COLLECTION ANNE MA MUSE. Joyeux Noël (2/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2399 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 005 540 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 824 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ANNE MA MUSE. Joyeux Noël (2/8)
Vous me connaissez, je m’appelle Anne, j’ai 58 ans, je travaille à Besançon dans une entreprise de transport comme secrétaire.
Encore quelques mois et enfin la « quille » comme le dirait Chris71 dans ses récits du temps où il était dans la marine nationale.
J’ai eu ma belle-sœur Épiphanie, femme de Jacques mon petit frère, au téléphone de la Martinique où ils habitent.
Elle m’apprend que mon neveu et filleul est arrivé en France ce matin par un vol direct jusqu’à Paris et qu’il va arriver à 17 heures à la gare de Besançon.
Avec Pierre, mon ami et amant, nous avons préparé la maison comme j’ai appris à le faire depuis ma plus tendre enfance, pour la période des fêtes de fin d'année.
Chez nous Noël était la fête majeur de notre famille, nous avions l’habitude de tous nous réunir dans ces années-là autour du sapin.
Cette année, comme les précédentes, mon frère seul parent qui me reste sera loin de moi, mais par la pensée nous serons réunis.
Mon fils, quant à lui est aussi loin de moi-même.
Il est en France, mais il fait partie de ceux qui ne sont pas de repos cette nuit là pour que nous soyons en sécurité.
Je suis triste, mais de savoir que Noël, mon neveu, sera là, cela me met en joie.
Avec Pierre, ce matin nous avons rempli le frigo de tout ce que nous aurons à manger.
Je vais préparer la dinde demain après-midi avec le foie gras pendant que Pierre s’occupera de la table.
Nous dînerons aux chandelles à côté du sapin et du feu de bois qu’il aura préparé et allumé dans la cheminée.
Si nous avions été seuls tous les deux comme c’était prévu initialement, après le dessert et l’ouverture des cadeaux, je me serais bien vue, nue sur notre peau de bêtes en pure imitation.
Sans être écolo, puisque je mange du foie gras, je fais attention à la nature qui fout le camp !
Pierre s’est occupé des boissons, nous avons acheté du sucre en bouteille d'une marque bien connue persuadés qu’à son âge Noël est friand de cette saloperie.
Pierre voulait acheter des bananes pour les faire flamber le 25 à midi.
J’adore ce dessert, surtout avec le marc de Bourgogne qui permet de les flamber, mais je trouve que ça fait cliché.
Je n’oublie pas que Noël est "café au lait", plus lait que café car il a pris plus la couleur de son papa que celle de sa maman.
La dernière vision que j’ai de lui, c’est une photo de tous les trois, il avait une coupe afro, les cheveux bouclés lui faisant un casque sur la tête.
Le train est annoncé.
Depuis combien de temps ne l’ai-je pas vu ?
C’est facile, ils sont venus de la Martinique pour que nous fêtions mes 50 ans.
J’étais encore mariée avec ce pourri de Léonard qui m’a trompé le mois suivant avec une jeune pétasse alors qu’il avait tout ce qu’il fallait à la maison.
Je l’ai vue une fois, cette rivale, certes elle était jeune, mais comparée à moi qui ai des seins qui pourraient faire bander les morts, cette salope est plate comme une limande.
Combien de fois, quand mon mari me baisait en levrette, ne m’avait-il pas dit qu’ils étaient les plus beaux du monde, malgré mes cinquante ans !
Oui, bien sûr, le problème a dû certainement être mes 50 ans car cette pouffiasse en avait à peine 19.
Trente ans d’écart, même un peu plus, c’est comme si moi Anne, je couchais avec Noël mon neveu.
Quel incongruité !
Toutes ces pensés me permettent de ne pas avoir trop froid, car le temps est couvert. Ils annoncent même de la neige pour demain dans la nuit.
C’est un tout autre garçon qui descend du train, un sac de sport placé sur son épaule qu’il tient d’une main alors qu’il semble bien lourd, que celui que j'ai connu il y a quelque temps.
La première chose que je remarque, c’est sa coiffure.
Fini l’afro, il a une coupe normal si les cheveux bouclés et courts sont une coupe normale.
Il semble musclé dans sa parka, il est vrai qu’il a dû être surpris ce matin à sa descente d’avion.
