COLLECTION BELLE-MÈRE. Notre salope de belle-mère (2/3) - histoire érotique

Notre père nous apprend qu’il a rencontré une jeune femme et qu’ils vont se marier.
La salope, Anaïs va devenir notre nouvelle maman, même si papa s’en défend.
Rapidement la réalité se fait jour pour le club des trois.
Club qui nous avons créés dans notre petite jeunesse avec Salomé et Alain, mes frères et sœurs, nous sommes des triplés.
Papa, nous la présente et souhaite que nous fassions plus ample connaissance.
Son envie de cohésion familiale va plus loin que tout ce qu’il aurait pu escompter.

Anaïs dans une autre vie se faisant appeler Jennifer, montre son vrai visage.
Elle a des vues sur l’argent de papa, donc, notre argent.
Après une enquête par Louis, un copain de bahut qui après avoir loupé son bac est entré dans une agence de détectives privés, nous l’avons engagé afin qu’il fasse des recherches.
De ces renseignements, il en ressort que notre future belle-mère faisait la pute à Lille et surtout était spécialiste dans les rapports entre femmes.
Salomé ayant les mêmes penchants, nous l’envoyons en mission dans la boutique de notre ennemie afin de contrôler qu’Anaïs est bien Jennifer.

• Regarde, elle ressort, elle a un sac à la main, elle a dû lui acheter une robe, bingo, regarde, Anaïs l’accompagne et lui caresse la joue.
J’ai cru qu’elles allaient se rouler une pelle.

Nous la voyons revenir vers nous, elle semble être toute guillerette.
Elle monte à notre côté, dans le mouvement, son décolleté me permet de plonger mon regard profondément.
Dommage que ce soit ma sœur, j’aimerais bien me faire dépuceler par une femme ayant un aussi joli petit cul.

• Alors, dis-nous !
• C’en est une, elle a été rapide à comprendre ce que je cherchais.
En arrivant, j’ai vu son étonnement après ce qu’elle m’avait fait subir.
Je lui ai dit que je venais m’excuser d’avoir été méchante avec elle, j’ai même pleuré.
• Vous, les filles vous êtes des championnes pour monter vos plans, vous savez vous servir de vos émotions.
• Tu as raison, au début, elle était circonspecte, elle a cru à un piège.
Je l’ai amadoué en lui demandant de taire à papa mes penchants lesbiens, il l’apprendrait bien assez tôt.
Elle a semblé ému que j’en fasse ma complice, je l’ai ferré lorsque je lui ai demandé à me choisir une robe que je souhaitais porter le jour de son mariage avec papa.
J’ai ajouté que mon revirement envers elle, c’était pour lui, je voulais son bonheur.
J’ai vu que j’étais sur le bon chemin à son regard, il se portait sur ma poitrine.
J’avais pris soin sans vous le dire de mettre mes attributs en avant.
Je vais vous faire une confidence, c’est grâce à eux que j’ai séduit Éloise. Les femmes craquent souvent sur les seins ou les culs des autres filles.
Elle en fait partie, son regard s’est adouci.
Elle m’a caressé la joue avant de m’emmener vers le rayon ou d’après elle, elle avait un petit modèle craquant qui m’irait à ravir.
Je me suis dirigé vers les cabines, là encore elle m’a accompagné.
Sans hésiter, j’ai enlevé mon chemisier et ma jupe, j’étais avec mes bas, mon porte-jarretelle et mon soutien-gorge.
Arrêtez de me regarder comme ça, espèce de vicieux, j’espère qu’un viol sur votre sœur est loin d’être au programme.
• Soeurette, tu racontes si bien, nous restons des hommes, nous étions en plein dans la scène, mais tu peux être tranquille, nous restons le club des trois.
Après, raconte.
• J’ai simulé un problème d’attache de soutien-gorge.
Elle a ouvert le rideau, elle a essayé de régler le problème, ça a été dur, j’avais trafiqué l’attache pour en arriver où je le voulais.
• Elle t’a caressé les seins !
• Mieux, elle m’a retourné, sans lâcher mon droit et nous nous sommes embrassées.
À ce point de mon histoire, deux points m’ont intrigué, persuadé d’aimer Éloise, j’étais sûr qu’elle serait la seule.
• Comment veux-tu que nos queues restent sages, tu y mets même les intonations, devant une autre que notre sœur je me masturberais
• J’ai pris conscience que je trompais ma copine, mais je vais vous paraître un peu salope.
Je me suis dit qu’il serait bête, de laisser passer ce moment et que mon truc, c’était bien les femmes.
J’aurais voulu aller plus loin, mais après qu’elle m’eut passé sa main sur la chatte, elle m’a repoussé de peur de voir entrer quelqu’un et en parle à papa.
• Alors c’est foutu, elle veut en rester là.
• Pas folle la guêpe, je viens de vous dire que vous m’avez fait découvrir la salope qui sommeille en moi.
Je lui ai dit que j’avais envie d’elle, la regardant droit dans les yeux.
Lundi prochain, jour de fermeture de sa boutique, elle va me rejoindre dans ma chambre.
Pas folle la guêpe, elle sait que tous les lundis papa a son conseil d’administration et est retenu à notre société.
Alain, je compte sur toi pour emmener Éloise, je veux connaître d’autres plaisirs, mais en gardant son amour.
Serge, ce sera toi qui te chargeras des photos.
Tu te cacheras dans le placard face à mon lit, merde, tu vas voir ta sœur se faire baiser.
• Si tu y arrives, je te promets que toi aussi tu feras des photos, mais ce sera pour ma collection personnelle.
Avant il nous faut mettre notre plan à exécution.
Qu’as-tu dans ton sac !
• La robe, elle me l’a offerte et un nouveau soutien-gorge.
J’avais tellement bidouillé la fermeture qu’il a fallu qu’elle prenne des ciseaux pour le couper.
Tout compte fait, elle est bien notre future belle-mère.
• Salomé !
• Je rigole les frangins, un pour tous !
• Tous pour trois.

