COLLECTION BELLE-MÈRE. C’est la faute de belle-maman (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BELLE-MÈRE. C’est la faute de belle-maman (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BELLE-MÈRE. C’est la faute de belle-maman (1/3)
• Dites-moi, très chère belle-maman, comment avez-vous fait l’éducation de votre fille ?
• Pourquoi cette question Robert, j’ai du mal à comprendre ?
• C’est vous qui en avez fait une gelée du cul avec vos bondieuseries ?

Comme le dit ma belle-mère, je m’appelle Robert, j’ai vingt-cinq ans et il y a deux jours, je viens d’épouser Sandrine, sa fille.
Sandrine a vingt-deux ans et est jolie comme un cœur, dès que je l’ai vu j’en suis tombé amoureux.
Sans être un fondu du cul, j’avais quelques expériences avec les femmes et c’est très naturellement que j’ai accepté de laisser sa virginité à Sandrine jusqu’au jour de nos noces.
C’est arrivé, donc, il y a deux jours et quelle fut ma déception de voir mon épouse s’allonger nue sur notre lit et d’attendre que je la dépucelle.
Par chance, cette vision m’a fait bander et j’ai pu la pénétrer sentant simplement sa main sur ma verge pour m’aider à entrer.
Un moment je me suis demandé si j’étais un con ou un gentleman, car depuis c’est le soir qu’elle se met au lit attendant que je sorte de la salle de bains.
Ce matin, elle était dans la cuisine en peignoir alors que je l’aurais préféré se promener nue.
Je suis venu derrière elle et je l’ai enlacé essayant de l’embrasser dans le cou.

• Robert, tu es fou pas maintenant, chaque chose en son temps, attend ce soir.

C’est pourquoi alors que Sandrine est partie à son travail comme professeur des écoles, plus particulièrement des enfants en maternel que je descends à l’étage inférieur ou Paulette à son appartement.
La maison possède deux logements Paulette au rez-de-chaussée et nous avec Sandrine au premier.
C’est très pratique, Paulette me fait à manger le midi et le loyer est payé, car elle est propriétaire de la maison.
Pour ma part, je suis écrivain, j’ai déjà écrit deux bouquins qui me permettent de faire vivre ma femme, mais qui veut continuer à s’occuper de ses enfants à l’école.
C’est à table que je pose cette question sur l’éducation de sa fille à Paulette.

• Robert, j’avais peur d’entendre dans ta bouche cette question sur l’éducation de ma fille.
Puis-je te faire confiance, si je te raconte un peu ma vie !
• J’ai épousé Sandrine, j’ai respecté son envie de se présenter vierge au mariage. Je voudrais savoir ce quelle a appris du sexe entre adulte consentant.
Suivant votre réponse, je dirais à votre fille que si elle reste passive, je serais obligé d’aller voir ailleurs.
• Bon c’est dur à dire, mais j’ai protégé ma fille des turpitudes que j’ai pu faire étant jeune.
• Des turpitudes ?
• Oui, dès mon éveil à ma sexualité, j’ai été ce que l’on peut appeler une salope.
J’ai eu de nombreux amants et j’ai même partouzé.
Un jour malgré les protections, je suis tombée enceinte, une capote défectueuse.
J’ai élevé ma fille seule en travaillant la nuit dans l’hôpital de la ville voisine.
Mon père étant très croyant m’avait permis de rester chez eux si je retrouvais la foi et un emploi stable.
Ils sont morts et comme je viens de te le dire, j’ai élevé ma fille en continuant à être fidèle à sa mémoire.
Je t’en supplie, évite de la heurter en lui ouvrant les yeux trop vite sur le monde tel qu’il est.

Paulette est debout près de moi.
Elle s’est levée depuis peu, elle travaille la nuit, dors peu le matin et à midi j’arrive pour manger.
Elle vient de me servir du poulet alors que je suis assis sur ma chaise que je recule.

• Si tu veux que je sois patient avec ta fille, si tu as été une belle salope, fait moi voir ce que tu sais faire.

Certes, Paulette à quarante ans est bien foutue, passé du vouvoiement au tutoiement et la prendre par la main pour qu’elle vienne à hauteur de ma braguette, c’était loin d’être prémédité.
Elle s’agenouille l’air agare, mais c’est elle qui m’ouvre mon pantalon, sort ma verge et commence à me sucer.
Si elle est étonnée, je le suis encore plus de mon audace.
J’ai écrit ce matin sans faire de bruit, sans savoir que celle qui dormait sous mes pieds était capable de sucer si bien un homme, surtout son gendre.
Comme elle me l’a dit, ça devait être une sacrée salope dans sa jeunesse, et je suis satisfait de réveiller en elle ses déviances sexuelles qui ont formé sa jeunesse.
Que j’aurais été heureux que ma femme eût les mêmes prédispositions.
Lorsque je descends ma main écartant son peignoir, je trouve un très beau sein, plein de vie et de chaleur que j’ai énormément de plaisir à caresser.
Si Sandrine était plus active, je pourrais comparer sa fermeté avec le sien, en plus gros, ils sont tous les deux en forme de poires.
Elle me suce en me caressant les couilles, elle lève ses yeux vers moi, j’ai le même sentiment que j’ai eu lorsque Sandrine m’a regardé avant que je la demande en mariage.
Je vois qu’elle en veut plus, je la connais depuis quelques mois, les soirs où elle travaille, je la vois partir soigner ses malades, en profite-t-elle pour avoir des amants peut-être des médecins ?
Ce qui est sûr, c’est que depuis que je fréquente les deux femmes, les hommes semblaient étrangers à cette maison.
Une fois relevé son vêtement chute me montrant sa chatte épilée.
Je vois aussi des anneaux fixés à ses grandes lèvres, qui eurent cru que cette mère de famille était adepte des piercings vaginaux.
Ses seins sont très près, elle devait en avoir là aussi, mais elle les a enlevées, seules de petites traces brunes rappellent qu’elle s’en était fait poser.
Son nombril porte encore un petit diamant, mais certainement loin d’être un faux, ma bouche au moment où elle s’empale vient prendre son sein, qu’elle m’abandonne avec délice.
Sa chatte est chaude et le baiser là assis sur cette chaise boots mon plaisir, je redis que j’aimerais que ma femme me montre les mêmes dispositions que me montre ma belle-maman.
Elle se penche et pour la première fois, sa bouche qui a sucé ma bite vient prendre la mienne en même temps qu’un orgasme la traverse.
Je finis par expulser mon sperme au fond de son vagin, je viens de trouver une belle salope avec qui dès demain, j’aurais grand plaisir à remettre le couvert.