Combien au départ de chez lui ?
30° à 35° avec une humidité de 70 %. 0° ici, plus d’un serait surpris ne connaissant pas notre climat.
- Anne, je suis contente de te revoir, Pierre, je te reconnais tu étais sur les dernières photos que maman m’a montrées.
- Bonjour Noël, je te félicite de ton bon travail à la fac et de l’obtention de ton permis de conduire, qu’est-ce que tu as grandi.
Je t’aurais croisé sans savoir que tu venais, je ne t’aurais pas reconnu.
Tu es un homme maintenant.
Nous nous rendons à la maison, je lui montre sa chambre, la même que celle qu’il avait il y a huit ans.
Il est fatigué par le voyage et le décalage horaire.
Sans manger, il va se coucher.
Je suis dans ma cuisine quand je le vois arriver, couvert d’un simple boxer blanc.
Je peux voir qu’il a un beau paquet, la bosse est impressionnante.
Ce qui m’impressionne aussi, c’est la touffe de poils qui couvre sa poitrine, son ventre et bien sur ses cuisses. C’est le premier garçon que je vois si poilu. Des poils très noirs.
- Bonjour Anne, tu es déjà réveillée, j’ai dormi comme un bébé, que je ne suis plus.
Tu vas rire Anne, la dernière fois où je suis venu, tu portais le même peignoir.
Oui, le matin, je suis très souvent en peignoir pour mes occupations à la maison.
Un peignoir court en éponge fermé par une ceinture.
Depuis qu’il est arrivé, j’aime qu’il m’appelle Anne et non pas tante ou marraine. Anne ça me va, ça me rajeunit.
Il vient derrière moi et m’embrasse dans la cou, je n’y prête pas attention je ne le prends pas pour un geste déplacé.
Mais je remarque qu'il est si grand qu’il me dépasse d’une tête.
- Tu sais, j’ai un beau souvenir de ma venue ici.
Aide-moi à retrouver l’atmosphère que j’ai vécue et qui m’obsède depuis ce jour.
- Que veux-tu que je fasse, tu as un fantasme ?
- Cette chaise, ma vie à commencé, mais s’est arrêtée sur cette chaise, assieds-toi.
Le jeu m’amuse, je m’assois, attendant la suite avec curiosité.
Je tire sur mon peignoir pour cacher mes jambes qui sont dénudés, mais comme il est court il ne cache pas grand chose, un peu mes cuisses mais pas mes mollets.
- Laisse les dénudées, elles étaient comme ça dans mon souvenir.
N’ai pas peur, je vais m’asseoir sur tes genoux, c’est comme cela que j’étais quand j’ai eu ma première érection.
Mon sexe était encore petit et tu ne l’as pas remarqué.
Je suis surprise de ce que viens d'entendre et de la façon si décontractée ou il en parle.
En me disant ces mots, il s’assoit comme il l’était dans le passé, bien qu’aujourd’hui il soit plus lourd.
Les souvenirs me reviennent, c’est vrai que je l’avais assis sur mes genoux lors de sa dernière venue, sans penser que j’allais déclencher en lui une frustration.
- Anne, je vais faire un geste que j’espère tu n’interpréteras pas mal.
Tu m’avais pris dans tes bras et mon bras s'était retrouvé collé à ton sein.
Si tu savais depuis ce jour, le nombre de fois ou ce moment m’est revenu en rêve.
Au début, j’envoyais des "cartes postales" dans mes draps que maman m’obligeait à dire à Monsieur le curé pour que le bon dieu me pardonne.
Depuis, mon sperme ne partant plus tout seul, je me masturbe régulièrement en rêvant au galbe parfait de ton sein que je voyais comme maintenant je le vois dans le décolleté de ton peignoir.
- Noël, je suis flattée, que veux-tu que je fasse ?
Je vois mal ce que je peux faire.
- Anne, je suis encore puceau car j’ai ce souvenir dans ma tête.
Aide-moi à franchir le pas et devenir un vrai homme.
- Mais c'est impossible.
Tu es très jeune, surtout que Pierre est dans ma chambre, tu sais il est mon homme, même si aucun lien officiel ne nous lie.
Je deviens folle, je me rends compte que même s’il est un peu lourd, ma main vient de se poser sur son sexe par dessus son caleçon.
