COLLECTION BELLE-MÈRE. Belle maman est cocue (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BELLE-MÈRE. Belle maman est cocue (1/1)
- Bonjour Marie, que faite vous là.
Et en pleure par-dessus le marché.
- Charles-Henri me trompe avec sa secrétaire, une jeunette plus jeune que vous Francis.
- Rien de grave Marie, il faut bien que jeunesse se passe.
La vie est courte et s’il a su séduire Yvette sa secrétaire c’est qu’il est encore vert et que ça fait travailler sa libido.
Mais entrez venez que je vous console.
Que Marie, belle-maman, vienne s’épancher de la tromperie de son mari chez moi me semble incongrue mais certainement que j’étais la seule épaule qu’elle savait pouvoir trouver.
- Asseyons-nous sur le canapé, venez dans mes bras, si vous sentez le besoin de pleurer allez y, ça soulage.
- Vous êtes gentil Francis, ma fille a bien de la chance de vous avoir rencontré.
Je suis sûr que vous vous serez un mari dévoué pour elle tout au long de votre vie.
- Il y a peu de temps que nous sommes mariés, je suis dans l’impossibilité de vous jurer que je serais fidèle toute ma vie.
- Vous l’avez déjà trompé ?
- Non, mais par chance personne ne m’a tenté.
Vous êtes bien dans mes bras, voilà je sens que vous vous décontractez.
Donnez-moi votre main.
- Mais Francis, vous bandez, à ce que je sens, ma fille doit être gâtée.
- Voulez-vous la voir et la comparer avec celle de Charles-Henri ?
- Ce serait indécent pour Susy, où est-elle ?
- Partie pendant deux jours à un séminaire.
- Je suis bête, elle me l’a dit, alors que je lui disais que je passerais peut-être la voir.
Sans avoir l’air d’y toucher, belle-maman me frotte la queue me faisant bander.
Prestement je fais glisser ma Fermeture Éclair.
La situation me fait rire Marie à qui j’aurais donné le bon dieu sans confession.
- Je passe mon bras derrière elle, elle me regarde et il m’est facile de la faire plonger vers ma verge.
- Mais Susy !
- Suce et tait toi, tu te poseras des questions plus tard.
Ça te permettra de te venger de Charles-Henri.
Je lui fais franchir le barrage des tabous envers sa fille quand étant au fond de sa gorge, mon portable sonne.
- Susy, tu as fait bonne route et les premières heures de ton séminaire se passent bien.
J’ai mis sur haut-parleur sa mère entend, elle relève la tête.
Je lui appuie dessus lui faisant faire une gorge profonde.
- J’avais oublié de te dire qu’elle m’avait envoyé un message, elle doit passer me voir.
Elle a dû oublier que c’était aujourd’hui que j’avais mon séminaire.
- Elle est bien là.
- Bonjour maman.
- Il lui est impossible de te répondre elle me suce la queue.
- Arrête de dire des conneries, je sais que tu fais de l’humour comme à ton habitude.
- Je te dis la vérité, elle fait d’aussi bonne fellation que toi.
- J’ai compris, tu veux que je joue avec toi.
- Es-tu dans ta chambre ?
- Oui, ils vont manger ensemble, j’ai dit que j’étais fatigué.
- Belle-maman, continue de me sucer, fais-moi signe si tu aimes ma verge.
- Vas-y maman, suce le chibre de mon homme.
- Tu sais, je suis avec Alain mon copain de bureau et de séminaire, il me lèche la chatte.
- Attends, je vais faire changer ta maman de position et en faire de même, mais j’aurais du mal à te parler.
Dépêche de te mettre sur le canapé les cuisses en l’air, tu m’as assez sucé.
Ça y est Susy !
Dis, tu savais que ta maman était une salope, elle est les cuisses en l’air sa chatte rasée dénudée.
Ta maman se promène sans culotte.
- Comme moi, telle mère telle fille.
Aie.
- Pourquoi « aie » ma chérie ?
- Alain m’a mordu le clitoris, ça m'a surpris.
- Tu as déjà vu le clito de ta mère ?
- Comment veux-tu, tu nous prends pour des pervers.
- Elle écarte ses grandes lèvres et je vois une véritable petite bite.
Attends, sa cyprine coule je vais l’aspirer.
- De notre côté je me place en levrette, tu sais que j’adore la levrette.
- Marie me fait signe qu’elle veut aussi se mettre en levrette sur notre canapé.
- Tu l’appelles Marie, depuis notre mariage, tu disais belle-maman.
- Quand on est à deux doigts qui écartent son cul de sodomiser sa belle-mère, il est difficile de dire belle-maman.
- Fais-moi croire que tu sodomises maman, alors qu’Alain entre par ma petite porte.
