COLLECTION BLACK. Black and black. Quand ? (1/7)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Black and black. Quand ? (1/7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION BLACK. Black and black. Quand ? (1/7)
Aujourd’hui j’ai vingt ans et je suis encore vierge.
L’image que me montre ma glace est pourtant élogieuse pour moi, je suis blonde aux yeux bleus avec un corps taillé pour l’amour.
Mes études sont à la base de cette virginité.
Je refuse tout moment de plaisir qui pourrait nuire à mon but.
Je suis en troisième année de fac, je suis des études pour devenir notaire afin de succéder à mon père qui a créé une officine.
Elle fonctionne bien, non loin de la cathédrale d’Arras.
Chaque fois qu’il me voit, il me ressasse la même phrase.

- Sylvie souviens toi que l’on n’a rien sans rien dans la vie, seul le travail est source de plaisir.

Je l’ai toujours cru jusqu’à mon dernier séjour chez mes parents.
J’ai appris de la bouche de ma mère que trop c’est trop, amasser du pognon sans jamais le dépenser, en un mot être radin, est tellement frustrant.
Elle a décidé de partir à Agde dans la villa de son amant !
Elle a découvert cet endroit l’été dernier, alors qu’ils étaient à la plage, mon père passait son temps à faire les cent pas sur la promenade, le téléphone collé à l’oreille, à donner des ordres à son adjoint resté dans le Nord.
Ils étaient à l’hôtel où il avait accepté de venir pour la première fois.
Il avait mis une limite, seulement pour quatre jours, après qu’elle l’eut exhorté à prendre des vacances.
Il était tellement casanier que son inactivité entraînait une obésité précoce qui risquait de se terminer par un bel infarctus.

Son amant s’appelle Robert, il est agent immobilier dans cette ville et lui aussi sait amasser du pognon, mais en bon célibataire aime à le dépenser.
Elle m’a expliqué que tout a craqué en elle quand ce bel homme, bronzant près d’elle sur une plage textile, lui avait parlé.

Rapidement elle s’était aperçue que c’était elle son centre d’intérêt alors que depuis qu’elle était mariée, pour papa, c’était son pognon, toujours son pognon.
Elle s’était sentie redevenue femme, elle avait répondu à ses questions au point de se lever, prendre ses affaires, laissant les serviettes et de le suivre chez lui où il a fait d’elle sa maîtresse, mais surtout une femme comblée.

J’étais gênée, quand elle m’a fait la confidence que mon père lui faisait l’amour comme un lapin en bon éjaculateur précoce depuis qu’ils s’étaient connus et qu’elle ignorait ce que jouir voulait dire.
Vingt-trois ans de mariage, vingt-trois ans de frustration.
Malgré ses trente-neuf ans, je suis née quand maman a eu seize ans.
Au fil du temps elle a pris conscience que son corps ne lui a servi qu’à se vider les couilles, se fichant complètement de sa partenaire.
La phrase peut paraître crue, mais c’est par ces mots qu’elle m’a fait comprendre ce qu’avait été sa vie.
Vingt-trois ans de trop, alors quant au troisième jour de ses amours adultérins, une nouvelle fois Robert l’a fait monter au rideau et lui a demandé de venir vivre avec lui, tout en elle a craqué.

Chaque fois, ils retournaient sagement sur leurs serviettes en passant par l’eau, chacun de son côté, faisant croire à mon cocu de père qu’elle revenait de la mer.

Maman a toujours eu des cheveux bien coiffés en chignon.
Trop accaparé par ce qu’il faisait au téléphone, toutes les fois où elle revenait de s’être fait faire divinement l’amour, ses cheveux aussi blonds que les miens, tous auraient remarqué qu’ils tombaient en cascade autour de son visage, Robert les détachant car la trouvant plus jolie.

Ma glace montre mon corps de rêve, quand j’essaye le petit mini-maillot que je viens d’acheter, avant de le ranger dans ma valise.
Ce principal morceau de tissu, je compte le porter pendant mon mois de vacances, après avoir accepté de m’octroyer quelques jours de repos en rejoignant maman et son homme au cap.

