COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Le père Julien et le fils Jules (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Le père Julien et le fils Jules (1/2)
Se faire baiser par le père puis par le fils de la ferme qui nous approvisionne, c’est ce que j’ai fait en peu de temps sur ces monts du Jura.
Julien en premier qui me saute profitant d’un orage m’ayant trempé alors que je revenais d’une balade avec Jeanne, le poney.
Ceux qui ont lu l’histoire précédente savent pourquoi ce grand poney commençant à être âgé s’est retrouvé avec un nom de femme.
Ils se souviendront que ce dernier a été offert à Jules par sa mère.
Ça, c’est avant qu’elle prenne la poudre d’escampette avec un bel Italien.
L’attrait de la voiture de sport, doublé de la perspective moins morne d’une vie dans ce trou perdu du Jura, a prévalu à la frustration de son fils qu’elle a abandonné.
Ça parle beaucoup dans les petits villages près de ces montagnes.
Tout le monde sait ce que fait son voisin, ce qui pour autant est loin de freiner les ardeurs de certains de baiser avec la voisine, l’inverse se voyant aussi.
Ces salops et ces salopes font les choux gras de deux endroits, principalement la boulangerie, tenue par Madeleine portant bien son nom.
L’autre endroit, c’est le café du village.
Depuis que je suis là avec Pierre, mon compagnon de route depuis mon divorce, il le fréquente, moi pas.
Lorsqu’il remonte, il me raconte les ragots que les ivrognes diffusent sans savoir pour autant si ceux-ci sont bien réels.
Pierre, c’est l’atmosphère qu’il recherche, car à part un demi, il est sobre, comparé à certains ivrognes du pays.
Le samedi soir, il va jouer à la belote, c’est du moins ce qu’il me dit.
Je le crois, car le cheval fougueux qui me montait chez moi ou chez lui à Besançon est devenu au fil des années une morne plaine.
Autrefois, dans ces villages reculés, il fallait bien que les jeunes découvrent les différentes facettes de l’amour.
Alors, combien de jeunes puceaux ont forniqué dans ces villages avec des femmes loin d’être belles, mais qui savaient leur offrir leur cul pour la première fois planter leurs poireaux.
En parlant de poireaux, je repense à ceux de Julien, le père et Jules le fils, très proche l’un de l’autre, des verges noueuses et larges qui m’ont défoncé chez eux et dans la montagne près de la source.
Il y a deux jours, Jules m’a emmené aux champignons.
Il m’a appris à marcher lentement pour soulever les feuilles, car les champignons savent se cacher au lieu de courir sauter dans nos poêles pour être dégustés avec une bonne omelette.
Il va sans dire qu’il a voulu réitérer le moment où nous nous sommes roulés dans l’herbe fraiche apportée par l’atmosphère de la source.
Rust m’ayant complètement admis dans son paysage gambadait autour de nous lorsque je me suis sentie plaquée le long du tronc d’un gros chêne.
Jules avait raison, ici impossible de baiser en se roulant sur le sol dans les glands et les épines d’un pin voisin.
Il a passé sa main directement dans le fuseau noir que j’avais mis pour l’occasion.
Jules a su la saisir en déboutonnant les deux premiers boutons lui permettant de la glisser et de me doigter pour commencer.
Jules devait avoir l’habitude de saillir des chaudes du cul comme moi, car fuseau et petite culotte ont glissé vers le bas et ma chatte a senti la verge qu’elle connaissait déjà.
Il a glissé en moi, j’étais mouillée comme jamais.
Me faire baiser dans la forêt, pour la petite Anne, c’était une première.
Son souffle de chien fou dans mon cou, ses doigts sur mon clito et sa verge profondément ancré en moi, mes seins s’excitaient à chaque coup de bite en se frottant sur l’écorce de ce vieil arbre surement centenaire.
Comme le loup certainement présent dans ces montagnes du Jura, comme la louve que je suis devenue, j’ai hurlé mon plaisir.
Les jambes un peu coupées de l’attaque si soudaine, mais au combien importante pour entretenir l’amitié entre voisin, j’ai eu du mal à retrouver des champignons.
Je parlais de poireaux, alors qu’hier, le père Julien m’a invité à venir cueillir les haricots verts et les haricots beurre arrivés à maturité à sept heures à la fraiche.
J’avais oublié de rappeler ce rendez-vous à Pierre, qui, la veille, a ouvert son peignoir me montrant son envie que je m’occupe de son sexe.
Je suis venue à ses genoux et j’ai commencé à le sucer.
