COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (2/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (2/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (2/5)
Alors que j’ai crevé avec ma voiture à quelques mètres de chez moi, je vais chercher mon mari que je trouve dans une situation plus que gênante.
Il est en train de se faire sodomiser par son copain Adrien sur un transat dans le jardin.

Je fuis et je reviens vers ma voiture, mais il m’est impossible de desserrer ma roue.
Dans le jardin derrière moi un homme me propose de m’aider et ce grand black d’au moins deux mètres après me l’avoir changé me permet de me laver les mains et aussi ma robe.
La maison est squattée. Il m’entraîne dans la cuisine où il m’ordonne de me déshabiller.

Chose faite, je suis devant lui en soutien-gorge et petite culotte sur mes talons hauts. Mon black avec ses grands battoires frotte énergiquement ma robe sans grande efficacité sur la tache de graisse.
Il la rince et la place sur une corde qui traverse la pièce en hauteur.
Il ouvre un placard où l’une des portes est à moitié dégondée.
Il s’assoit sur la seule chaise de la cuisine.

- Viens manger, assieds-toi.
- Sur quelle chaise ? Vous êtes peu galant, laissez-moi m’asseoir et vous resterez debout.
- Si tu t’assieds, je m’assoirai sur tes genoux, tu risques de souffrir, j’ai trouvé une seule chaise dans cette maison.

Il est devenu fou, il semble me montrer l’endroit où il souhaite que je m’installe.

- Allez assieds toi, il y a assez de place. Dans mon pays, elles couraient pour venir s’asseoir dessus.

Je m’assieds pour la première fois de ma vie sur les genoux d’un homme autre que ceux de mon mari.
J’ai failli dire mon pédé de mari.

- Aimes-tu le saucisson ?

Qui peut refuser du saucisson surtout que chez nous il est rare qu’on en trouve dans notre frigo pour éviter de manger trop de graisse et finir par avoir un gros-cul !
Il prend son grand couteau et en m’entourant à hauteur de mon cou il commence à couper des tranches à dix centimètres de mes carotides.
Quand je disais que je vais finir découpée en morceaux, ce sera en rondelles !

- Tu as des jolis seins, regarde ma main les couvre intégralement.

Sans difficulté, il place sa main sur un sein, en tout bien tout honneur, car j’ai gardé mon soutien-gorge.

- Tu dois faire du 95 C ou D, c’est plaisant par rapport aux jeunes filles de chez moi qui souvent ont au choix des œufs sur le plat ou des mamelles qui pendent après les nombreux enfants que je leur ai faits.

Le mouvement de mon corps le fait rire.

- Je rigole, je n’ai ni femmes, ni enfant ni chien ou alors aucun ne m’a été présenté. Arrête de bouger, il va y avoir un accident.
- Oui, je sens. Que m’arrive-t-il ? Je monte, j’ai gagné dix centimètres.
- C’est l’accident, je commence à bander.

Avant que je n'aie le temps de me poser des questions sur ce qu’est l’accident, il me prend sous les aisselles et sans forcer m’assoit sur la table.

- Là c’est mieux, alors raconte-moi les soucis que tu as.
- Quels soucis ?
- Près de ta voiture lorsque je changeais ta roue lorsque tu as sali ta robe, tu parlais toute seule et tu as parlé d’une journée de merde, je schématise.
- Oui, je viens de découvrir que mon mari est homosexuel.
- C’est un pédé ?
- Chez nous en France, on dit homosexuel, depuis quelques mois ils ont même le droit de se marier.
- Et c’est pour cela que tes yeux fixent la bosse de mon pantalon ?
L’accident, c’est cela, une fois qu’elle est sortie de sa torpeur, il est impossible qu’elle reprenne sa place sans ne rien faire.
- Regarde ton pantalon, il est tellement tendu qu’il est prêt à éclater.
- Veux-tu la voir ?

