COLLECTION BELLE-MÈRE. Les cours d’ordinateur (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BELLE-MÈRE. Les cours d’ordinateur (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BELLE-MÈRE. Les cours d’ordinateur (1/2)
• Jean, si Odile le permet j’aimerais que tu viennes me faire voir comment fonctionne et ce que je peux faire avec l’ordinateur portable de ton beau-père décédé.
J’ai besoin d’aller prendre des rendez-vous chez le médecin, voire le site des impôts et j’ignore jusqu’au démarrage de ce portable.
• Maman, après le décès de papa, je t’avais dit que dans le monde actuel, il fallait que tu apprennes à t’en servir, je suis heureuse que tu sois enfin devenue raisonnable.
Jean, tu es de repos les mercredis, comme prof des écoles et tu es assez pédagogue pour faire voir à maman le fonctionnement de cet engin rébarbatif pour les personnes âgées.
• Tu es gentille ma fille, certes, je suis ignare pour les ordinateurs, veuve de surcroit, mais j’ai cinquante-quatre ans, certains disent que c’est l’âge de raison.
• Mado, vous avez raison, vous êtes encore très jeune et je serais enchanté de venir tous les mercredis après-midi vous apprendre tout ce qu’il faut savoir sur cet appareil moderne.
• Le plus simple c’est que tu viennes manger avec moi, Odile part le matin à sa banque et rentre le soir, elle déjeune avec ses collègues tous les midis.
Et arrête de me vouvoyer depuis plus de dix ans que tu fréquentes ma fille et que tu l’as épousé, le temps doit faciliter la chose.
• Mado, vous avez raison, mais c’est comme cela que mes parents m’ont éduqué et à trente-cinq ans, c’est difficile de changer ses habitudes.
• Maman a raison, tu sais que cela me ferait plaisir, je te le dis chaque fois que nous rentrons après le déjeuner les dimanches chez elle.
• Mado, je vais faire un effort, j’aime Odile et j’aime lui faire plaisir.
C’est bon pour mercredi, je viendrais à midi et après avoir mangé tes bons petits plats, je te donnerais ton premier cours.

Jean, comme il l’a dit à trente-cinq ans, Odile trente-deux, ils se sont connus à une fête des voisins.
Jean était marié et avait un garçon de deux ans, Rémy, il a divorcé pour épouser ma fille.
Au début avec Ronald, mon mari, nous avons été choqués que malgré l’éducation que nous lui avions donnée, qu’Odile sorte avec un homme marié qui plus est avec un enfant.
Mais l’amour entre eux nous est apparu si fort et ce bambin si adorable chaque fois que nous le voyons, car Jean à son tour en a la garde que tout est rentré dans l’ordre.
Nous sommes devenues une famille unie très contente de nous retrouver les dimanches pour déjeuner en famille.
J’ai aussi séduit mon gendre par les bons petits plats que je leur confectionne.
Avant et après la mort de Ronald, j’ai toujours vécu sans travailler.
Après son décès d’un accident de travail, l’assurance de son patron ainsi que la propre assurance vie que nous avions souscrite dès notre mariage m’ont largement permis de vive très confortablement.
De plus, il restait deux ans sur notre crédit du pavillon, l’assurance m’en a rendu propriétaire.
J’ai donc le temps de confectionner de bons petits plats, avant de connaitre Ronald, je voulais devenir cuisinière et ouvrir mon restaurant.
La rencontre avec lui et la première fois où nous avons fait l’amour avant mariage, j’ai récupéré neuf mois plus tard Odile et Ronald a voulu que je l’élève sans travailler.
Le mercredi, j’ai confectionné des pieds paquets, c’est un peu ma spécialité, j’aurais voulu en faire le plat principal de ma carte si j’avais été au bout de mon projet.
Je sais, c’est un plat provençal et j’habite dans le nord de la France.
J’ai, moi aussi eu des grands-parents, Monica la mère de mon père était provençale et elle aussi veuve.
On m’y conduisait tous les étés pour que je prenne le soleil.
J’adorais son accent chantant et la cuisine qu’elle faisait.
Elle me l’a apprise jusqu’à ce soir du 14 juillet ou pour la première fois je suis restée chez nous, Monica avait rejoint son mari pendant l’hiver.
C’est ce 14 juillet que nous avons fêté les voisins et que mon gendre a épousé notre fille.

• Mado, vos pieds paquets sont toujours aussi bons, sans votre fille, je crois bien que je vous épouserais !
C’est vrai que je t’épouserais.
Bien nous nous y mettons, j’ai installé le portable sur la table de la salle à manger, nous serons plus à l’aise pour apprendre à m’en servir.

Nous avons mangé dans la cuisine, nous allons dans la salle, je prends ma première leçon sur le fonctionnement de cet appareil.

• Ronald se servait de son portable dans cette pièce !
• Non, dans la chambre là où se trouve l’appareil qu’un opérateur est venu nous installer.
• Fait moi voir, ici le portable est dans l’incapacité de fonctionner, il faut qu’il soit relié à la livebox posée par cet opérateur ?
• C’est le truc qui faisait de la lumière la nuit, je l’ai arrêté peu de temps après la mort de Ronald.
• Fait moi voir !