Je baise ma femme toujours sans fioritures comme je l’ai promis à Paulette me rattrapant les lundis, mardis, jeudis et vendredis.
Le reste des jours de la semaine Sandrine est là et nous sommes un couple normal avec une belle-mère normale.
Il y a bien de petites privautés entre nous lorsque ma femme quitte notre foyer sans se douter que je nique sa salope de mère.

• Robert, tu es fou et si Sandrine revenait plus vite de faire les courses au super-marcher !
• Ça serait l’occasion de lui apprendre que baiser à la missionnaire, ça va un temps, mais si elle voit que je te prends les fesses assises sur la machine à laver, ça deviendra bien plus intéressant.

Voilà, ça fait quelques mois que je suis marié et que je saute une salope et une sainte-nitouche.
Ce soir Sandrine m’a quitté pour aller fêter l’anniversaire de sa copine Corinne, elle aussi prof des écoles, mais dans la section des plus grands.
J’ai accepté cette sortie en fille, à la façon dont elle a été élevée il y a peu de risques pour notre couple.
Un seul souci Paulette est à son travail, j’en profite pour avancer mon nouveau livre.
Corinne, j’ai eu l’occasion de passer un moment avec elle et Romain son mari, garçon très gentil, mais passionné de foot, moi qui m’en fiche royalement.
Il savait tout des verts dont j’ai découvert que c’était le surnom de l’équipe de Saint-Étienne jouant dans un chaudron, c’est pour dire mon inculture dans ce domaine.
Lorsque ma femme revient, je suis couché.

Quelle heure est-il lorsqu’un souffle chaud se fait sentir à hauteur de ma verge, un coup d’œil au réveil, un peu plus de trois heures.
Un bref instant, j’ai l’impression que Paulette a rejoint notre couche, venant montrer à sa fille, comment satisfaire son homme autrement que le dos collé au lit, les pattes écartées.
Je passe ma main dans ses cheveux, ils sont bouclés alors que ceux de Paulette sont un peu du genre coupé au bol.

• Chérie, il faudra m’expliquer, mais continue, c’est si bon.

Sandrine est un peu maladroite, je vais pour la prendre et lui montrer la levrette lorsqu’elle insiste et fait juter mon sperme, l’avalant jusqu’à la dernière goutte.
Son travail terminé, ma queue retombante, elle vient se blottir dans mes bras.

• Sandrine, j’ai beaucoup apprécié, explique-moi ce changement d’attitude.
Tu as rencontré un autre homme qui t’a initié au plaisir du sexe autrement que dans la position du missionnaire ?
• Tu es fou, j’ai eu une conversation avec Corinne au restaurant, nous avions un peu bu et tu sais que je pars facilement dès le premier verre.
Nous sommes arrivées à parler de sexe et j’ai compris que ma mère m’avait caché beaucoup de choses.
Elle a sorti son portable et m’a montrée de petites vidéos dites pornographiques où des couples faisaient l’amour.
J’ai rapidement compris que j’avais un mari exceptionnel qui m’avait respecté depuis qu’il m’a faite femme le soir de nos noces.
Je voulais me rattraper, Corinne m’a dit de te faire ce que je viens de te faire et que tout le reste suivra.

Pour suivre, ça a suivi.
Dans les jours qui suivent je prends ma femme en levrette, je profite même de l’absence de Paulette pour sauter Sandrine, le cul sur la machine à laver pendant son fonctionnement.
Je me garde bien de lui dire, que sa mère a joui dans la même position, il y a quelques jours.

Rapidement je suis épuisée, baiser deux belles salopes lorsque l’une est absente, me mine, je suis à deux doigts de crier stop.
Heureusement, les grandes vacances arrivent et il est rare que l’une soit là en même temps que l’autre.

• Robert, Corinne et Romain nous invite au restaurant pour leur anniversaire de mariage.
J’ai bien vu que tu trouvais Romain un peu chiant avec son foot, mais Fernande est mon amie et c’est un peu grâce à elle que j’ai pu m’apercevoir que je te rendais insatisfait.

Même si je sais que je vais m’emmerder, comment refuser à celle qui me satisfait étant à l’écoute de mes envies d’aller manger au restaurant.
Je connais la table où ils nous invitent, au moins, j’aurais mangé des plats très raffinés...

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