COLLECTION BELLE-MÈRE. La jeune mariée (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BELLE-MÈRE. La jeune mariée (1/1)
• Bonjour belle-maman, vous avez demandé à me voir !
• Oui, Charles-Antoine, j’ai une faveur à te demander !
• Je vous écoute, je serais toujours votre plus humble serviteur depuis qu’avec maman vous vous êtes mise d’accord pour que j’épouse Clarence, votre fille.
• Merci, de ce compliment, je vais être directe, je te confis la prunelle de mes yeux.
Mais une prunelle fragile, nous l’avons toujours élevée avec Olivia ma sœur dans les préceptes de la foi catholique.
À ce jour, elle ignore tout de ce qu’un homme a entre les jambes et à quoi ça sert.
Je voudrais que tu lui fasses découvrir la vie d’une femme mariée élevée pour l’amour de son mari et surtout être la future mère de vos enfants.
Ta maman compte sur toi et moi aussi, nos fortunes qu’ainsi nous fusionnerons nous permettront d’être une famille plus grande encore.
• Ce que vous me dites Agathe me réconforte, j’avais peur d’avoir une fille facile comme l’on en trouve trop facilement par les temps qui courent.
Je prom...
• Charles-Antoine, je te coupe, je te fais entièrement confiance, je vais sur-le-champ expliquer à ma fille ce que ma mère m’a appris la veille de mon mariage.
Je suis, Charles-Antoine, propriétaire d’un immense domaine, depuis mon plus jeune âge je sais que nos mères à Clarence et à moi rêvent de nous marier, moi j’avais le temps.
J’aurais bien fait mon ordinaire de cette jolie blonde de dix-huit ans, que je côtoie de temps en temps.
Mais Olivia, la sœur d’Agathe, ma future belle-mère la couve comme si elle était sa fille et il était difficile de l’approcher.
Le mariage m’est apparu la seule solution à mettre Clarence dans mon lit et lui faire découvrir l’homme que je suis.
J’enregistre ce que ma belle-maman dit sur les propos qu’elle va tenir à sa fille sur sa nuit de noce.
Je m’appelle Clarence, j’ai dix-huit ans et demain je me marie avec Charles-Antoine, celui que tous ignorent l’amour que je lui porte depuis ma plus tendre enfance.
Je connais bien des choses de la vie d’une femme mariée et l’amour que je devrais apporter à mon mari.
Roméo et Juliette, cet amour impossible ont été ma source d’inspiration et lorsque maman demande à me voir avec ma tante, je les reçois avec passion admirant ma robe blanche que nulle autre jeune fille que moi a été digne de la porter.
• Ma chère fille, ta tante et moi nous t’avons toujours tenu hors de certaines choses qu’une femme doit subir les premières heures avec son mari.
J’ai reçu Charles-Antoine, qui a très bien compris mon message.
• Que veux-tu dire maman ?
• C’est dur à dire, mais voilà, tu as entre les jambes un joyau que nous avons su préserver, avec ta tante.
Nous t’avons toujours dit qu’il te servait pour les besoins d’un être humain pour faire ses besoins liquides.
Ce que nous t’avons caché, c’est que les garçons ont un long tuyau que Charles-Antoine t’appendra à connaître et qui lui servira pour faire de toi sa femme.
Tu suivras à la lettre ce qu’il te dira et peut-être que rapidement tu verras ton sang du mois disparaître et que tu auras la progéniture que sa maman et moi attendons.
Fort de ces renseignements, m’éclairant ma vie sous un jour nouveau, je suis devenue impatiente de dire « oui » et que mon mari m’emmène pour la nuit de mes noces.
Tout se passe sans histoire, il est 23 heures quand mon mari me dit qu’il va m’emmener connaître la vraie vie.
Nous avons partagé le gâteau.
Maman une dernière fois vient vers moi avec tante Agathe.
• Ma fille souviens-toi de ma recommandation, suis à la lettre ton mari, un garçon sait toujours ce qui est bon pour nous.
• Belle-maman, faite moi confiance, vous allez retrouver votre fille épanouie après la fin de nuit que je vais lui faire passer.
Je sais que maman et vous vouliez réserver une chambre de princesse dans un château voisin, mais j’ai réservé un endroit plus en rapport avec mes préceptes de vie que je veux lui faire connaître.
