COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (4/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (4/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (4/5)
Après avoir crevé avec ma voiture et être entré inopinément chez moi, j’ai trouvé mon mari se faisant sodomiser par son camarade de jeunesse.
Un grand black m’a aidé à changer ma roue et je suis devenu sa maîtresse, accro de sa bite gigantesque.
Ce matin, nous sommes retournés chez moi et Yemba semble avoir une idée derrière la tête car après avoir fait venir l’amant de mon mari, il les a obligés à se faire du bien et il les a pris en photo.
Après la masturbation, c’est moi qui regarde mon mari avec des yeux qui doivent sortir de ma tête lorsqu’il le pompe tout en se faisant pomper.
En un mot, ils pratiquent un magnifique 69.
Ayant tourné notre fauteuil pour que je vois, tout en étant vue, il me fait mettre à genoux sur le fauteuil, les seins reposant sur le dossier.
En ce moment, il me suce en partant de ma chatte jusqu’à mon anus avec sa langue.
C'est incroyable que, lorsque sa langue taraude ma rondelle, moi qui ai l’habitude de recevoir la verge de mon mari, j’ai l’impression que la langue de mon amant black est plus grosse que son sexe.
Je sens qu’il prépare quelque chose dans mon dos, mais je suis incapable de regarder.
Je suis tétanisée par la vision de mon mari suçant un autre homme.
Et lorsque mon amant m’enduit le fondement de vaseline, je sens que le moment tant redouté, mais tant espéré, approche.
Avant qu’il attaque ma pénétration, je vois le flash s’allumer car il prend quatre ou cinq photos de ceux qui ont la bite tendue dans la bouche de l’autre, prêts à passer à l’étape suivante.
Yemba est maître de la situation, je sens que je vais être la première à subir son assaut avant qu’il ne change les ordres de ceux qui se sucent.
J’en étais sûre, il me pénètre le petit trou avec deux de ses doigts qui glissent facilement grâce à la vaseline.
Il les écarte, les resserre pour recommencer, il me prépare à recevoir son énorme vit.
Je pense qu’il doit voir que je suis prête à tenter l’expérience et être ainsi la première qu’il réussira à sodomiser, en prenant soin que je le supporte et en évitant que je sois traumatisée.
Il me pénètre avec son gland, il pousse et je dois reconnaître que je morfle.
Mais le gland passé, je suis dans l’incapacité de dire combien il m’en enfile.
Il entre en moi, il m’en met sans que pour autant j’émette le moindre cri.
Plein de prévenance, il s’arrête de bouger et passe sa main au-dessous du corps pour caresser ma petite excroissance et va même jusqu’à la pincer.
Mon petit bouton n'est pas très gros mais très dur.
Il aime être titillé.
Je suis presque déçue, car je jouis alors que je suis sûre que, lorsqu’il a caressé mon clito, j’allais jouir naturellement.

- Toi, le blond sodomise ton copain comme je sodomise ta femme.
- Non, depuis que l’on est ensemble, c’est moi qui le sodomise, jamais l’inverse, c’est le passif et moi l’actif.
- Il y a un début à tout, regarde, jamais mon pieu, avant Alice, n’était entré dans l’anus d’une femme et pour la première, il l’est.
Alice vient de me prouver l’amour qu’elle a pour moi et son corps s’est mis à l’unisson en s’ouvrant à ma verge.
Mon petit bouchon, je peux bouger si tu veux ou dois-je aller présenter mon couteau à nos amis pour qu’ils acceptent la sodomise que je leur propose ?

Il est inutile que je réponde, d’ailleurs j’en serais incapable, tellement le sexe en moi requiert toute mon attention.
Je sens comme il a écarté mon anus, je le sens coulisser, c'est terrible.
Adrien se met à quatre pattes et Antoine dans le mouvement l’emmanche.
Le flash crépite au moment précis où Adrien pousse un cri comme si la verge venant d’entrer dans son cul l’avait ouvert en deux.
L’incroyable survient cinq minutes après lorsque des râles de plaisir sortent de la bouche du sodomisé.
Il apprécie ce que son amant lui fait.

- Oui, continue.
Pourquoi as-tu attendu si longtemps à me faire franchir le pas ?
Merci monsieur.
Il y a des mois que j’espère cela et grâce à vous tout se réalise.
Tu vas voir comme on va être heureux.

