COLLECTION BLACK. Gazon maudit (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION BLACK. Gazon maudit (2/3)
Nous savons maintenant pourquoi mon histoire se trouve dans la collection « dominant dominé » et surtout le titre « gazon maudit. »
« Dominant dominé », car Louise la cousine d’Alice que j’ai laissée venir s’installer chez nous pendant de soi-disant travaux, en faite est la maîtresse de ma femme et est là pour venir la récupérer.
Ma femme, j’ai déjà du mal à l’admettre, mais considérer que mon fils est le leur, ça dépasse tout ce que je suis capable d’entendre.
Il faut agir dans la vie, dans mon entreprise, j’ai toujours pris le taureau par les cornes lorsque des soucis se sont fait jour.
Ça, Louise semble l’ignorer, car étant président du club de rugby de notre ville, je peux compter sur mes deuxièmes lignes, grands et bien baraqués pour la ramener à la raison.
Chose plus exceptionnelle, comment ont-ils pu se développer dans un même vagin au fond de l’utérus de leur mère, car ce sont des jumeaux.
Jumeaux, grands et baraqués et en plus aussi black qu’il est possible d’être black.
Lorsqu’ils arrivent chez moi pour m’aider à récupérer mon épouse à ma demande, les deux femmes sont en maillot au bord de la piscine que j’ai fait installé pensant que ma femme, c’était pour la vie.
Quand les frères s’asseyent de chaque côté de Louise, j’ai peur que la balancelle s’écroule sous leur poids.
Mais c’est du bon matériel surtout que lorsque Louise tente de détaler quand je lui donne l’ordre de les sucer, Moussa se lève la rattrape par le bras et la plaque au sol.
Comme nous sommes entrés nus sur la terrasse, la verge aussi développer que les muscles de ses bras, il se fait faire une fellation, me satisfaisant, mais j’en veux plus, je veux que ma vengeance soit maximale.
Je veux que cette salope goutte à leur bite, je dis bien « leur bite, » car lorsque Mohamed me propose d’en faire de même avec ma femme, je l’arrête, ma femme, c’est moi qui veux m’en occuper.
Je suis confortablement allongé sur une des chaises longues regardant comme au spectacle, ma femme prostrée sur la balancelle alors que les garçons alternativement se font sucer.
J’en arrive même à me caresser lorsque Moussa arrache le maillot si vilain de celle que je veux en faire une salope.
Bien que salope elle le soit déjà en voulant me priver des amours de ma vie.
• Pierre, je vous en supplie, demander à ces garçons d’arrêter, j’ai compris la leçon, je vais prendre mes affaires et rentrer chez moi, tu as gagné, je te laisse ta femme et ton fils.
C’est à ce moment qu’Alice décide de se redresser alors que je suis loin d’attendre une telle réaction.
• Non, les garçons, continuez, faite voir à cette pute que de bonne bite, c’est mieux qu’une simple langue.
J’étais un peu nunuche lorsqu’elle est venue dans ma chambre de jeune fille et qu’elle m’a avoué être lesbienne.
Elle m’a entraîné sur cette voie, sans que je réagisse, je dois reconnaitre que sa langue a su y faire pour me convaincre que les amours féminins étaient les seuls pouvant nous satisfaire nous les femmes.
Un jour, elle a su me mettre dans ma tête qu’il fallait que pour nous épanouir, nous ayons un enfant au sein du couple qu’elle voulait former avec moi.
C’est drôle ma femme semble transfigurée, je sens qu’en s’épanchant elle fait sa mue la portant vers moi.
• Tu te souviens Louise, tu as tiré à la courte paille pour savoir qui de toi ou moi accepterait la bite d’un homme dans sa chatte.
• Oui, ça aurait pu tomber sur moi !
• Mensonge, deux jours plus tard, j’ai descendu les ordures et j’ai vu que tu avais triché, en jouant j’étais sûr de perdre, tu avais préparé trois allumettes.
• Tu as raison mon cœur, mais s’était pour notre bien et que nous soyons heureuses ensemble avec notre fils.
• Dis-moi que ma rencontre avec Pierre était fortuite ?
• Non, là encore je le reconnais, j’avais fait des recherches, dans sa famille depuis cinq générations, s’étaient tous des filles.
Je voulais que nous ayons une fille, tu sais l’horreur que j’ai des garçons .
