COLLECTION BLACK. Black and black. Restaurant et boîte de nuit. (3/7)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Black and black. Restaurant et boîte de nuit. (3/7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION BLACK. Black and black. Restaurant et boîte de nuit. (3/7)
Je viens enfin de perdre mon pucelage à vingt-deux ans et surtout dans le cadre de mon fantasme.
Faire l’amour avec un homme black, bien monté de surcroît.

Pour être un homme il en est un, un vrai étalon non castré, car la capote qu’il souhaite que je lui place est difficile à faire glisser, surtout après le premier tiers, ma bouche manquant de souplesse.

- C’est bien, mais je vais t’aider, j’ai trop envie que tu viennes sur moi.

Elle éclate, quelle bête.

- Je me fiche de ce morceau de plastique, pour vivre heureuse, il faut savoir prendre des risques.

Sans hésiter, avant qu’il ait le temps de réagir, je reprendre ma position à califourchon je la saisis d’une main pour la présenter à ma fente fraîchement ouverte.
Pour lui prouver qu’il est bien à moi et que je suis à lui, je me laisse tomber.
Je me suis littéralement empalée à m’en couper le souffle.
Je sens que je veux rattraper les années d’abstinence que je me suis imposées pour privilégier mes études qui me semblent très éloignées.
Ma transformation de jeune fille en femme m’ouvre des perspectives autres que de signer des actes notariés chez papa à longueur de journée.
Il me sera impossible, de retour à Paris, de passer un long moment sans qu’une queue ne vienne me déchirer la chatte.
Faire l’amour, baiser et encore baiser, tel sera mon leitmotiv.

- Doucement fifille, tu as le temps, on est en vacances.

Nous éclatons de rire, c’est la deuxième fois qu’il m’appelle fifille.
Je me penche, tout en montant et en descendant sur sa verge, pour que nos bouches se retrouvent avec de plus en plus de plaisir.
Je suis heureuse, voici des vacances pleines d’avenir maintenant que j’ai jeté ma gourme même si c’est bien tard.
Dans ma tête, un changement s’opère, je croyais à l’amour éternel, depuis la séparation de maman et ma difficulté à me faire dépuceler, je sens qu’une autre vie s’ouvre à moi.

Nouvelle position et nouvelle envolée vers des plaisirs maximums.
J’espère que chaque fois que je vais faire l’amour, j’aurai toujours autant de plaisir qu’avec Jason.
Une nouvelle fois, il me fait jouir, me remplissant avec de longs jets, m’obligeant à lui laver la queue avec ma bouche.
Je deviens experte, dès la deuxième fois grâce à ma langue qui le refait bander.
Je suis épuisée, je viens m’allonger près de lui, me plaçant dans ses bras musclés.
Je rêvasse à mon avenir sur le sexe en le caressant à partir de ses boules jusqu’à ses pectoraux avec délice.

J’ai dû m’endormir car me réveillant, il me regarde attendant sagement que je réagisse.

- Ça va fifille, habille-toi, je t’emmène au restaurant.

J’ai un appétit d’ogre et je vais te manger mon enfant.

- Monsieur le loup, je viens de vous connaître aujourd’hui et j’aimerais que vous m’épargniez.
J’ai beaucoup de choses à découvrir dans ce monde.

Je m’habille, c’est facile, juste mon timbre-poste à remettre.
Monsieur mon grand loup, je vais vous trouver de bonnes entrecôtes à dévorer plutôt que moi.

- Nous allons passer chez toi, tu diras à ta maman qu’un ogre t’emmène dans son château.

Après une douche, quand je quitte l’hôtel dans ma tenue de plage, passant devant la réception, je sens le regare du jeune réceptionniste me dire.

« Tu t’es bien fait baiser, jolie salope. »
À quoi j’ai envie de lui répondre.

« Oui, mon mâle m’a défoncé et maintenant que je l’ai trouvé, s’il le désire, il va continuer.
Il a un gros pieu et il me remplit la chatte de plaisirs chaque fois qu’il m’enfile. »
Certes, il est plus vieux que moi de presque dix ans mais faire l’amour à mon âge avec un partenaire, autant que cela se fasse avec un partenaire d’expérience qui réussit à me faire jouir dès nos premiers rapports.
Ce qui a été le cas aujourd’hui.

Jason est une force de la nature, ayant un sexe qui aurait pu me faire peur mais qui fait de moi la femme que j’aspirais à être depuis longtemps.
Malgré mon dépucelage il m’a fait l’amour plusieurs fois, m’amenant déjà une jouissance et même je pense à l’orgasme, mais là, ce que j’ai ressenti est trop récent pour dire que j’ai eu l’orgasme des orgasmes.
L’orgasme sûrement car mes sensations ont été bien supérieures à celles que j’ai à ce jour en me masturbant.
J’ai même eu du plaisir d’un autre ordre, après lui avoir enlevé sa capote, tellement remplie qu’elle a explosé.
Quel plaisir là encore j’ai eu à lécher tout ce sperme répandu sur son ventre et surtout sur son bâton divin par sa grosseur, sa couleur, dans le cadre de mes fantasmes et l’usage qu’il en fait.
Le goût un peu fade est loin d’être un obstacle.
La tête des verges, suivant la grosseur, peut interpeller chaque fois que je devrais en mettre une dans ma bouche.
Jason, je vais le pomper tout le temps que va durer notre liaison, au mieux que je peux pour son plaisir à lui.
Outre nos âges, je me doute qu’il a déjà des copines à Paris, ville où je fais mes études pour épauler mon père comme notaire dans l’étude qu’il a créée à Arras, bien que ce parcours soit loin de m’emballer.

