COLLECTION BEAU-PAPA OU TONTON. Tonton baise-moi (1/1)
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Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION BEAU-PAPA OU TONTON. Tonton baise-moi (1/1)
« Tonton, recommence à me baiser ! »
Ces mots c’est moi la petite Ludivine qui les prononce dans l’appartement où j’ai emménagé il y a six mois avec Rodolphe après mon mariage.
Aucune ambiguïté dans ces mots, c’est bien avant mon mariage, deux ans, que je les disais régulièrement à Jules le frère de papa après qu’il m’ait dépucelé.
Jules est plus jeune de plus de dix ans que papa, je suis plus près de l’âge de tonton que lui de l’âge de son frère.
Un jour ayant eu des soucis d’argent, je l’ai vu arriver à la maison.
Son frère l’avait invité à venir s’établir chez nous tout le temps qu’il se remette sur pied financièrement.
Sans grand revenue sauf un peu d’être de l’état cela risquait de durer, mais dans l’insouciance de ma jeunesse, cela me passait au-dessus de la tête.
À presque dix-sept ans, je m’intéressais plus à mes tenues, je suis très coquette, qu’à la sexualité.
Il faut dire que je manquais de repère pour cela, papa m’ayant élevé seul, maman nous ayant abandonnés après ma naissance et mon sevrage.
Lui comme moi ignorons où elle se trouve et pour ma part j’en ai fait mon deuil.
Pourquoi pensé à quelqu’un que vous n’avez vu que par son vagin au moment où la nature vous a expulsé vers la vie extérieure ?
• Les enfants, soyez sage, j’ai un rendez-vous important, qu’il m’est impossible de remettre, je rentrerais au matin, fermez derrière moi, j’ai ma clef pour rentrer.
Papa part et la porte refermée, Jules me dit.
• Ludivine, sais-tu où ton père va ?
• Je l’ignore et je m’en fiche, la seule chose qui m’intéresse c’est qu’il me dise qu’il rentre dans la nuit.
Si je devais le perdre, lui qui est si bon, ma vie en serait bouleversée.
Je suis étrangère à tout ce qui touche la sexualité, mais c’est un homme vigoureux et s’il va voir une jeune femme pour remplacer celle qui nous a abandonnés, je serais contente pour lui.
• Tu as raison Ludivine, ce soir comme chaque fois qu’il te laisse sous ma surveillance, ton père va aux putes se faire dégorger le poireau, tu sais de quoi je parle.
• J’en ai assez entendu, je vais dans ma chambre, reste avec tes pensées malsaines, tu es un gros pervers.
Papa aux putes, tu divagues, s’il va voir une femme, ce doit être une personne bien.
Je rejoins ma chambre, je suis déjà douchée, je me couche et je prends un livre, en attendant papa un petit moment, car souvent le sommeil me rattrape.
Ce que j’ai caché à Jules, c’est que lorsqu’il sort, je reste un maxi éveillé de peur d’être abandonné.
Il fait chaud, je suis chez moi surtout que je suis loin de penser à mal, mes connaissances dans le domaine du sexe sont loin de penser à ce qu’un jeune sexe comme celui de Jules pourrait me faire connaître.
• Je passais devant ta porte et je repensais à notre conversation.
Merde tu es nue, j’ignorais que tu étais adepte de la nudité dans ton lit, moi aussi je dors dans le plus simple appareil dans ma chambre.
Ça nous fait un point commun.
• Tonton et si j’avais été en train de me caresser lorsque tu es entré sans frapper !
• Fillette, il faut fermer sa porte à clef si l’on veut prétendre à son intimité.
C’est ce que je fais lorsque je mastique le manche de l’autre côté de cette cloison.
• Mon verrou est cassé et j’ai demandé à papa de le réparer, il est toujours pris.
Prononçant ces mots, Jules vient vers moi et s’assied sur mon lit, sa main à porter de mon intimité.
