COLLECTION BELLE-MÈRE. Voyage vers l’Andalousie (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BELLE-MÈRE. Voyage vers l’Andalousie (1/3)
• Pour cette année, je vous propose la situation suivante.
Je pars le 1er avec Josy et les trois enfants dans notre voiture.
Il serait bête que les enfants restent en appartement à Paris une semaine de plus alors que nous avons en notre possession notre villa donnant sur la plage à Marbella.
Toi, William, tu pars avec Maggy le vendredi suivant dans votre voiture et nous vous rejoignez.
Maggy, tu peux aller à ta soirée de loto pour tes œuvres paroissiales le mercredi avec ta bande de copines.
Quant à toi, William termine ta dernière semaine de travail avant tes vacances bien méritées.
• Mais oui, Joseph, tu as raison, ta solution est la meilleure.
• Comme d’habitude, vous et nous, nous arrêterons à Saint Sébastien à notre hôtel habituel pour une nuit afin d’éviter de faire les 1 800 kilomètres d’un seul coup.
• Belle-maman, j’aurais beaucoup de plaisir à faire le parcours avec vous.
• Fichez-vous de moi, William, je sais bien que vous pensez que je suis une pipelette et que je vais vous emmerder tout le long du voyage.
• Maggy, je te prierais d’avoir un langage plus châtié, même si les enfants sont couchés.
• Excuse-moi mon chéri, tu as raison, mais c’est William, qui dit toujours que je parle trop lorsque l’on est en voiture.
Maggy, ma belle-mère, elle est encore belle grâce aux soins qu’elle se fait faire à son institut de beauté.
Depuis quelque temps avec ses copines, elles se font faire des injections de Botox, ce qui fait disparaitre les premières rides pour une femme en âge d’être ménopausé.
Pour l’instant, malgré nos trois enfants, en partit grâce à un régime draconien.
Sans oublier du sport en salle où Josy va toutes les semaines avec ses propres copines, Josy m’épargne ces frais afin de rester fraiche.
• Mon chéri, j’ai eu beaucoup de peine à te laisser seul chez nous alors que nous sommes arrivés à Saint Sébastien.
Nous avons fait bonne route malgré quels moments de tensions entre les enfants.
Papy leur a mis un dessin animé sur les tablettes des fauteuils, ça les a calmés un bon moment.
• Je suis content pour vous, ils vont s’éclater dans l’eau et sur la plage.
Tu m’appelles dès que vous êtes arrivés.
• Ou es-tu, j’entends de la musique, mon chéri !
• Dans le salon, je viens de manger les ravioles que tu m’avais préparées avec mon morceau de camembert et ma crème dessert.
C’est la chaîne que tu entends, soit sans crainte bébé je t’aime trop pour te trahir.
• Rêve de moi comme je vais rêver de toi mon amour.
Ma femme raccroche, je me tourne vers la jeune femme blonde à ma droite.
• Ça y est William, ta femme est rassurée, on va pouvoir finir notre soirée tranquille.
Elles sont connes ces femmes amoureuses, elles se laissent toujours embobiner.
Toi William, tu es un champion, le coup de la chaîne dans le salon, il fallait osé le faire alors que nous sommes devant un verre de whisky dans ce pub près de notre travail.
• Rose, tu sais comme je suis, même avant mon mariage, je voulais t’épouser et tu as voulu garder ton indépendance.
C’est toi qui as choisi d’être ma secrétaire et ma maîtresse laissant la possibilité à Josy de se marier avec moi.
• Trois gosses, une belle-mère chiante à souhait, même si c’est la mère de ta femme, j’ai évité au pire et ce soir nous nous éclatons.
Resto, bistro et maintenant partie de jambes en l’air, je crois que c’est moi qui ai le beau rôle lorsque je l’ai entendu parler de tes trois monstres, les enfants je les laisse aux autres.
Une femme, une maîtresse, un boulot de chef d’entreprise me permettant d’emmener ma maîtresse à des rendez-vous et de la baiser toute la nuit, que demande le peuple.
À oui, que ma belle-mère l’a ferme un peu ce vendredi lorsque nous partons rejoindre, beau-père, femme et enfants.
• Maggy, vous êtes malade, vous avez dormi presque tous le voyage nous sommes arrivés à l’hôtel.
Heureusement, que j’avais la radio sur autoroute 107,07, je me serais fait chier à cent sous de l’heure !
• William, je vous avais promis d’éviter de vous emmerder pendant le trajet.
Pardons Joseph, si tu m’entends, de vous embêter tous le long du trajet.
J’ai pris deux cachets de somnifères, mais maintenant leurs effets sont passés, je vais essayer de vous faire passer une bonne soirée.