Il y a moins de dix ans, en cinq minutes, il était droit comme un I, mais là il m’a fallu presque une demi-heure de pompage et de masturbation pour qu’il tende le bras.
J’y suis arrivée et rapidement j’ai sauté dessus pour me pénétrer ayant peur qu’il soit de nouveau en berne et que je sois obligée de redémarrer à zéro.
C’est la chatte rassasiée que je descends vers la ferme, ayant eu ma dose de sexe.
Je pense plus au travail, cueillette, équeutage des haricots, je précise et stérilisation après mise en bocaux.
Dans le chalet, celui-ci étant construit sur une pente, nous avons un sous-sol où nous avons un atelier de travail pour Pierre et une buanderie, j’allais dire pour moi.
C’est pour nous deux, car Pierre comme moi nous nous occupons du linge, lavage et étendage.
Pour info, c’est lui qui met le couvert et qui lave la vaisselle.
Je vois ce que vous pouvez penser, Anne, à part son cul, elle met à la tâche ce pauvre homme !
Certes, équeuter les haricots, il va m’aider, mais pour la cueillette, la mise en bocaux et la stérilisation, c'est moi.
La cueillette aussi, car à son âge, il lui est impossible de passer des heures penchées sur les planches de haricots.
Dans la buanderie, lorsque nous avons acheté, les anciens proprios avaient un stock de bocaux en verre, un produit noble et recherché.
Je suis descendue au supermarché pour acheter des joints, modèle bio, nous voulons participer à la protection de la planète.
Nous avons une sorte de lessiveuse, un stérilisateur.
Je me suis ouverte à Lucien la dernière fois où je suis allée chercher tomates et poireaux.
Oui, il a voulu une petite sucette et je lui ai fait sans trop rechigner.
Contrairement à bien des femmes, j’aime le goût du sperme dans ma bouche.
Je quitte donc le chalet et fraîche comme un gardon, je me hâte lentement pour dévaler la pente.
Fraiche comme un gardon, j’ai entendu cette expression sans bien savoir ce qu’elle veut dire, surtout qu’ici, ce sont plutôt des truites que l’on trouve dans les torrents.
Bref, j’arrive à la ferme, le père Julien est là, fidèle à lui-même, son éternel mégot au coin de ses lèvres.
• Ah ! te vla, j’ai failli attendre, sers-toi un café le temps que j’aille pisser un coup et après au travail.
Toujours aussi aimable le père Julien, je comprends pourquoi Jeanne sa femme a pris la poudre d’escampette.
Les toilettes ont la porte donnant dans la cuisine, j’entends clairement les jets d’urine gicler dans la cuvette, je me sers un café dans une tasse douteuse que je finis de boire lorsqu’il arrive.
• Laisse tomber, Jules fera la vaisselle lorsqu’il reviendra du champ du haut qu’il est parti faucher.
Il a emmené Rust, tu seras tranquille pour ramasser, sinon comme il semble bien t’aimer, il serait toujours à te sentir le cul.
Quand je disais qu’il avait un langage châtié !
Nous sortons et nous nous dirigeons vers le potager.
Dès l’entrée, je vois des citrouilles qui commencent à murir.
Elles sont déjà assez imposantes, à l’automne nous aurons de quoi faire des soupes bien chaudes avant de redescendre à Besançon pour l’hiver.
Peu adepte du ski de fond, l’hiver est trop froid pour que nous restions ici, nous serons de retour au printemps.
Automne et printemps, les deux saisons les plus agréables dans nos montagnes jurassiennes.
Ça fait une heure que je cueille, j’ai déjà fait ça chez ma grand-mère, mais à une moindre échelle et mon dos commence à me tirer.
Le père Julien est derrière moi, il a pris un rang d’avance et m’a rattrapée.
• On t’a dit que t’avais un cul à faire du cinéma Anne !
Toujours autant de tact, surtout qu’il me caresse les fesses comme s’il flattait la croupe de Jeanne, son cheval.
• Pierre, il te la met dans le cul !
Jeanne, la salope qui s’est tirée, avait-elle aussi un cul à faire du cinéma.
C’est pour ça qu’elle est partie avec son Italien, il a dû lui promettre de la faire tourner.
Les tournantes, j’espère que c’est dans un bordel d’Italie qu’elle les a faites une partie de ces années, bien que depuis le temps elle soit hors-service.
Je savais le père Julien un peu rustre, mais là, ça dépasse tout, pourquoi je lui réponds.