• Dis-moi fillette, tu viens bien de dire que tu aurais pu te masturber lorsque je suis entré, montre-moi comment tu fais !
Là, à ce point de mon histoire, j’aurais dû le virer avec des pertes et des fracas.
Mais le regard de Jules, je dis bien Jules et non tonton, me fait poser mes doigts sur ma toison et glisser vers le haut de ma fente.
J’ai dit que j’étais une oie blanche, certains mots à ce moment m’échappent, vite rattrapé par Jules qui les prononce pour moi.
• Oui fillette, caresse-toi la chatte comme je me caresse le sexe en te regardant.
Le moment de trouble où je suis entrée dès que je me suis caressée, surtout sur le regard d’une tierce personne m’a caché qu’il avait sorti son, comment dire, oui, son sexe de son pantalon.
C’était le premier que je voyais en pleine forme, j’ignore là encore s’il y a un autre mot pour parler de la droiture, de ce cierge en érection.
Lorsque je parle de cierge, c’est la première image qu’il m’est venu à l’esprit alors qu’avec papa nous sommes de parfaits athées.
Si je connais les cierges, c’est à la télé à Notre-Dame de Paris où les croyants en allument des centaines.
Maman se disant une élue de Dieu, du moins c’est ce qu’il m’a toujours dit.
Pour me le confirmer, Tante Hortense, la sœur de maman, bigote elle aussi, nous le dit à chaque visite qu’elle fait près de nous, elle habite à l’autre bout de la ville.
• Fillette, ma bite bande à te regarder faire, tu es touchante, mais j’aimerais que toi aussi tu me touches, regarde comme tu l’as rendu dur en te masturbant.
Dois-je écrire la suite ?
Oui pour la continuité de mon histoire et pour que d’autres soient témoins, que tout ce que je fais, tout ce qu’il me fait faire, sans être contre ma volonté, m’échappe en partie.
Ma main qui le masturbe et ma bouche qu’il guide jusqu’à sa bite et que je sens venir presque au fond de cette bouche, c’est bien moi qui suis en train de faire tout cela.
• C’est bien fillette, pompe-moi bien, tu es une parfaite petite salope qui va aimer le sexe lorsque j’aurais fait de toi une femme.
Jules venait de me faire connaitre les fellations ce qui va se reproduire chaque fois qu’il avait l’occasion d’être seul avec moi.
C’était facile, j’étais en vacances de mes études et papa travaille hors des moments où il s’absente la nuit.
Boire son jus, ce fut une première, pour moi, comme tout le reste bien sûr.
• Vous avez passé une bonne soirée, la mienne a été parfaite.
Il va de soi, mais c’est mieux de le dire que Jules et moi, avons caché à Papa ce que nous avons fait lors de son absence.
Pour une fois, je l’ai entendu rentrer m’apercevant que Jules m’avait quitté une fois qu’il m’a transféré sa sève dans ma bouche glissant dans mon estomac.
J’ai surtout entendu des portes s’ouvrir et se refermer.
• Je pars faire mon jogging, une heure quinze minutes, c’est mon meilleur temps sur mon parcours du dimanche.
Lorsque je reviendrais et que je me serais douché, nous irons au marché, nous achèterons nos fruits et légumes frais de la semaine, Jules, je t’emmène !
• Non, merci, j’ai prévu quelque chose ce matin et après j’irais au PMU faire mon Tiercé.
Papa changé et parti, je comprends très vite ce qu’il a à faire, c’est la suite logique de ce qu’il a commencé la veille, mais dans la cuisine que je suis en train de briquer.
• Fillette, tu t’es endormie après m’avoir sucé la queue, je vais faire de toi une femme, écarte tes jambes et penche-toi en avant !
Se faire déflorer, les seins sur la table de la cuisine, sans voir la verge de Jules rentrer dans ma chatte, combien de femmes se sont-elles fait baiser comme ça la première fois.
Ça devait devenir mon quotidien à partir de ce jour, Jules étant un sérial niqueur, il avait trouvé à moindres frais la pute idéale qui rapidement a aimé le sexe que cette bite m’apportait.
