COLLECTION ANNE MA MUSE. Séréna (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Séréna (2/2)
Rien n’avait été prévu pour moi quand je suis descendu dans le Sud dans le camion de ce brave Gaston.
Ce chauffeur est marié avec Séréna qui est allée dans la cuisine chercher le dessert qu’elle nous a préparé.
Elle est en train de m’expliquer comment d’un premier amant elle est devenue une parfaite salope.
Je sais depuis que je l’ai surprise à se faire sauter par le jeune Yann son voisin qu’elle est la maîtresse du père et donc de Yann le fils.
Le père est venu lui déboucher sa tuyauterie en l’absence de Gaston alors je l’interroge sur le fils.
- Avant que je t’explique comment je me suis retrouvée entre le père et le fils, mange ce Granite Sicilien au café, c’est un dessert de chez moi, Gaston adore le café, il en boit des litres.
Yann, un jour j’attendais le père, j’ai vu arriver le fils sans se démonter il m’a dit qu’il savait que j’étais la maîtresse de son père et qu’il voulait que je le dépucèle.
Je suis tombée de haut, mais promptement il a sorti sa queue et me l’a présenté pour que je la suce.
Une jeune queue vierge, j’ai craqué pendant trois jours il m’a tout appris.
- Je croyais qu’il était puceau !
- Oui, mais dès la première fois, il l’a perdu et m’a fait perdre ma rondelle, le même jour.
Me faire sodomiser, une fois Gaston me l’a proposé, je l’ai fait coucher sur le canapé jusqu’à son départ suivant.
Avec ce jeune garçon, j’ai trouvé cela naturelle me mettant à quatre pattes après qu’il m’est fait une feuille de rose, son sexe est entré en moi.
Le jour où tu m’as surprise, le matin, j’avais gardé le fils de Susy une autre voisine fille-mère qui devait aller aux allocations familiales.
Ça m’arrive de le garder de temps en temps, je mets toujours ce papier pour éviter qu’on réveille le petit, j’avais oublié de l’enlever.
Regarde sur la vidéo, il est en train de m’enculer.
On dirait qu’elle est fière de me montrer ce jeune garçon lui défonçant l’anus.
- Alors le dessert ça te plait, ce que j’aime c’est que ça ne fait pas grossir, tu en veux un autre.
- C’est très bien, j’ai assez manger, une clope et au lit.
- Tu fumes !
- Oui de bonne bouffarde quand moi aussi de temps en temps je me laisse aller avec un homme.
Je sens la pente glissante quand je parle de bonnes bouffardes, n’ai-je pas fumé le sexe de Gaston avant de me faire ramoner la chatte au retour frustrant cette belle salope de Séréna quand elle a voulu monter dans la couchette à Dijon.
- Gaston m’avait dit que tu étais avec un homme qui s’appelle Pierre, tu le trompes !
- Non, comme toi je me trompe.
- Tu es divorcée, ça aussi il me l’a dit, j’ai une idée.
- Arrête, je te vois venir, tu vas me demander de coucher avec moi, les femmes ce n’est pas mon truc.
- Jamais !
- Jamais !
- Tu es sûr, tu sais dans mon pays les enfants qui mentent, on dit que leur nez bouge, le tient est pire que celui de Pinocchio !
- Pinocchio, le sien s’allongeait.
C’est vrai, j’ai fait l’amour avec Lucie, la copine de mon neveu Noël que j’avais dépucelé pendant les fêtes de Noël.
- Et c’est moi la pute, j'assume, tu n’as rien à craindre, je suis simplement hétéro.
- Pour finir notre soirée en beauté, veux-tu que j’appelle Pascal et Yann, ils seront là en deux minutes.
- Tu les appelles et ils viennent comme de bons toutous.
- C’est à peu près ça.
Dans votre travail, il faut conduire le fret à tout moment, ce qu’il y a de bien, c’est qu’une fois partie, il sait quand sera son retour, pas de surprise, alors c’est moi qui les appelle.
Elle sort son portable, je joue les grandes dames, mais il est vrai que je suis une aussi grande salope que Séréna, mais je sais le cacher, elle, elle assume, je me trouve des arguments pour baiser alors que j’adore ça.
- Pourquoi pas, de ce que j’ai vu de Yann, si le père est aussi doué, nous pourrions passer un bon moment ?
Séréna se lève va sur son meuble chercher son portable.