Il me fait monter dans sa voiture de sport, nous roulons en filant au vent.
Il finit par s’arrêter à un parking, tout est noir, je distingue dans la lueur de la lune, une enseigne « Club Privé ».
Je suis sereine, maman m’a dit que mon mari m’apprendrait mon nouveau rôle de femme mariée, surtout quand je tourne mon alliance autour de mon doigt.
La porte est ouverte, nous entrons, mais avant il me prend dans ses bras pour me porter.
Si je suis innocente de ce qui doit arriver à une jeune mariée.
J’ai lu des livres choisis par tante Agathe où les jeunes mariés faisaient franchir la porte de leur maison à celle qui vient de devenir sa femme en les portant.
Je suis intriguée, mais toujours confiante.
D’un coup, tout s’allume, des feux d’artifice partent de plusieurs endroits et un cri s’élève.
« Vive la mariée ».
La salle où je me trouve est remplie d’un certain nombre de personnes un certain nombre nu.
J’ai en tête ce que maman m’a dit et lorsque Charles-Antoine me met dans les bras d’un apollon noir, je me laisse faire fidèle à la parole donnée de bien écouter et suivrent ses directives.
• Alex, allez-vous occuper de ma femme, je vais m’occuper du petit cul de Joséphine.
Clarence laisse-toi faire tout ce que mes amis te proposeront de faire.
Je suis à l’écoute, je vois Charles-Antoine prendre une coupe de champagne et trinquer avec une jolie brune, aussi nue que j’ai ma robe blanche.
Elle me quitte rapidement lorsque Alex et deux autres garçons me l’arrachent presque et que ce garçon baraqué m’embrasse.
Alex est tellement fort que je me retrouve à genoux devant lui et que je découvre le morceau de chair dont maman m’a parlé.
Je me retrouve avec cette tige presque droit dans la bouche.
Autour de moi, je sens que l’on me prend la main et qu’on la pose sur un autre bâton.
• Suce salope, nous allons te faire passer la meilleure nuit de noces, qu’une jeune pucelle comme toi peut espérer.
Suce bien ma bite et aussi celle de mes copains.
Je suis dépassée lorsque Alex me prend par les oreilles et entre et sort de ma bouche.
Celle que j’ai en moi est noire, mais vite remplacée par une blanche.
Une troisième, jusqu’à ce que ce jeu finisse de les amuser.
Lorsque l’on me relève, il m’emmène au centre de la salle tout à côté d’un bassin comme on en voit chez les Japonais ou deux jeunes femmes se tiennent dans les bras l’une de l’autre.
Il y a un gros pouf recouvert de velours rouge, ou il me pose les cuisses écartées.
Une des deux naïades sort de l’eau et vient à ma hauteur et se met à me lécher là où je fais pipi.
C’est drôle, elle insiste en haut de ma fente, des ondes s’empare de mon corps.
Je découvre que lorsque sa langue me caresse mon corps s’enflamme.
Il faut que je dise que j’ai toujours couché avec tante Agathe dans ma chambre et que depuis le plus jeune âge, je devais dormir sur le dos, mes bras bien posés sur ma couverture.
• Elle est bien chaude, dépucelez là.
C’est Charles-Antoine que je découvre dans le brouillard ou je me trouve qui vient de parler.
La brune avec qui il était dès notre arrivée vient à mon côté.
Elle se met ç quatre pattes et je vois ce que j’ai compris s’appeler une bite, entrer dans sa fente comme moi j’en ai une.
Avant que j’aie le temps de me poser des questions sur ce que les adultes font et que maman m’avait soigneusement caché, un homme vient vers moi et je vois la bite entrer en moi.
Dans l’heure qui suit,presque tous les hommes veulent être en moi sauf mon mari qui baise avec la plupart des femmes présentes.
Dans un temps très court pour moi, j’entends parler de bite, de chatte, d’orgasme, d’éjaculation avec mes différents partenaires dont certaines fois au féminin.
J’ai mal à la chatte, à mon anus lorsqu’une lance entre par là.
Je comprends pourquoi maman m’a caché ce que les adultes font, dès la nuit tombée.