Tous pour trois dits par nos deux voix à Alain et à moi.
C’est notre cri de ralliement, jusqu’au lundi aucun problème, pas un mot plus haut que l’autre.
Nous faisons tout pour éviter les conflits, papa étant aux anges.
Comme prévu papa part à l’entreprise après un baiser qui nous fait mal à l’usurpatrice.

• Je vous laisse, j’ai rendez-vous avec une copine pour l’après-midi, salut Anaïs à ce soir.
• Bon après-midi Serge, j’espère que tu as des capotes.
• Triple épaisseur, pire qu’un caleçon blindé.

Faux cul, jusqu’au bout, je claque la porte du manoir et je monte me placer comme prévu dans mon placard.
J’entends la voix d’Alain un peu feutrée et la porte du manoir une nouvelle fois claquer.
Quel con, j’aurais dû le mettre dans le placard et aller rencontrer Éloise.
Toujours de façon sourde, j’entends la voix des deux femmes se rapprocher, quelques secondes et elles arrivent dans la chambre se tenant par la taille.

• Non, pas ta chambre, ma chérie, allons dans ma chambre.

C’est la cata, je fais deux photos par la porte du placard qui a des fentes.
Deux femmes discutant c’est très compromettant.
C’est sans compter la présence d’esprit de celle qui sans en avoir l’air d’y toucher est devenue le fer de lance de notre trio.

• Anaïs, je te veux, je veux que tu me fasses découvrir les vrais amours féminins, mais dans ma chambre de jeunes filles.
Dans ta chambre, c’est aussi celle de papa, j’aurais l’impression de commettre un inceste.

Je vois avancer Anaïs vers moi.

• Tu as raison, mais dis-moi, avec ta copine, vous coucher ensemble certaines nuits.
Jamais d’attouchement.
Avant de comprendre la jeune femme que tu es, j’avais des vues sur elle, après ce que l’on m’avait appris.
Mais maintenant je pense qu’elle est trop jeune pour m’apporter ce que tu vas m’apporter.
• Voyons voir ces vêtements, voyons si tu as bon goût.

C’est foutu si elle ouvre la porte et me voit, le piège se retournera contre nous, elle est capable de trouver une explication pour s’en sortir les cuisses propres.

• Anaïs, je t’en supplie viens dans mes bras, j’ai un peu d’appréhension, je suis capable de partir en courant.

Ouf, elle fait demi-tour, sans le réflexe de ma sœur, notre stratégie tombait à l’eau.

• Tu as raison, ta chambre, ton lit de jeune fille, pour faire de toi ma petite maîtresse servile chaque fois que ton père aura le dos tourné.
Je sens que cette nouvelle situation que tu me proposes me permettra de passer de bons moments en attendant la suite.

Quelle salope, elle se croit invulnérable et ses instincts lesbiens semblent l’emporter sur toutes prudences qu’elle aurait dû avoir pour réussir son plan afin de capter notre héritage.
Au moment, ou les deux femmes roulent sur le petit lit, c’est moi qui ai un instant de panique.
Certes, j’ai déjà vu ma sœur nue, mais se gouinant avec une autre femme, c’est une tout autre situation.
Dans ma tête, je me dis en boucle en déclenchant mon appareil les yeux fermés, un pour tous, tous pour trois.

C’est à ce moment que la porte de la chambre de Salomé a claqué, tapant dans mon placard.
Un grand cri a traversé la chambre...