En plus, il avait une bonne affaire et il cherchait à se marier, mais tu m’avais juré qu’au bout d’un temps tu divorcerais pour que nous vivions tous les trois ensemble !
• Mais j’ai eu un fils, là, est la différence.
Tes plans étaient parfaits, à un détail près, je suis tombée amoureuse de la verge de mon mari.
J’ai aimé me faire pénétrer par une bite mâle et les garçons vont te faire goûter ce plaisir de sentir leur verge entrer très doucement en elle.
Je suis aux anges, ma femme m’aime, elle est à moi et mon fils aussi.
• Allez y les garçons, baiser là !
Je connaissais bien mes jumeaux queutards jusqu’au bout des doigts, Moussa se place entre les cuisses de la gouine et commence à la pénétrer.
• Merde, je rentre comme dans du beurre, Alice, tu es certaine qu’elle est vierge.
• Oui, le plaisir de cette salope lorsque nous sommes ensemble c’est de se faire fister, je lui rentre régulièrement mon point jusqu’au poignet.
À ce que je vois vous êtes bien monté, mais vous aurez de la place pour deux.
Prenez là en double vaginale.
• Non pas deux, je vous jure que j’ai compris, salopard, je sens que je vais jouir.
• Tu jouiras doublement avec leurs deux bites.
Mohamed se lève pour rejoindre son frère, athlète souplement il plante sa bite dans la chatte de Louise qui commence à gémir.
Mieux même, au fur et à mesure que les garçons entre et sortent d’elle, ses gémissements se transforment en hurlement de plaisir.
Le chant d’amour de la femelle qu’elle est à ce moment me montre qu’elle apprécie les deux verges, jusqu’à ce qu’ensemble ils explosent.
• Alors Louise, dis-moi ce que tu penses de bites dans ta chatte ?
• Salope, tu m’as trahi.
• Non, je manquais de courage pour t’avouer que je m’étais converti au sexe masculin.
Libérez là, elle sait maintenant ce que j’ai ressenti lorsque une fois ma rencontre avec Pierre, pourquoi je retardais le moment de respecter mon engagement envers elle.
Moussa et Mohamed libère ce qui était une gouine sans pour autant être une bi-sexuelle, l’avenir dira si ma vengeance pour celle qui a voulu me prendre ma femme et mon enfant a été efficace.
Mais je dois reconnaitre que je m’en fiche le principal, c’est mon fils qui dort dans sa chambre loin des turpitudes des adultes.
Louise part en courant vers la maison, je vois ses grosses pommes brimbalant de droite à gauche.
Un cul à se faire enculer, dommage j’aurais dû demander aux jumeaux de lui défoncer sa rosette.
D’un coup, la vision de mon fils dormant dans sa chambre vient me frapper, même temps que la vision de Louise entrant dans la maison.
Alice et les deux garçons me voient détaler pensant certainement qu’à mon tour, j’ai envie de goûter à son beau cul.
J’entre dans la maison au moment où Louise toujours nue sort de la chambre de Ludovic, le portant dans ses bras.
• Ou vas-tu avec mon enfant, regarde, il est terrorisé dans tes bras.
• C’est de te voir nu toi aussi qui lui fais peur, que c’est laid ce qu’il pend entre tes jambes.
• Pourtant, il y a cinq minutes, tu chantais une autre chanson avec celles de mes amis dans ta chatte.
Va le remettre dans son lit, demain il pensera avoir fait un mauvais rêve surtout lorsqu’il arrêtera de voir ta gueule de faux cul.
Louise voit qu’elle a perdue, elle retourne dans la chambre, dépose Ludovic dans son lit et sors en me fraulant.
Elle sens le stup et la luxure, après ce que les jumeaux lui ont fait subir.
Elle va dans sa chambre, je la suis.
• Sors que je m’habile !
• Non, je veux m’assurer que tu as fini de t’en prendre à nous sans nous faire un dernier coup foireux.
Avec du mal elle entre ses grosses fesses dans une culotte rose taille XXL suivi d’un jean, censé cacher son début de cellulite.
La voir se tortiller pour tous faire disparaitre est un délice pour moi, mais elle finit par y arriver.
Bref, elle prépare ses affaires et quitte notre chambre d’amis.
Au moment de retourner près de ma femme et des jumeaux, je vérifie si Ludovic dort, il est comme un chérubin suçant son pouce.
J’entends sa voiture démarrer, bye, bye la gouine.
Je passe la porte-fenêtre, ce que je vois me laisse sans voix.