J’ai encore le souvenir de nos soirées entre Pierre et Noël mon neveu à moitié guadeloupéen avec lequel je me laissais sauter en double pénétration pour mon plus grand plaisir.
• Ça m’est arrivée ...
Julien en premier qui me saute profitant d’un orage m’ayant trempé alors que je revenais d’une balade avec Jeanne, le poney.
Ceux qui ont lu l’histoire précédente savent pourquoi ce grand poney commençant à être âgé s’est retrouvé avec un nom de femme.
Ils se souviendront que ce dernier a été offert à Jules par sa mère.
Ça, c’est avant qu’elle prenne la poudre d’escampette avec un bel Italien.
L’attrait de la voiture de sport, doublé de la perspective moins morne d’une vie dans ce trou perdu du Jura, a prévalu à la frustration de son fils qu’elle a abandonné.
Ça parle beaucoup dans les petits villages près de ces montagnes.
Tout le monde sait ce que fait son voisin, ce qui pour autant est loin de freiner les ardeurs de certains de baiser avec la voisine, l’inverse se voyant aussi.
Ces salops et ces salopes font les choux gras de deux endroits, principalement la boulangerie, tenue par Madeleine portant bien son nom.
L’autre endroit, c’est le café du village.
Depuis que je suis là avec Pierre, mon compagnon de route depuis mon divorce, il le fréquente, moi pas.
Lorsqu’il remonte, il me raconte les ragots que les ivrognes diffusent sans savoir pour autant si ceux-ci sont bien réels.
Pierre, c’est l’atmosphère qu’il recherche, car à part un demi, il est sobre, comparé à certains ivrognes du pays.
Le samedi soir, il va jouer à la belote, c’est du moins ce qu’il me dit.
Je le crois, car le cheval fougueux qui me montait chez moi ou chez lui à Besançon est devenu au fil des années une morne plaine.
Autrefois, dans ces villages reculés, il fallait bien que les jeunes découvrent les différentes facettes de l’amour.
Alors, combien de jeunes puceaux ont forniqué dans ces villages avec des femmes loin d’être belles, mais qui savaient leur offrir leur cul pour la première fois planter leurs poireaux.
En parlant de poireaux, je repense à ceux de Julien, le père et Jules le fils, très proche l’un de l’autre, des verges noueuses et larges qui m’ont défoncé chez eux et dans la montagne près de la source.
Il y a deux jours, Jules m’a emmené aux champignons.
Il m’a appris à marcher lentement pour soulever les feuilles, car les champignons savent se cacher au lieu de courir sauter dans nos poêles pour être dégustés avec une bonne omelette.
Il va sans dire qu’il a voulu réitérer le moment où nous nous sommes roulés dans l’herbe fraiche apportée par l’atmosphère de la source.
Rust m’ayant complètement admis dans son paysage gambadait autour de nous lorsque je me suis sentie plaquée le long du tronc d’un gros chêne.
Jules avait raison, ici impossible de baiser en se roulant sur le sol dans les glands et les épines d’un pin voisin.
Il a passé sa main directement dans le fuseau noir que j’avais mis pour l’occasion.
Jules a su la saisir en déboutonnant les deux premiers boutons lui permettant de la glisser et de me doigter pour commencer.
Jules devait avoir l’habitude de saillir des chaudes du cul comme moi, car fuseau et petite culotte ont glissé vers le bas et ma chatte a senti la verge qu’elle connaissait déjà.
Il a glissé en moi, j’étais mouillée comme jamais.
Me faire baiser dans la forêt, pour la petite Anne, c’était une première.
Son souffle de chien fou dans mon cou, ses doigts sur mon clito et sa verge profondément ancré en moi, mes seins s’excitaient à chaque coup de bite en se frottant sur l’écorce de ce vieil arbre surement centenaire.
Comme le loup certainement présent dans ces montagnes du Jura, comme la louve que je suis devenue, j’ai hurlé mon plaisir.
Les jambes un peu coupées de l’attaque si soudaine, mais au combien importante pour entretenir l’amitié entre voisin, j’ai eu du mal à retrouver des champignons.
Je parlais de poireaux, alors qu’hier, le père Julien m’a invité à venir cueillir les haricots verts et les haricots beurre arrivés à maturité à sept heures à la fraiche.
J’avais oublié de rappeler ce rendez-vous à Pierre, qui, la veille, a ouvert son peignoir me montrant son envie que je m’occupe de son sexe.
Je suis venue à ses genoux et j’ai commencé à le sucer.
Il y a moins de dix ans, en cinq minutes, il était droit comme un I, mais là il m’a fallu presque une demi-heure de pompage et de masturbation pour qu’il tende le bras.