Si tu savais avant de te connaître le nombre de mecs qui m’ont sodomisé.
Tu te souviens une fois tu as essayé.
Je t’ai refusé cette porte de peur que tu remarques même l’autobus m’était passé dessus.
Je sens que ça monte en moi, je vais jouir par l’anus.
Dis, maman elle jouit aussi de ce côté-là.
Oui, elle se mord la main pour éviter d’hurler, c’est une vraie salope.
- Mon père la trompe avec sa secrétaire, là je viens de te prendre en flagrant délit de mensonge.
Nous avons beaucoup de complicité entre nous, ma mère refuse la sodomie.
Bon Francis, je te laisse, Alain est à deux doigts de me faire démarrer.
C’est un vrai taureau.
Elle a coupé, je redouble dans le cul de ma belle-mère.
C’est marrant comment les gens voient les autres.
Même si elle a fait semblant pour m’exciter, Susy ignorait la nature profonde de sa mère que je remplis de mon sperme, hurlant mon plaisir.
« Alain quel con, mon mari a voulu me faire croire qu’il baisait ma mère.
S’il savait comme j’aime que tu me défonces. »« Je sais, depuis que je te saute sur ton bureau tu m’as dit ton infidélité et j’ai accepté d’être l’un de tes nombreux amants. »« Je suis folle du cul, qu’est-ce que tu veux. »
Batterie, que sais-je !
Ma femme et son amant, ont-ils appuyé sur stop sans se rendre compte que le portable était coupé ?
De mon côté, belle-maman comme si de rien n’était a repris ma verge en main et me fait une nouvelle fellation quand on sonne à la porte.
- Rhabille-toi, je vais voir qui a sonné, certainement un représentant venant m’emmerder.
Je remonte mon jean et je vais ouvrir.
- Charles-Henri que me vaut ta visite ?
- J’ai fait une connerie, j’ai sauté ma secrétaire sur mon bureau et je pense qu’elle l’a entendu, elle est loin d’être discrète quand elle jouit.
- Tu baises Yvette ?
- Oui.
Dans la glace de l’entrée je vois Marie arriver à poil.
- Oui, je suis là et ton gendre ma magnifiquement baisée, même sodomisée.
Pendant qu’on le faisait, j’ai appris que ta fille est une salope qui se fait baiser par tous ce qui bouge.
Retourne voir ta pétasse, je reste ici il va me baiser toute la nuit, on va s’éclater.
Charles-Henri, la queue basse nous quitte.
Dans quel merdier me suis-je fourré.
Et en pleure par-dessus le marché.
- Charles-Henri me trompe avec sa secrétaire, une jeunette plus jeune que vous Francis.
- Rien de grave Marie, il faut bien que jeunesse se passe.
La vie est courte et s’il a su séduire Yvette sa secrétaire c’est qu’il est encore vert et que ça fait travailler sa libido.
Mais entrez venez que je vous console.
Que Marie, belle-maman, vienne s’épancher de la tromperie de son mari chez moi me semble incongrue mais certainement que j’étais la seule épaule qu’elle savait pouvoir trouver.
- Asseyons-nous sur le canapé, venez dans mes bras, si vous sentez le besoin de pleurer allez y, ça soulage.
- Vous êtes gentil Francis, ma fille a bien de la chance de vous avoir rencontré.
Je suis sûr que vous vous serez un mari dévoué pour elle tout au long de votre vie.
- Il y a peu de temps que nous sommes mariés, je suis dans l’impossibilité de vous jurer que je serais fidèle toute ma vie.
- Vous l’avez déjà trompé ?
- Non, mais par chance personne ne m’a tenté.
Vous êtes bien dans mes bras, voilà je sens que vous vous décontractez.
Donnez-moi votre main.
- Mais Francis, vous bandez, à ce que je sens, ma fille doit être gâtée.
- Voulez-vous la voir et la comparer avec celle de Charles-Henri ?
- Ce serait indécent pour Susy, où est-elle ?
- Partie pendant deux jours à un séminaire.
- Je suis bête, elle me l’a dit, alors que je lui disais que je passerais peut-être la voir.
Sans avoir l’air d’y toucher, belle-maman me frotte la queue me faisant bander.
Prestement je fais glisser ma Fermeture Éclair.
La situation me fait rire Marie à qui j’aurais donné le bon dieu sans confession.
- Je passe mon bras derrière elle, elle me regarde et il m’est facile de la faire plonger vers ma verge.
- Mais Susy !
- Suce et tait toi, tu te poseras des questions plus tard.
Ça te permettra de te venger de Charles-Henri.
Je lui fais franchir le barrage des tabous envers sa fille quand étant au fond de sa gorge, mon portable sonne.
- Susy, tu as fait bonne route et les premières heures de ton séminaire se passent bien.
