COLLECTION BLACK. L’accident de la Mustang (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. L’accident de la Mustang (1/1)
• Oui, dans une heure, chez vous, je prends mes échantillons et je viens chez vous, vous me ferez voir la pièce à redécorer et nous choisirons ensemble les tons dans lesquels nous la referons.
Oui, j’ai bien votre adresse sur le mail que vous m’avez envoyé.
Sabrina décoratrice, c’est le site qu’Alexander m’a créé bien que de bouche à oreille, j’ai de nombreux contrats.
Alexander, l’homme de ma vie depuis cinq ans, sans l’ombre d’un nuage.
Ce grand Californien, je l’ai rencontré dans une boîte de nuit où Josiane ma copine m’avait traîné.
Alexander était en France, car il tient un dictionnaire des vins du monde sur un site Internet et à ce titre voyage dans tous les pays possibles ou il y a des vignes.
Bref, en sortie de boîte, comme il m’arrivait de temps en temps, lorsque Josiane me tirait de mon lit, nous étions en mode « salope » et ce grand Américain m’a fait envie.
Ce que j’ignorais c’est que sa bite, au lieu d’être pour une fois lors d’une seule soirée et nuit deviendrait mon quotidien après que je lui ai dit « oui ».
Nous nous sommes installés dans le 16e près de la maison de la radio dans un appartement donnant sur la Seine.
Superbe appartement, superbe panorama et formidable mari qui sait toujours quelles sont mes envies dans le courant de la vie et dans notre lit ou pas.
Bref, à 28 ans, je suis une femme comblée voyageant très souvent lorsque je le peux suivant mon plan de travail.
Là, ça fait presque huit jours qu’il est parti pour les États-Unis principalement la Californie dans les terres à vignes alors qu’il est de Sacramento.
Nous sommes vendredi et il rentre lundi par un vol le faisant débarquer à Orly en début d’après-midi.
Je dois aller le chercher avec ma Cactus rouge et noir dont j’ignore la marque.
Ma voiture est dans le garage de l’immeuble où ayant deux places de stationnement.
Je vais pour l’ouvrir quand je vois celle d’Alexander garé à côté de la mienne.
C’est un modèle Ford mustang des années 60, véritable voiture de collection que mon mari a fait venir quand il a décidé de devenir parisien.
Si je connais les détails de sa voiture sans connaître la mienne, c’est que chaque fois que nous la prenons, il se plaît à répondre aux gens en citant les détails que j’ai donnés.
Il est autant amoureux de moi que de sa voiture.
Depuis qu’elle est là, il m’a conduit sans jamais que je la conduise.
Une idée folle me vient, le garage est sous surveillance et il laisse toujours les clefs derrière le pare-soleil.
Je décide de faire une folie en la conduisant pour aller chez ma cliente.
Je m’installe, ma courte jupe remontante, vu la longueur et la voiture surbaissée.
Je vois ma petite culotte rose, mais j’aime être un peu provocante surtout dans les rues de Paris quand un bus vient se placer à ma hauteur.
C’est fini avec la Cactus plus haute, mais là je vais m’éclater.
Le rendez-vous se passe sans soucis, la cliente va signer le devis que je lui ai proposé et que je vais lui envoyé.
La voiture est bien garée, inutile de me prendre un PV qui montrerait à mon époux que j’ai emprunté sa voiture.
Je vais pour sortir de la place de stationnement quand un connard passe me faisant peur en me klaxonnant.
Je donne un coup de volant malencontreux et je touche sur l’avant.
Descendue, c’est la cata, le phare et l’aile ont tapé un poteau délimitant les places de stationnement.
La cata, vendredi 16 heures, smartphone, mustang, garage.
Nord de Paris à quelques kilomètres d’où je suis.
• Ma pauvre petite dame, un vendredi à 17 heures, revenez mardi, je vous marque sur ma liste d’attente.
Rappelez-moi, je vous dirais quand me la rapporter.
Vu les dégâts, évitez de rouler de nuit, la maréchaussée est très sévère la nuit.
Cata, je prends sa carte.
Une idée Josiane, elle sait toujours trouver une solution à tous.
Je la consulte dans mon travail quand un petit problème survient, elle est de bon conseil.
• Là, tu es sérieusement dans le caca, pour éviter de dire dans la merde à la veille d’un week-end.
Avec les 35 heures, leurs ateliers sont tous fermés, les samedis et dimanches.
Tous juste les ventes neuves et d’occasions le sont.
Attends, j’ai une idée, tu es dans le Nord de Paris, j’ai eu ce genre de soucis.