Nous récupérons nos chambres, Joseph avait fait le nécessaire bien avant leur départ ou les nôtres.
Avec belle-maman nous avons les mêmes chambres que Josy et les enfants avec une porte mitoyenne entre les deux.
• Et si nous nous faisions monter des plats du roomservice, ça vous permettrait de vous reposer.
Je sais, je suis une femme inutile, j’aurais dû passer mon permis lorsque j’étais jeune, maintenant c’est trop tard.
• Hors de question, je suis en forme, j’ai l’habitude des longs trajets, un arrêt toutes les deux heures comme ils le préconisent à la radio.
Un bon café et nous arriverons à bon port à Marbella.
• Alors préparez-vous et nous descendrons au restaurant de l’hôtel avant de venir nous coucher.
• Hors de question, que je mange ici, la dernière fois où nous nous sommes arrêtés avec Josy, j’ai dû manger quelque chose de pas frais, j’ai été malade toute la nuit.
Passez votre robe à fleurs, celle sans le soutien gorge, elle vous va si bien, je serais fière de vous avoir à mon bras.
Ce que Maggy ignore, c’est que lorsque je parle de Josy, c’est de Rose avec qui j’étais lors d’un voyage professionnel où nous nous sommes arrêtés pour passer la nuit.
Je connais un petit resto plus intime que ces grandes salles de resto d’hôtel, j’ai ma petite idée derrière la tête.
Maggy au début rechigne un peu, je suis à deux doigts de sortir mon arme secrète, mais je préfère la garder pour plus tard dans la soirée.
Repas sympa, je fais attention d’éviter de vexer belle-maman.
Nous sortons, je passe à l’attaque.
• Maggy, un club privé, je t’emmène prendre un dernier verre avant de rentrer.
• Vous conduisez demain, nous avons déjà pris de l’apéro et du vin !
• Vous prendrez un whisky et moi un jus de fruits.
Nous prenons la direction et nous passons le barrage du responsable de la sécurité.
Malgré la différence d’âge, nous sommes un homme et une femme.
Dans ce club privé, il y a un bar, j’y emmène celle qui va être ma proie.
Est-ce la lumière tamisée, mais elle met du temps à se rendre compte qu’à quelques mètres de nous deux femmes sont sur des coussins, une blonde dégustant la chatte d’une brune.
Elle est elle même défoncée par un vieux monsieur ventripotent.
• William, ou m’avez-vous emmené, nous sommes dans un club échangiste, restez si vous voulez, moi je rentre à l’hôtel.
• Halte-la belle-maman, restez là sinon ?
C’est le moment de sortir mon arme secrète, je prends mon portable et je fais partir une vidéo.
Te souviens-tu de ce moment dans ton salon.
Souviens-toi, j’étais venu tailler votre haie, Joseph avec sa hanche étant dans l’impossibilité de grimper sur un escabeau.
J’ai eu besoin de faire popo et tu étais dans ton salon, comme tu le vois et tu téléphonais à Gladys ton amie.
« Tu sais que j’ai un fantasme depuis que mon mari est dans l’impossibilité de me faire l’amour depuis son accident avec l’échelle lorsqu’il cueillait les cerises.
J’aimerais être prise par plusieurs hommes à la fois, tu m’accompagnerais dans un club échangiste. »
• Je te passe la suite, Gladys a refusé et je sais que tu es frustré de connaitre ces plaisirs multiples.
• Il est hors de question que je fasse l’amour avec vous, il m’est impossible de tromper ma fille.
• Qui te dit que je veux te faire l’amour, je vais me contenter de te regarder te faire mettre par tous les hommes qui voudront de toi.
Il faut que tu sortes d’ici repus de sexe que tu garderas dans ta mémoire jusqu’à la fin de ta vie.
À ce moment deux hommes se sont rapprochés de nous.
C’était des espagnoles, j’ai aidé ma belle-mère à enlever sa robe, montrant à qui voulait la voir sa très belle plastique.
J’ai dans les mains mon portable, je veux éviter que ces images puissent tomber dans des mains indélicates, entre deux gorgées de jus de pomme, je m’empresse de l’effacer.
• Vous voulez que ma femme vous emmène dans une alcôve et que je vous regarde la baiser !
C’est en espagnol que ce couple m’interpelle.
Français couramment, Anglais couramment, Italien presque aussi bien et par extension les langues étant proches, c’est la traduction que je viens d’écrire.
La jeune femme, la trentaine, est très appétissante, mais je veux rester clean afin d’éviter de donner des billes à ma belle-mère si quelquefois l’envie de tout dire à ma femme lui traverserait l’esprit.
Je leur réponds du mieux que je peux.
