COLLECTION BELLE-MÈRE. C’est la faute de belle-maman (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION BELLE-MÈRE. C’est la faute de belle-maman (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BELLE-MÈRE. C’est la faute de belle-maman (2/3)
• Dites-moi, très chère belle-maman, comment avez-vous fait l’éducation de votre fille ?

C’est la question que j’ai posée à Paulette ma belle-mère, après quelques jours de mariage avec Sandrine, sa fille.
Je découvre que si Sandrine est inculte au niveau du sexe, pour sa part Paulette est une sacrée salope, une vraie catin de bas étage.
Dans un sens, c’est normal, elle loge au rez-de-chaussée de la maison que nous partageons avec elle, mais je m’égare.
Cuisine, buanderie, même une fois dans le petit jardin où je pense mettre une piscine avant l’été prochain, je constate la salope que cette femme encore bien appétissante est.
Dans ma vie, la chance m’a toujours souri et c’est grâce à Corinne lors d’une soirée entre fille, que Sandrine apprend que le missionnaire, c’est sympa, mais que pour un couple ça va un moment.
Après son retour dans la nuit elle me suce moins experte que sa mère.
Entre parenthèses, à part moi, aucun homme à l’horizon pour cette femme.
À moins que lors de ses nuits à l’hôpital certains jeunes internes de service profitent des piercings qu’elle m’a montrés lorsque je l’ai baisée.
Je veux espérer qu’elle laisse les malades hommes tranquilles à se reposer.
J’ai fait un passage dans un hôpital pour une appendicite lorsque j’avais seize ans.
C’était pendant mes vacances à Biarritz dans de la famille et une autre infirmière me montrait allègrement ses seins lorsqu’elle se penchait sous couvert de prendre ma tension.
Chaque fois qu’elle me montrait une bonne partie de ses seins, ma tension comme ma queue montait, mais elle assurait les horaires de jours sans jamais venir me voir de nuit.
Les allées et retours de jours m’ont certainement empêché de perdre mon pucelage avec cette jolie salope si comme belle-maman elle avait fait les nuits.
Elle m’a tout de même rendu service, dès que je l’ai pu, de retour chez moi, ma main s’est activée sur ma queue, me payant des branlettes rétroactives, rien que d’y penser.
C’est deux mois plus tard que je faisais mon entrer dans le monde des adultes en sautant une copine de lycée.
Lorsque je repense au sein de cette infirmière et ceux de ma belle-mère, si elle les exhibe devant ses malades, je comprends qu’elle ait ôté ses piercings.

Paulette est partie à son travail lorsque nous démarrons à notre tour pour l’auberge des trois faisans où ils nous ont donné rendez-vous.
Saint-Étienne, la première fois, là, c’est du tour de France qui bat son plein que Romain passe la soirée à faire de moi, l’un des rois de la pédale.
Attention nul méprise, lorsque je parle de « pédale », c’est de celles qui vont par paires sur les vélos.
Je suis un parfait hétéro même si deux hommes se caressant le zizi, si ça leur fait du bien, pourquoi pas.
C’est au dessert que Corinne m’étonne.

• Robert, tu sais que Sandrine et moi sommes très proches !
• Oui, je l’ai constaté après un repas comme celui-ci lorsqu’elle est entrée.
Je dois même t’en remercier, notre mariage était parti sur de mauvaises bases suite à l’éducation que Paulette sa mère lui a donnée.
• Tu me dois donc un service !
• On peut voir les choses ainsi, que puis-je pour toi ?
• Pour nous tous, il y a une boîte de nuit, mieux vos êtres directs, un club échangiste à quelques kilomètres après la sortie de la ville, « la pagode ».
J’en ai entendu parlé, sans jamais m’y rendre.
Avec Romain, nous aimerions nous y rendre, ce serait mon cadeau d’anniversaire de mariage.
Nous en avons parlé avec Sandrine et depuis que tu lui as ouvert les portes de sa sexualité, elle voudrait que nous y allions tous les quatre.

Je regarde ma femme, elle est rouge de confusion.
Passer du missionnaire passif à un club échangiste me montre le chemin que nous avons franchi.
Lorsque j’accepte de m’y rendre, je me rends compte du chemin parcouru, mais aussi de la trahison à la promesse faite à Paulette de garder sa fille éloignée de ses propres turpitudes de jeunesse.

• Sandrine, veux-tu que nous les accompagnions ?
• Oui, mais seulement pour regarder, nous repartirons si je suis mal à l’aise.

C’est ainsi que le destin me frappe, nous garrons nos voitures devant le club, le bandeau lumineux brille de ses couleurs chatoyantes, « la pagode ».
La boîte doit marcher, vu le nombre de voitures garées.
Un petit Juda s’ouvre des yeux nous scrute et lorsque la porte s’ouvre un noir très viril se tient devant nous.
Nous pouvons entrer dans l’antre de l’enfer pour des femmes comme Paulette, du moins c’est ce qu’elle a inculqué à ma femme.

• Je pense que c’est votre première visite, l’entrée est gratuite pour les dames.
Messieurs voulez-vous vous acquitter de 80 € ?