J’y suis arrivée et rapidement j’ai sauté dessus pour me pénétrer ayant peur qu’il soit de nouveau en berne et que je sois obligée de redémarrer à zéro.
C’est la chatte rassasiée que je descends vers la ferme, ayant eu ma dose de sexe.
Je pense plus au travail, cueillette, équeutage des haricots, je précise et stérilisation après mise en bocaux.
Dans le chalet, celui-ci étant construit sur une pente, nous avons un sous-sol où nous avons un atelier de travail pour Pierre et une buanderie, j’allais dire pour moi.
C’est pour nous deux, car Pierre comme moi nous nous occupons du linge, lavage et étendage.
Pour info, c’est lui qui met le couvert et qui lave la vaisselle.
Je vois ce que vous pouvez penser, Anne, à part son cul, elle met à la tâche ce pauvre homme !
Certes, équeuter les haricots, il va m’aider, mais pour la cueillette, la mise en bocaux et la stérilisation, c'est moi.
La cueillette aussi, car à son âge, il lui est impossible de passer des heures penchées sur les planches de haricots.
Dans la buanderie, lorsque nous avons acheté, les anciens proprios avaient un stock de bocaux en verre, un produit noble et recherché.
Je suis descendue au supermarché pour acheter des joints, modèle bio, nous voulons participer à la protection de la planète.
Nous avons une sorte de lessiveuse, un stérilisateur.
Je me suis ouverte à Lucien la dernière fois où je suis allée chercher tomates et poireaux.
Oui, il a voulu une petite sucette et je lui ai fait sans trop rechigner.
Contrairement à bien des femmes, j’aime le goût du sperme dans ma bouche.
Je quitte donc le chalet et fraîche comme un gardon, je me hâte lentement pour dévaler la pente.
Fraiche comme un gardon, j’ai entendu cette expression sans bien savoir ce qu’elle veut dire, surtout qu’ici, ce sont plutôt des truites que l’on trouve dans les torrents.
Bref, j’arrive à la ferme, le père Julien est là, fidèle à lui-même, son éternel mégot au coin de ses lèvres.
• Ah ! te vla, j’ai failli attendre, sers-toi un café le temps que j’aille pisser un coup et après au travail.
Toujours aussi aimable le père Julien, je comprends pourquoi Jeanne sa femme a pris la poudre d’escampette.
Les toilettes ont la porte donnant dans la cuisine, j’entends clairement les jets d’urine gicler dans la cuvette, je me sers un café dans une tasse douteuse que je finis de boire lorsqu’il arrive.
• Laisse tomber, Jules fera la vaisselle lorsqu’il reviendra du champ du haut qu’il est parti faucher.
Il a emmené Rust, tu seras tranquille pour ramasser, sinon comme il semble bien t’aimer, il serait toujours à te sentir le cul.
Quand je disais qu’il avait un langage châtié !
Nous sortons et nous nous dirigeons vers le potager.
Dès l’entrée, je vois des citrouilles qui commencent à murir.
Elles sont déjà assez imposantes, à l’automne nous aurons de quoi faire des soupes bien chaudes avant de redescendre à Besançon pour l’hiver.
Peu adepte du ski de fond, l’hiver est trop froid pour que nous restions ici, nous serons de retour au printemps.
Automne et printemps, les deux saisons les plus agréables dans nos montagnes jurassiennes.
Ça fait une heure que je cueille, j’ai déjà fait ça chez ma grand-mère, mais à une moindre échelle et mon dos commence à me tirer.
Le père Julien est derrière moi, il a pris un rang d’avance et m’a rattrapée.
• On t’a dit que t’avais un cul à faire du cinéma Anne !
Toujours autant de tact, surtout qu’il me caresse les fesses comme s’il flattait la croupe de Jeanne, son cheval.
• Pierre, il te la met dans le cul !
Jeanne, la salope qui s’est tirée, avait-elle aussi un cul à faire du cinéma.
C’est pour ça qu’elle est partie avec son Italien, il a dû lui promettre de la faire tourner.
Les tournantes, j’espère que c’est dans un bordel d’Italie qu’elle les a faites une partie de ces années, bien que depuis le temps elle soit hors-service.
Je savais le père Julien un peu rustre, mais là, ça dépasse tout, pourquoi je lui réponds.
J’ai encore le souvenir de nos soirées entre Pierre et Noël mon neveu à moitié guadeloupéen avec lequel je me laissais sauter en double pénétration pour mon plus grand plaisir.
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