Je la vois mal prononcer ce genre de mots dans sa bouche si chaste.
Au matin, lorsque Charles-Antoine me porte pour me faire connaître sa chambre, je me sens massacré.
Je suis couverte de sperme, encore un mot que j’ai appris et persuadé que la vie de jeunes mariées est identique pour toutes les filles.
Il me fait prendre un bain ce qui calme mes petites douleurs dans la chatte et mon anus.
Ma chatte, quel joli mot.
• Ma chérie, tu as été parfaite, tu as fait tout ce que je t’ai demandé.
Nous sommes ici chez nous, ce club libertin est le nôtre.
Charles-Antoine me prend dans ses bras et commence à m’embrasser, puis c’est lui qui me veut en levrette m’apportant dès cette première fois un très bel orgasme.
Lorsque je commence, je pense à ma vie d’avant et à celle qui s’ouvre à partir de ce jour.
Le lendemain, nous passons chez maman où celle de Charles-Antoine est là.
C’était prévu pour que maman voie la jeune femme radieuse que je suis.
Mon mari parle de notre moment d’intimité sans parler de la nuit que j’ai vécue.
Dans notre monde, j’ai appris à me taire lorsque maman ou tante Agathe s’exprime.
J’en fais de même lorsque mon mari s’exprime.
Ce que j’attends c’est de retrouver la nuit comme celle d’hier et je suis loin d’être déçu.
Mon mari est un libertin, je veux devenir sa libertine.
Il y a un mois que je suis mariée lorsque faisant des achats de vêtements plus en rapport avec la femme que Charles-Antoine a faite de moi, je croise le curé qui nous a mariés.
• Alors ma fille, as-tu eu ta nuit de noce avec Charles-Antoine, vas-tu bientôt nous donner un petit bébé ?
• Toutes les nuits comme le souhaite mon mari, je fais l’amour avec qui veut de moi, mais avec eux je mets des capotes.
Avec mon mari ces petites membranes sont inutiles et j’adore quand son sperme gicle en moi !
Je crois que le curé va faire une attaque, qu’est-ce que vous voulez, maman et tante Agathe aurait dû me donner des cours d’éducation sexuelle, j’aurais su quels mots évités de prononcer devant lui.
• Oui, Charles-Antoine, j’ai une faveur à te demander !
• Je vous écoute, je serais toujours votre plus humble serviteur depuis qu’avec maman vous vous êtes mise d’accord pour que j’épouse Clarence, votre fille.
• Merci, de ce compliment, je vais être directe, je te confis la prunelle de mes yeux.
Mais une prunelle fragile, nous l’avons toujours élevée avec Olivia ma sœur dans les préceptes de la foi catholique.
À ce jour, elle ignore tout de ce qu’un homme a entre les jambes et à quoi ça sert.
Je voudrais que tu lui fasses découvrir la vie d’une femme mariée élevée pour l’amour de son mari et surtout être la future mère de vos enfants.
Ta maman compte sur toi et moi aussi, nos fortunes qu’ainsi nous fusionnerons nous permettront d’être une famille plus grande encore.
• Ce que vous me dites Agathe me réconforte, j’avais peur d’avoir une fille facile comme l’on en trouve trop facilement par les temps qui courent.
Je prom...
• Charles-Antoine, je te coupe, je te fais entièrement confiance, je vais sur-le-champ expliquer à ma fille ce que ma mère m’a appris la veille de mon mariage.
Je suis, Charles-Antoine, propriétaire d’un immense domaine, depuis mon plus jeune âge je sais que nos mères à Clarence et à moi rêvent de nous marier, moi j’avais le temps.
J’aurais bien fait mon ordinaire de cette jolie blonde de dix-huit ans, que je côtoie de temps en temps.
Mais Olivia, la sœur d’Agathe, ma future belle-mère la couve comme si elle était sa fille et il était difficile de l’approcher.
Le mariage m’est apparu la seule solution à mettre Clarence dans mon lit et lui faire découvrir l’homme que je suis.
J’enregistre ce que ma belle-maman dit sur les propos qu’elle va tenir à sa fille sur sa nuit de noce.
Je m’appelle Clarence, j’ai dix-huit ans et demain je me marie avec Charles-Antoine, celui que tous ignorent l’amour que je lui porte depuis ma plus tendre enfance.