Nous allons dans la chambre, sur ma table de nuit, je vois le cadre avec la photo de Ronald.
C’est la seule qui est dans la maison, je le regarde chaque fois que je me couche, ça me permet de me souvenir des bons moments avec lui.
Comme tous les couples, il y a eu de bon et de mauvais moment.
Je me souviens de la fois où je l’ai surpris en train de sauter voisine dans le sous-sol où nous avons aménagé une pièce pour un neveu venu faire ses études à la fac près de chez nous.
Ça a failli briser mon couple, mais comme Ronald s’est excusé et qu’elle a déménagé, j’ai su pardonner.
C’était quelques jours avant son accident de travail, on dirait que si j’avais pardonné, là-haut, il a su se souvenir de cette erreur en le punissant définitivement.
À y bien y réfléchir, son dérapage a dû le déstabiliser et la barrière de sécurité qui avait été ôtée pour des travaux, on dut concourir à ce qu’il tombe dans une bassine en ébullition.
J’en reste là, lorsque j’ai été reconnaitre sa dépouille, j’ai dit « oui, c’est lui » à son alliance qu’il avait toujours à son doigt.
Notre Livebox est sur la table et un câble que j’ai replié lui servait pour faire fonctionner son ordinateur.

• Veux-tu que j’aille chercher le portable Jean ?
• Non, ça démarre, je vais le mettre en wi-fi, tout marchera à distance, retournons dans la salle à manger.

En quelques clics, le portable captait Internet, pour une première fois, nous étions assis l’un à côté de l’autre, ceci simplement pour que les deux nous puissions voir l’écran.
Malgré ma cinquantaine bien entamée, étant restée svelte, je fais ma gymnastique quotidienne, je m’habile toujours très cours.
Assis à son côté, je me rends compte que ma courte jupe remonte dévoilant mes cuisses.
Je tirerais bien dessus, mais ce geste pourrait être mal interprété par mon gendre alors je reste ainsi légèrement rouge de confusion.
Mon esprit vagabonde, me souvenant de certains moments de ma vie avec feu mon mari.
J’aimais le sexe, il aimait le sexe bien que dans les derniers temps, il préférait tirer son fils dans la salle de bain et de regarder son portable.
C’est la semaine suivante qu’après que nous ayons mangé un hachis parmentier où la situation a évolué.
Le dimanche nous avions mangé un pot-au-feu avec Odile, Rémy étant à la garde de sa maman.
C’est avec les restes de viandes que j’ai confectionné mon hachis parmentier.
Je suis née après guerre et ma maman m’a appris à savoir faire économie de tout, le hachis en fait partie.
Pour Odile, elle a connu Jean trop tôt et ses centres d’intérêt étaient bien autres que d’apprendre à faire la cuisine.
Son travail et certainement la passion du sexe qui anime leur couple ont contribué à faire de ma vie, l’anti-maitresse de maison que je peux être.
Pour les plats du soir, c’est bouffe rapide telle pizza ou autres nourritures dites rapides.
Sans me vanter, les dimanches, c’est le seul jour où mon gendre et mon petit-fils font des repas équilibrés.
Même le samedi, le midi, souvent il se lève tard avant d’aller faire leurs courses, c’est café au lait avec les restes du pain de la semaine.
Le soir si Rémy est là, c’est McDonald’s, sinon ces restaurants, là encore ça va, ils vont dans un restaurant sélect.

C’est le moment de mon cours, j’ai remplacé ma jupe par un short en jeans et un débardeur.
Lorsque Jean s’installe, je pensais être plus présentable qu’avec ma courte jupe.
Hélas, mon short souligne ma féminité même si elle a tendance à se flétrir et mon débardeur a tendance à lui mettre mes seins sous le nez chaque fois qu’il tourne la tête pour me regarder.
Je me souviens des regards que me portait Ronald chaque fois que je le portais.
Ronald et aussi Solange.
Tient ces drôles, celle-là je l’avais effacé de ma mémoire.
Solange, ma compagne dans mon appartement des quelques mois ou j’ai été étudiante.
J’avais toute une batterie de ces petites tenues que nous partagions, jusqu’au jour où ce sont nos sexes que nous avons échangés.
Brouter le vagin de Solange pendant qu’elle en faisait de même avec le mien.
Je dois être honnête, si je l’ai effacé de ma mémoire, c’est que, rapidement j’ai constaté son immense jalousie.
Elle passait son temps à m’épier à chercher à me piéger pensant que je la trompais.
J’en ai eu mare et pour lui faire voir mon indépendance, elle m’a retrouvé dans le lit de Ronald entraînant notre brouille et la naissance d’Odile.

• Tu vois cette molette sur la souris, si tu veux monter ou descendre rapidement tu la tournes dans un sens ou dans l’autre.
• La souris, ça je connais, Jacot notre ancien président l’appelait le mulot dans les guignols, ça a fait rire toute la France.
Attends, tu as été trop vite, j’ai vu quelque chose qui m’intéressait !

En disant ces mots, par réflexe pour qu’il me montre ce que j’ai vu et qui m’intéressait, ma main lui saisit la cuisse, tout près de sa verge.
J’ai l’impression qu’une décharge électrique traverse nos corps...

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Texte coquin : COLLECTION BELLE-MÈRE. Les cours d’ordinateur (1/2)
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