Je vois aussi en baissant mon regard qu'il a une belle vue sur un de mes seins qui baille au travers le peignoir dont un pan s'est écarté.
Il doit voir mon aréoles large et brune et mon téton gros et dur.
Je baisse ma tête, son gland et une grande partie de sa verge sont maintenant sortis du boxer.
En allongeant, son gourdin n'avait plus assez de place dans le caleçon.
Il bande, je n’ai jamais vu une verge de ce volume et de cette longueur.
Je le caresse, je sens qu’elle palpite.
Je passe doucement ma main sur cette tige de chair.
- Lève-toi Noël.
Il le fait, je me lève à mon tour.
Je le fais s’asseoir tout en mettant à nu son pieu.
C’est à mon tour de me présenter fasse à lui, d’écarter mes cuisses et de venir m’empaler sur cette verge qui n’en finit pas d’entrer en moi.
Je suis peux être complètement folle, mais le plaisir qui m’envahit est si bon et si fort qu’il est loin le moment où j’aurais pu reprendre le contrôle de moi-même.
Je me mords les lèvres pour ne pas hurler mon plaisir quand il me saisit sous les fesses et qu’il me fait monter et descendre sur sa verge.
Il est fort et musclé.
Il me soulève comme si j'étais une plume.
Que disait Épiphanie, sur ce que je faisais de mon sexe avec mon amant ?
Comme je suis placée, je vois la porte-fenêtre menant au jardin, la neige tombe, la partie de pelouse que je vois est déjà toute blanche.
Un moment j’ai envie de le sortir de moi de le prendre par la main et d’aller me rouler dans les quelques centimètres de poudreuse qui sont déjà tombés.
- Anne, merci, je vais jouir en toi, tu viens de faire de moi le plus heureux des garçons.
Je suis un homme grâce à toi et je sens que j’ai réalisé mon fantasme.
À ce dernier mot, il décharge inondant mon utérus me faisant jouir, jouir, jouir, je ne suis qu’un orgasme, je suis l’orgasme.
Ma tête est en arrière, ma bouche est ouverte, je halète en essayant d'étouffer mes cris pour ne pas réveiller mon homme.
Je m'agrippe au jeune corps de Noël, c'est si fort.
Je suis dans les vapes quand je sens que ma poitrine reçoive sa visite, sa bouche d’un côté, sa main de l’autre.
Il me caresse, me malaxe mes mamelles.
- Tes nichons sont beaux, on dirait de grosses poires juteuses.
Je vois souvent ceux de maman, ses débardeurs sont généralement trop grands, ta poitrine est incomparable en rapport de la sienne.
Regarde il neige, lève-toi et viens.
C’est avec regret que je quitte sa bite qui a regonflé en moi, quel jeune homme, un véritable étalon.
Il se lève et me prends la main.
Y a-t-il de la transmission de pensée entre Noël et Épiphanie ?
Il ouvre la porte menant au jardin et m’entraîne nue sur notre pelouse.
- C’est la première fois que je vois de la neige autre part que devant un écran.
Il se jette au sol comme le font les footballeur ayant marqué un but et glisse sur trois à quatre mètres.
Je suis devenue folle, je l’imite glissant moins loin, il se retourne et j’arrive sur sa bite qui n’a pas retrouvé son calme.
Malgré le froid, elle est dure encore.
Je le prends dans mes mains.
Mes seins et ma chatte sont dans la neige, mais je m’en fiche, il entre dans ma bouche et je lui fais une fellation en gorge profonde malgré sa grosseur.
Ma bouche est ouverte au maximum.
Je frissonne, je frémis mais je m’en fiche.
Là, dehors, sur cette couche de neige, je me place en levrette, il se place derrière moi et je sens divinement son chibre revenir en moi.
C'est terrible.
Mes lèvres s'écartent.
Mon vagin s'ouvre et je sens son sexe qui coulisse.
De plaisir ma tête se lève.
Oh, Pierre est derrière la fenêtre de notre chambre n’en perdant pas une miette.
Il nous regarde, il me fixe.
Le froid de la neige, le froid du frisson que cette saillie déclenche en moi et le froid de la peur à la pensée que je viens de perdre mon amant, traversent mon corps.
C’est dommage, j’aimais bien mon Pierre, même si certains jours son âge pose un début de problème.