Je connais bien des choses de la vie d’une femme mariée et l’amour que je devrais apporter à mon mari.
Roméo et Juliette, cet amour impossible ont été ma source d’inspiration et lorsque maman demande à me voir avec ma tante, je les reçois avec passion admirant ma robe blanche que nulle autre jeune fille que moi a été digne de la porter.
• Ma chère fille, ta tante et moi nous t’avons toujours tenu hors de certaines choses qu’une femme doit subir les premières heures avec son mari.
J’ai reçu Charles-Antoine, qui a très bien compris mon message.
• Que veux-tu dire maman ?
• C’est dur à dire, mais voilà, tu as entre les jambes un joyau que nous avons su préserver, avec ta tante.
Nous t’avons toujours dit qu’il te servait pour les besoins d’un être humain pour faire ses besoins liquides.
Ce que nous t’avons caché, c’est que les garçons ont un long tuyau que Charles-Antoine t’appendra à connaître et qui lui servira pour faire de toi sa femme.
Tu suivras à la lettre ce qu’il te dira et peut-être que rapidement tu verras ton sang du mois disparaître et que tu auras la progéniture que sa maman et moi attendons.
Fort de ces renseignements, m’éclairant ma vie sous un jour nouveau, je suis devenue impatiente de dire « oui » et que mon mari m’emmène pour la nuit de mes noces.
Tout se passe sans histoire, il est 23 heures quand mon mari me dit qu’il va m’emmener connaître la vraie vie.
Nous avons partagé le gâteau.
Maman une dernière fois vient vers moi avec tante Agathe.
• Ma fille souviens-toi de ma recommandation, suis à la lettre ton mari, un garçon sait toujours ce qui est bon pour nous.
• Belle-maman, faite moi confiance, vous allez retrouver votre fille épanouie après la fin de nuit que je vais lui faire passer.
Je sais que maman et vous vouliez réserver une chambre de princesse dans un château voisin, mais j’ai réservé un endroit plus en rapport avec mes préceptes de vie que je veux lui faire connaître.
Il me fait monter dans sa voiture de sport, nous roulons en filant au vent.
Il finit par s’arrêter à un parking, tout est noir, je distingue dans la lueur de la lune, une enseigne « Club Privé ».
Je suis sereine, maman m’a dit que mon mari m’apprendrait mon nouveau rôle de femme mariée, surtout quand je tourne mon alliance autour de mon doigt.
La porte est ouverte, nous entrons, mais avant il me prend dans ses bras pour me porter.
Si je suis innocente de ce qui doit arriver à une jeune mariée.
J’ai lu des livres choisis par tante Agathe où les jeunes mariés faisaient franchir la porte de leur maison à celle qui vient de devenir sa femme en les portant.
Je suis intriguée, mais toujours confiante.
D’un coup, tout s’allume, des feux d’artifice partent de plusieurs endroits et un cri s’élève.
« Vive la mariée ».
La salle où je me trouve est remplie d’un certain nombre de personnes un certain nombre nu.
J’ai en tête ce que maman m’a dit et lorsque Charles-Antoine me met dans les bras d’un apollon noir, je me laisse faire fidèle à la parole donnée de bien écouter et suivrent ses directives.
• Alex, allez-vous occuper de ma femme, je vais m’occuper du petit cul de Joséphine.
Clarence laisse-toi faire tout ce que mes amis te proposeront de faire.
Je suis à l’écoute, je vois Charles-Antoine prendre une coupe de champagne et trinquer avec une jolie brune, aussi nue que j’ai ma robe blanche.
Elle me quitte rapidement lorsque Alex et deux autres garçons me l’arrachent presque et que ce garçon baraqué m’embrasse.
Alex est tellement fort que je me retrouve à genoux devant lui et que je découvre le morceau de chair dont maman m’a parlé.
Je me retrouve avec cette tige presque droit dans la bouche.
Autour de moi, je sens que l’on me prend la main et qu’on la pose sur un autre bâton.
• Suce salope, nous allons te faire passer la meilleure nuit de noces, qu’une jeune pucelle comme toi peut espérer.
Suce bien ma bite et aussi celle de mes copains.