Il va de soi, que papa a toujours ignoré notre relation, comment aurait-il réagi, surement très mal jusqu’au jour ou !
• Tonton, j’ai trois semaines de retard de mes règles, je crois que j’attends un bébé.
• Merde, j’ai pourtant fait attention, ton père est au courant !
• Non, il faut que tu m’aides à avorter, tu diras au médecin que tu es mon père.
• Horreur, fille de mauvaise vie, impossible pour moi que tu tues mon enfant, j’ai une meilleure idée !
• Qu’elle est-il tonton, je ferais tout ce que tu décides ?
• Rodolphe, le petit puceau voisin, il continue à te faire la cour sans jamais se déclarer.
• Oui, dimanche je suis allée seule au marché, papa étant rentré à point d’heures.
Tonton, tu te souviens, je t’avais demandé de venir avec moi, tu es venu, mais tu m’as quitté pour aller au PMU.
Je venais de te quitter, je l’ai croisé et il m’a demandé si je voulais l’accompagner à une boum samedi prochain.
• C’est parfait, j’espère que tu as bien gardé cette chance dans ta manche !
• Pourquoi tonton, dis-moi ?
• Tu l’appelles, tu y va, tu t’arranges pour tirer un coup avec lui et dans quelques jours tu diras à mon frère qu’avec ce voisin vous avez fauté.
Tu verras, rapidement, tel que je le connais il arrangera notre situation.
Je constate que depuis que j’ai compris que je vais à mon tour mettre au monde un enfant, Jules est redevenu « Tonton. »
Six mois sans que Jules digne se présenter, aujourd’hui je lui ouvre ma porte.
Tout a fonctionné entre Rodolphe et moi, c’est moi qui lui ai dit être enceinte de notre première fois et il m’a cru comme le gentil toutou que j’ai épousé.
Dans quelques semaines et Jules qui vient de revenir, saura ce que sa semence a mise en moi et qui se développe vitesse grand V lorsque je regarde mon ventre s’arrondir.
• Jules, recommence à me baiser, ta bite m’a manqué, Rodolphe sait très mal se servir de la sienne.
• La mienne sera toujours à ta disposition, surtout que je viens de déménager et que je vais habiter au premier de votre immeuble dans quelques jours.
• As-tu trouvé du travail ?
• Quelle horreur, tu sais que je joue aux courses tous les dimanches.
J’ai gagné une grosse somme qui va me permettre de vivre près de mon fils, mes doigts de pieds en éventail à ne rien faire.
En plus, ton père a ramené sa pute chez vous, il te l’a dit !
• Sa pute, oui, il me la dit, cette pute, c’est tante Hortense, la sœur de maman !
• C’est bien ce que je disais sa pute.
• Dis-moi tonton, arrête de me caresser les fesses, bon c’est d’accord baise-moi !
Attention à éviter de me mettre enceinte une nouvelle fois, lorsque j’aurais accouché et que j’aurais eu mon retour de couches, Jules !
• Baisons ensemble, nous verrons pour le deuxième, ce qui a marché avec ton con de mari, marchera une nouvelle fois.
Je veux que nous ayons une grande famille, j’ai toujours rêvé d’avoir plusieurs sœurs et voir quelques frères.
J’espère que tu seras partante, merde, je rentre plus facilement qu’avant, j’espère que tu m'es fidèle.
Et jaloux avec ça !
Non, je perds les eaux, Jules m’emmène à la maternité ou notre fils vient au monde.
• Coupez le cordon monsieur, c’est votre premier !
Jules prend les ciseaux et coupe le cordon à la place de Rodolphe.
Je comprends rapidement que ma vie ça va être ça, je vais vivre dans l’adultère, mais aussi le plaisir que me procure Jules depuis notre première fois lorsqu’il est rentré dans ma chambre sans frapper.
