COLLECTION BLACK. J’ai oublié mon porte-monnaie (1/1) - histoire érotique

• S’il vous plait, madame, ça vous fera 42,40 €.
• Merci, vous savez ce que sont les femmes et leur sac à main, je cherche mon porte-monnaie où se trouve ma carte bleue.

Je pose mon sac sur la caisse de mon supermarché, mais j’ai beau fouiller, retourner, rien.
J’ai failli sortir devant tout le monde mon tampon de rechange.
D’un coup ça me revient, mon mari a reçu un recommandé et j’ai sorti mon porte-monnaie.
Mince, je vais devoir revenir, il est resté sur le guéridon de l’entrée.

• Je vais devoir revenir, j’ai oublié de prendre de quoi payer.
• Non, madame, je vais vous prêter un peu d’argent, je me verrais mal priver votre poupon de son lait pour son petit déjeuner.

Je me retourne, c’est un grand black fort bien fait qui me tend un billet de 50 €.

• Merci, je suis venu en urgence, quand j’ai voulu faire le biberon de Jules.
J’ai vu que la boîte était vide sans me rendre compte que je laissais mon porte-monnaie où se trouve ma carte bleue.
J’ai pris du lait mais aussi quelques petites choses.
Claude garde Jules en attendant mon retour.
• Je suppose que Claude est votre mari et que c’est le papa de Jules pour qui vous venez chercher ces boîtes de lait maternisé.
Il aurait pu venir au lieu de vous faire courir au point d’oublier votre argent.
• Oui, mais il y a plusieurs variétés de laits et Jules à quatre mois et refuse tout autre lait que celui que je viens de prendre.
L’autre jour, Claude est venu faire les courses et il m’a rapporté des boîtes que l’on a offertes aux restos du cœur, car Jules a vomi plusieurs fois après avoir bu son biberon.

Je paye et j’attends mon sauveur, j’ai laissé Jules à son père pleurant parce qu’il avait faim.
Faim, mais pas au point de partir en courant.
Il faut que ce jeune homme d'une dizaine d’années de moins que moi me donne son adresse pour que je le rembourse.
Non, je vous vois venir, un beau black, Sissy presque trente ans, elle lui demande son adresse pour venir s’occuper de sa grosse queue en venant lui rendre son argent.
Vous vous trompez, je suis mariée à Claude depuis dix ans et je lui suis fidèle.
Si nous avons mis du temps pour avoir Jules, c’est, car je faisais un déni de grossesse qui m’a poursuivi pendant des années.
C’est par des examens et des psys que j’ai surmonté tout ça et que Jules est né.
Une seule conséquence à tout cela, ça fait plusieurs semaines que j’ai eu mon retour de couches, mais je me refuse à Claude, j’ignore pourquoi.
Je vais en parler avec lui, je vais retourner consulter, je pense.

• 30 rue du Tertre, Karim pour vous être agréable.
Vous sonnez et je vous ouvrirai, je suis au dernier étage dans les chambres de bonne.
Je suis étudiant et je travaille la nuit dans un parking pour payer mes études.
Allez, filez, pour l’argent, j’ai le temps.
Je peux dormir la nuit entre deux rondes avec le chien et dans la journée je fais des études de médecine, je suis en quatrième année.
• Comptez sur moi, je passerai rapidement.

Trois jours après, j’ai oublié ma dette, avec mon mari, ça a chauffé hier au soir, il a essayé de me caresser et j’ai failli le gifler.
Ma main s’est arrêtée à deux centimètres de son visage, car il me l’a saisie fortement.
Nous avons passé la nuit à jouer les culs tournés.
Cette après-midi, comme tous les mercredis, maman est venue garder Jules.
C’est au supermarché que la caissière me rappelle ma dette.

• Il a été sympa ce jeune homme l’autre jour !

Dès que je sors ayant pris de l’argent au distributeur, je prends la direction de la rue du Tertre, trois rues plus loin de chez moi.
Je dépose mes paquets dans ma voiture récupérant la boîte de gâteau que j’ai pris pour remercier maman.
Je sonne sur le bouton où est marqué « Karim », ça répond.

• C’est Sissy, je m’excuse, j’avais oublié de vous ramener l’argent.
• Je t’ouvre !

L’ascenseur, dernier étage.
Un escalier, une pancarte avec des noms.
Karim porte 3.
Je comprends, les proprios ont recyclé les chambres de bonne en logements pour des étudiants, nous sommes près de la fac.
Je grimpe deux par deux les marches jusqu’au palier où se trouve un long couloir.
La porte 3 est ouverte, Karim est là en boxer moulant.

• Entre, je m’excuse, je viens de me doucher et j’allais déjeuner avant de me mettre devant mes livres, le mercredi, je travaille à domicile.

J’aurais dû empêcher qu’il me tutoie, mais je sais que je lui suis redevable, alors j’en fais de même.

