COLLECTION BELLE-MÈRE. Les cours d’ordinateur (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BELLE-MÈRE. Les cours d’ordinateur (2/2)
Doctolib, gouv.com, tous maintenant passe par Internet, je suis complètement ignorante de l’utilisation de ces engins modernes.
Avant, c’était Ronald qui s’en servait.
J’ai un portable, je sais tout juste appeler ou répondre après bien des explications de ma fille Odile.
Il me fallait donc apprendre à me servir du portable posé sur une table dans notre chambre.
Jean mon gendre, professeur des écoles, libre les mercredis vient pour la deuxième fois me faire voir comment tout cela fonctionne.
La première fois, il avait tout remis en état et avait même mise en place le wi-fi.
J’ignore comment ça fonctionne, mais ça nous permet de rester dans la salle à manger.
C’est plus pratique que dans la chambre, ça nous aurait été bien utile du vivant de Ronald qui m’empêchait de dormir lorsqu’il le faisait fonctionner.
C’est dans cette deuxième leçon qu’un incitant est survenu.
Jean se servait du mulot, pardon de la souris et me montrait l’usage de la molette.
Les images montaient et descendaient, défilant à grande vitesse.
C’est l’une d’elles qui est la cause du geste qui pourrait être considéré comme déplacé surtout envers mon gendre.
Ma main s’est posée sur sa cuisse pour lui demander de revenir dessus.
Sa cuisse, soyons précis, presque sur sa verge.
Est-ce mon short, très court, ou mes seins qu’il pouvait apercevoir lorsqu’il tournait la tête pour me montrer un point utile de l’utilisation de cet engin de malheur.
• Attention belle-maman, vous me faites bander.
• Tu reprends ton vouvoiement, es-tu mal à l’aise ?
• Non, mais je suis le mari de votre fille !
• Vu ce que j’ai légèrement caressé, elle doit être une femme comblée, acceptes-tu de me la montrer ?
• C’est bien pour te faire plaisir.
Certains diraient que j’avais prémédité mon geste suivi de ma demande, mais je peux le jurer sur la tête de Ronald, tous c’est fait sans que j’aie la moindre envie de tromper ma fille.
Certains diront que Ronald, c’est facile de jurer sur sa tête réduite en cendres comme il est, mais pour moi cela a plus de valeur que de jurer sur la tête d’une personne toujours de ce monde.
En d’autres circonstances, j’aurais juré sur celle d’Odile, c’est la prunelle de mes yeux, mais les âmes chafouines pourraient penser que je le fais pour prendre sa place.
Jean défait sa ceinture, se soulève et me sort un sexe hors du commun, du moins de ceux que j’ai pu voir et comme j’ai été fidèle à Ronald.
Ils se comptent sur les doigts d’une main, dont deux doigts auraient été coupés.
Celle de mon mari, demi-taille en rapport de ce que je vois.
Un inconnu dans la rue en conduisant Odile à la maternel, ça remonte à loin et qui était un exhibitionniste arrêté par la police dans les jours qui ont suivi et maintenant celle de Jean.
Je fais un geste instinctif contre toutes les conventions, je prends le sexe bandé de Jean en main.
Comme le font toutes les femmes mariées, du moins je le pense, j’ai masturbé Ronald, mon pouce recouvrant mes autres doigts, là, je fais le tour sans arriver à le ceinturer.
• Suce salope, tu m’allumes, tu m’éteins, tu promènes ton petit cul tous les dimanches devant moi et chaque fois je bande.
• Oui, traite-moi de salope, mais ma fille ?
• Suce, je te dis, ta fille soit sans crainte je continuerais à la satisfaire.
C’est dans un brouillard très épais que ma bouche s’avance vers ce pieu qui se tend vers moi.
J’ai une grande bouche, certains diront que j’ai une grande gueule, mais j’ai du mal à faire entrer le gland.
Ma main vient au secours de ma langue et je suce mon gendre qui passe sa main me contournant et commençant à me caresser la chatte.