Avant que je n’aie répondu, il se soulève et fait glisser son pantalon plus bas que ses genoux et me montre une chose monstrueuse.
Trente à trente-cinq centimètres de long et un diamètre si gros que sans un mètre de couturière, il est impossible d’en donner le diamètre ou le pourtour.
La seule chose que je constate, c’est comment ce monstre peut entrer dans le sexe d’une femme sans la déformer à vie ?

- Prends-la en main, tu verras, elle va apprécier.

Subjuguée, je me penche, je suis son conseil et j’ai besoin de mes deux mains pour en faire le tour, le bout de mes doigts se chevauchant légèrement.

- Secoue là, que je décharge, il y a plus de trois semaines qu’elle se remplit.

En toute perte de lucidité, subjuguée, fascinée, je saute de la table pour enjamber cette monstruosité.
Après avoir écarté ma petite culotte, j’ouvre mes grandes lèvres et le laisse me pénétrer.
Il sent que ma culotte gêne.
D’un coup de main rapide, il la déchire comme avec un simple mouchoir en papier.
Un orgasme instantané irradie mon corps et c’est dans un élan effréné que je lui prends la bouche.
Je lui donne ma bouche dans un baiser où sa langue à la proportion du reste de son corps vient presque m’étouffer.
Que c’est bon d’avoir mes chairs distendues par ce mandrin gigantesque.
Je suis sûre à la manière dont mes organes internes sont comprimés qu’il repousse mon col de l’utérus.
Toujours aussi planté en moi, je suis dans l’impossibilité de bouger, étant sur la pointe des pieds pour éviter qu’il entre encore de quatre à cinq centimètresIl me saisit sous les bras et me fait monter et descendre.
Tout le temps où nous nous embrassons et qu’il me manœuvre sur son pieu, mes orgasmes se succèdent presque l’un après l’autre.

Moi qui avec Antoine ai pour habitude de jouir une fois et après de rester sur cette houle agréable mais plate, mes sensations avec ce noir font le yoyo et dans les points hauts, je jouis.
J’arrose sa queue de sécrétions qui permettent qu’il me pénètre sans que j’aie aucune douleur.
Sommet de cette première fois où une queue de ce diamètre me prend, le moment où il m’arrose l’intérieur de ma chatte.
Cela me fait tourner de l’œil.
Quand je reviens à moi, je suis couchée dans une chambre sur un simple matelas, crade de chez crade.
Mon amant est près de moi et est allongé sur le côté.
Il me regarde intensément, avec sa main libre me caresse le front et les cheveux dans un geste qui me va droit au cœur.

- J’espère que tu as apprécié et que ton vagin supporte ma verge.
- C’est incroyable, je viens de vivre le plus beau moment de ma vie.
- Des journées qui se commencent dans la merde quelquefois finissent de manière extraordinaire.
Je me souviens que dans un pays voisin du mien, alors qu'il était midi, je me suis fait cerner par dix ou douze rebelles.
Ils voulaient me faire la peau en attendant la nuit pour me porter l’estocade.
Vers la tombée du jour les sœurs du couvent sont sorties en procession alors que j’étais chargé de les protéger, me permettant de faire mouvement sans que mes adversaires ne me voient et ne les tuent avant qu’ils ne me tuent.
- Tu les as tués ?
- C’était eux ou moi.
- Non pas toi.

Ce cri du cœur qui vient de monter de ma poitrine me fait prendre conscience de la grande place prise par celui qui vient de me baiser et bien baiser, oui je fus immensément bien baisée sans qu’à aucun moment nous sachions nos noms.

- Dis-moi ma belle, je connais ta chatte et tes seins et tu as oublié de te présenter.
- Toi non plus, tu m’as enfilé ta bite et j’ignore, comment je dois t’appeler.
Moi c’est Alice.
- Alice au pays de ma merveille, je m’appelle, Yemba pour te servir.
- Yemba, j’aime bien, allonge-toi que je m’occupe de toi, j’ai bien récupéré.

Une fois allongé, je prends sa barre dans ma main, un ou deux mouvements de branle et il bande de nouveau.
Dommage que cette verge soit à ma disposition pour peu de temps, car j’en ferais bien mon ordinaire.