• Je te dérange si tu dois travailler tes cours !
• Non, j’apprends facilement et cette leçon que je travaille, en vue d’une interro, je la maitrise, je dois simplement revoir deux ou trois points.
Je te fais entrer dans mon petit espace, ici, le loyer est abordable pour moi.
Donne ton manteau, il fait chaud dans cette petite mansarde, je venais de démarrer la cafetière quand tu as sonné !
À moins que tu préfères du thé à la menthe, j’en ai des sachets.
Je vois que tu as amené une boîte de gâteaux, c'était inutile.
• Non, un café se sera parfait, pour les gâteaux, c’est normal, je dois reconnaître que je suis un peu gourmande.
• Assieds-toi sur le lit, la pièce est si petite que même, une chaise serait impossible à placer.

Je m’assieds, ma courte robe remonte, le lit est bas.
J’aime être courte vêtu, mais dans le mouvement, elle remonte plus que de raison.
Plus que de raison, car immanquablement ma petite culotte rose apparaît.
En gentleman, Karim tourne les yeux, mais sans voir qu’il rougit, je sais qu’il a eu une vision positive pour un homme de son âge.
Il bande, je le vois au boxer qui se tend et où une pointe noire commence à sortir.
Il se retourne, faisant celui qui veut nous servir le café, mais saisissant la cafetière, il est bien obligé de se retourner.
Le mal est plus profond, son gland est carrément sorti.
Un gland noir bien sûr, mais un gland dépassant l’entendement, un gland phénoménal.
Je comprends qu’il dépasse avec ce qu’il doit y avoir pour le soutenir.
Félin, il pose la cafetière, saisit deux tasses sur une étagère, pose le tout sur la table et bondissant saute sur le lit pour venir s’asseoir près de moi.
Le mal est plus profond au point où comme je suis placée sa bite étant à un mètre se trouve à cinquante centimètres de ma main.
Il voit bien que je vois et je vois bien que ma petite culotte est encore plus visible, car les ressorts du matelas ayant joué, ma jupe est encore plus remontée !
De plus, Karim a une vue plongeante sur mes seins encore fort développés depuis la naissance de Jules.
Il a vu ma culotte rose, c’est certain, maintenant il sait que mon soutif est assorti à la culotte.

• Je vais me relever Sissy et aller faire un tour sur le palier pour redevenir présentable.
• Non, reste.

J’allais rajouter, « je vais tourner la tête, c’est normal à ton âge de bander. »Mais je fais un mouvement de la main qui touche ce gland.
Je me refuse à Claude, mais d’un coup je retrouve l’envie de sexe.
Je glisse ma main entre chair et élastique sortant cette bite qui d’un coup me fait envie.
Il pourrait me repousser, mais sa main vient derrière ma tête et me regardant de façon si intense, le mouvement qu’il fait m’oblige à sortir ma langue.

• Lèche ma belle, sans le vouloir elle est pour toi !

Sans le vouloir au début, je le masturbe, je le lèche, je joue avec son gland dans l’impossibilité de le faire entrer dans ma bouche.
Comme je l’ai dit, il est félin et se reculant s’installe dos sur son oreiller en ôtant son boxer.
Moi-même je me glisse la chatte à la hauteur de ce pieu, de cette hampe, de ce mât, que dis-je de ce cap, de cette péninsule.
Je recommence à le lécher avant de l’enfourcher écartant simplement mon morceau de tissu trempé par ma cyprine.
Il est félin, je suis une vraie louve sentant mon utérus tout juste remis de mon accouchement être compressé.
J’ai eu quelques amants avant Claude dont mon beau-père, c’est lui qui m’a dépucelée.
On va croire que je suis une salope, certes, avant la naissance de mon fils, j’aimais le sexe, mais j’avais rompu avec Georges rencontré lors d’un pot de fin d’année avant de rencontrer son fils Claude.
Quand ce dernier m’a présentée à ses parents, lorsque j’ai vu son père, mon cœur a fait un bond, mais Georges a été beau joueur et nous avons fêté ma grossesse chacun connaissant notre passé.

• Encore, encore, encore...

C’est trois « encore », je m’en souviens, ce que je dis après, rideau jusqu’à l’explosion de nos sexes et l’orgasme qui me traverse.

• Excuse, c’était une erreur, j’aime le père de mon fils, adieu.

Lorsque ma tenue est de nouveau correcte, je quitte mon amant noir, comme si j’avais un chien au cul.
De retour chez moi, je retrouve ma mère, je vais prendre un bain avant d’aller m’occuper de Jules.
Le soir est-ce par remords de l’avoir trompé, je me donne à Claude enchanté de retrouver sa petite femme.
Toute la semaine, chaque fois qu’il le désire, je fais l’amour.

• Karim, c’est moi, je me suis aperçue que je t’avais fui mercredi dernier, j’ai oublié de rendre tes 50 €.
• Tu as amené des gâteaux, tu sais que j’ai du café.
• Oui, avec de la chantilly...
• Monte, tu connais le chemin.

Combien de mercredi vais-je oublier de lui rendre ses 50 € la chatte et les seins libres de toute entrave en passant à la boulangerie récupérer les choux à la crème que j’aurais commandés ???