Je suis étonnée d’apprécier de voir ces deux hommes se pénétrer surtout lorsque Yemba donne l’ordre du changement et que c’est Antoine qui en prend plein le cul.
J'entends avec intérêt et surprise la déclaration d’amour qu’ils se donnent et se font, surtout lorsque Antoine à son tour avant de se faire pénétrer, prend sa bouche et l’embrasse amoureusement.
Une dernière fois l’appareil photo entre en action.
Et l’incroyable se produit, les deux verges, que mon mari et moi avons dans l’anus, crachent en même temps leurs spermes dans nos entrailles.
J’entends le râle de plaisir d’Antoine et le jet que Yemba propulse en moi est si puissant que je tourne de l’œil quelques secondes.
Aussitôt il sort de moi, me prend dans ses bras et me cajole en me remerciant d’avoir réussi de le recevoir là où personne ne l’avait fait.
Je suis dans les nuages mais je suis fière de moi.
Sans avoir besoin de bouger, il crache un ordre, exécuté dans le mouvement par mon mari et son amant.

- Dix minutes pour charger ta voiture de toutes tes affaires et de vider les lieux. Tu auras des nouvelles dès demain par mon frère avocat à Marseille qui va préparer ton divorce.
Je vais lui donner l’appareil photo montrant ta trahison envers ta femme et il préparera les papiers demandant le divorce à tes torts.
Tu reconnaîtras les faits, les photos à l’appui.
Il te fera signer des papiers disant que tu lui laisses la totalité des biens du couple à celle que tu as trompée.
Que je n’ai pas à m’occuper de vous dans les jours prochains.
Compris.

Yemba joue avec son gros couteau pour montrer que ce ne sont pas des paroles en l'air.
Je suis bien dans les bras de mon amant aussi lorsque j’entends courir dans les escaliers.
Je me garde bien d’ouvrir les yeux pour voir mon mari et son pote paniquer et se sauver comme des voleurs.

- Je peux téléphoner ?
- Bien sûr, chérie maintenant que tu as fait le vide, tu es ici chez toi.

Il prend mon fixe et appelle certainement un homme.

- À quelle adresse doit-il venir ?

Je lui donne mon adresse étonnée qu’il fasse venir déjà quelqu’un ici.
Il raccroche me couvre de ses bras et me rassure sur cette visite.

- C’est mon frère jumeau, il est avocat avec son épouse à Marseille et c’est lui à qui j’ai confié mes papiers pour essayer de m’obtenir un droit d’asile.

Mon homme et son amant partis, nous nous retrouvons à deux, seuls, dans un cadre agréable, ma maison.
Toute la journée nous profitons du soleil de juillet pour lézarder, à poil sur les transats.
À un moment il dort et quelques minutes après il doit rêver à une belle salope car il bande à me donner envie.
Je me lève sans bruit, caresse sa grosse bite avec mes cheveux et ma langue finit le travail jusqu’au moment où pour la première fois j’arrive à l’explosion qui me remplit la bouche.

- Gourmande.

Il se rendort, rassasié et apaisé je pense.
Il est dix-sept heures lorsque son jumeau arrive avec sa compagne.
J’enfile le peignoir préparé sur le dessus de mon transat et Yemba met son caleçon car le peignoir d’Antoine est trop petit pour cacher sa virilité.

- Je te présente Toula, mon frère et Canelle sa femme.
- Elle aussi est Camerounaise ?
- Toute les noires ne sont pas Camerounaise, elle est Guadeloupéenne.

Canelle est resplendissante, j’ai rarement eu devant mes yeux une femme avec une telle prestance.
Si dans son travail d’avocate, elle a des soucis, il suffit qu’elle entre en contact avec une agence de mannequins et elle est sûre d’être engagée.

- As-tu des nouvelles de ma demande d’exilé politique ?
- Oui, il y a trois jours, mais j’étais dans l’impossibilité de te joindre.
Tu as eu une autorisation de six mois pour rester sur le territoire afin que ton dossier soit examiné sur le fond.
Demain matin, à neuf heures, nous avons rendez-vous pour que tu signes tes papiers et qu’ils te donnent ta carte provisoire.
- Yemba, je vous accompagnerai.
- D’accord.
- Nous avons toujours une bouteille de champagne au frais pour fêter le jour où nous aurions appris que j’étais enceinte.
Je vais la chercher.