Je suis dépassée lorsque Alex me prend par les oreilles et entre et sort de ma bouche.
Celle que j’ai en moi est noire, mais vite remplacée par une blanche.
Une troisième, jusqu’à ce que ce jeu finisse de les amuser.
Lorsque l’on me relève, il m’emmène au centre de la salle tout à côté d’un bassin comme on en voit chez les Japonais ou deux jeunes femmes se tiennent dans les bras l’une de l’autre.
Il y a un gros pouf recouvert de velours rouge, ou il me pose les cuisses écartées.
Une des deux naïades sort de l’eau et vient à ma hauteur et se met à me lécher là où je fais pipi.
C’est drôle, elle insiste en haut de ma fente, des ondes s’empare de mon corps.
Je découvre que lorsque sa langue me caresse mon corps s’enflamme.
Il faut que je dise que j’ai toujours couché avec tante Agathe dans ma chambre et que depuis le plus jeune âge, je devais dormir sur le dos, mes bras bien posés sur ma couverture.
• Elle est bien chaude, dépucelez là.
C’est Charles-Antoine que je découvre dans le brouillard ou je me trouve qui vient de parler.
La brune avec qui il était dès notre arrivée vient à mon côté.
Elle se met ç quatre pattes et je vois ce que j’ai compris s’appeler une bite, entrer dans sa fente comme moi j’en ai une.
Avant que j’aie le temps de me poser des questions sur ce que les adultes font et que maman m’avait soigneusement caché, un homme vient vers moi et je vois la bite entrer en moi.
Dans l’heure qui suit,presque tous les hommes veulent être en moi sauf mon mari qui baise avec la plupart des femmes présentes.
Dans un temps très court pour moi, j’entends parler de bite, de chatte, d’orgasme, d’éjaculation avec mes différents partenaires dont certaines fois au féminin.
J’ai mal à la chatte, à mon anus lorsqu’une lance entre par là.
Je comprends pourquoi maman m’a caché ce que les adultes font, dès la nuit tombée.
Je la vois mal prononcer ce genre de mots dans sa bouche si chaste.
Au matin, lorsque Charles-Antoine me porte pour me faire connaître sa chambre, je me sens massacré.
Je suis couverte de sperme, encore un mot que j’ai appris et persuadé que la vie de jeunes mariées est identique pour toutes les filles.
Il me fait prendre un bain ce qui calme mes petites douleurs dans la chatte et mon anus.
Ma chatte, quel joli mot.
• Ma chérie, tu as été parfaite, tu as fait tout ce que je t’ai demandé.
Nous sommes ici chez nous, ce club libertin est le nôtre.
Charles-Antoine me prend dans ses bras et commence à m’embrasser, puis c’est lui qui me veut en levrette m’apportant dès cette première fois un très bel orgasme.
Lorsque je commence, je pense à ma vie d’avant et à celle qui s’ouvre à partir de ce jour.
Le lendemain, nous passons chez maman où celle de Charles-Antoine est là.
C’était prévu pour que maman voie la jeune femme radieuse que je suis.
Mon mari parle de notre moment d’intimité sans parler de la nuit que j’ai vécue.
Dans notre monde, j’ai appris à me taire lorsque maman ou tante Agathe s’exprime.
J’en fais de même lorsque mon mari s’exprime.
Ce que j’attends c’est de retrouver la nuit comme celle d’hier et je suis loin d’être déçu.
Mon mari est un libertin, je veux devenir sa libertine.
Il y a un mois que je suis mariée lorsque faisant des achats de vêtements plus en rapport avec la femme que Charles-Antoine a faite de moi, je croise le curé qui nous a mariés.
• Alors ma fille, as-tu eu ta nuit de noce avec Charles-Antoine, vas-tu bientôt nous donner un petit bébé ?
• Toutes les nuits comme le souhaite mon mari, je fais l’amour avec qui veut de moi, mais avec eux je mets des capotes.
Avec mon mari ces petites membranes sont inutiles et j’adore quand son sperme gicle en moi !
Je crois que le curé va faire une attaque, qu’est-ce que vous voulez, maman et tante Agathe aurait dû me donner des cours d’éducation sexuelle, j’aurais su quels mots évités de prononcer devant lui.
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