Comme il me l’a dit, je récupère ma serviette et je retourne chez l’amant de maman afin de m’apprêter pour aller au restaurant.
J’ai la chance d’avoir récupéré mon sac de plage où j’ai la clef de leur tanière, même si cette dernière, située dans un immeuble des plus récents, doit valoir une fortune.
Connaissant ma mère, il va sans dire qu’elle s'est trouvée un homme pour quitter le paternel bourré de tunes, même si la manière dont ils baisent depuis que je suis là doit avoir contribué à son envie de divorcer.

Je vais prendre une nouvelle douche alors que Jason retourne à son hôtel pour se préparer.
Il me donne un baiser à langue déployée avant de me quitter, faisant mouiller le string que je viens de passer.

Je dois reconnaître que quand mes doigts viennent dans ma grotte me permettant d’entrer au double, d’habitude que la petite jouissance que je me procure est loin de ce que j’ai ressenti avec la verge de Jason au fond de moi.
Attention Sylvie, tu deviens accro au sexe de cet homme et même s’il m’a dit que nous serions ensemble jusqu’à dimanche les trois jours suivants vont vite passer.
Tu risques d’avoir le cœur qui saigne lorsque tu verras sa voiture partir.

Moi qui suis loin d’être coquette j’ai enfilé des affaires de mon âge.
Je me surprends à faire comme maman quand devant la glace de sa chambre je me sers de son maquillage maladroitement, mais finissant par ressembler à quelque chose.
Tout ce temps me permet d’un autre côté d’être juste à l’heure à son hôtel.
Le jeune réceptionniste est encore là.
Je me sens femelle, je me cambre au maximum pour dégager ma poitrine.
Quand Jason me rejoint et me prend par la taille en m’embrassant, tout en nous dirigeant vers la sortie, j’aime qu’il comprenne que la jeune pucelle qui venait se faire sauter cette après-midi était devenue sa régulière.

Le restaurant où nous entrons est de ceux que mon père refusait de fréquenter.
Malgré nos moyens, à cause des oursins qu’ils avaient dans ses poches c’était trop cher.
Les femmes sont bizarres, dès que nous avons trouvé notre perle rare, la tenue vestimentaire, le maquillage devient essentiel.
Sans parler de ma coiffure mais pour moi c’est facile je suis coiffée utile car à ce jour ce genre de détail importait peu.
Tous le repas on nous sert des plats succulents, servis dans de la vaisselle à la hauteur du restaurant.
Jason prend ma main et au maximum la tient dans la sienne.
Fréquemment il la porte à sa bouche et la retourne pour m’embrasser le poignet.
Il est d’une délicatesse rare et je passe un repas merveilleux.
Quand il paye le repas avec une carte « Gold », il m’entraîne dans une boîte de nuit.

- Sylvie, c’est la plus sélecte du cap.
J’y suis venu une fois depuis le début de mon séjour mais j’en suis reparti frustrer.

Il doit se foutre de moi, autour de nous des dizaines de filles toutes plus belles que moi bavent en le regardant.
Une fois de plus comme devant le réceptionniste de l’hôtel je bombe ma poitrine ni trop grosse ni trop petite, fière que ce soit moi qu’il ait choisi.
Nous dansons plusieurs séries de rocks.
Comme tout ce qu’il est ou tout ce qu’il fait, il excelle.
Au début de la journée j’étais vierge mais je savais danser.
Avec maman, dès que papa s’absentait, nous poussions la table du salon et elle me faisait tourner autour de son corps presque aussi bien que le fait Jason.
Dommage, ici à cette saison, seules les danses de jeunes ont la cote.
Je me verrais très bien danser la valse, le paso et même le tango que nous pratiquons dans des délires de rire quand maman me renversait la tête à toucher le sol.
La seule danse qu’elle a évitée de pratiquer avec moi, ce sont les slows.
Se frotter le minou entre mère et fille aurait été indécent, alors je suis frustrée.
Mais je suis avec lui, buvant du champagne, cette journée aura été celle dont je rêvais depuis des jours, semaines, mois.

- Au lit jeune fille, la bouteille de champagne est terminée et vu ton regard il est impossible que nous en reprenions une deuxième.

Je me vois mal, même si tu es un fétu de paille te porter sur mon épaule comme un sac à patates jusqu’à notre chambre.

Il est vrai que je me souviens de la deuxième coupe mais entre les rocks et les moments de repos dans les coussins moelleux, il se peut que j’en ai bu une ou deux de plus.
- Attention monsieur le loup, c’est vilain d’enivrer les jeunes filles pour mieux les manger.
Je vais le dire au garde-chasse de notre forêt qui va venir vous tuer et faire de moi sa salope de maîtresse comme Lady Chatterley.
- Oui mon petit bouchon mais je peux être le loup et le chasseur si je le veux, l’avenir te le dira…
Merci à Anne pour sa participation.

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