J’ai mis sur haut-parleur sa mère entend, elle relève la tête.
Je lui appuie dessus lui faisant faire une gorge profonde.
- J’avais oublié de te dire qu’elle m’avait envoyé un message, elle doit passer me voir.
Elle a dû oublier que c’était aujourd’hui que j’avais mon séminaire.
- Elle est bien là.
- Bonjour maman.
- Il lui est impossible de te répondre elle me suce la queue.
- Arrête de dire des conneries, je sais que tu fais de l’humour comme à ton habitude.
- Je te dis la vérité, elle fait d’aussi bonne fellation que toi.
- J’ai compris, tu veux que je joue avec toi.
- Es-tu dans ta chambre ?
- Oui, ils vont manger ensemble, j’ai dit que j’étais fatigué.
- Belle-maman, continue de me sucer, fais-moi signe si tu aimes ma verge.
- Vas-y maman, suce le chibre de mon homme.
- Tu sais, je suis avec Alain mon copain de bureau et de séminaire, il me lèche la chatte.
- Attends, je vais faire changer ta maman de position et en faire de même, mais j’aurais du mal à te parler.
Dépêche de te mettre sur le canapé les cuisses en l’air, tu m’as assez sucé.
Ça y est Susy !
Dis, tu savais que ta maman était une salope, elle est les cuisses en l’air sa chatte rasée dénudée.
Ta maman se promène sans culotte.
- Comme moi, telle mère telle fille.
Aie.
- Pourquoi « aie » ma chérie ?
- Alain m’a mordu le clitoris, ça m'a surpris.
- Tu as déjà vu le clito de ta mère ?
- Comment veux-tu, tu nous prends pour des pervers.
- Elle écarte ses grandes lèvres et je vois une véritable petite bite.
Attends, sa cyprine coule je vais l’aspirer.
- De notre côté je me place en levrette, tu sais que j’adore la levrette.
- Marie me fait signe qu’elle veut aussi se mettre en levrette sur notre canapé.
- Tu l’appelles Marie, depuis notre mariage, tu disais belle-maman.
- Quand on est à deux doigts qui écartent son cul de sodomiser sa belle-mère, il est difficile de dire belle-maman.
- Fais-moi croire que tu sodomises maman, alors qu’Alain entre par ma petite porte.
Si tu savais avant de te connaître le nombre de mecs qui m’ont sodomisé.
Tu te souviens une fois tu as essayé.
Je t’ai refusé cette porte de peur que tu remarques même l’autobus m’était passé dessus.
Je sens que ça monte en moi, je vais jouir par l’anus.
Dis, maman elle jouit aussi de ce côté-là.
Oui, elle se mord la main pour éviter d’hurler, c’est une vraie salope.
- Mon père la trompe avec sa secrétaire, là je viens de te prendre en flagrant délit de mensonge.
Nous avons beaucoup de complicité entre nous, ma mère refuse la sodomie.
Bon Francis, je te laisse, Alain est à deux doigts de me faire démarrer.
C’est un vrai taureau.
Elle a coupé, je redouble dans le cul de ma belle-mère.
C’est marrant comment les gens voient les autres.
Même si elle a fait semblant pour m’exciter, Susy ignorait la nature profonde de sa mère que je remplis de mon sperme, hurlant mon plaisir.
« Alain quel con, mon mari a voulu me faire croire qu’il baisait ma mère.
S’il savait comme j’aime que tu me défonces. »« Je sais, depuis que je te saute sur ton bureau tu m’as dit ton infidélité et j’ai accepté d’être l’un de tes nombreux amants. »« Je suis folle du cul, qu’est-ce que tu veux. »
Batterie, que sais-je !
Ma femme et son amant, ont-ils appuyé sur stop sans se rendre compte que le portable était coupé ?
De mon côté, belle-maman comme si de rien n’était a repris ma verge en main et me fait une nouvelle fellation quand on sonne à la porte.
- Rhabille-toi, je vais voir qui a sonné, certainement un représentant venant m’emmerder.
Je remonte mon jean et je vais ouvrir.
- Charles-Henri que me vaut ta visite ?
- J’ai fait une connerie, j’ai sauté ma secrétaire sur mon bureau et je pense qu’elle l’a entendu, elle est loin d’être discrète quand elle jouit.
- Tu baises Yvette ?
- Oui.
Dans la glace de l’entrée je vois Marie arriver à poil.
- Oui, je suis là et ton gendre ma magnifiquement baisée, même sodomisée.
Pendant qu’on le faisait, j’ai appris que ta fille est une salope qui se fait baiser par tous ce qui bouge.
Retourne voir ta pétasse, je reste ici il va me baiser toute la nuit, on va s’éclater.
Charles-Henri, la queue basse nous quitte.
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