COLLECTION BELLE-MÈRE. Succession du duc de Radford (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BELLE-MÈRE. Succession du duc de Radford (1/2)
• Marie, je vous ai choisi pour épouser mon fils après bien des recherches.
Épouser mon fils Louis Duc de Radford est un grand honneur.
Devenir vous-même Duchesse à 19 ans, votre père l’a bien compris après la propriété que nous lui avons octroyée non loin de Bordeaux.
Il va sans le dire que des petites gens comme vos parents ont très bien compris la situation et qu’ils ont signé en votre nom le contrat de mariage.
Cette propriété et tous les revenus afférents leur seraient ôtés si vous veniez à quitter mon fils ou à divulguer ce que serait votre nuit de noces.
Duchesse, je suis Duchesse depuis quelques minutes.
Savoir mes parents hors du besoin jusqu’à leur mort, je suis prêt à tous les sacrifices dans ma nuit de noces pour être bienveillant pour eux.
• Ma chère, malgré notre différence d’âge, je souhaits vous épousez pour que vous me donniez un fils comme il est de tradition depuis la révolution dans notre famille.
Certes, à cette période trouble où le boulanger du village a pris la place de nos ancêtres, chaque génération un petit Duc est né.
Nul fête, mais tout de même mes parents et les valets de mon mari au nombre de cinq lors de la cérémonie.
Même ma belle-mère Jeanne la Duchesse douairière est absente, je pense que pour elle après m’avoir reçu, elle avait fini son travail et que c’était à moi de respecter le pacte avec mes parents.
J’aime mon père et surtout ma maman qui m’ont élevé dans le respect que je devrais à mon mari, même si j’ignorais que cela viendrait si vite.
Je viens de rejoindre ma chambre, car je sais déjà que je ferais chambre à part avec mon mari, belle maman m’en a parlé.
Je pense qu’à 45 ans, mon mari doit ronfler et veut m’éviter des insomnies.
La servante qui m’a été présentée, sourde et muette m’aide à revêtir la robe de nuit tradition de la famille que ma belle-mère a portée et que je transmettrais à ma belle-fille le jour où mon fils épousera la duchesse suivante.
Mon mari arrive, lui aussi avec la même chemise de nuit.
Ce qui est bizarre, c’est qu’il est suivi par ses cinq valets.
• Marie, je vais vous dire et vous faire voir pourquoi ces mystères et la présence de mes cinq valets tout au long de la journée et maintenant dans cette chambre.
Voyez, ce fauteuil, je vais m’y installer.
Je vais vous montrer pourquoi j’ai tardé à prendre femme.
Il fallait à ma mère, le temps de trouver une jeune fille pure comme vous et que votre père a été assez cupide pour accepter sans poser aucune question la propriété qui va les rendre riches.
Un instant j’ai l’impression d’être une bête de concours que mon père aurait vendue pour sa jolie croupe.
• Ma tendre, regarder ce qui me pose problème.
Le duc soulève sa robe jusqu’à son sexe.
Il a pris tellement de précaution oratoire que même si je suis vierge, je sais ce qu’est un sexe d’homme.
Je m’attends à voir une chose éléphantesque qui aurait pu me faire reculer.
Rien.
J’ai bien dit, rien.
Aucune verge, aucun vagin, juste un trou.
• Je suis né avec une déforation de mes parties génitales.
Je peux dire un manque complet de partie génitale mâle ou femelle.
J’ai seulement un orifice urétral reliant ma vessie à la sortie de mon corps.
• Il vous est impossible d’avoir des enfants !
• Exact, c’est ce qui a fait que j’arrive, seul, à mon âge.
• Je parie que c’est votre mère qui a voulu que vous preniez femme !
• Oui, et c’est pour cela que mes cinq serviteurs sont là.
Je les ai choisis avec soin.
La rétribution que nous leur céderont à la naissance d’un garçon, assujéti au contrat qu’ils ont signé de garder à jamais ce qu’ils ont vu et ce qu’ils vont faire, nous garanties que ce fils nous appartiendra.
Mon premier valet assurera notre nuit de noce.
Je resterais dans ce fauteuil et ainsi c’est moi qui serais en vous.
• Pourquoi cinq valets ?
• Chaque soir l’un d’eux viendra vous honorer et ainsi nous ignorerons qui vous aura engrossé.
Ce fils que vous aurez sera pleinement notre fils.
J’ai envie de partir en courant, mais la vision de mes parents dans leur misère s’ils perdent leurs domaines bordelais, me fait accepter la situation.
• Et si c’est une fille !
• Elle rejoindra une congrégation de bonne sœur qui élève les filles de nobles dans des situations similaires,Elles l’élèveront en vue de devenir nones elles-mêmes et ce jusqu’au premier garçon.