Mais cette pensée est vite abandonnée car Noël me remplit de nouveau, je lève ma tête, Pierre à disparu…
Encore quelques mois et enfin la « quille » comme le dirait Chris71 dans ses récits du temps où il était dans la marine nationale.
J’ai eu ma belle-sœur Épiphanie, femme de Jacques mon petit frère, au téléphone de la Martinique où ils habitent.
Elle m’apprend que mon neveu et filleul est arrivé en France ce matin par un vol direct jusqu’à Paris et qu’il va arriver à 17 heures à la gare de Besançon.
Avec Pierre, mon ami et amant, nous avons préparé la maison comme j’ai appris à le faire depuis ma plus tendre enfance, pour la période des fêtes de fin d'année.
Chez nous Noël était la fête majeur de notre famille, nous avions l’habitude de tous nous réunir dans ces années-là autour du sapin.
Cette année, comme les précédentes, mon frère seul parent qui me reste sera loin de moi, mais par la pensée nous serons réunis.
Mon fils, quant à lui est aussi loin de moi-même.
Il est en France, mais il fait partie de ceux qui ne sont pas de repos cette nuit là pour que nous soyons en sécurité.
Je suis triste, mais de savoir que Noël, mon neveu, sera là, cela me met en joie.
Avec Pierre, ce matin nous avons rempli le frigo de tout ce que nous aurons à manger.
Je vais préparer la dinde demain après-midi avec le foie gras pendant que Pierre s’occupera de la table.
Nous dînerons aux chandelles à côté du sapin et du feu de bois qu’il aura préparé et allumé dans la cheminée.
Si nous avions été seuls tous les deux comme c’était prévu initialement, après le dessert et l’ouverture des cadeaux, je me serais bien vue, nue sur notre peau de bêtes en pure imitation.
Sans être écolo, puisque je mange du foie gras, je fais attention à la nature qui fout le camp !
Pierre s’est occupé des boissons, nous avons acheté du sucre en bouteille d'une marque bien connue persuadés qu’à son âge Noël est friand de cette saloperie.
Pierre voulait acheter des bananes pour les faire flamber le 25 à midi.
J’adore ce dessert, surtout avec le marc de Bourgogne qui permet de les flamber, mais je trouve que ça fait cliché.
Je n’oublie pas que Noël est "café au lait", plus lait que café car il a pris plus la couleur de son papa que celle de sa maman.
La dernière vision que j’ai de lui, c’est une photo de tous les trois, il avait une coupe afro, les cheveux bouclés lui faisant un casque sur la tête.
Le train est annoncé.
Depuis combien de temps ne l’ai-je pas vu ?
C’est facile, ils sont venus de la Martinique pour que nous fêtions mes 50 ans.
J’étais encore mariée avec ce pourri de Léonard qui m’a trompé le mois suivant avec une jeune pétasse alors qu’il avait tout ce qu’il fallait à la maison.
Je l’ai vue une fois, cette rivale, certes elle était jeune, mais comparée à moi qui ai des seins qui pourraient faire bander les morts, cette salope est plate comme une limande.
Combien de fois, quand mon mari me baisait en levrette, ne m’avait-il pas dit qu’ils étaient les plus beaux du monde, malgré mes cinquante ans !
Oui, bien sûr, le problème a dû certainement être mes 50 ans car cette pouffiasse en avait à peine 19.
Trente ans d’écart, même un peu plus, c’est comme si moi Anne, je couchais avec Noël mon neveu.
Quel incongruité !
Toutes ces pensés me permettent de ne pas avoir trop froid, car le temps est couvert. Ils annoncent même de la neige pour demain dans la nuit.
C’est un tout autre garçon qui descend du train, un sac de sport placé sur son épaule qu’il tient d’une main alors qu’il semble bien lourd, que celui que j'ai connu il y a quelque temps.
La première chose que je remarque, c’est sa coiffure.
Fini l’afro, il a une coupe normal si les cheveux bouclés et courts sont une coupe normale.
Il semble musclé dans sa parka, il est vrai qu’il a dû être surpris ce matin à sa descente d’avion.
Combien au départ de chez lui ?
30° à 35° avec une humidité de 70 %. 0° ici, plus d’un serait surpris ne connaissant pas notre climat.