• J’accompagne ma belle-mère...
Je pars le 1er avec Josy et les trois enfants dans notre voiture.
Il serait bête que les enfants restent en appartement à Paris une semaine de plus alors que nous avons en notre possession notre villa donnant sur la plage à Marbella.
Toi, William, tu pars avec Maggy le vendredi suivant dans votre voiture et nous vous rejoignez.
Maggy, tu peux aller à ta soirée de loto pour tes œuvres paroissiales le mercredi avec ta bande de copines.
Quant à toi, William termine ta dernière semaine de travail avant tes vacances bien méritées.
• Mais oui, Joseph, tu as raison, ta solution est la meilleure.
• Comme d’habitude, vous et nous, nous arrêterons à Saint Sébastien à notre hôtel habituel pour une nuit afin d’éviter de faire les 1 800 kilomètres d’un seul coup.
• Belle-maman, j’aurais beaucoup de plaisir à faire le parcours avec vous.
• Fichez-vous de moi, William, je sais bien que vous pensez que je suis une pipelette et que je vais vous emmerder tout le long du voyage.
• Maggy, je te prierais d’avoir un langage plus châtié, même si les enfants sont couchés.
• Excuse-moi mon chéri, tu as raison, mais c’est William, qui dit toujours que je parle trop lorsque l’on est en voiture.
Maggy, ma belle-mère, elle est encore belle grâce aux soins qu’elle se fait faire à son institut de beauté.
Depuis quelque temps avec ses copines, elles se font faire des injections de Botox, ce qui fait disparaitre les premières rides pour une femme en âge d’être ménopausé.
Pour l’instant, malgré nos trois enfants, en partit grâce à un régime draconien.
Sans oublier du sport en salle où Josy va toutes les semaines avec ses propres copines, Josy m’épargne ces frais afin de rester fraiche.
• Mon chéri, j’ai eu beaucoup de peine à te laisser seul chez nous alors que nous sommes arrivés à Saint Sébastien.
Nous avons fait bonne route malgré quels moments de tensions entre les enfants.
Papy leur a mis un dessin animé sur les tablettes des fauteuils, ça les a calmés un bon moment.
• Je suis content pour vous, ils vont s’éclater dans l’eau et sur la plage.
Tu m’appelles dès que vous êtes arrivés.
• Ou es-tu, j’entends de la musique, mon chéri !
• Dans le salon, je viens de manger les ravioles que tu m’avais préparées avec mon morceau de camembert et ma crème dessert.
C’est la chaîne que tu entends, soit sans crainte bébé je t’aime trop pour te trahir.
• Rêve de moi comme je vais rêver de toi mon amour.
Ma femme raccroche, je me tourne vers la jeune femme blonde à ma droite.
• Ça y est William, ta femme est rassurée, on va pouvoir finir notre soirée tranquille.
Elles sont connes ces femmes amoureuses, elles se laissent toujours embobiner.
Toi William, tu es un champion, le coup de la chaîne dans le salon, il fallait osé le faire alors que nous sommes devant un verre de whisky dans ce pub près de notre travail.
• Rose, tu sais comme je suis, même avant mon mariage, je voulais t’épouser et tu as voulu garder ton indépendance.
C’est toi qui as choisi d’être ma secrétaire et ma maîtresse laissant la possibilité à Josy de se marier avec moi.
• Trois gosses, une belle-mère chiante à souhait, même si c’est la mère de ta femme, j’ai évité au pire et ce soir nous nous éclatons.
Resto, bistro et maintenant partie de jambes en l’air, je crois que c’est moi qui ai le beau rôle lorsque je l’ai entendu parler de tes trois monstres, les enfants je les laisse aux autres.
Une femme, une maîtresse, un boulot de chef d’entreprise me permettant d’emmener ma maîtresse à des rendez-vous et de la baiser toute la nuit, que demande le peuple.
À oui, que ma belle-mère l’a ferme un peu ce vendredi lorsque nous partons rejoindre, beau-père, femme et enfants.
• Maggy, vous êtes malade, vous avez dormi presque tous le voyage nous sommes arrivés à l’hôtel.
Heureusement, que j’avais la radio sur autoroute 107,07, je me serais fait chier à cent sous de l’heure !
• William, je vous avais promis d’éviter de vous emmerder pendant le trajet.
Pardons Joseph, si tu m’entends, de vous embêter tous le long du trajet.
J’ai pris deux cachets de somnifères, mais maintenant leurs effets sont passés, je vais essayer de vous faire passer une bonne soirée.
Nous récupérons nos chambres, Joseph avait fait le nécessaire bien avant leur départ ou les nôtres.