Je suis contente, car si j’avais rejoint mon père comme les autres années, j’avais l’assurance de garder ma membrane, ce qui devenait gênant à mon âge.
Pourtant tout bouillonne en moi et chaque fois ma chatte me démange.
Je trouve mon petit bouton que mes rares copines disent masturber pour se donner du plaisir.
La première fois que je l’ai caressé, j’avais l’âge de maman qui elle me mettait au monde.
Je dois dire que le plaisir ressenti, certes sympa, m’a laissée sur ma faim.

Au fil du temps, j’ai appris à le caresser et la décharge que je ressens me permet d’éviter d’aller acheter un gros gode noir, depuis qu’un jour à la piscine d’Arras, alors que j’avais dix-huit ans, près d’une douche, un homme m’a montré son engin de taille impressionnante qu’il masturbait.
Ça a entraîné chez moi un fantasme sur la taille et la couleur des sexes des hommes.
Je sais que ce sera toujours un fantasme, car je sais que quand je rencontrerai celui qui me dépucellera, je serai tellement heureuse de me débarrasser de mon hymen, que j’éviterais de faire la fine bouche.

Valise et métro, après avoir quitté ma chambre de bonne généreusement louée par papa.
En bon pingre, il m’a fait une avance sur capital, souhaitant le rentabiliser dès mon diplôme acquis en travaillant à l’étude familiale.

Le train m’emporte à l’opposé de ce qu’aurait dû être des vacances l’an dernier, s’avérant être une corvée dans l’étude à Arras.
Tous les jours, il me demandait de lui avancer quelques petits dossiers, ce qui me prenait huit des heures de ma journée, cloitrée dans un coin de l’étude.

Le soleil, vivre au soleil, les doigts de pieds en éventail, dès que j’arrive je vois Robert et maman que je trouve resplendissante.
Elle est à la limite d’avoir rajeuni de dix ans grâce à sa nouvelle coupe de cheveux et ses vêtements sexy me montrant qu’il y a autre chose que le fric dans la vie.

S’amuser, c’est ce que nous faisons, dès la première minute.
Valise déposée, ils m’entraînent jusqu’à la plage et je suis fière d’exhiber mon petit carré de tissu.
Dès qu’ils ont posé leurs serviettes, maman sans aucune pudeur et sans rien me demander, se déshabille.
Elle me montre l’endroit d’où je suis sortie.
Elle est remarquablement épilée alors que moi malgré ma blondeur je galère, car si ma toison semble inexistante, la vitesse où poussent mes poils et leur grande profusion en fait que j'ai une sorte de forêt vierge.

Robert l’imite, je comprends le revirement de maman si papa était petite bite, son amant est le contraire car la grandeur et la grosseur de sa verge est aussi imposante au repos que celle de mon noir vu sous la douche de la piscine il y a quelque temps.
Je me rends compte que de la plage textile où ils se sont rencontrés, ils sont passés à la plage naturiste.

- Sylvie, fait comme nous, ici on est libre, je t’ai vu tellement de fois nue depuis que tu es née, avant que tu ne partes à Paris, quand nous partagions la salle de bain, toi étant toujours en retard.
- Maman, je me suis épilée mais ils poussent rapidement, j’ai peur que ça ne choque quand je vois autour de moi celles qui sont bien taillées ou si lisses.
- De retour à la maison, je vais téléphoner pour te faire une épilation au laser, après tu seras tranquille.

C’est ainsi que le lendemain elle me conduit dans son institut où une femme pour la première fois me caresse le sexe professionnellement.
Il va sans dire s que cela me laisse un certain trouble.

Dans la nuit, j’ai confirmation après avoir vu mon futur beau-père sur la plage, car ils vont se marier, qu’il sait s’en servir, quand par deux fois des cris de plaisir ponctuent les moments où la verge tendue de son homme doit la déchirer.
J’étais si près d’eux dans la chambre voisine que le moment où elle devait lui présenter ses fesses, je l’ai vécu en direct.

- Encule-moi, viens salaud, tu sais le plaisir que je prends dans cette position, déchire-moi le cul.