- Anne, je suis contente de te revoir, Pierre, je te reconnais tu étais sur les dernières photos que maman m’a montrées.
- Bonjour Noël, je te félicite de ton bon travail à la fac et de l’obtention de ton permis de conduire, qu’est-ce que tu as grandi.
Je t’aurais croisé sans savoir que tu venais, je ne t’aurais pas reconnu.
Tu es un homme maintenant.
Nous nous rendons à la maison, je lui montre sa chambre, la même que celle qu’il avait il y a huit ans.
Il est fatigué par le voyage et le décalage horaire.
Sans manger, il va se coucher.
Je suis dans ma cuisine quand je le vois arriver, couvert d’un simple boxer blanc.
Je peux voir qu’il a un beau paquet, la bosse est impressionnante.
Ce qui m’impressionne aussi, c’est la touffe de poils qui couvre sa poitrine, son ventre et bien sur ses cuisses. C’est le premier garçon que je vois si poilu. Des poils très noirs.
- Bonjour Anne, tu es déjà réveillée, j’ai dormi comme un bébé, que je ne suis plus.
Tu vas rire Anne, la dernière fois où je suis venu, tu portais le même peignoir.
Oui, le matin, je suis très souvent en peignoir pour mes occupations à la maison.
Un peignoir court en éponge fermé par une ceinture.
Depuis qu’il est arrivé, j’aime qu’il m’appelle Anne et non pas tante ou marraine. Anne ça me va, ça me rajeunit.
Il vient derrière moi et m’embrasse dans la cou, je n’y prête pas attention je ne le prends pas pour un geste déplacé.
Mais je remarque qu'il est si grand qu’il me dépasse d’une tête.
- Tu sais, j’ai un beau souvenir de ma venue ici.
Aide-moi à retrouver l’atmosphère que j’ai vécue et qui m’obsède depuis ce jour.
- Que veux-tu que je fasse, tu as un fantasme ?
- Cette chaise, ma vie à commencé, mais s’est arrêtée sur cette chaise, assieds-toi.
Le jeu m’amuse, je m’assois, attendant la suite avec curiosité.
Je tire sur mon peignoir pour cacher mes jambes qui sont dénudés, mais comme il est court il ne cache pas grand chose, un peu mes cuisses mais pas mes mollets.
- Laisse les dénudées, elles étaient comme ça dans mon souvenir.
N’ai pas peur, je vais m’asseoir sur tes genoux, c’est comme cela que j’étais quand j’ai eu ma première érection.
Mon sexe était encore petit et tu ne l’as pas remarqué.
Je suis surprise de ce que viens d'entendre et de la façon si décontractée ou il en parle.
En me disant ces mots, il s’assoit comme il l’était dans le passé, bien qu’aujourd’hui il soit plus lourd.
Les souvenirs me reviennent, c’est vrai que je l’avais assis sur mes genoux lors de sa dernière venue, sans penser que j’allais déclencher en lui une frustration.
- Anne, je vais faire un geste que j’espère tu n’interpréteras pas mal.
Tu m’avais pris dans tes bras et mon bras s'était retrouvé collé à ton sein.
Si tu savais depuis ce jour, le nombre de fois ou ce moment m’est revenu en rêve.
Au début, j’envoyais des "cartes postales" dans mes draps que maman m’obligeait à dire à Monsieur le curé pour que le bon dieu me pardonne.
Depuis, mon sperme ne partant plus tout seul, je me masturbe régulièrement en rêvant au galbe parfait de ton sein que je voyais comme maintenant je le vois dans le décolleté de ton peignoir.
- Noël, je suis flattée, que veux-tu que je fasse ?
Je vois mal ce que je peux faire.
- Anne, je suis encore puceau car j’ai ce souvenir dans ma tête.
Aide-moi à franchir le pas et devenir un vrai homme.
- Mais c'est impossible.
Tu es très jeune, surtout que Pierre est dans ma chambre, tu sais il est mon homme, même si aucun lien officiel ne nous lie.
Je deviens folle, je me rends compte que même s’il est un peu lourd, ma main vient de se poser sur son sexe par dessus son caleçon.
Je vois aussi en baissant mon regard qu'il a une belle vue sur un de mes seins qui baille au travers le peignoir dont un pan s'est écarté.