- Vous êtes là tous les deux, parfaits j’aurais une surprise, elle s’appelle Anne.
Des la début Séréna me piège, quand elle appelle c’est pour qu’ils viennent la baiser, en leur dévoilant ma présence elle m’oblige à accepter d’avoir des rapports avec eux.
Ça sonne, Séréna toujours grande dame se rend à la porte.
- Nous espérions ton appel, tu nous gâtes tu as une amie qui veut se faire une petite partie carrée !
C’est Pascal qui entre le premier.
La quarantaine, cheveux poivre et sel, la même taille que son fils qui se pointe derrière lui.
- Anne permet moi de te baiser ta main, Séréna est une belle femme, elle n’a rien à t’envier.
Je fonds littéralement tellement cet homme est galant, son fils est son portait en plus jeune, lui aussi me fait un baisemain.
- Séréna, je vois que tu es allé faire le plein de roser chez toi lors de ton voyage avec ton mari, un petit verre ça met en forme.
- Deux jolies femmes comme vous, il nous faut un petit remontant.
Pascal s’assoit à mon côté, Yann près de Séréna.
Rapide le jeune homme, quelques minutes à trinquer et je vois sa main se porter sous la nappe.
Sa destination est certaine, inutile que je me pose des questions sa chatte va très vite être sollicitée.
- Mon fils est impayable, depuis qu’il s’est fait dépuceler par notre amie, il ne pense qu’à la sauter, Séréna tu peux le remette à sa place.
- Surement pas Pascal, pourquoi crois-tu qu’on vous ait fait venir, fait en de même avec Anne, tu verras elle est aussi chaude que moi.
Il pivote, me regarde, il avance sa bouche, j’avance la mienne, elles se rejoignent, sa langue est agile.
Sa main se pose sur ma cuisse.
La chaîne de mon amie joue en sourdine depuis que je suis arrivée, un slow démarre.
- Voulez-vous m’accorder cette danse mademoiselle ?
Nous nous levons, je vois Séréna embrasser le garçon, il s’est reculé de la table et a sorti sa queue comme je l’ai vue sur la vidéo, il est aussi en forme que la dernière fois.
Séréna s’agenouille et comme je l’ai fait pour son mari le prend dans sa bouche.
Pascal me colle à lui, immédiatement je sens qu’il va être en moi rapidement et je suis prête.
Nous n’avons qu’une vie et il faut savoir la dévorer.
Si j’avais voulu être une femme fidèle, j’aurais épousé Pierre, il me l’a proposé une fois, mais après mon premier divorce je voulais rester libre.
Ma liberté c’est quand il recommence à m’embrasser que je souhaite la vivre.
Noël, Joël, le garçon dans la maison des parents de Lucie, dont j’ai même oublié le nom et enfin Gaston, j’ai bien vécu depuis quelques mois.
Il sait danser, il sait diriger et quand il me dépose sur le canapé, c’est naturellement que je le laisse déboutonner mon chemisier.
J’apprécie qu’il s’attaque à mes seins, les jeunes puceaux attaquent directement les chattes, lui quand il a découvert l’un de mes tétons et l’a pris dans sa bouche.
Il est devenu tout dur, il le faisait rouler sous sa langue.
Je sentais ma chatte réagir, quand il a recommencé avec l’autre qu’il avait lui aussi découvert, je me suis redressé le temps d’ôter mon chemisier et mon soutien-gorge dévoilant ma poitrine.
Sa main pour la première fois se pose sur ma cuisse, je suis conquise, je comprends pourquoi Séréna est accro à ces deux hommes, même s’ils sont père et fils.
- On vous laisse, nous allons dans ma chambre.
Séréna s’est relevée et entraîne le fils par la main, je me retrouve seule avec le père.
Pascal relève ma jupe et approche sa bouche de mon aine.
Il est à la limite de me lécher, mais c’est plus son souffle que sa langue qui parcourt les centimètres sans aller jusqu’à ma culotte.
Heureusement ou pourquoi ai-je mis un cache-sexe, mais enfin sa langue vient par déçu et la mouille la rendant certainement translucide.
C’est de moi-même que je soulève mes fesses pour qu’il me l’enlève.
Il se redresse lui aussi et me montre sa verge que j’ai plaisir à avaler.