Ces mots c’est moi la petite Ludivine qui les prononce dans l’appartement où j’ai emménagé il y a six mois avec Rodolphe après mon mariage.
Aucune ambiguïté dans ces mots, c’est bien avant mon mariage, deux ans, que je les disais régulièrement à Jules le frère de papa après qu’il m’ait dépucelé.
Jules est plus jeune de plus de dix ans que papa, je suis plus près de l’âge de tonton que lui de l’âge de son frère.
Un jour ayant eu des soucis d’argent, je l’ai vu arriver à la maison.
Son frère l’avait invité à venir s’établir chez nous tout le temps qu’il se remette sur pied financièrement.
Sans grand revenue sauf un peu d’être de l’état cela risquait de durer, mais dans l’insouciance de ma jeunesse, cela me passait au-dessus de la tête.
À presque dix-sept ans, je m’intéressais plus à mes tenues, je suis très coquette, qu’à la sexualité.
Il faut dire que je manquais de repère pour cela, papa m’ayant élevé seul, maman nous ayant abandonnés après ma naissance et mon sevrage.
Lui comme moi ignorons où elle se trouve et pour ma part j’en ai fait mon deuil.
Pourquoi pensé à quelqu’un que vous n’avez vu que par son vagin au moment où la nature vous a expulsé vers la vie extérieure ?
• Les enfants, soyez sage, j’ai un rendez-vous important, qu’il m’est impossible de remettre, je rentrerais au matin, fermez derrière moi, j’ai ma clef pour rentrer.
Papa part et la porte refermée, Jules me dit.
• Ludivine, sais-tu où ton père va ?
• Je l’ignore et je m’en fiche, la seule chose qui m’intéresse c’est qu’il me dise qu’il rentre dans la nuit.
Si je devais le perdre, lui qui est si bon, ma vie en serait bouleversée.
Je suis étrangère à tout ce qui touche la sexualité, mais c’est un homme vigoureux et s’il va voir une jeune femme pour remplacer celle qui nous a abandonnés, je serais contente pour lui.
• Tu as raison Ludivine, ce soir comme chaque fois qu’il te laisse sous ma surveillance, ton père va aux putes se faire dégorger le poireau, tu sais de quoi je parle.
• J’en ai assez entendu, je vais dans ma chambre, reste avec tes pensées malsaines, tu es un gros pervers.
Papa aux putes, tu divagues, s’il va voir une femme, ce doit être une personne bien.
Je rejoins ma chambre, je suis déjà douchée, je me couche et je prends un livre, en attendant papa un petit moment, car souvent le sommeil me rattrape.
Ce que j’ai caché à Jules, c’est que lorsqu’il sort, je reste un maxi éveillé de peur d’être abandonné.
Il fait chaud, je suis chez moi surtout que je suis loin de penser à mal, mes connaissances dans le domaine du sexe sont loin de penser à ce qu’un jeune sexe comme celui de Jules pourrait me faire connaître.
• Je passais devant ta porte et je repensais à notre conversation.
Merde tu es nue, j’ignorais que tu étais adepte de la nudité dans ton lit, moi aussi je dors dans le plus simple appareil dans ma chambre.
Ça nous fait un point commun.
• Tonton et si j’avais été en train de me caresser lorsque tu es entré sans frapper !
• Fillette, il faut fermer sa porte à clef si l’on veut prétendre à son intimité.
C’est ce que je fais lorsque je mastique le manche de l’autre côté de cette cloison.
• Mon verrou est cassé et j’ai demandé à papa de le réparer, il est toujours pris.
Prononçant ces mots, Jules vient vers moi et s’assied sur mon lit, sa main à porter de mon intimité.
• Dis-moi fillette, tu viens bien de dire que tu aurais pu te masturber lorsque je suis entré, montre-moi comment tu fais !
Là, à ce point de mon histoire, j’aurais dû le virer avec des pertes et des fracas.
Mais le regard de Jules, je dis bien Jules et non tonton, me fait poser mes doigts sur ma toison et glisser vers le haut de ma fente.