• Mon chéri, viens, je t’ai dit que je voulais prendre mon destin en main...
« Dominant dominé », car Louise la cousine d’Alice que j’ai laissée venir s’installer chez nous pendant de soi-disant travaux, en faite est la maîtresse de ma femme et est là pour venir la récupérer.
Ma femme, j’ai déjà du mal à l’admettre, mais considérer que mon fils est le leur, ça dépasse tout ce que je suis capable d’entendre.
Il faut agir dans la vie, dans mon entreprise, j’ai toujours pris le taureau par les cornes lorsque des soucis se sont fait jour.
Ça, Louise semble l’ignorer, car étant président du club de rugby de notre ville, je peux compter sur mes deuxièmes lignes, grands et bien baraqués pour la ramener à la raison.
Chose plus exceptionnelle, comment ont-ils pu se développer dans un même vagin au fond de l’utérus de leur mère, car ce sont des jumeaux.
Jumeaux, grands et baraqués et en plus aussi black qu’il est possible d’être black.
Lorsqu’ils arrivent chez moi pour m’aider à récupérer mon épouse à ma demande, les deux femmes sont en maillot au bord de la piscine que j’ai fait installé pensant que ma femme, c’était pour la vie.
Quand les frères s’asseyent de chaque côté de Louise, j’ai peur que la balancelle s’écroule sous leur poids.
Mais c’est du bon matériel surtout que lorsque Louise tente de détaler quand je lui donne l’ordre de les sucer, Moussa se lève la rattrape par le bras et la plaque au sol.
Comme nous sommes entrés nus sur la terrasse, la verge aussi développer que les muscles de ses bras, il se fait faire une fellation, me satisfaisant, mais j’en veux plus, je veux que ma vengeance soit maximale.
Je veux que cette salope goutte à leur bite, je dis bien « leur bite, » car lorsque Mohamed me propose d’en faire de même avec ma femme, je l’arrête, ma femme, c’est moi qui veux m’en occuper.
Je suis confortablement allongé sur une des chaises longues regardant comme au spectacle, ma femme prostrée sur la balancelle alors que les garçons alternativement se font sucer.
J’en arrive même à me caresser lorsque Moussa arrache le maillot si vilain de celle que je veux en faire une salope.
Bien que salope elle le soit déjà en voulant me priver des amours de ma vie.
• Pierre, je vous en supplie, demander à ces garçons d’arrêter, j’ai compris la leçon, je vais prendre mes affaires et rentrer chez moi, tu as gagné, je te laisse ta femme et ton fils.
C’est à ce moment qu’Alice décide de se redresser alors que je suis loin d’attendre une telle réaction.
• Non, les garçons, continuez, faite voir à cette pute que de bonne bite, c’est mieux qu’une simple langue.
J’étais un peu nunuche lorsqu’elle est venue dans ma chambre de jeune fille et qu’elle m’a avoué être lesbienne.
Elle m’a entraîné sur cette voie, sans que je réagisse, je dois reconnaitre que sa langue a su y faire pour me convaincre que les amours féminins étaient les seuls pouvant nous satisfaire nous les femmes.
Un jour, elle a su me mettre dans ma tête qu’il fallait que pour nous épanouir, nous ayons un enfant au sein du couple qu’elle voulait former avec moi.
C’est drôle ma femme semble transfigurée, je sens qu’en s’épanchant elle fait sa mue la portant vers moi.
• Tu te souviens Louise, tu as tiré à la courte paille pour savoir qui de toi ou moi accepterait la bite d’un homme dans sa chatte.
• Oui, ça aurait pu tomber sur moi !
• Mensonge, deux jours plus tard, j’ai descendu les ordures et j’ai vu que tu avais triché, en jouant j’étais sûr de perdre, tu avais préparé trois allumettes.
• Tu as raison mon cœur, mais s’était pour notre bien et que nous soyons heureuses ensemble avec notre fils.
• Dis-moi que ma rencontre avec Pierre était fortuite ?
• Non, là encore je le reconnais, j’avais fait des recherches, dans sa famille depuis cinq générations, s’étaient tous des filles.
Je voulais que nous ayons une fille, tu sais l’horreur que j’ai des garçons .
En plus, il avait une bonne affaire et il cherchait à se marier, mais tu m’avais juré qu’au bout d’un temps tu divorcerais pour que nous vivions tous les trois ensemble !
