COLLECTION BELLE-MÈRE. Notre salope de belle-mère (3/3) - histoire érotique

Avec mon frère Alain et ma sœur Salomé nous formons depuis notre plus jeune âge, le club des trois.
Il y a peu, notre vie harmonieuse grâce à papa qui a su compenser la perte de maman emportée par la maladie en s’occupant de nous autant qu’il le pouvait en dirigeant l’entreprise familiale a été bouleversée par une intruse.
Anaïs, une jolie jeune femme qui a su séduire notre père au point qu’il envisage de l’épouser.
Dès notre première rencontre voulant assoir son autorité sur nous trois, elle nous montre son vrai visage.
Une salope qui a séduit papa pour lui voler ses biens, nos biens.
Hélas, pour elle, nous sommes le club des trois et nous avons des ressources.
Il nous faut lui ouvrir les yeux sur la pute qu’elle est ou qu’elle a été.
Une pute lesbienne que Louis un copain d’enfance travaillant dans une agence de détectives nous apporte sur un plateau.
Aussi en bon trio que nous formons nous décidons d’ouvrir les yeux à papa.
Je me cache dans la penderie de la chambre de Salomé chargé de l’amener à se gouiner avec celle qui aspire à devenir notre belle-mère.
Notre plan marche à merveille, les deux femmes sont sur le lit de jeune fille de ma sœur et je commence à faire des photos quand un grand cri et le porte qui claque bouleverse notre plan.

• Alors, s’était vraie Anaïs, tu es une pute lesbienne et tu oses t’en prendre à ma fille par-dessus le marché.
Va faire ta valise et quitte ma maison immédiatement.
Quant à toi, Salomé, rhabille-toi et attend moi, je fiche cette salope dehors et je viens te dire deux mots.

La porte se referme en claquant, sur son lit Salomé tombé en pleurs, je sors de mon placard et je la prends dans mes bras pour la consoler.
Comment papa a su ce que nous avions découvert et monter ce scénario pour lui ouvrir les yeux ?
Le temps passe et papa revient me découvrant près de ma sœur.

• Qu’est-ce que c’est que tout ce bordel, toi aussi tu es de la partie, j’aimerais que l’on m’explique ?
• Non, toi papa, comment se fait-il que tu es là, le lundi matin tu as ton conseil d’administration.
• J’allais lis rendre lorsqu’un coursier m’a apporté une enveloppe.
À l’intérieur il y avait une photo la tête floutée.
Une lettre tapée à la machine me donnait un numéro pour savoir qui était cette personne ressemblant à Anaïs et que je devais demander Jennifer.
J’ai appelé et fais comme on me le demandait.
Une femme m’a répondu que Jennifer avait quitté la prostitution et avait décidé d’ouvrir une boutique de vêtements pour femmes.
Elle a ajouté que si elle avait encore exercé, j’aurais certainement été recallé, car Jennifer se prostituait exclusivement avec des femmes.
La lettre se terminait en me prévenant que celle que j’allais épouser me bernait et que c’était mon argent le but de sa manœuvre.
Je suis venu demander des explications et déjà si c’était vrai et je trouve ma fille dans ses bras dénudés.
• Papa, je vais t’expliquer, je sais qui a pu t’envoyer cette lettre et pourquoi j’étais caché à l’intérieur de la penderie de Salomé pour faire des photos pour t’ouvrir les yeux sur la salope que tu t’apprêtais à épouser.
L’autre jour quand tu nous as quittés pour qu’elle fasse connaissance avec nous, par chance, elle s’est dévoilée, voulant nous mettre au pas.

J’explique à papa l’embauche de Louis qui l’a certainement prévenu pensant bien faire et le rôle que chacun de nous avons décidé de jouer.

• Papa, tu sais, j’ai accepté ce rôle avec Anaïs, car depuis longtemps je voulais te dire quelque chose.
• Tu voulais me dire que toi aussi tu aimais les femmes, mais il y a bien longtemps que je le sais, dès les premières fois où Éloise est venue à la maison.
Au regard que vous portiez l’une pour l’autre, avant vous je savais que tu étais comme ta maman avant notre mariage.

C’est à ce moment que nous découvrons que maman était une lesbienne avant de connaître, papa et qu’elle lui offre des triplés.

• Et dans tout ça, ou est votre frère ?
Je sais pour vous avoir observé, que le club des trois se réunissant dans la cabane que je vous ai construite dans les arbres au fond du jardin agisse toujours ensemble devant un problème.
Tous pour un, un pour trois, or vous êtes deux, c’est inhabituel.
• Je suis là papa et j’ai mal à mon œil.
• Qui t’a fait cet œil au beurre noir Alain ?
• Ta copine Salomé, une vraie furie, mais dit moi, papa, pourquoi es-tu là et pourquoi Anaïs est absente.

Inutile de refaire toute l’histoire, mais c’est Alain qui nous donne des explications.

• Mon rôle était de retarder Éloise, dès que j’ai été chez elle, j’ai tout fait pour la retenir pendant qu’ils faisaient des photos.
Mais elle a voulu te rejoindre, j’ai essayé de la retenir, mais elle m’a décroché un coup de poing dans l’œil.
Je crois que je l’ai fâché.

