doux pour moi.
Les garçons et si je vous emmenais au mur des lamentations.
Je détache mon collier, pas par pitié mais par envie, deviendrais-je moi aussi folle des sexes !
• Merci Betty, amuse-toi au mur, je sais que tu adores finir la nuit là-bas.
Paul me prend la main et m’entraîne le long d’un couloir.
• Je peux te poser une question.
• Tu m’as plu car j’aime les femmes mûres.
J’ai été dépucelé par ma nourrice quand j’avais 18 ans, depuis chaque fois que je le peux.
J’aime faire l’amour à des femmes ayant des seins comme les tiens bien rond et j’espère très ferme.
• Pourquoi avoir aimé une femme plus jeune qui s’avère être folle de sexe ?
• L’amour Anne, j’aime Betty et pour rien au monde je me séparerais d’elle, nous avons consulté car nous voulons un enfant.
Elle s’offre à tellement d’hommes que nous avons peur qu'en cas d'arrêt sa contraception l’enfant ne soit d’un autre, ça ils nous seraient impossibles de le supporter.
Nous avons trouvé une solution.
• Avez-vous une solution ?
• Oui, c’est notre dernière soirée dans ce club libertin, les docteurs pensent que si Betty est enceinte, la maternité a des chances de soigner cette addiction au sexe.
La femme maternelle devant prendre le pas sur la chaude qu’elle est.
Nous partons à partir de lundi dans une résidence en Suisse où nous serons enfermés dans une magnifique chambre d’un château isolé du reste du monde.
Nous serons nourris par un passe plat.
Nourriture trois fourchettes, nous serons libérés dès que Betty m’annoncera qu’elle est enceinte.
La seule personne qui rentrera dans notre chambre, c’est la doctoresse qui dirige cette résidence cinq étoiles.Elle viendra une fois par jour voir si tout se passe bien.
• Va la rejoindre, elle le mérite.
• Non, elle a le droit une dernière fois à être offerte au mur.
• Peux-tu me dire ce qu’est le mur.
• Une pièce, trois lits sur roulettes, plutôt une planche sur roues avec un matelas pour le confort, c’est mixte pour femme ou homme.
On s’allonge, un trou dans le mur, le lit roule pour que votre corps se retrouve de l’autre côté, impossible de sortir sa tête qui reste derrière le mur.
Vous êtes offerte à ceux qui sont dans l’autre pièce sans savoir ceux qui vous font l’amour de l’autre côté.
Si tu veux, je t’y emmène, il y a peut-être un lit de libre derrière ce mur.
Betty doit être dans l’un d’eux !
• Non Paul, je comprends ton envie et ce que tu viens de dire me touche, emmène-moi dans une cabine où nous pourrons fermer la porte.
Il me fait entrer dans une pièce, un lit, recouvert d'un drap.
Il referme, nous sommes un couple qui a envie de faire l’amour en toute intimité.
Hélas, nous sommes dans un club libertin au moment où Paul m’allonge pour me sucer le clitoris, le club libertin me rattrape sur plusieurs des quatre murs des trous, des voyeurs doivent se rincer l’œil.
Je devrais me sauver en courant mais Paul semble être l’amant que Betty m’a prôné alors je me concentre pour le rendre heureux…
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