J’ai dit que j’étais une oie blanche, certains mots à ce moment m’échappent, vite rattrapé par Jules qui les prononce pour moi.
• Oui fillette, caresse-toi la chatte comme je me caresse le sexe en te regardant.
Le moment de trouble où je suis entrée dès que je me suis caressée, surtout sur le regard d’une tierce personne m’a caché qu’il avait sorti son, comment dire, oui, son sexe de son pantalon.
C’était le premier que je voyais en pleine forme, j’ignore là encore s’il y a un autre mot pour parler de la droiture, de ce cierge en érection.
Lorsque je parle de cierge, c’est la première image qu’il m’est venu à l’esprit alors qu’avec papa nous sommes de parfaits athées.
Si je connais les cierges, c’est à la télé à Notre-Dame de Paris où les croyants en allument des centaines.
Maman se disant une élue de Dieu, du moins c’est ce qu’il m’a toujours dit.
Pour me le confirmer, Tante Hortense, la sœur de maman, bigote elle aussi, nous le dit à chaque visite qu’elle fait près de nous, elle habite à l’autre bout de la ville.
• Fillette, ma bite bande à te regarder faire, tu es touchante, mais j’aimerais que toi aussi tu me touches, regarde comme tu l’as rendu dur en te masturbant.
Dois-je écrire la suite ?
Oui pour la continuité de mon histoire et pour que d’autres soient témoins, que tout ce que je fais, tout ce qu’il me fait faire, sans être contre ma volonté, m’échappe en partie.
Ma main qui le masturbe et ma bouche qu’il guide jusqu’à sa bite et que je sens venir presque au fond de cette bouche, c’est bien moi qui suis en train de faire tout cela.
• C’est bien fillette, pompe-moi bien, tu es une parfaite petite salope qui va aimer le sexe lorsque j’aurais fait de toi une femme.
Jules venait de me faire connaitre les fellations ce qui va se reproduire chaque fois qu’il avait l’occasion d’être seul avec moi.
C’était facile, j’étais en vacances de mes études et papa travaille hors des moments où il s’absente la nuit.
Boire son jus, ce fut une première, pour moi, comme tout le reste bien sûr.
• Vous avez passé une bonne soirée, la mienne a été parfaite.
Il va de soi, mais c’est mieux de le dire que Jules et moi, avons caché à Papa ce que nous avons fait lors de son absence.
Pour une fois, je l’ai entendu rentrer m’apercevant que Jules m’avait quitté une fois qu’il m’a transféré sa sève dans ma bouche glissant dans mon estomac.
J’ai surtout entendu des portes s’ouvrir et se refermer.
• Je pars faire mon jogging, une heure quinze minutes, c’est mon meilleur temps sur mon parcours du dimanche.
Lorsque je reviendrais et que je me serais douché, nous irons au marché, nous achèterons nos fruits et légumes frais de la semaine, Jules, je t’emmène !
• Non, merci, j’ai prévu quelque chose ce matin et après j’irais au PMU faire mon Tiercé.
Papa changé et parti, je comprends très vite ce qu’il a à faire, c’est la suite logique de ce qu’il a commencé la veille, mais dans la cuisine que je suis en train de briquer.
• Fillette, tu t’es endormie après m’avoir sucé la queue, je vais faire de toi une femme, écarte tes jambes et penche-toi en avant !
Se faire déflorer, les seins sur la table de la cuisine, sans voir la verge de Jules rentrer dans ma chatte, combien de femmes se sont-elles fait baiser comme ça la première fois.
Ça devait devenir mon quotidien à partir de ce jour, Jules étant un sérial niqueur, il avait trouvé à moindres frais la pute idéale qui rapidement a aimé le sexe que cette bite m’apportait.
Il va de soi, que papa a toujours ignoré notre relation, comment aurait-il réagi, surement très mal jusqu’au jour ou !