C’est loin d’être nécessaire pour qu’il puisse me pénétrer mais c’est un bon amant qui sait faire montrer mon envie graduellement.
Une nouvelle fois, il se redresse se dénude intégralement.
Il me reste ma jupe, il me redresse pour la faire disparaît comme le reste.
C’est lui qui s’allonge sur le canapé et une nouvelle fois me prenant par la main, il me guide pour que je vienne m’empaler, il entre sans le moindre problème, je suis dégoulinante d’envie.
Pendant combien de temps je me couche sur lui pour l’embrasser et le faire entrer en moi.
J’ai même un orgasme fulgurant qui me dévaste, mais je suis une chienne en chaleur et tant qu’il reste performant retardant son éjaculation, je continue.
- Viens fiston, prends-la avec moi si elle est d’accord bien sûr.
Je tourne la tête, Yann est là, tout nu.
J’aperçois Séréna derrière lui qui semble bien s’amuser,Une non-réponse fait lieu d’acquiescement, il s’approche et arrive à se placer.
Je m’attends à me faire enculer, mais il glisse sa verge comme son père dans le même trou, me prenant en double vaginale.
Je jouis, j’ai un, deux après en eau je pars en vrille, deux queues en moi deux queues avec le même ADN.
J’ai repris partiellement mes esprits je sens le besoin de rentrer chez moi.
Je suis sûr de dormir tout ce samedi pour récupérer des débordements de ma nuit.
Habillé j’embrasse tout le monde et retrouve ma voiture qui me ramène chez moi.
Je vais pour me coucher, je viens de finir une simple douche, ma partie de jambes en l’air en trio a épuisé la femme commençant à prendre de l’âge.
Je suis dans mon lit, mon portable sonne « Séréna ».
- Chérie, regarde cette petite vidéo.
Le moment où Yann rejoint son père et qu’ils me prennent en double vaginal jusqu’à mes cris de plaisir quand je jouis.
- Chérie, tu as vu, tu as une vidéo de moi avec Yann.
Maintenant j’en ai une avec le père et le fils, je te laisse, ils ont encore quelques réserves, je vais leur vider les couilles.
La vidéo terminée ça coupe, je rigole toute seule, Séréna se croit en égalité avec la vidéo qu’elle a tournée.
Eh non, je ne suis pas marié avec Pierre, elle si avec Gaston.
Ce chauffeur est marié avec Séréna qui est allée dans la cuisine chercher le dessert qu’elle nous a préparé.
Elle est en train de m’expliquer comment d’un premier amant elle est devenue une parfaite salope.
Je sais depuis que je l’ai surprise à se faire sauter par le jeune Yann son voisin qu’elle est la maîtresse du père et donc de Yann le fils.
Le père est venu lui déboucher sa tuyauterie en l’absence de Gaston alors je l’interroge sur le fils.
- Avant que je t’explique comment je me suis retrouvée entre le père et le fils, mange ce Granite Sicilien au café, c’est un dessert de chez moi, Gaston adore le café, il en boit des litres.
Yann, un jour j’attendais le père, j’ai vu arriver le fils sans se démonter il m’a dit qu’il savait que j’étais la maîtresse de son père et qu’il voulait que je le dépucèle.
Je suis tombée de haut, mais promptement il a sorti sa queue et me l’a présenté pour que je la suce.
Une jeune queue vierge, j’ai craqué pendant trois jours il m’a tout appris.
- Je croyais qu’il était puceau !
- Oui, mais dès la première fois, il l’a perdu et m’a fait perdre ma rondelle, le même jour.
Me faire sodomiser, une fois Gaston me l’a proposé, je l’ai fait coucher sur le canapé jusqu’à son départ suivant.
Avec ce jeune garçon, j’ai trouvé cela naturelle me mettant à quatre pattes après qu’il m’est fait une feuille de rose, son sexe est entré en moi.
Le jour où tu m’as surprise, le matin, j’avais gardé le fils de Susy une autre voisine fille-mère qui devait aller aux allocations familiales.
Ça m’arrive de le garder de temps en temps, je mets toujours ce papier pour éviter qu’on réveille le petit, j’avais oublié de l’enlever.
Regarde sur la vidéo, il est en train de m’enculer.
On dirait qu’elle est fière de me montrer ce jeune garçon lui défonçant l’anus.
- Alors le dessert ça te plait, ce que j’aime c’est que ça ne fait pas grossir, tu en veux un autre.