Le con, je disais que si c’était moi qui avais été retardé Éloise, je me la serais bien sauté, si ça avait été le cas, ce serait moi qui aurais récupéré un œil au beurre noir.

Tout ce calme rapidement, papa fait le nécessaire auprès d’Éloise pour la calmer contre ma sœur.
Aujourd’hui dimanche, il a invité Louis qui a voulu lui ouvrir les yeux en ami qu’il était pour nous.
Éloise est là aussi.
C’est moi qui me retrouve comme un con, l’idée saugrenue qui m’avait traversé l’esprit concernant Alain et les hommes, me revient en plein visage.
Si Louis a prévenu mon père, c’est pour mieux tenir la main de mon frère.
Ma sœur est une bouffeuse de chatte, lui est un suceur de bite voulant ignorer qui de l’un ou de l’autre fait la femme.
À moins qu’à tour de rôle, l’un fasse l’une puis la fois d’après ils inversent leur position.
Nous nous promenons dans le parc, moi seul comme un con lorsque je propose de rejoindre notre cabane, je veux que le club des cinq se réunisse.

• Si j’ai voulu vous parler, c’est à cause de notre papa.
S’il avait accepté d’épouser cette pute, c’est qu’enfin il avait fait son deuil de notre mère.
Combien de fois l’avons-nous souhaité sans jamais osé influencer sa vie.
Je crois qu’après ce qui s’est passé et vos copains et copines qui sans sourciller, il les a acceptés, lui aussi a le droit de finir sa vie en connaissant le bonheur.
Il nous faut lui trouver une jeune femme que Louis aura pour tâche de nous dire, si elle a des travers cachés.
• Tu as raison Serge, même aujourd’hui en bous recevant tous, il essaye de montrer qu’il est un homme serein et apaisé, mais j’ai bien vu qu’il retournait vers sa solitude.
Inutile que Louis cherche à apprendre si celle que je vais vous proposer est une femme parfaite, je la connais bien.
• Salomé, grâce a ton père, je t’ai pardonné d’être à deux doigts de me tromper avec celle qui voulait être votre belle-mère.
Mais si tu connais une femme parfaite autre que moi, je vais lui arracher les yeux.
• Mais ma chérie, tu la connais autant que moi, c’est ensemble que nous nous faisons faire le tablier tous les mois afin d’être toujours, parfaite l’une pour l’autre.
• A oui, Véronique notre esthéticienne, c’est vrai qu’elle serait parfaite pour beau-papa, excuse d’avoir douté de toi.
• Je peux vous demander quelque chose !
« Faire le tablier, » qu’est-ce que cela veut dire ?
• Mon cœur, pour les filles s’est se faire raser la chatte, comme nous lorsque nous nous rasons les couilles, elles se font enlever les poils.

Louis a raison, à un détail près, j’ai pu voir les quelques photos de Salomé et Anaïs avant que papa vienne nous surprendre.
La pute était entièrement rasée, Salomé garde une petite touffe très sympathique comme j’aimerais que ma femme un jour en garde une.
Savoir qu’Alain se fait raser me gêne un peu plus.

• Véronique nous parle souvent de sa vie et comment elle se sent seule avec son fils Elvis, son père étant fan du chanteur de Memphis, il a 12 ans.
Son père les a abandonnés, mais c’est aussi bien, il les frappait.
• Ça nous fera un autre petit frère, mais comment pensez-vous que nous arrivions à les faire se rencontrer ?
• C’est à votre tour les garçons, vous allez donne de votre personne, elle nous a dit qu’Elvis joue au foot dans notre club local comme vous.
Elle l’accompagne toutes les fois, à vous de faire venir, papa, nous tous seront là samedi prochain.

Ce samedi, c’est le tournoi annuel avec une saucisse, frites à la fin de la journée.
Apéro pour les parents bien sûr.
Nous jouons en U19, Alain, Louis et moi, c’est nous qui arbitrons toutes ces catégories de jeunes.
Papa est sponsor du club et de notre équipe pour les maillots, il est invité à ce titre.
J’ai de nombreux copains à la table de marque calculant les points ou les classements, tous les trois, nous relayons pour arbitrer.
Éloise et Salomé suivi par papa se sont rapprochés de Véronique.
Je suis là lorsqu’elles font semblant de la remarquer et de se mettre à discuter ensemble.

• Véronique veux-tu m’épouser, pour le meilleur ou pour le pire jusqu’à ce que la mort nous sépare.
• Oui, papa, je le veux et toi papa, veux-tu m’épouser ?

J’écris papa lors de leur mariage, car depuis le début Serge et les protagonistes ont toujours dit « papa ».
Et Serge me direz-vous, il finit seul lors du mariage de son papa et de sa gentille belle-mère.
Soyez sans crainte, pour le mariage, il a comme cavalière une petite-nièce de Véronique, blonde de 18 ans.
Connaissant le garçon qu’il est, nul doute qu’avant la fin de la soirée, il est été vérifié que sa cavalière a bien encore sa toison, les blondes se faisant rarement raser.

Un dernier point, il vient de me dire que malgré tous ces bouleversements le club des trois sera toujours « un pour tous et tous pour trois ! »