COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Balade vers la cascade du hérisson (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Balade vers la cascade du hérisson (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Balade vers la cascade du hérisson (1/2)
• Anne si nous allions faire une balade en voiture, depuis que nous avons emménagé, tu te contentes de balade à cheval sur Jeanne ou à pied dans la forêt pour aller aux champignons.
Je suis sûr qu’il y a plein de coins charmants à découvrir.
• Pourquoi pas, mais tu sais Pierre, ce matin, une nouvelle fois, j’ai voulu te sucer afin que nous fassions l’amour et tu t’es retourné me disant que tu étais fatigué ?
Depuis combien de temps, me négliges-tu, bien que je sache qu’à ton âge, il soit de plus en plus difficile de tendre le bras ?
• Ce matin, c’est ce matin et quant à mon sexe, lorsque je vois comment tu te négliges, tu es de plus en plus un tue-l’amour.

Je suis vexée, mais il est vrai que depuis que je suis à la retraite et que nous avons acheté ce chalet, j’ai tendance à me laisser aller.
Je peux aussi dire que j’arrive à trouver mon plaisir avec Julien et Jules, les fermiers auprès de qui nous nous approvisionnons en grande partie en nourriture.
Je dois aussi ajouter mon aventure avec les trois randonneurs suédois, mais une petite partie de jambes en l’air avec Pierre, m’aurait bien fait plaisir ce matin au réveil.

Je décide de faire un effort, je me coiffe les cheveux après ma douche.
L’eau de la source qui nous approvisionne est tellement douce que je mets un temps infini à me rincer, finissant même à l’eau froide, ayant vidée le petit cumulus.
L’eau froide, j’ai l’habitude, lorsque je me trempe le cul dans l’eau dans la source où j’ai baisé pour la première fois avec Julien et les trois Suédois.
Ils avaient des noms tellement bizarres qu’il m’est impossible de m’en souvenir quelques semaines après.
Peut-être Ingmar, mais je suis loin d’en être sûre, de toute façon, Pierre ignore mes frasques et je compte bien que cela reste dans l’état.
De toute manière, les randonneurs repassent rarement deux fois au même endroit.

Mes cheveux apprêtés comme si j’allais à mon entreprise de transports, je cherche quoi mettre dans l’armoire de campagne qui est tellement lourde qu’elle est restée là où les anciens proprios l’avaient placée.
Tient, cette jolie robe à fleurs très peu portée depuis que je l’ai achetée me convient bien.
J’ignore même si Pierre me l’a vue sur le dos.
Je la mets laissant ma chatte dénudée, donc sans culotte, des fois que mon amant ait des envies au cours de notre promenade.
Je ne mets pas de soutien-gorge, mes seins pourront ballotter librement. Je ferme donc les boutons car elle se déboutonne par devant.
J’y crois peu, car baiser dans la voiture, même si elle est spacieuse, c’est fini à notre âge.
De plus, Pierre est amoureux de sa voiture et lorsqu’il a un instant, il descend jusqu’à la ferme où elle est garée pour la câliner plus que moi.

• Alors les amoureux, on va faire une balade !
• J’emmène Anne se promener à la cascade du hérisson, il paraît que c’est magnifique.
• Ah ! bon, j’ai jamais vu.

Comme presque chaque fois, Julien est sur le pas de la porte de sa cuisine quand on passe à proximité.
Il a toujours son éternel mégot éteint au coin des lèvres.
Comme à son habitude, il se gratte les couilles sans gêne, à croire qu’il a des morpions.
Là, je peux en témoigner, je l’ai assez sucé pour savoir que non.
Ce doit être un tic et connaissant le personnage, pendant que Pierre contourne sa voiture pour prendre le volant, je monte à la place du mort rapidement.
Toujours un peu taquine, je me prends à m’exhiber en montrant mon intimité dénudée à ce vieux saligaud.
Pierre qui n’a rien remarqué s’installe.
Nous démarrons, je me doute que mon audace je vais la payer dans les jours prochains.

Il fait beau, il fait chaud quand je sens une main qui remonte vers ma chatte.
Je dois rêver, Pierre m’ayant fait comprendre que baiser c’est très peu pour lui à son âge.
Un grand coup de frein, je me réveille, c’était bien lui qui a eu cette audace, au risque de manquer le virage que nous venons de passer.

• C’est malin, que tu veuilles me chauffer, je peux comprendre, mais que tu nous envoies dans le décor, c’est autre chose.

Il y a un chemin sur la droite, il tourne sans attendre, allant se garer le long d’une haie sous un arbre.
Le moteur coupé, je me penche, Pierre a déjà ouvert sa braguette et sorti sa queue à moitié bandée.
Un instant, j’ai la tentation de la comparer à celle de Julien, qui est très grosse et noueuse, mais j’ai trop pleuré qu’il ait refusé de me sauter ce matin pour faire la fine bouche.
Bouche qui l’avale jusqu’aux couilles.
Je dois reconnaître que ça aurait été difficile de faire pareil avec mon amant.

• Descendons, on va tacher mes sièges !