Si je suis prête à quitter Antoine pour une nouvelle aventure amoureuse, je me vois mal passer un moment de ma vie dans cette maison délabrée, sur un matelas immonde lorsque je le regarde.

Il faut avoir baroudé dans toute l’Afrique, par tous les temps, et avoir couché dans des endroits pire que celui-ci pour pouvoir rester allongé pendant des jours sur cette immondice.
Présentement, ma bouche s’approche de ma monstruosité préférée et quoique je fasse partie de ces femmes qui peuvent l’ouvrir très grande, je risque de rester les mâchoires bloquées pour qu’elle y pénètre.
Afin d’éviter ce risque, je me contente de la lécher comme je le ferais avec un cornet à glace.
J’insiste sur le gland entrant même le bout de ma langue dans le méat de sa verge.
Lorsque sa tension est maximale, je le chevauche et essaye de l’introduire dans mon anus.

- Attention fillette aucune femme n’a réussi à se l’introduire alors je commence à tenir trop à toi pour prendre le moindre risque. Mets Yemba dans ta chatte, je vais te faire encore jouir, c’est plus raisonnable.
- Dommage que nous soyons à des antipodes de pouvoir vivre ensemble, car je sais qu’un jour j’y arriverais.

Je n’ai pas le temps de parler plus longtemps, car en m’essayant sur son sceptre royal, je dois me taire tellement, l’impression de remplissage une fois de plus me fait suffoquer.
Il me semble que, plus on le fait et plus j’aime le faire, je commence à prendre goût à mon homme des forêts africaines.
Je me demande comment je vais faire pour retrouver la petite bite de mon mari.
Si j’acceptais de les prendre tous les deux en double vaginal, ils seraient loin du diamètre qui en ce moment me donne orgasme sur orgasmes.
Je suis devenue folle, je pense bite noire et je pense double péné avec les hommes qui m’ont trahie.

En sueur, crasseuse avec ce que mon corps a ramassé du matelas, je m’endors dans ses bras plus que virils.
Dans la soirée il descend chercher le saucisson, seule nourriture qu’il ait à manger.
Qui dort dîne, mais qui baise à faim.
C’est l’estomac dans les talons que je me réveille habituée à me lever de bonne heure.
Je récupère ma robe avec la tache qui a doublé et qui est froissée plus que de raison.
Le plus grave c’est que les couleurs ont déteint et sont complètement délavées.
Je me galvanise, je vais à ma boulangerie à mi parcours des deux maisons.
Ma boulangère me regarde comme une martienne sortie du fond de sa galaxie, car elle m’a toujours vu tirée à quatre épingles en allant à mon cabinet où je suis orthophoniste.
Mes croissants tout chauds en main, avec deux gobelets de café, je retourne dans le bon sens et je rejoins la cuisine de Yemba.
Lorsque j’entre, il semble si content que je revienne qu’il me serre dans ses bras, écrasant les gobelets de café qui giclent sur ma robe, la massacrant définitivement.
Il me prend les croissants des mains et les pose sur la table.

- J’ai eu peur que tu ne sois partie retrouver ta lopette de mari.

Il m’assoit sur la table, soulève ma robe ou du moins ce qui en reste constate que mon vagin est à nu.
Il avance sa bouche, avec ses grosses lèvres et sa grande langue.
Pour la première fois il me broute la chatte en s’attardant longuement sur mon clitoris.
Le double effet lèvres et langue me font repartir, mais dans une jouissance plus diffuse que lorsqu’il me prend.
Malgré sa carrure, il me montre toute sa douceur d’homme aimant les femmes, car à aucun moment, il ne pense à lui et s’occupe de mon seul plaisir.
Quand il juge que j’ai assez joui, il se relève, s’assoit sur la chaise et je me rassieds sur ses genoux.
Je me garde bien de bouger, je me rappelle qu’il faut éviter de la réveiller.
Les croissants dévorés, le peu de café restant avalé, il me relève.

- Viens, suis-moi, emmène-moi chez toi…

Corrigé avec la bienveillance d’Anne ma muse.

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