Il y a un garage à Saint-Denis où le patron Abbud travaille seul et qui serait susceptible de te faire la réparation avant que ton mari revienne.
Tu as raison, connaissant Alexander avec son amour pour sa voiture, le divorce se rapproche.
Une dernière chose avant que je t’envoie son adresse, tu verras c’est un grand noir baraqué qui t’offrira même des moyens pour le paiement.
18 heures, une impasse un peu louche, un volet de fer baissé, trop tard, il a fermé.
Une petite porte, je frappe, ça bouge.
La porte s’ouvre, avant mon mariage, c’est le type d’homme que j’aurais emmené pour une nuit de folie, me battant presque avec Josiane à savoir laquelle se le mettrait dans son lit.
Une fois, l’un d’eux voulait que nous fassions une partie à trois, j’avais décliné l’invitation.
• Je vois, oui c’est faisable, le phare, j’ai une petite combine avec une casse.
• Pour la tôle, j’ai ce qu’il faut pour tout redresser et refaire la peinture.
Je sens que ça va me couter un max, mais là aucun problème.
Demain, j’irai à la banque retirer du liquide sur mon compte, c’est le genre de garagiste qui fait ce genre de choses au noir et qui veut du liquide.
Du black par un black, je suis à deux doigts de pouffer.
• Combien, voyons.
Il me prend par la main et me fait tourner sur moi-même.
• J’aurais du travail en prenant une sécurité jusqu’à dimanche matin.
Vous venez dimanche à 13 heures et vous aurez vos clefs à 17 heures.
• À 17 heures, pourquoi tout ce temps ?
• Au-dessus de mon garage, j’ai mon appartement avec un très bon lit, vous comprenez ce que je vous propose.
Que trop, il me prend pour une pute.
• Dommage, vous me plaisiez, réfléchissez, si vous êtes ici à cette heure, c’est que vous avez peur de la réaction de votre mari qui doit rentrer en début de semaine.
Je me trompe.
• Non, c’est sa voiture de collection.
• Josiane, ton amie qui t’a donné mon adresse, a eu le même souci il y a trois mois, elle a eu moins de scrupule.
Je note le tutoiement, mais je monte en voiture tellement vite qu’il peut ignorer que ma culotte est rose.
Je tourne la clef de contact.
Il me balance une phrase dont je dois mettre en forme les derniers mots.
• Je reste là une demi-heure, je suis sûr que...
Je comprends qu’il dit que je vais revenir.
J’ai bien assimilé le temps que j’ai pour réfléchir.
Si j’ai bien compris, Josiane a vendu son corps pour éviter des problèmes qu’elle aurait eux avec Jacques, son mari.
• Tu as été plus rapide à prendre ta décision que d’autres, tu veux refaire un tour, tu as encore dix minutes, je veux que ce soit ton choix.
Il a une façon de ce foutre de ma gueule sur de son chantage, mais ai-je le choix.
Alexander aurait du mal à accepter que j’ai emprunté sa voiture sans son accord et que je l’ai cassé, même s’il y a plus grave.
Mais les pièces d’une voiture de ces années-là, je me demande si tous puissent se les procurer, prenons l’optique par exemple.
Je coupe le contact.
• Je savais ta réponse finale, j’ai appelé un véhicule Uber pour te raccompagner chez toi.
Tient le voilà.
À dimanche 13 heures.
Nuit blanche, bon, il est beau gosse, comme je l’ai dit, du temps de mon célibat, à part sa couleur, jamais de black dans mon lit.
De toute façon, je suis coincée, je pense qu’il est capable d’envoyer la facture à mon homme.
J’ai fait une erreur d’accepter ce Uber, il m’a déposé devant notre immeuble.
De toute façon je dois bien récupérer la voiture et les clefs.
• Regarde, elle est comme neuve.
J’ai même remis de la boue sous les ailes si par hasard ton homme est soupçonneux.
• Incroyable, elle est comme neuve, merci.
• Suis-moi, on a bien dit 17 heures, tu seras libre.
Il est galant, il me prend la main, je dois être honnête, je mouille.
Combien, de femme voudrait être à ma place surtout quand entré dans son logement il me plaque le long de la paroi en verre opaque nous séparant de l’atelier.
C’est moi qui lui défais sa ceinture pour dégager sa verge.
J’ai de la chance, il est bien monté.
Nul besoin qu’il m’appuie sur la tête pour que j’essaye de le faire rentrer dans ma bouche.
Avec Alexander, je lui fais des gorges profondes comme à presque tous mes amants.