Je mouille littéralement malgré ma petite culotte noire.
Des dessous noirs, j’en porte depuis le jour de mon veuvage, c’est ma façon d’avoir une pensée pour Ronald surtout à ce moment ou pour la première fois je suce la bite d’un autre homme de plus mon gendre.
• Attention, je vais gicler !
• Gicle, comme tu dis, j’adore boire le sperme, attention seulement celui de ton beau-père à ce jour, ta verge est la première verge que je suce depuis qu’il nous a été enlevé par cet accident.
Le goût de celui de Ronald est si lointain que lorsque de longues giclées viennent frapper ma glotte, il m’est impossible de dire si le goût est différent.
• Mado, je dois partir, si je reste plus longtemps, Odile sera rentrée et elle se posera des questions sur le temps que nous avons passé ensemble.
J’ai adoré que tu me suces et que tu avales mon sperme.
• Odile refuse de te le faire, mais je me mêle de choses qui vous regardent, plutôt qui concernent votre couple.
Dimanche, lorsque nous nous retrouverons tous les trois, Rémy est chez sa mère, je te supplie de garder pour toi ce que nous venons de faire !
• Jean, je me vois mal dire à ma fille, « je te présente Jean mon amant, je lui ai fait une fellation mercredi ».
Si tu le veux, je te promets que ce moment que j’ai énormément apprécié, soit le seul dérapage dans mes cours pour apprendre à me servir d’un ordinateur.
Le dimanche se passe, comme on dit au sein de l’armée « rien à signaler, » tout fonctionne sur des roulettes, juste une main sur mes fesses lorsqu’un moment nous avons été seuls.
Arrive le mercredi.
• Mado, ta choucroute est divine, meilleure que celle que nous avons mangée avec Odile lorsque nous avons été à Strasbourg pour le marché de Noël.
Allons voir cet ordinateur s’il fonctionne toujours en wi-fi !
Une heure tranquille, du moins sans mains baladeuses, toujours des regards sur mes seins sous mon débardeur.
J’ai pensé à protéger le bas de mon corps en mettant un jean, mais en oubliant que Jean avait des yeux baladeurs.
• Mado, regarde ce que l’on voit là, c’est l’historique de ce que nous avons regardé.
• On peut voir ce que Ronald avait l’habitude de regarder ou avec qui il conversait lorsqu’il s’isolait dans la salle de bain sous couvert d’éviter la lumière qui me réveillait.
• Oui, allons voir, regarde là, ce sont les sites où nous nous sommes connectés depuis que je te donne des cours.
Le tout dernier avant qu’il te quitte, non, inutile que nous allions sur ce site, tu serais déçu de voir ce que mon beau-papa regardait.
• Je veux voir, ça me permettra de faire mon deuil, je l’ai toujours mis sur un piédestal alors que je comprends qu’il était comme la plupart des hommes.
Jean démarre ce que Ronald regardait avant de me laisser seule.
• C’est bien ce que je pensais lorsque tu as voulu me protéger, la salope, la grosse bite noire, la différence avec toi est vraiment minime.
Tu es aussi bien monté que Mamadou, mon petit Jean !
Ces mots seront ceux qui selleront définitivement mes rapports avec mon gendre.
Jean recule son siège et je viens l’enfourcher sentant immédiatement sa verge tendre son pantalon.
Je glisse une main il est de nouveau dur comme du granite.
Nos bouches se trouvent, on sont les grandes résolutions prises mercredi dernier !
La vue de ce couple copulant a échauffé nos sangs, je sens sa bite ayant autant envie de moi que la première fois, ou est-ce la vue de cette petite pute.
Je parle de « pute », car au début du film ils ont échangé quelques euros.
Mince, Ronald allait-il aux putes lorsqu’il me quittait sous couvert d’aller faire son Tiercé !
Je me soulève, il détache son pantalon pendant que j’en fais de même avec me mien.
Et dire qu’en l’enfilant je pensais me protéger de mes envies de sexes adultérins avec mon gendre.