- C’est très bien, j’ai assez manger, une clope et au lit.
- Tu fumes !
- Oui de bonne bouffarde quand moi aussi de temps en temps je me laisse aller avec un homme.
Je sens la pente glissante quand je parle de bonnes bouffardes, n’ai-je pas fumé le sexe de Gaston avant de me faire ramoner la chatte au retour frustrant cette belle salope de Séréna quand elle a voulu monter dans la couchette à Dijon.
- Gaston m’avait dit que tu étais avec un homme qui s’appelle Pierre, tu le trompes !
- Non, comme toi je me trompe.
- Tu es divorcée, ça aussi il me l’a dit, j’ai une idée.
- Arrête, je te vois venir, tu vas me demander de coucher avec moi, les femmes ce n’est pas mon truc.
- Jamais !
- Jamais !
- Tu es sûr, tu sais dans mon pays les enfants qui mentent, on dit que leur nez bouge, le tient est pire que celui de Pinocchio !
- Pinocchio, le sien s’allongeait.
C’est vrai, j’ai fait l’amour avec Lucie, la copine de mon neveu Noël que j’avais dépucelé pendant les fêtes de Noël.
- Et c’est moi la pute, j'assume, tu n’as rien à craindre, je suis simplement hétéro.
- Pour finir notre soirée en beauté, veux-tu que j’appelle Pascal et Yann, ils seront là en deux minutes.
- Tu les appelles et ils viennent comme de bons toutous.
- C’est à peu près ça.
Dans votre travail, il faut conduire le fret à tout moment, ce qu’il y a de bien, c’est qu’une fois partie, il sait quand sera son retour, pas de surprise, alors c’est moi qui les appelle.
Elle sort son portable, je joue les grandes dames, mais il est vrai que je suis une aussi grande salope que Séréna, mais je sais le cacher, elle, elle assume, je me trouve des arguments pour baiser alors que j’adore ça.
- Pourquoi pas, de ce que j’ai vu de Yann, si le père est aussi doué, nous pourrions passer un bon moment ?
Séréna se lève va sur son meuble chercher son portable.
- Vous êtes là tous les deux, parfaits j’aurais une surprise, elle s’appelle Anne.
Des la début Séréna me piège, quand elle appelle c’est pour qu’ils viennent la baiser, en leur dévoilant ma présence elle m’oblige à accepter d’avoir des rapports avec eux.
Ça sonne, Séréna toujours grande dame se rend à la porte.
- Nous espérions ton appel, tu nous gâtes tu as une amie qui veut se faire une petite partie carrée !
C’est Pascal qui entre le premier.
La quarantaine, cheveux poivre et sel, la même taille que son fils qui se pointe derrière lui.
- Anne permet moi de te baiser ta main, Séréna est une belle femme, elle n’a rien à t’envier.
Je fonds littéralement tellement cet homme est galant, son fils est son portait en plus jeune, lui aussi me fait un baisemain.
- Séréna, je vois que tu es allé faire le plein de roser chez toi lors de ton voyage avec ton mari, un petit verre ça met en forme.
- Deux jolies femmes comme vous, il nous faut un petit remontant.
Pascal s’assoit à mon côté, Yann près de Séréna.
Rapide le jeune homme, quelques minutes à trinquer et je vois sa main se porter sous la nappe.
Sa destination est certaine, inutile que je me pose des questions sa chatte va très vite être sollicitée.
- Mon fils est impayable, depuis qu’il s’est fait dépuceler par notre amie, il ne pense qu’à la sauter, Séréna tu peux le remette à sa place.
- Surement pas Pascal, pourquoi crois-tu qu’on vous ait fait venir, fait en de même avec Anne, tu verras elle est aussi chaude que moi.
Il pivote, me regarde, il avance sa bouche, j’avance la mienne, elles se rejoignent, sa langue est agile.
Sa main se pose sur ma cuisse.
La chaîne de mon amie joue en sourdine depuis que je suis arrivée, un slow démarre.
- Voulez-vous m’accorder cette danse mademoiselle ?
Nous nous levons, je vois Séréna embrasser le garçon, il s’est reculé de la table et a sorti sa queue comme je l’ai vue sur la vidéo, il est aussi en forme que la dernière fois.
Séréna s’agenouille et comme je l’ai fait pour son mari le prend dans sa bouche.