Là je dois me contenter de le masturber en lui caressant les testicules et la verge.
C’est lui qui prend l’initiative, il me redresse, me prend sous la jambe et me plante me faisait hurler de plaisir quand sa bite monte lentement en moi.
Je deviens chienne, j’en veux toujours plus, alors que je m’étais promis de rester sans bouger subissant mon sort.
Il m’aurait déçu s’il m’avait baisé dans son lit comme deux vieux époux, surtout d’Alexander, le fait de plus en plus.
Sur la table de la salle, dans la cuisine, classiquement là encore sur une chaise, lui assis, moi empalée.
• Il est l’heure de rentrer chez toi, nous avons tous les deux respecté notre contrat.
Je vois que tu as aimé, combien d’orgasme as-tu eu.
J’ai du mal à lui répondre, nous sommes venus dans son salon boire un café et je recommence à lui sucer la queue.
C’est une dernière fois qu’il me prend en levrette, me prenant par les seins les tirants divinement en même temps qu’il me met de grands coups de queue.
Combien d’orgasme, celui que je ressens avant de quitter le garage.
Je suis tellement crevée, que je dors comme un bébé manquant de manquer l’heure de l’avion.
Je joue la femme contente de retrouver son homme.
J’ai pris ma Cactus.
Je me gare à côté de la Mustang.
Alexander descend et monte dans sa voiture.
Je le vois regarder dans son pare-soleil.
Il descend et me prend dans ses bras.
• Tu as pris la Mustang !
• Oui, je voulais l’essayer.
• Tu as bien fait, j’ai failli te téléphoner pour te dire qu’elle était aussi bien à toi qu’à moi.
Tu sais que j’ai du mal à calculer les fuseaux horaires et j’ai eu peur de te réveiller.
Il m’embrasse me montrant tout l’amour qu’il a pour moi qui l’ai honteusement trompé.
Deux jours qu’il est de retour, son portable sonne alors que nous regardons la télé, moi blotti dans ses bras.
Je rêvais à une verge noire.
• Sabrina, je dois aller trois jours à Londres, Hubert mon homologue anglais veut que nous décidions d’une stratégie à la suite du brexit.
Je prendrais un taxi pour me conduire à l’Eurostar.
Il est parti.
• Abbud, c’est Sabrina.
• J’avais reconnu ta voix.
• Es-tu libre demain soir ?
• Oui, tu peux venir.
Pour une fois, s’est-moi qui marque un point sur Josiane.
Oui, j’ai bien votre adresse sur le mail que vous m’avez envoyé.
Sabrina décoratrice, c’est le site qu’Alexander m’a créé bien que de bouche à oreille, j’ai de nombreux contrats.
Alexander, l’homme de ma vie depuis cinq ans, sans l’ombre d’un nuage.
Ce grand Californien, je l’ai rencontré dans une boîte de nuit où Josiane ma copine m’avait traîné.
Alexander était en France, car il tient un dictionnaire des vins du monde sur un site Internet et à ce titre voyage dans tous les pays possibles ou il y a des vignes.
Bref, en sortie de boîte, comme il m’arrivait de temps en temps, lorsque Josiane me tirait de mon lit, nous étions en mode « salope » et ce grand Américain m’a fait envie.
Ce que j’ignorais c’est que sa bite, au lieu d’être pour une fois lors d’une seule soirée et nuit deviendrait mon quotidien après que je lui ai dit « oui ».
Nous nous sommes installés dans le 16e près de la maison de la radio dans un appartement donnant sur la Seine.
Superbe appartement, superbe panorama et formidable mari qui sait toujours quelles sont mes envies dans le courant de la vie et dans notre lit ou pas.
Bref, à 28 ans, je suis une femme comblée voyageant très souvent lorsque je le peux suivant mon plan de travail.
Là, ça fait presque huit jours qu’il est parti pour les États-Unis principalement la Californie dans les terres à vignes alors qu’il est de Sacramento.
Nous sommes vendredi et il rentre lundi par un vol le faisant débarquer à Orly en début d’après-midi.
Je dois aller le chercher avec ma Cactus rouge et noir dont j’ignore la marque.
Ma voiture est dans le garage de l’immeuble où ayant deux places de stationnement.
Je vais pour l’ouvrir quand je vois celle d’Alexander garé à côté de la mienne.
C’est un modèle Ford mustang des années 60, véritable voiture de collection que mon mari a fait venir quand il a décidé de devenir parisien.
Si je connais les détails de sa voiture sans connaître la mienne, c’est que chaque fois que nous la prenons, il se plaît à répondre aux gens en citant les détails que j’ai donnés.