J’aurais dû me révolter là encore, mais les mêmes images de misère de mes parents m’en empêchent.
• Alors, je suis prête à vous satisfaire.
• Premier Valet assurez votre travail de dépucelage.
Pour cette première nuit, impossible de donner mon sentiment, la douleur a été vive.
Mon mari nous regardant, j’ai écarté mes cuisses pour que le garçon me pénètre.
Quand il me quitte, j’ai déjà la chatte remplie de sperme.
Le lendemain, après avoir été choyée toute la journée par ma belle-mère qui habite dans ses appartements de ce castel avec tour du centre de la France, le tour de valet numéro 2 entre en lice.
Il me veut en levrette, mon mari revenu dans son fauteuil accepte.
C’est la première fois que j’ai un léger frisson à sa pénétration.
Les restes de mon dépucelage doivent y être encore pour quelques choses.
Le numéro 3, beau gosse bien bronzé.
Comme le 2e, petits frissons au départ et plénitude des sens, j’explose sous sa grosse queue en des mirades d’étincelles.
Heureusement, que belle maman est dans l’autre aile de notre petit château, elle me prendrait pour une salope.
Mais qu’espérait-elle en m’achetant à mon père que j’oublierais ma jouissance.
Je compte bien en profiter.
4 et 5 et de nouveau premier valet.
J’attends avec impatience le 3e, c’est lui qui me prend le plus divinement.
Il est là, mes yeux brillent d’envie.
À la cuillère, derrière moi, une jambe relevée.
Trois orgasmes pendant plus d’une heure à me pénétrer.
L’envie de me donner pleinement à lui me titille un instant de prendre sa queue dans ma chatte pour la placer dans mon anus.
Mais Louis veille et je renonce.
Si dieu le veut, un jour je me ferais sodomiser.
Dans ma période après mes règles, les cinq garçons me prennent au moins quatre fois.
Je finis par aimer ces bites successives de plus ou moins gros calibres.
• Mon mari, j’ai déjà trois jours de retard.
• Arrêtons la venue dans votre lit de mes valets et attendons, je savais que vous seriez une bonne reproductrice, espérons un garçon.
Vous voir vous donner à moi comme vous le faites m’a procuré beaucoup de plaisir.
Plusieurs jours après.
• Mère, j’ai mis ma femme enceinte, dans neuf mois vous serez grand-mère.
La dernière écographie nous montre que j’aurais un fils.
Nous avons réussi dès le premier mois.
Je vous aime mère...
Épouser mon fils Louis Duc de Radford est un grand honneur.
Devenir vous-même Duchesse à 19 ans, votre père l’a bien compris après la propriété que nous lui avons octroyée non loin de Bordeaux.
Il va sans le dire que des petites gens comme vos parents ont très bien compris la situation et qu’ils ont signé en votre nom le contrat de mariage.
Cette propriété et tous les revenus afférents leur seraient ôtés si vous veniez à quitter mon fils ou à divulguer ce que serait votre nuit de noces.
Duchesse, je suis Duchesse depuis quelques minutes.
Savoir mes parents hors du besoin jusqu’à leur mort, je suis prêt à tous les sacrifices dans ma nuit de noces pour être bienveillant pour eux.
• Ma chère, malgré notre différence d’âge, je souhaits vous épousez pour que vous me donniez un fils comme il est de tradition depuis la révolution dans notre famille.
Certes, à cette période trouble où le boulanger du village a pris la place de nos ancêtres, chaque génération un petit Duc est né.
Nul fête, mais tout de même mes parents et les valets de mon mari au nombre de cinq lors de la cérémonie.
Même ma belle-mère Jeanne la Duchesse douairière est absente, je pense que pour elle après m’avoir reçu, elle avait fini son travail et que c’était à moi de respecter le pacte avec mes parents.
J’aime mon père et surtout ma maman qui m’ont élevé dans le respect que je devrais à mon mari, même si j’ignorais que cela viendrait si vite.
Je viens de rejoindre ma chambre, car je sais déjà que je ferais chambre à part avec mon mari, belle maman m’en a parlé.
Je pense qu’à 45 ans, mon mari doit ronfler et veut m’éviter des insomnies.
La servante qui m’a été présentée, sourde et muette m’aide à revêtir la robe de nuit tradition de la famille que ma belle-mère a portée et que je transmettrais à ma belle-fille le jour où mon fils épousera la duchesse suivante.
Mon mari arrive, lui aussi avec la même chemise de nuit.
Ce qui est bizarre, c’est qu’il est suivi par ses cinq valets.
• Marie, je vais vous dire et vous faire voir pourquoi ces mystères et la présence de mes cinq valets tout au long de la journée et maintenant dans cette chambre.