Il était gros dans ma bouche, il rentre plus facilement dans ma chatte, malgré les mois qu’elle est restée sage jusqu’à ces cours d’ordinateur.
Qu’il fait bon s’empaler sur ce maudit pieu, mais la jouissance que je ressens lorsqu’il touche mon utérus, balaye tous mes scrupules de tromper ma fille.
Nos langues sont si actives que je sens de la bave couler sur mon menton, la sensation est si forte que si Odile surgissait dans ma salle à manger, même elle serait dans l’impossibilité de nous faire arrêter notre coït.
Avec Jean, elle fait l’amour, moi avec lui je participe simplement à une baisse animale.
C’est pantelant accroché à son cou après bien du temps que nous jouissons lui éclatant en moi et moi atteignant le plaisir suprême qu’un amant peut m’apporter.
Je jouis atteinte par l’orgasme me rendant compte que le fumier qui se servait de cet ordinateur était loin de m’apporter autant de plaisir.
Ou se trouve ma fille au moment lu ces gerbes de plaisirs irradient nos deux corps.
Jean est insatiable, je m’attends à ce qu’il débande et me rend ma liberté, mais il me prend sous mes fesses, me soulève comme une poupée de son et m’emmène sir mon canapé.
Dans un premier temps, il se couche sur moi, mais je prends l’initiative, il me libère, nous finissons de nous dénuder, il se rassoit et de nouveau je m’empale.
Combien de fois, ma maison résonne de mes grognements puis de mes cris de plaisir, je l’ignore, ce que je sais, c’est qu’il est temps qu’il rentre près d’Odile lorsque enfin nous sommes repus de sexe et de luxure.
Quel homme, lorsqu’il est parti, me laissant exsangue sur le velours de ce canapé, je comprends mieux pourquoi elle l’a fait divorcer pour se marier avec lui.
Le dimanche suivant arrive.
Mais avant, jeudi comme vendredi puis le samedi, je vais dans l’historique de Ronald voir les pornos qui l’intéressaient.
Il y a de tout, même des hommes qui s’enculent, une vision nouvelle s’ouvre à moi, Ronald le cul en l’air se faisant défoncer par un sexe démesuré comme celui de Jean.
Je me demande ce que mon anus ressentirait si mercredi prochain je lui demande de m’enculer.
C’est vrai, nous nous sommes promis que cette fois, si bien réussie ce serait la seule et unique fois où nous avons été jusqu’à baiser.
De façon plus pragmatique, je découvre la commande en ligne, petites culottes blanches, roses ou bleu qui me sont livrées le lendemain en colis exprès.
Le dimanche matin par chance avant l’arrivée des enfants, je leur ai préparé un bœuf bourguignon, un jeune transporteur me livre un gode de bonne taille.
Je suis à deux doigts de l’essayer, ma cuisine est prioritaire, on verra ce soir si c’est aussi efficace que la verge de Jean.
Lorsqu’elle arrive, Odile est radieuse, ça me rassure, surtout lorsque étant seule avec elle, elle me lâche.
• Maman, Jean m’a dit que vous aviez bien avancé afin que tu saches te servir d’un ordinateur.
J’ai une chose à te demander, il va regretté tes petits plats, acceptes-tu qu’il continue à venir les mercredis manger avec toi ?
• Je te sens radieuse ma chérie, les choses semblent bien aller pour toi !
• Tu sais la pudeur que j’ai à parler de sexe, maman depuis qu’il vient chez toi, j’ai retrouvé l’homme que j’ai épousé et qui savait me rendre toute chose.
Maman, j’aimerais savoir cuisiner comme toi, dimanche prochain, j’aimerais venir plus tôt pour apprendre à cuisiner comme toi.
• Bien sûr ma fille, je t’apprendrais toutes ces choses qui savent retenir un homme dans son lit.
Là, je vais un peu loin, Ronald adorait ma cuisine et pourtant il allait se faire enculer ailleurs.
La petite famille est partie, je me connecte, « Escorte boys ».