Il doit voir mon aréoles large et brune et mon téton gros et dur.
Je baisse ma tête, son gland et une grande partie de sa verge sont maintenant sortis du boxer.
En allongeant, son gourdin n'avait plus assez de place dans le caleçon.
Il bande, je n’ai jamais vu une verge de ce volume et de cette longueur.
Je le caresse, je sens qu’elle palpite.
Je passe doucement ma main sur cette tige de chair.
- Lève-toi Noël.
Il le fait, je me lève à mon tour.
Je le fais s’asseoir tout en mettant à nu son pieu.
C’est à mon tour de me présenter fasse à lui, d’écarter mes cuisses et de venir m’empaler sur cette verge qui n’en finit pas d’entrer en moi.
Je suis peux être complètement folle, mais le plaisir qui m’envahit est si bon et si fort qu’il est loin le moment où j’aurais pu reprendre le contrôle de moi-même.
Je me mords les lèvres pour ne pas hurler mon plaisir quand il me saisit sous les fesses et qu’il me fait monter et descendre sur sa verge.
Il est fort et musclé.
Il me soulève comme si j'étais une plume.
Que disait Épiphanie, sur ce que je faisais de mon sexe avec mon amant ?
Comme je suis placée, je vois la porte-fenêtre menant au jardin, la neige tombe, la partie de pelouse que je vois est déjà toute blanche.
Un moment j’ai envie de le sortir de moi de le prendre par la main et d’aller me rouler dans les quelques centimètres de poudreuse qui sont déjà tombés.
- Anne, merci, je vais jouir en toi, tu viens de faire de moi le plus heureux des garçons.
Je suis un homme grâce à toi et je sens que j’ai réalisé mon fantasme.
À ce dernier mot, il décharge inondant mon utérus me faisant jouir, jouir, jouir, je ne suis qu’un orgasme, je suis l’orgasme.
Ma tête est en arrière, ma bouche est ouverte, je halète en essayant d'étouffer mes cris pour ne pas réveiller mon homme.
Je m'agrippe au jeune corps de Noël, c'est si fort.
Je suis dans les vapes quand je sens que ma poitrine reçoive sa visite, sa bouche d’un côté, sa main de l’autre.
Il me caresse, me malaxe mes mamelles.
- Tes nichons sont beaux, on dirait de grosses poires juteuses.
Je vois souvent ceux de maman, ses débardeurs sont généralement trop grands, ta poitrine est incomparable en rapport de la sienne.
Regarde il neige, lève-toi et viens.
C’est avec regret que je quitte sa bite qui a regonflé en moi, quel jeune homme, un véritable étalon.
Il se lève et me prends la main.
Y a-t-il de la transmission de pensée entre Noël et Épiphanie ?
Il ouvre la porte menant au jardin et m’entraîne nue sur notre pelouse.
- C’est la première fois que je vois de la neige autre part que devant un écran.
Il se jette au sol comme le font les footballeur ayant marqué un but et glisse sur trois à quatre mètres.
Je suis devenue folle, je l’imite glissant moins loin, il se retourne et j’arrive sur sa bite qui n’a pas retrouvé son calme.
Malgré le froid, elle est dure encore.
Je le prends dans mes mains.
Mes seins et ma chatte sont dans la neige, mais je m’en fiche, il entre dans ma bouche et je lui fais une fellation en gorge profonde malgré sa grosseur.
Ma bouche est ouverte au maximum.
Je frissonne, je frémis mais je m’en fiche.
Là, dehors, sur cette couche de neige, je me place en levrette, il se place derrière moi et je sens divinement son chibre revenir en moi.
C'est terrible.
Mes lèvres s'écartent.
Mon vagin s'ouvre et je sens son sexe qui coulisse.
De plaisir ma tête se lève.
Oh, Pierre est derrière la fenêtre de notre chambre n’en perdant pas une miette.
Il nous regarde, il me fixe.
Le froid de la neige, le froid du frisson que cette saillie déclenche en moi et le froid de la peur à la pensée que je viens de perdre mon amant, traversent mon corps.
C’est dommage, j’aimais bien mon Pierre, même si certains jours son âge pose un début de problème.
Mais cette pensée est vite abandonnée car Noël me remplit de nouveau, je lève ma tête, Pierre à disparu…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...