Il est autant amoureux de moi que de sa voiture.
Depuis qu’elle est là, il m’a conduit sans jamais que je la conduise.
Une idée folle me vient, le garage est sous surveillance et il laisse toujours les clefs derrière le pare-soleil.
Je décide de faire une folie en la conduisant pour aller chez ma cliente.
Je m’installe, ma courte jupe remontante, vu la longueur et la voiture surbaissée.
Je vois ma petite culotte rose, mais j’aime être un peu provocante surtout dans les rues de Paris quand un bus vient se placer à ma hauteur.
C’est fini avec la Cactus plus haute, mais là je vais m’éclater.
Le rendez-vous se passe sans soucis, la cliente va signer le devis que je lui ai proposé et que je vais lui envoyé.
La voiture est bien garée, inutile de me prendre un PV qui montrerait à mon époux que j’ai emprunté sa voiture.
Je vais pour sortir de la place de stationnement quand un connard passe me faisant peur en me klaxonnant.
Je donne un coup de volant malencontreux et je touche sur l’avant.
Descendue, c’est la cata, le phare et l’aile ont tapé un poteau délimitant les places de stationnement.
La cata, vendredi 16 heures, smartphone, mustang, garage.
Nord de Paris à quelques kilomètres d’où je suis.
• Ma pauvre petite dame, un vendredi à 17 heures, revenez mardi, je vous marque sur ma liste d’attente.
Rappelez-moi, je vous dirais quand me la rapporter.
Vu les dégâts, évitez de rouler de nuit, la maréchaussée est très sévère la nuit.
Cata, je prends sa carte.
Une idée Josiane, elle sait toujours trouver une solution à tous.
Je la consulte dans mon travail quand un petit problème survient, elle est de bon conseil.
• Là, tu es sérieusement dans le caca, pour éviter de dire dans la merde à la veille d’un week-end.
Avec les 35 heures, leurs ateliers sont tous fermés, les samedis et dimanches.
Tous juste les ventes neuves et d’occasions le sont.
Attends, j’ai une idée, tu es dans le Nord de Paris, j’ai eu ce genre de soucis.
Il y a un garage à Saint-Denis où le patron Abbud travaille seul et qui serait susceptible de te faire la réparation avant que ton mari revienne.
Tu as raison, connaissant Alexander avec son amour pour sa voiture, le divorce se rapproche.
Une dernière chose avant que je t’envoie son adresse, tu verras c’est un grand noir baraqué qui t’offrira même des moyens pour le paiement.
18 heures, une impasse un peu louche, un volet de fer baissé, trop tard, il a fermé.
Une petite porte, je frappe, ça bouge.
La porte s’ouvre, avant mon mariage, c’est le type d’homme que j’aurais emmené pour une nuit de folie, me battant presque avec Josiane à savoir laquelle se le mettrait dans son lit.
Une fois, l’un d’eux voulait que nous fassions une partie à trois, j’avais décliné l’invitation.
• Je vois, oui c’est faisable, le phare, j’ai une petite combine avec une casse.
• Pour la tôle, j’ai ce qu’il faut pour tout redresser et refaire la peinture.
Je sens que ça va me couter un max, mais là aucun problème.
Demain, j’irai à la banque retirer du liquide sur mon compte, c’est le genre de garagiste qui fait ce genre de choses au noir et qui veut du liquide.
Du black par un black, je suis à deux doigts de pouffer.
• Combien, voyons.
Il me prend par la main et me fait tourner sur moi-même.
• J’aurais du travail en prenant une sécurité jusqu’à dimanche matin.
Vous venez dimanche à 13 heures et vous aurez vos clefs à 17 heures.
• À 17 heures, pourquoi tout ce temps ?
• Au-dessus de mon garage, j’ai mon appartement avec un très bon lit, vous comprenez ce que je vous propose.
Que trop, il me prend pour une pute.
• Dommage, vous me plaisiez, réfléchissez, si vous êtes ici à cette heure, c’est que vous avez peur de la réaction de votre mari qui doit rentrer en début de semaine.
Je me trompe.
• Non, c’est sa voiture de collection.
• Josiane, ton amie qui t’a donné mon adresse, a eu le même souci il y a trois mois, elle a eu moins de scrupule.
Je note le tutoiement, mais je monte en voiture tellement vite qu’il peut ignorer que ma culotte est rose.
Je tourne la clef de contact.
Il me balance une phrase dont je dois mettre en forme les derniers mots.
• Je reste là une demi-heure, je suis sûr que...