Une bouteille, quatre coupes, dès la première, je suis pompette.
À la deuxième, je suis capable de faire un strip-tease sur la table surtout que je suis toujours en peignoir.
Allô il y a quelqu’un ?
Je me réveille brusquement, sans savoir comment et quand je suis montée dans la chambre.
Yemba est couché à mes côtés.
Bizarre depuis quand a-t-il y un sein ?
Mieux même deux ?
J'émerge de mon sommeil.
Je me redresse et je découvre que ce n’est pas mon homme avec des seins qui est allongé à mes côtés, c’est Canelle qui est près de moi.

- Bonjour toi, je te regardais dormir.
- Où sont les hommes ?
- Partis, ils ont vu que tu dormais et ils ont décidé de te laisser dormir.
Je me sentais seule dans mon lit dans la chambre d’amis alors je me suis couchée près de toi, tu es belle même en dormant.
- Qu’ai-je fait hier au soir, je me souviens de la première coupe de champagne et je vois que l’on m’en remet une et après rideau ?
- Tu as été d’enfer, tu t’es mise nue et tu as allumé les deux hommes.
- J’ai fait cela !
- Mais non, rassure-toi, je plaisantais.
Hier soir, d’un coup la coupe vidée, tu es allée sur le canapé et tout de suite tu t’es endormie.
Yemba nous a raconté votre rencontre, comment tu étais devenue sa maîtresse et comment il avait fait fuir ton mari pédé avec son copain pédé.
- Homosexuel, ici on dit homosexuel.
- Et en Guadeloupe qui est aussi en France je te le rappelle, nous disons pédés.
- Va pour pédés ou pour homo, de toute façon Yemba leur à fichu la peur de leur vie et ils ont détalé.

Je soulève le drap, je suis nue, elle est nue.
Ce que je vois, c’est une vraie gazelle, sa couleur noire amplifiant cette impression.
Ses seins sont magnifiques, je suis sûre que si j’y portais la main, leur fermeté éclaterait à ma perspicacité.

- C’est ton mec qui t’a couché dans ses bras, tu avais l’air d’une poupée, c’était très beau à voir.
- Vous avez dormi dans la chambre d’amis ?
- Oui, le lit était fait et c’est la première fois que je fais l’amour dans des draps en soie comme les tiens, c’est très doux.
- Excuse-moi d’avoir mis mes mains sur tes seins tout à l’heure je me réveillais.
- C’était agréable, cela me rappelait ma jeunesse dans mon île.
- Tu le faisais avec des filles ?
- Oui, à partir du lycée, j’avais seize ans et mes parents m’avaient mise comme pensionnaire pour être sûrs que je resterais concentrée sur mes études, car les hommes commençaient à tourner autour de mon joli petit cul.
- Ça s’est passé comment avec une fille ?
- Dans le dortoir la nuit, la surveillante était comme toi.
Elle picolait et après on aurait pu tirer un coup de canon, elle dormait.
Alors dès le premier soir les filles de troisième année, qui étaient seules leur copine les ayant quittées en fin d’année précédente pour diverses raisons, descendaient l’étage et nous rejoignaient dans notre lit.
Dans la journée, il y avait eu un concours la feuille ou la pierre pour savoir celle qui choisirait la première.
J’ai été le premier choix d’Ange, la fille d’un grand ponte français en fonction sur l’île.
Dès ce soir-là, je l’ai sentie se glisser dans mes draps et avant que je me pose des questions, elle m’a embrassée.
- As-tu aimé ?
- Adoré surtout que les veilleuses me montraient une jolie blonde avec de grands yeux.
Quand nous sommes rencontrées j’avais vu qu’ils étaient bleus.
Elle est descendue le long de mon corps, a soulevé ma chemise de nuit et a approché sa bouche de mon sexe.

En évoquant ces moments lui rappelant sa jeunesse, Canelle commence à approcher sa bouche d’un de mes seins qu’elle picore puis passe par le nombril qu’elle lèche et s’approche dangereusement de mon intimité.
Je suis rouge de honte ou d’envie…

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