C’est l’un des sites où Ronald se connectait.
Les godes c’est sympa, les queues c’est mieux.
• Marc, serais-tu disponible pour venir satisfaire une vieille dame ? »
Avant, c’était Ronald qui s’en servait.
J’ai un portable, je sais tout juste appeler ou répondre après bien des explications de ma fille Odile.
Il me fallait donc apprendre à me servir du portable posé sur une table dans notre chambre.
Jean mon gendre, professeur des écoles, libre les mercredis vient pour la deuxième fois me faire voir comment tout cela fonctionne.
La première fois, il avait tout remis en état et avait même mise en place le wi-fi.
J’ignore comment ça fonctionne, mais ça nous permet de rester dans la salle à manger.
C’est plus pratique que dans la chambre, ça nous aurait été bien utile du vivant de Ronald qui m’empêchait de dormir lorsqu’il le faisait fonctionner.
C’est dans cette deuxième leçon qu’un incitant est survenu.
Jean se servait du mulot, pardon de la souris et me montrait l’usage de la molette.
Les images montaient et descendaient, défilant à grande vitesse.
C’est l’une d’elles qui est la cause du geste qui pourrait être considéré comme déplacé surtout envers mon gendre.
Ma main s’est posée sur sa cuisse pour lui demander de revenir dessus.
Sa cuisse, soyons précis, presque sur sa verge.
Est-ce mon short, très court, ou mes seins qu’il pouvait apercevoir lorsqu’il tournait la tête pour me montrer un point utile de l’utilisation de cet engin de malheur.
• Attention belle-maman, vous me faites bander.
• Tu reprends ton vouvoiement, es-tu mal à l’aise ?
• Non, mais je suis le mari de votre fille !
• Vu ce que j’ai légèrement caressé, elle doit être une femme comblée, acceptes-tu de me la montrer ?
• C’est bien pour te faire plaisir.
Certains diraient que j’avais prémédité mon geste suivi de ma demande, mais je peux le jurer sur la tête de Ronald, tous c’est fait sans que j’aie la moindre envie de tromper ma fille.
Certains diront que Ronald, c’est facile de jurer sur sa tête réduite en cendres comme il est, mais pour moi cela a plus de valeur que de jurer sur la tête d’une personne toujours de ce monde.
En d’autres circonstances, j’aurais juré sur celle d’Odile, c’est la prunelle de mes yeux, mais les âmes chafouines pourraient penser que je le fais pour prendre sa place.
Jean défait sa ceinture, se soulève et me sort un sexe hors du commun, du moins de ceux que j’ai pu voir et comme j’ai été fidèle à Ronald.
Ils se comptent sur les doigts d’une main, dont deux doigts auraient été coupés.
Celle de mon mari, demi-taille en rapport de ce que je vois.
Un inconnu dans la rue en conduisant Odile à la maternel, ça remonte à loin et qui était un exhibitionniste arrêté par la police dans les jours qui ont suivi et maintenant celle de Jean.
Je fais un geste instinctif contre toutes les conventions, je prends le sexe bandé de Jean en main.
Comme le font toutes les femmes mariées, du moins je le pense, j’ai masturbé Ronald, mon pouce recouvrant mes autres doigts, là, je fais le tour sans arriver à le ceinturer.
• Suce salope, tu m’allumes, tu m’éteins, tu promènes ton petit cul tous les dimanches devant moi et chaque fois je bande.
• Oui, traite-moi de salope, mais ma fille ?
• Suce, je te dis, ta fille soit sans crainte je continuerais à la satisfaire.
C’est dans un brouillard très épais que ma bouche s’avance vers ce pieu qui se tend vers moi.
J’ai une grande bouche, certains diront que j’ai une grande gueule, mais j’ai du mal à faire entrer le gland.
Ma main vient au secours de ma langue et je suce mon gendre qui passe sa main me contournant et commençant à me caresser la chatte.
Je mouille littéralement malgré ma petite culotte noire.