Je comprends qu’il dit que je vais revenir.
J’ai bien assimilé le temps que j’ai pour réfléchir.
Si j’ai bien compris, Josiane a vendu son corps pour éviter des problèmes qu’elle aurait eux avec Jacques, son mari.
• Tu as été plus rapide à prendre ta décision que d’autres, tu veux refaire un tour, tu as encore dix minutes, je veux que ce soit ton choix.
Il a une façon de ce foutre de ma gueule sur de son chantage, mais ai-je le choix.
Alexander aurait du mal à accepter que j’ai emprunté sa voiture sans son accord et que je l’ai cassé, même s’il y a plus grave.
Mais les pièces d’une voiture de ces années-là, je me demande si tous puissent se les procurer, prenons l’optique par exemple.
Je coupe le contact.
• Je savais ta réponse finale, j’ai appelé un véhicule Uber pour te raccompagner chez toi.
Tient le voilà.
À dimanche 13 heures.
Nuit blanche, bon, il est beau gosse, comme je l’ai dit, du temps de mon célibat, à part sa couleur, jamais de black dans mon lit.
De toute façon, je suis coincée, je pense qu’il est capable d’envoyer la facture à mon homme.
J’ai fait une erreur d’accepter ce Uber, il m’a déposé devant notre immeuble.
De toute façon je dois bien récupérer la voiture et les clefs.
• Regarde, elle est comme neuve.
J’ai même remis de la boue sous les ailes si par hasard ton homme est soupçonneux.
• Incroyable, elle est comme neuve, merci.
• Suis-moi, on a bien dit 17 heures, tu seras libre.
Il est galant, il me prend la main, je dois être honnête, je mouille.
Combien, de femme voudrait être à ma place surtout quand entré dans son logement il me plaque le long de la paroi en verre opaque nous séparant de l’atelier.
C’est moi qui lui défais sa ceinture pour dégager sa verge.
J’ai de la chance, il est bien monté.
Nul besoin qu’il m’appuie sur la tête pour que j’essaye de le faire rentrer dans ma bouche.
Avec Alexander, je lui fais des gorges profondes comme à presque tous mes amants.
Là je dois me contenter de le masturber en lui caressant les testicules et la verge.
C’est lui qui prend l’initiative, il me redresse, me prend sous la jambe et me plante me faisait hurler de plaisir quand sa bite monte lentement en moi.
Je deviens chienne, j’en veux toujours plus, alors que je m’étais promis de rester sans bouger subissant mon sort.
Il m’aurait déçu s’il m’avait baisé dans son lit comme deux vieux époux, surtout d’Alexander, le fait de plus en plus.
Sur la table de la salle, dans la cuisine, classiquement là encore sur une chaise, lui assis, moi empalée.
• Il est l’heure de rentrer chez toi, nous avons tous les deux respecté notre contrat.
Je vois que tu as aimé, combien d’orgasme as-tu eu.
J’ai du mal à lui répondre, nous sommes venus dans son salon boire un café et je recommence à lui sucer la queue.
C’est une dernière fois qu’il me prend en levrette, me prenant par les seins les tirants divinement en même temps qu’il me met de grands coups de queue.
Combien d’orgasme, celui que je ressens avant de quitter le garage.
Je suis tellement crevée, que je dors comme un bébé manquant de manquer l’heure de l’avion.
Je joue la femme contente de retrouver son homme.
J’ai pris ma Cactus.
Je me gare à côté de la Mustang.
Alexander descend et monte dans sa voiture.
Je le vois regarder dans son pare-soleil.
Il descend et me prend dans ses bras.
• Tu as pris la Mustang !
• Oui, je voulais l’essayer.
• Tu as bien fait, j’ai failli te téléphoner pour te dire qu’elle était aussi bien à toi qu’à moi.
Tu sais que j’ai du mal à calculer les fuseaux horaires et j’ai eu peur de te réveiller.
Il m’embrasse me montrant tout l’amour qu’il a pour moi qui l’ai honteusement trompé.
Deux jours qu’il est de retour, son portable sonne alors que nous regardons la télé, moi blotti dans ses bras.
Je rêvais à une verge noire.
• Sabrina, je dois aller trois jours à Londres, Hubert mon homologue anglais veut que nous décidions d’une stratégie à la suite du brexit.
Je prendrais un taxi pour me conduire à l’Eurostar.
Il est parti.
• Abbud, c’est Sabrina.
• J’avais reconnu ta voix.
• Es-tu libre demain soir ?
• Oui, tu peux venir.
Pour une fois, s’est-moi qui marque un point sur Josiane.
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