• Tonton, j’ai trois semaines de retard de mes règles, je crois que j’attends un bébé.
• Merde, j’ai pourtant fait attention, ton père est au courant !
• Non, il faut que tu m’aides à avorter, tu diras au médecin que tu es mon père.
• Horreur, fille de mauvaise vie, impossible pour moi que tu tues mon enfant, j’ai une meilleure idée !
• Qu’elle est-il tonton, je ferais tout ce que tu décides ?
• Rodolphe, le petit puceau voisin, il continue à te faire la cour sans jamais se déclarer.
• Oui, dimanche je suis allée seule au marché, papa étant rentré à point d’heures.
Tonton, tu te souviens, je t’avais demandé de venir avec moi, tu es venu, mais tu m’as quitté pour aller au PMU.
Je venais de te quitter, je l’ai croisé et il m’a demandé si je voulais l’accompagner à une boum samedi prochain.
• C’est parfait, j’espère que tu as bien gardé cette chance dans ta manche !
• Pourquoi tonton, dis-moi ?
• Tu l’appelles, tu y va, tu t’arranges pour tirer un coup avec lui et dans quelques jours tu diras à mon frère qu’avec ce voisin vous avez fauté.
Tu verras, rapidement, tel que je le connais il arrangera notre situation.
Je constate que depuis que j’ai compris que je vais à mon tour mettre au monde un enfant, Jules est redevenu « Tonton. »
Six mois sans que Jules digne se présenter, aujourd’hui je lui ouvre ma porte.
Tout a fonctionné entre Rodolphe et moi, c’est moi qui lui ai dit être enceinte de notre première fois et il m’a cru comme le gentil toutou que j’ai épousé.
Dans quelques semaines et Jules qui vient de revenir, saura ce que sa semence a mise en moi et qui se développe vitesse grand V lorsque je regarde mon ventre s’arrondir.
• Jules, recommence à me baiser, ta bite m’a manqué, Rodolphe sait très mal se servir de la sienne.
• La mienne sera toujours à ta disposition, surtout que je viens de déménager et que je vais habiter au premier de votre immeuble dans quelques jours.
• As-tu trouvé du travail ?
• Quelle horreur, tu sais que je joue aux courses tous les dimanches.
J’ai gagné une grosse somme qui va me permettre de vivre près de mon fils, mes doigts de pieds en éventail à ne rien faire.
En plus, ton père a ramené sa pute chez vous, il te l’a dit !
• Sa pute, oui, il me la dit, cette pute, c’est tante Hortense, la sœur de maman !
• C’est bien ce que je disais sa pute.
• Dis-moi tonton, arrête de me caresser les fesses, bon c’est d’accord baise-moi !
Attention à éviter de me mettre enceinte une nouvelle fois, lorsque j’aurais accouché et que j’aurais eu mon retour de couches, Jules !
• Baisons ensemble, nous verrons pour le deuxième, ce qui a marché avec ton con de mari, marchera une nouvelle fois.
Je veux que nous ayons une grande famille, j’ai toujours rêvé d’avoir plusieurs sœurs et voir quelques frères.
J’espère que tu seras partante, merde, je rentre plus facilement qu’avant, j’espère que tu m'es fidèle.
Et jaloux avec ça !
Non, je perds les eaux, Jules m’emmène à la maternité ou notre fils vient au monde.
• Coupez le cordon monsieur, c’est votre premier !
Jules prend les ciseaux et coupe le cordon à la place de Rodolphe.
Je comprends rapidement que ma vie ça va être ça, je vais vivre dans l’adultère, mais aussi le plaisir que me procure Jules depuis notre première fois lorsqu’il est rentré dans ma chambre sans frapper.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Beaucoup de maladresse dans le texte le fonds de l’histoire avec inceste, accouplement et mise au monde d’un enfant issu d’un oncle et de sa nièce et promesse d’autres nous montre l’immaturité de l’homme et de la naïveté de la fille. A proscrire dans la vraie vie. Daniel