Avec belle-maman nous avons les mêmes chambres que Josy et les enfants avec une porte mitoyenne entre les deux.
• Et si nous nous faisions monter des plats du roomservice, ça vous permettrait de vous reposer.
Je sais, je suis une femme inutile, j’aurais dû passer mon permis lorsque j’étais jeune, maintenant c’est trop tard.
• Hors de question, je suis en forme, j’ai l’habitude des longs trajets, un arrêt toutes les deux heures comme ils le préconisent à la radio.
Un bon café et nous arriverons à bon port à Marbella.
• Alors préparez-vous et nous descendrons au restaurant de l’hôtel avant de venir nous coucher.
• Hors de question, que je mange ici, la dernière fois où nous nous sommes arrêtés avec Josy, j’ai dû manger quelque chose de pas frais, j’ai été malade toute la nuit.
Passez votre robe à fleurs, celle sans le soutien gorge, elle vous va si bien, je serais fière de vous avoir à mon bras.
Ce que Maggy ignore, c’est que lorsque je parle de Josy, c’est de Rose avec qui j’étais lors d’un voyage professionnel où nous nous sommes arrêtés pour passer la nuit.
Je connais un petit resto plus intime que ces grandes salles de resto d’hôtel, j’ai ma petite idée derrière la tête.
Maggy au début rechigne un peu, je suis à deux doigts de sortir mon arme secrète, mais je préfère la garder pour plus tard dans la soirée.
Repas sympa, je fais attention d’éviter de vexer belle-maman.
Nous sortons, je passe à l’attaque.
• Maggy, un club privé, je t’emmène prendre un dernier verre avant de rentrer.
• Vous conduisez demain, nous avons déjà pris de l’apéro et du vin !
• Vous prendrez un whisky et moi un jus de fruits.
Nous prenons la direction et nous passons le barrage du responsable de la sécurité.
Malgré la différence d’âge, nous sommes un homme et une femme.
Dans ce club privé, il y a un bar, j’y emmène celle qui va être ma proie.
Est-ce la lumière tamisée, mais elle met du temps à se rendre compte qu’à quelques mètres de nous deux femmes sont sur des coussins, une blonde dégustant la chatte d’une brune.
Elle est elle même défoncée par un vieux monsieur ventripotent.
• William, ou m’avez-vous emmené, nous sommes dans un club échangiste, restez si vous voulez, moi je rentre à l’hôtel.
• Halte-la belle-maman, restez là sinon ?
C’est le moment de sortir mon arme secrète, je prends mon portable et je fais partir une vidéo.
Te souviens-tu de ce moment dans ton salon.
Souviens-toi, j’étais venu tailler votre haie, Joseph avec sa hanche étant dans l’impossibilité de grimper sur un escabeau.
J’ai eu besoin de faire popo et tu étais dans ton salon, comme tu le vois et tu téléphonais à Gladys ton amie.
« Tu sais que j’ai un fantasme depuis que mon mari est dans l’impossibilité de me faire l’amour depuis son accident avec l’échelle lorsqu’il cueillait les cerises.
J’aimerais être prise par plusieurs hommes à la fois, tu m’accompagnerais dans un club échangiste. »
• Je te passe la suite, Gladys a refusé et je sais que tu es frustré de connaitre ces plaisirs multiples.
• Il est hors de question que je fasse l’amour avec vous, il m’est impossible de tromper ma fille.
• Qui te dit que je veux te faire l’amour, je vais me contenter de te regarder te faire mettre par tous les hommes qui voudront de toi.
Il faut que tu sortes d’ici repus de sexe que tu garderas dans ta mémoire jusqu’à la fin de ta vie.
À ce moment deux hommes se sont rapprochés de nous.
C’était des espagnoles, j’ai aidé ma belle-mère à enlever sa robe, montrant à qui voulait la voir sa très belle plastique.
J’ai dans les mains mon portable, je veux éviter que ces images puissent tomber dans des mains indélicates, entre deux gorgées de jus de pomme, je m’empresse de l’effacer.
• Vous voulez que ma femme vous emmène dans une alcôve et que je vous regarde la baiser !
C’est en espagnol que ce couple m’interpelle.
Français couramment, Anglais couramment, Italien presque aussi bien et par extension les langues étant proches, c’est la traduction que je viens d’écrire.
La jeune femme, la trentaine, est très appétissante, mais je veux rester clean afin d’éviter de donner des billes à ma belle-mère si quelquefois l’envie de tout dire à ma femme lui traverserait l’esprit.
Je leur réponds du mieux que je peux.
• J’accompagne ma belle-mère...
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Voilà un début d'année qui commence bien mon cher Chris
Cyrille
Cyrille