Des dessous noirs, j’en porte depuis le jour de mon veuvage, c’est ma façon d’avoir une pensée pour Ronald surtout à ce moment ou pour la première fois je suce la bite d’un autre homme de plus mon gendre.
• Attention, je vais gicler !
• Gicle, comme tu dis, j’adore boire le sperme, attention seulement celui de ton beau-père à ce jour, ta verge est la première verge que je suce depuis qu’il nous a été enlevé par cet accident.
Le goût de celui de Ronald est si lointain que lorsque de longues giclées viennent frapper ma glotte, il m’est impossible de dire si le goût est différent.
• Mado, je dois partir, si je reste plus longtemps, Odile sera rentrée et elle se posera des questions sur le temps que nous avons passé ensemble.
J’ai adoré que tu me suces et que tu avales mon sperme.
• Odile refuse de te le faire, mais je me mêle de choses qui vous regardent, plutôt qui concernent votre couple.
Dimanche, lorsque nous nous retrouverons tous les trois, Rémy est chez sa mère, je te supplie de garder pour toi ce que nous venons de faire !
• Jean, je me vois mal dire à ma fille, « je te présente Jean mon amant, je lui ai fait une fellation mercredi ».
Si tu le veux, je te promets que ce moment que j’ai énormément apprécié, soit le seul dérapage dans mes cours pour apprendre à me servir d’un ordinateur.
Le dimanche se passe, comme on dit au sein de l’armée « rien à signaler, » tout fonctionne sur des roulettes, juste une main sur mes fesses lorsqu’un moment nous avons été seuls.
Arrive le mercredi.
• Mado, ta choucroute est divine, meilleure que celle que nous avons mangée avec Odile lorsque nous avons été à Strasbourg pour le marché de Noël.
Allons voir cet ordinateur s’il fonctionne toujours en wi-fi !
Une heure tranquille, du moins sans mains baladeuses, toujours des regards sur mes seins sous mon débardeur.
J’ai pensé à protéger le bas de mon corps en mettant un jean, mais en oubliant que Jean avait des yeux baladeurs.
• Mado, regarde ce que l’on voit là, c’est l’historique de ce que nous avons regardé.
• On peut voir ce que Ronald avait l’habitude de regarder ou avec qui il conversait lorsqu’il s’isolait dans la salle de bain sous couvert d’éviter la lumière qui me réveillait.
• Oui, allons voir, regarde là, ce sont les sites où nous nous sommes connectés depuis que je te donne des cours.
Le tout dernier avant qu’il te quitte, non, inutile que nous allions sur ce site, tu serais déçu de voir ce que mon beau-papa regardait.
• Je veux voir, ça me permettra de faire mon deuil, je l’ai toujours mis sur un piédestal alors que je comprends qu’il était comme la plupart des hommes.
Jean démarre ce que Ronald regardait avant de me laisser seule.
• C’est bien ce que je pensais lorsque tu as voulu me protéger, la salope, la grosse bite noire, la différence avec toi est vraiment minime.
Tu es aussi bien monté que Mamadou, mon petit Jean !
Ces mots seront ceux qui selleront définitivement mes rapports avec mon gendre.
Jean recule son siège et je viens l’enfourcher sentant immédiatement sa verge tendre son pantalon.
Je glisse une main il est de nouveau dur comme du granite.
Nos bouches se trouvent, on sont les grandes résolutions prises mercredi dernier !
La vue de ce couple copulant a échauffé nos sangs, je sens sa bite ayant autant envie de moi que la première fois, ou est-ce la vue de cette petite pute.
Je parle de « pute », car au début du film ils ont échangé quelques euros.
Mince, Ronald allait-il aux putes lorsqu’il me quittait sous couvert d’aller faire son Tiercé !
Je me soulève, il détache son pantalon pendant que j’en fais de même avec me mien.
Et dire qu’en l’enfilant je pensais me protéger de mes envies de sexes adultérins avec mon gendre.