Quand je disais qu’il prenait soin plus de sa voiture que de moi, bien que d’avoir le volant dans les reins, à mon âge, très peu pour moi.
Je préfère et de loin que Pierre me baise sur le capot de sa voiture, c’est plus confortable.
Nous descendons, je le rejoins et m’agenouillant, je suis encore assez souple pour cela, je reprends ma fellation.
En peu de temps, il est opérationnel, assez dur pour pouvoir me pénétrer.
Il m’aide à me relever sans aucun détour, m’ouvre ma robe pour mieux empoigner mes seins et me couche sur le capot.
Je sens une légère brûlure avant qu’il ne me les empoigne et il met son pieu dans la chatte.
Oubliés les Suédois randonneurs, oublié Jules, un peu moins Julien malgré son âge me défonçant comme une reine.
Je deviens chienne lorsqu’il me donne de grands coups de queue.
Je me prends à hurler mon plaisir au gland du chêne sous lequel la voiture est garée avant qu’il ne décharge au moment où l’orgasme nous traverse.

• Ben, ma salope, te faire baiser sur le capot de ta voiture, à ton âge, ça me rassure sur mon avenir avec Saturnin, bien qu’il ait du mal à bander à force de picoler.

Qui vient de prononcer ces mots ?
Je me retourne comme si un essaim de frelons était venu m’agresser en faisant retomber ma robe sur ma chatte et en la reboutonnant sur le devant.
Une femme, grosse au demeurant, des seins comme une usine à lait est derrière nous appuyée sur une fourche et nous regarde
• J’ai ma ferme derrière cette haie, l’entrée est à cent mètres.
J’étais en train de longer la haie espérant piquer un gros lapin mâle qui s’est échappé de son clapier espérant échapper à finir en pâté.
Je vous ai entendu vous garer, j’étais intriguée car à part la camionnette du facteur, il est rare qu’une voiture s’arrête, je suis venue voir et j’ai vu.
• Une salope se faisant baiser tellement elle en avait envie.
• Vous en avez de la chance, moi ça me donne soif, les rares fois, de plus en plus rare ou Saturnin arrive à me faire l’amour.
Une bière monsieur et de l’eau fraîche pour vous madame, laissez votre voiture, et venez à pied, elle est bien là à l’ombre. Je vous invite.

Elle nous conduit vers sa ferme, il est vrai qu’elle a un gros cul et que j’ai soif après l’orgasme qui m’a traversé.
Devant un verre d’eau sorti d’une carafe mise dans son frigo, nous faisons la connaissance de Corinne, 52 ans et déjà plus défraichie que moi qui ai plus de dix de plus qu’elle.
Après nous être présentés, Corinne, en sachant plus que moi sur mon anatomie, même si c’est mon cul qu’elle a vu le mieux, nous explique qu’elle élève principalement des lapins qu’elle transforme en pâté.
Elle remplit des boîtes qui partent à la conserverie pour être serties.
Elle a un réseau de vente, ce qui lui permet de vivre chichement, son mec étant un pilier du bar du village depuis son licenciement.
D’où son peu d’enthousiasme à la baiser.
Sur la table de la cuisine où elle nous reçoit, il y a un jeu de cartes !

• Tu fais des réussites avec ces cartes en attendant ton mari ?
• Non, lorsqu’il rentre, il est tellement bourré que je l’envoie à l’écurie sur un tas de paille que je renouvelle de temps en temps.
Je tire les tarots pour quelques amies qui viennent me voir, il paraît que je suis douée.
• J’adore que l’on me tire les cartes, tu pourrais me dire mon avenir ?
• Non, j’ai une particularité pour les autres, je vois ce qu’a été leur vie antérieure.
• Ce doit être stressant de voir si ton amie a trompé son mari !
• Pas du tout, nous sommes entre femmes, c’est drôle, je leur rappelle les bons moments qu’elles ont passés.

C’est à ce moment que Pierre veut faire son intéressant.

• Corinne, tu vas me faire croire que tu peux voir si j’ai trompé Anne, je voudrais bien voir ça.
• Tire une carte, Pierre, je vais te montrer si tu es franc du collier.

Il tire une carte.

• La dame, ça c’est intéressant, il y a une dame dans votre vie.
• Bien sûr, ça c’est facile, Anne est ma dame, tu as pu voir ce que je lui faisais sur le capot de la voiture.
• Tire une autre carte, et pose là sur l’autre.
• Là, c’est plus scabreux, la maîtresse, je commence à voir clair de ce que tu as fait.
• Mets une carte à côté des deux premières.
• L’amant dis nous avec qui tu as trompé Anne, avant que ce soit moi qui le dise.
• Tu me prends pour un con, tu veux que j’avoue avoir trompé Anne, dis-moi comment s’appelle celle avec qui j’aurais trompé mon amie ?
• Tire une carte, je te dis que je vois de plus en plus clair, pose là sur les deux premières.

Pierre s’exécute, mais un court instant, il hésite.

• J’y suis, il y a de la poudre blanche autour, autour, autour d’une belle blonde, oui, Madeleine, ça te dit quelque chose Pierre, as-tu baisé avec la boulangère ?...

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Texte coquin : COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Balade vers la cascade du hérisson (1/2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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