Pascal me colle à lui, immédiatement je sens qu’il va être en moi rapidement et je suis prête.
Nous n’avons qu’une vie et il faut savoir la dévorer.
Si j’avais voulu être une femme fidèle, j’aurais épousé Pierre, il me l’a proposé une fois, mais après mon premier divorce je voulais rester libre.
Ma liberté c’est quand il recommence à m’embrasser que je souhaite la vivre.
Noël, Joël, le garçon dans la maison des parents de Lucie, dont j’ai même oublié le nom et enfin Gaston, j’ai bien vécu depuis quelques mois.
Il sait danser, il sait diriger et quand il me dépose sur le canapé, c’est naturellement que je le laisse déboutonner mon chemisier.
J’apprécie qu’il s’attaque à mes seins, les jeunes puceaux attaquent directement les chattes, lui quand il a découvert l’un de mes tétons et l’a pris dans sa bouche.
Il est devenu tout dur, il le faisait rouler sous sa langue.
Je sentais ma chatte réagir, quand il a recommencé avec l’autre qu’il avait lui aussi découvert, je me suis redressé le temps d’ôter mon chemisier et mon soutien-gorge dévoilant ma poitrine.
Sa main pour la première fois se pose sur ma cuisse, je suis conquise, je comprends pourquoi Séréna est accro à ces deux hommes, même s’ils sont père et fils.
- On vous laisse, nous allons dans ma chambre.
Séréna s’est relevée et entraîne le fils par la main, je me retrouve seule avec le père.
Pascal relève ma jupe et approche sa bouche de mon aine.
Il est à la limite de me lécher, mais c’est plus son souffle que sa langue qui parcourt les centimètres sans aller jusqu’à ma culotte.
Heureusement ou pourquoi ai-je mis un cache-sexe, mais enfin sa langue vient par déçu et la mouille la rendant certainement translucide.
C’est de moi-même que je soulève mes fesses pour qu’il me l’enlève.
Il se redresse lui aussi et me montre sa verge que j’ai plaisir à avaler.
C’est loin d’être nécessaire pour qu’il puisse me pénétrer mais c’est un bon amant qui sait faire montrer mon envie graduellement.
Une nouvelle fois, il se redresse se dénude intégralement.
Il me reste ma jupe, il me redresse pour la faire disparaît comme le reste.
C’est lui qui s’allonge sur le canapé et une nouvelle fois me prenant par la main, il me guide pour que je vienne m’empaler, il entre sans le moindre problème, je suis dégoulinante d’envie.
Pendant combien de temps je me couche sur lui pour l’embrasser et le faire entrer en moi.
J’ai même un orgasme fulgurant qui me dévaste, mais je suis une chienne en chaleur et tant qu’il reste performant retardant son éjaculation, je continue.
- Viens fiston, prends-la avec moi si elle est d’accord bien sûr.
Je tourne la tête, Yann est là, tout nu.
J’aperçois Séréna derrière lui qui semble bien s’amuser,Une non-réponse fait lieu d’acquiescement, il s’approche et arrive à se placer.
Je m’attends à me faire enculer, mais il glisse sa verge comme son père dans le même trou, me prenant en double vaginale.
Je jouis, j’ai un, deux après en eau je pars en vrille, deux queues en moi deux queues avec le même ADN.
J’ai repris partiellement mes esprits je sens le besoin de rentrer chez moi.
Je suis sûr de dormir tout ce samedi pour récupérer des débordements de ma nuit.
Habillé j’embrasse tout le monde et retrouve ma voiture qui me ramène chez moi.
Je vais pour me coucher, je viens de finir une simple douche, ma partie de jambes en l’air en trio a épuisé la femme commençant à prendre de l’âge.
Je suis dans mon lit, mon portable sonne « Séréna ».
- Chérie, regarde cette petite vidéo.
Le moment où Yann rejoint son père et qu’ils me prennent en double vaginal jusqu’à mes cris de plaisir quand je jouis.
- Chérie, tu as vu, tu as une vidéo de moi avec Yann.
Maintenant j’en ai une avec le père et le fils, je te laisse, ils ont encore quelques réserves, je vais leur vider les couilles.
La vidéo terminée ça coupe, je rigole toute seule, Séréna se croit en égalité avec la vidéo qu’elle a tournée.
Eh non, je ne suis pas marié avec Pierre, elle si avec Gaston.
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