Il était gros dans ma bouche, il rentre plus facilement dans ma chatte, malgré les mois qu’elle est restée sage jusqu’à ces cours d’ordinateur.
Qu’il fait bon s’empaler sur ce maudit pieu, mais la jouissance que je ressens lorsqu’il touche mon utérus, balaye tous mes scrupules de tromper ma fille.
Nos langues sont si actives que je sens de la bave couler sur mon menton, la sensation est si forte que si Odile surgissait dans ma salle à manger, même elle serait dans l’impossibilité de nous faire arrêter notre coït.
Avec Jean, elle fait l’amour, moi avec lui je participe simplement à une baisse animale.
C’est pantelant accroché à son cou après bien du temps que nous jouissons lui éclatant en moi et moi atteignant le plaisir suprême qu’un amant peut m’apporter.
Je jouis atteinte par l’orgasme me rendant compte que le fumier qui se servait de cet ordinateur était loin de m’apporter autant de plaisir.
Ou se trouve ma fille au moment lu ces gerbes de plaisirs irradient nos deux corps.
Jean est insatiable, je m’attends à ce qu’il débande et me rend ma liberté, mais il me prend sous mes fesses, me soulève comme une poupée de son et m’emmène sir mon canapé.
Dans un premier temps, il se couche sur moi, mais je prends l’initiative, il me libère, nous finissons de nous dénuder, il se rassoit et de nouveau je m’empale.
Combien de fois, ma maison résonne de mes grognements puis de mes cris de plaisir, je l’ignore, ce que je sais, c’est qu’il est temps qu’il rentre près d’Odile lorsque enfin nous sommes repus de sexe et de luxure.
Quel homme, lorsqu’il est parti, me laissant exsangue sur le velours de ce canapé, je comprends mieux pourquoi elle l’a fait divorcer pour se marier avec lui.
Le dimanche suivant arrive.
Mais avant, jeudi comme vendredi puis le samedi, je vais dans l’historique de Ronald voir les pornos qui l’intéressaient.
Il y a de tout, même des hommes qui s’enculent, une vision nouvelle s’ouvre à moi, Ronald le cul en l’air se faisant défoncer par un sexe démesuré comme celui de Jean.
Je me demande ce que mon anus ressentirait si mercredi prochain je lui demande de m’enculer.
C’est vrai, nous nous sommes promis que cette fois, si bien réussie ce serait la seule et unique fois où nous avons été jusqu’à baiser.
De façon plus pragmatique, je découvre la commande en ligne, petites culottes blanches, roses ou bleu qui me sont livrées le lendemain en colis exprès.
Le dimanche matin par chance avant l’arrivée des enfants, je leur ai préparé un bœuf bourguignon, un jeune transporteur me livre un gode de bonne taille.
Je suis à deux doigts de l’essayer, ma cuisine est prioritaire, on verra ce soir si c’est aussi efficace que la verge de Jean.
Lorsqu’elle arrive, Odile est radieuse, ça me rassure, surtout lorsque étant seule avec elle, elle me lâche.
• Maman, Jean m’a dit que vous aviez bien avancé afin que tu saches te servir d’un ordinateur.
J’ai une chose à te demander, il va regretté tes petits plats, acceptes-tu qu’il continue à venir les mercredis manger avec toi ?
• Je te sens radieuse ma chérie, les choses semblent bien aller pour toi !
• Tu sais la pudeur que j’ai à parler de sexe, maman depuis qu’il vient chez toi, j’ai retrouvé l’homme que j’ai épousé et qui savait me rendre toute chose.
Maman, j’aimerais savoir cuisiner comme toi, dimanche prochain, j’aimerais venir plus tôt pour apprendre à cuisiner comme toi.
• Bien sûr ma fille, je t’apprendrais toutes ces choses qui savent retenir un homme dans son lit.
Là, je vais un peu loin, Ronald adorait ma cuisine et pourtant il allait se faire enculer ailleurs.
La petite famille est partie, je me connecte, « Escorte boys ».
C’est l’un des sites où Ronald se connectait.
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