Voyez, ce fauteuil, je vais m’y installer.
Je vais vous montrer pourquoi j’ai tardé à prendre femme.
Il fallait à ma mère, le temps de trouver une jeune fille pure comme vous et que votre père a été assez cupide pour accepter sans poser aucune question la propriété qui va les rendre riches.
Un instant j’ai l’impression d’être une bête de concours que mon père aurait vendue pour sa jolie croupe.
• Ma tendre, regarder ce qui me pose problème.
Le duc soulève sa robe jusqu’à son sexe.
Il a pris tellement de précaution oratoire que même si je suis vierge, je sais ce qu’est un sexe d’homme.
Je m’attends à voir une chose éléphantesque qui aurait pu me faire reculer.
Rien.
J’ai bien dit, rien.
Aucune verge, aucun vagin, juste un trou.
• Je suis né avec une déforation de mes parties génitales.
Je peux dire un manque complet de partie génitale mâle ou femelle.
J’ai seulement un orifice urétral reliant ma vessie à la sortie de mon corps.
• Il vous est impossible d’avoir des enfants !
• Exact, c’est ce qui a fait que j’arrive, seul, à mon âge.
• Je parie que c’est votre mère qui a voulu que vous preniez femme !
• Oui, et c’est pour cela que mes cinq serviteurs sont là.
Je les ai choisis avec soin.
La rétribution que nous leur céderont à la naissance d’un garçon, assujéti au contrat qu’ils ont signé de garder à jamais ce qu’ils ont vu et ce qu’ils vont faire, nous garanties que ce fils nous appartiendra.
Mon premier valet assurera notre nuit de noce.
Je resterais dans ce fauteuil et ainsi c’est moi qui serais en vous.
• Pourquoi cinq valets ?
• Chaque soir l’un d’eux viendra vous honorer et ainsi nous ignorerons qui vous aura engrossé.
Ce fils que vous aurez sera pleinement notre fils.
J’ai envie de partir en courant, mais la vision de mes parents dans leur misère s’ils perdent leurs domaines bordelais, me fait accepter la situation.
• Et si c’est une fille !
• Elle rejoindra une congrégation de bonne sœur qui élève les filles de nobles dans des situations similaires,Elles l’élèveront en vue de devenir nones elles-mêmes et ce jusqu’au premier garçon.
J’aurais dû me révolter là encore, mais les mêmes images de misère de mes parents m’en empêchent.
• Alors, je suis prête à vous satisfaire.
• Premier Valet assurez votre travail de dépucelage.
Pour cette première nuit, impossible de donner mon sentiment, la douleur a été vive.
Mon mari nous regardant, j’ai écarté mes cuisses pour que le garçon me pénètre.
Quand il me quitte, j’ai déjà la chatte remplie de sperme.
Le lendemain, après avoir été choyée toute la journée par ma belle-mère qui habite dans ses appartements de ce castel avec tour du centre de la France, le tour de valet numéro 2 entre en lice.
Il me veut en levrette, mon mari revenu dans son fauteuil accepte.
C’est la première fois que j’ai un léger frisson à sa pénétration.
Les restes de mon dépucelage doivent y être encore pour quelques choses.
Le numéro 3, beau gosse bien bronzé.
Comme le 2e, petits frissons au départ et plénitude des sens, j’explose sous sa grosse queue en des mirades d’étincelles.
Heureusement, que belle maman est dans l’autre aile de notre petit château, elle me prendrait pour une salope.
Mais qu’espérait-elle en m’achetant à mon père que j’oublierais ma jouissance.
Je compte bien en profiter.
4 et 5 et de nouveau premier valet.
J’attends avec impatience le 3e, c’est lui qui me prend le plus divinement.
Il est là, mes yeux brillent d’envie.
À la cuillère, derrière moi, une jambe relevée.
Trois orgasmes pendant plus d’une heure à me pénétrer.
L’envie de me donner pleinement à lui me titille un instant de prendre sa queue dans ma chatte pour la placer dans mon anus.
Mais Louis veille et je renonce.
Si dieu le veut, un jour je me ferais sodomiser.
Dans ma période après mes règles, les cinq garçons me prennent au moins quatre fois.
Je finis par aimer ces bites successives de plus ou moins gros calibres.
• Mon mari, j’ai déjà trois jours de retard.
• Arrêtons la venue dans votre lit de mes valets et attendons, je savais que vous seriez une bonne reproductrice, espérons un garçon.
Vous voir vous donner à moi comme vous le faites m’a procuré beaucoup de plaisir.
Plusieurs jours après.
• Mère, j’ai mis ma femme enceinte, dans neuf mois vous serez grand-mère.
La dernière écographie nous montre que j’aurais un fils.
Nous avons réussi dès le premier mois.
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