Cette phrase dans la bouche de ma maman m’aurait paru incongrue du temps où elle était avec papa, car s’il est vrai comme elle me l’a dit, qu’il baisait comme un lapin, chanter son plaisir lui était inconnu.

L’après-midi, je décide de rester sagement pour consulter l’un des livres achetés pour la quatrième année de fac et ainsi comprendre par moi-même ce que sera mon année d’études, quand Robert entre dans ma chambre sans frapper.
J’allais pour le rabrouer, mais le caleçon et la serviette qu’il porte sur l’épaule m’en dissuadent.
Me voyant mal refaisant ma valise pour traverser la France et atterrir dans le chef-lieu du Pas-de-Calais comme le dit la chanson.

- Tu viens à la plage, profite du soleil, on dirait un cachet d’aspirine quand on te voit.

Je referme mes livres le suivant, assez contente d’exhiber ma chatte lisse comme celle des femmes autour de moi.
Dès le soir nous sommes sortis et dans une boîte, je fais la connaissance d’un garçon qui semble intéressant pour perdre ma virginité.
Les slows langoureux me font mouiller, quand maman m’entraîne vers les toilettes.

- Sylvie laisse tomber, il est marié malgré qu’il soit sans alliance, sa femme travaille de nuit à l’hôpital, il y a deux semaines elle l’attendait à la sortie de la boîte.
La police a dû intervenir car elle avait un couteau et voulait planter sa rivale, c’est un coureur invétéré, regarde ce soir il est déjà de retour.

Bien gênée, je trouve un motif bidon, prétextant m’être tordue la cheville en glissant sur le carrelage des W.C. pour rester assise et le voir quelques secondes après s’attaquer à une femme aussi jeune que moi et sortir quelques minutes après.

Cette nuit-là, maman a droit à un seul moment de bonheur, mais comme hier avec la totale et même en lui faisant une fellation, car j’entends ses borborygmes, quand il lui remplit la bouche.
Je rêve de bite de couleur en me caressant, pleurant à moitié, pleurant de ce qui était arrivé, regrettant presque d’avoir suivi maman, car même avec le risque l’homme de cette nuit aurait pu être mon dépuceleur.
Le lendemain, à la plage en fin de matinée je perds l’équilibre dans l’eau buvant une tasse bien salée, quand une main virile me sort de mon mauvais pas.
Il est là, bien plus grand et plus baraqué que dans mes rêves les plus fous avec le seul point identique, il est noir comme de l’ébène.

- Vous voulez perdre votre jeune vie, Mademoiselle.

D’un air bête je le regarde sans pouvoir dire le moindre mot.
Je sors de l’eau en lui tenant la main avant de la lâcher et courir vers maman et ma serviette, quand je m’aperçois qu’il m’a suivi.

- Je vous ramène votre fille, elle avait envie de vous quitter.

C’est à maman qu’il dit cela, je m’aperçois avec une certaine jalousie qu’en lui parlant, il surplombe sa chatte car elle s’est relevée sur ses avant-bras, les cuisses écartées.
C’est le moment où pour la première fois je regarde la verge de celui ignorant jusqu’à son nom et que je la compare avec celle de Robert, qui est dans la même position que maman.

- Comment vous appelez-vous jeune homme ?
- Jeune homme comme vous y allez, je m’appelle Jason et je suis guadeloupéen résidant à Paris où je suis directeur d’un super marché féminin, j’ai vingt-neuf ans.
- Bien Sylvie, maintenant que nous savons à qui nous avons à faire, nous t’autorisons à fréquenter ce bel homme.

C’est avec un grand éclat de rire que nous repartons vers la mer pour que je poursuive mon bain.
Jouer nue dans l’eau avec un homme aussi nu que moi, malgré l’eau qui nous entoure me fait mouiller.
Chaque fois qu’une vague arrive je prends plaisir à lui sauter dans les bras sentant sa verge battre le long de mon intimité.
Mes seins malgré la température de l’eau sont dressés et si je lui saute dans les bras, je veux croire que c’est pour me protéger depuis qu’il m’a sauvé de la noyade tout à l’heure.
Mes vacances prennent une tournure intéressante...

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