Il va sans dire, qu’ayant été bien éduqué je me bas pour payer nos deux entrées, mais comme ce sont eux qui ont souhaité venir ici, c’est le sportif en fauteuil Romain qui fait brûler sa carte.
Un bar, les habitués qui lisent mon histoire doivent connaître, il y a toujours un bar après être passé par un vestiaire déposer nos affaires.
Ce qui me rassure, c’est que nous évitons d’être directement nu, du moins si nous le souhaitons.
Dans les casiers, carré de tissu de couleurs que nous nouons comme je le fais avec ma serviette de bain.
Au bar plusieurs couples plus ou moins bien assortissent, mais près d’un couple trinquant au champagne, un couple et une femme seule.
À part sa tenue la rendant impossible à la reconnaitre.
Elle est en guêpière blanche montrant son postérieur sans une trace de cellulite.
Tenu par des jarretières blanches, elle est en bas sur des hauts talons eux aussi de même couleur.
Elle se retourne nous sentant dans son dos, je suis estomaquée.

• Robert !
• Sandrine que faite vous ici ?

Un instant, cette découverte me cloue de stupeur, mais avant ma femme je me ressaisis.

• Et vous Paulette, je vous croyais de service à l’hôpital.
• Je savais qu’un jour, ma situation serait découverte, mes enfants je suis la propriétaire de ces lieux.
Je vois que vous êtes venu avec Corinne ton amie à l’école où vous travaillez ?
• Nous connaissons-nous madame ?
C’est la première fois que nous venons en club libertin.
• Je te vois hébéter Sandrine, oui je t’ai caché ce que je fais réellement, je gère cette boîte que ton père nous a léguée lorsqu’il est mort.
Robert comprend que c’est pour garder ce secret que je t’ai demandé de garder ma fille hors des turpitudes du sexe et que j’ai compensé moi-même le vide dans votre couple.

Sandrine aussi voit que la situation est étrange, par chance un autre noir identique à celui qui nous a accueillis vient voir celle qui est l’hôtesse de ces lieux.

• Madame, mon frère a besoin de vous à l’entrée.
• Adrien fait visiter notre club à ma fille et à ses amis.
Robert vient avec moi, je vais tout t’expliquer.

Depuis que je suis entrée, c’est la première fois que je suis mal à l’aise.
Serais-je jaloux de ce garçon qui semble être le bras droit de ma belle-mère et qui me présente sous son voile bleu un sexe à faire baver toutes les femmes dont la mienne ?
Je les vois partir, sans que pour autant Sandrine semble s’étonner de cette découverte.
Le comportement de ma femme m’a toujours étonné, on dirait un jeune poussin sortant de sa coquille et qui découvre les merveilles du monde qui l’entoure.
C’est cet aspect juvénile qui m’a séduit.
Pour Corinne et Romain, leur réaction semble plausible, savaient-ils que ma belle-mère tenait cette boîte, à première vue non.
De retour à la porte, dans son costume trois-pièces, aucun doute, possible Paulette travaille avec des jumeaux.
Dans son pantalon ample, possède-t-il la même verge que celle de son frère ?
Une nouvelle fois, je comprends qu’elle vive auprès de nous sans présence mâle autre que la mienne.
Une image me vient à l’esprit, fait-elle la tranche de jambon lors de sandwichs avec ses magnifiques blacks.
Je me secoue, est-ce le lieu qui s’y prête, des idées salaces me viennent à l’esprit.
Un problème de mec voulant entrer seul, il tapait à coups de pied dans la porte métallique.
Ce soir, c’est soirée couple, menaçant au début, Paulette l’amadou en quelques minutes me montrant la forte femme qu’elle est.

• Viens dans mon bureau, je vais te montrer ma tour de contrôle.

Dans son bureau au-dessus de la salle, il y a des écrans nous montrant les différents coins où les clients peuvent se rendre.
Ma femme et nos amis avec Adrien qui ouvre la marche sont dans un couloir qui les conduits dans une salle ou une femme se fait prendre sur une table par un homme. Un autre lui tenant la tête dans le vide, lui enfile sa verge jusqu’au fond de la gorge.
Un troisième se masturbe en les regardant.

• Tu vois le mec qui regarde, c’est Lionel, le mari de Chantal qui se fait sauter par les deux autres garçons dont une gorge profonde.
Comme tu le sais, ce soir, c’est soirée couple.
Les deux femmes de ces deux hommes, Georgette et Liliane, tu les vois là dans la piscine, je viens de la faire installer et elle m’amène un surcroit de clientèle.
Il faut toujours innover dans ce métier, je t’ai menti lorsque je t’ai dit que j’avais arrêté d’être une salope.
L’hôpital, ça devenait de plus en plus dur à expliquer à Sandrine.
Si tu savais le nombre d’heures que j’ai passé sur ce canapé pour justifier mes heures de nuit alors que le club est seulement ouvert les jeudis, vendredis, samedis et dimanches de 18 heures à 1 heure du matin.

Je suis derrière elle, je passe mon bras ma main finissant sur son décolleté pigeonnant son sein retrouvant ma main semblant apprécier.
À voir comme des films libertins sur les écrans aux divers points du club, ça me fait bander.
Dans la piscine deux belles blondes la cinquantaine se baignent en s’embrassant fougueusement.
Les femmes des deux mecs du même âge pratique les plaisirs lesbiens.
Quant à ma femme, comme lui a demandé ma belle-mère, il lui fait découvrir ce qu’est « la pagode. »

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