• Mais j’ai eu un fils, là, est la différence.
Tes plans étaient parfaits, à un détail près, je suis tombée amoureuse de la verge de mon mari.
J’ai aimé me faire pénétrer par une bite mâle et les garçons vont te faire goûter ce plaisir de sentir leur verge entrer très doucement en elle.
Je suis aux anges, ma femme m’aime, elle est à moi et mon fils aussi.
• Allez y les garçons, baiser là !
Je connaissais bien mes jumeaux queutards jusqu’au bout des doigts, Moussa se place entre les cuisses de la gouine et commence à la pénétrer.
• Merde, je rentre comme dans du beurre, Alice, tu es certaine qu’elle est vierge.
• Oui, le plaisir de cette salope lorsque nous sommes ensemble c’est de se faire fister, je lui rentre régulièrement mon point jusqu’au poignet.
À ce que je vois vous êtes bien monté, mais vous aurez de la place pour deux.
Prenez là en double vaginale.
• Non pas deux, je vous jure que j’ai compris, salopard, je sens que je vais jouir.
• Tu jouiras doublement avec leurs deux bites.
Mohamed se lève pour rejoindre son frère, athlète souplement il plante sa bite dans la chatte de Louise qui commence à gémir.
Mieux même, au fur et à mesure que les garçons entre et sortent d’elle, ses gémissements se transforment en hurlement de plaisir.
Le chant d’amour de la femelle qu’elle est à ce moment me montre qu’elle apprécie les deux verges, jusqu’à ce qu’ensemble ils explosent.
• Alors Louise, dis-moi ce que tu penses de bites dans ta chatte ?
• Salope, tu m’as trahi.
• Non, je manquais de courage pour t’avouer que je m’étais converti au sexe masculin.
Libérez là, elle sait maintenant ce que j’ai ressenti lorsque une fois ma rencontre avec Pierre, pourquoi je retardais le moment de respecter mon engagement envers elle.
Moussa et Mohamed libère ce qui était une gouine sans pour autant être une bi-sexuelle, l’avenir dira si ma vengeance pour celle qui a voulu me prendre ma femme et mon enfant a été efficace.
Mais je dois reconnaitre que je m’en fiche le principal, c’est mon fils qui dort dans sa chambre loin des turpitudes des adultes.
Louise part en courant vers la maison, je vois ses grosses pommes brimbalant de droite à gauche.
Un cul à se faire enculer, dommage j’aurais dû demander aux jumeaux de lui défoncer sa rosette.
D’un coup, la vision de mon fils dormant dans sa chambre vient me frapper, même temps que la vision de Louise entrant dans la maison.
Alice et les deux garçons me voient détaler pensant certainement qu’à mon tour, j’ai envie de goûter à son beau cul.
J’entre dans la maison au moment où Louise toujours nue sort de la chambre de Ludovic, le portant dans ses bras.
• Ou vas-tu avec mon enfant, regarde, il est terrorisé dans tes bras.
• C’est de te voir nu toi aussi qui lui fais peur, que c’est laid ce qu’il pend entre tes jambes.
• Pourtant, il y a cinq minutes, tu chantais une autre chanson avec celles de mes amis dans ta chatte.
Va le remettre dans son lit, demain il pensera avoir fait un mauvais rêve surtout lorsqu’il arrêtera de voir ta gueule de faux cul.
Louise voit qu’elle a perdue, elle retourne dans la chambre, dépose Ludovic dans son lit et sors en me fraulant.
Elle sens le stup et la luxure, après ce que les jumeaux lui ont fait subir.
Elle va dans sa chambre, je la suis.
• Sors que je m’habile !
• Non, je veux m’assurer que tu as fini de t’en prendre à nous sans nous faire un dernier coup foireux.
Avec du mal elle entre ses grosses fesses dans une culotte rose taille XXL suivi d’un jean, censé cacher son début de cellulite.
La voir se tortiller pour tous faire disparaitre est un délice pour moi, mais elle finit par y arriver.
Bref, elle prépare ses affaires et quitte notre chambre d’amis.
Au moment de retourner près de ma femme et des jumeaux, je vérifie si Ludovic dort, il est comme un chérubin suçant son pouce.
J’entends sa voiture démarrer, bye, bye la gouine.
Je passe la porte-fenêtre, ce que je vois me laisse sans voix.
• Mon chéri, viens, je t’ai dit que je voulais prendre mon destin en main...
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