COLLECTION BLACK. La sacristaine (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. La sacristaine (1/1)
Je m’appelle, Isabelle, avec un prénom comme le mien, on s’attend à tous sauf à être sacristaine.
On s’attendrait à une, Lucette, Lucienne ou autre Agathe, prénom ancien pour une femme s’occupant de l’église,
Je suis une sacristaine des temps modernes.
Monsieur le curé ayant délaissé le village, il m’a été demandé si je voulais bien aider celui qui vient soit le samedi, soit le dimanche dans cette commune de Côte-d’or.
Tous les prêtes viennent de la capitale des Duc de Bourgogne pour assurer l’office au moins une fois par mois.
Il faut principalement ouvrir l’église le matin et la fermer le soir.
Je suis veuve depuis deux ans, la dernière personne ayant été bonne de curé avant que lui aussi décède s’est retiré dans un couvent.
À la demande de notre maire responsable de notre édifice, comme j’allais à la messe tous les dimanches, un responsable dijonnais m’a demandé si je voulais assurer ce travail.
Louis, mon mari m’a aussi laissé seule pour aller manger les pissenlits par la racine.
Ça m’a obligé à cinquante-cinq ans à trouver un emploi à la boulangerie, grâce au maire là encore, j’ai accepté.
Ce matin, c’est ma grosse clef en main que je vais faire mon office.
Ce sera la seule chose que j’aurais à faire de la journée avant de fermer ce soir.
Les boulangers sont en vacances pour quinze jours, entraînant la même chose pour moi.
Je suis toute guillerette ce matin, il fait beau.
J’ai déjà préparé ma chaise longue, mieux même, j’ai déjà enfilé mon maillot de bain rose, je vais bronzer sur ma terrasse.
Depuis la mort de Louis, c’est la première fois que je fais une telle extravagance.
J’ai pris l’habitude de ma solitude surtout sexuelle.
Au début, il m’arrivait de me masturber avec mes doigts.
Cette pratique est vite devenue frustrante et petit à petit la prière a remplacé ces petites décharges me laissant sur ma faim.
Ce que l’opinion publique ignore, sauf notre médecin qui est intervenue à mon appel, c’est que Louis est mort en m’honorant.
Ma position favorite étant la levrette, il était derrière moi quand il s’est affalé sur mon dos.
J’ai cru qu’il avait déchargé sans que je sente son sperme giclant au fond de mon vagin.
Il a poussé un grand cri, mais très vite, j’ai compris qu’il y avait une situation anormale.
Je l’ai poussé sur le côté, il est tombé d’une masse, atterrissant sur la descente de lit.
C’est morbide, mais, hélas, c’est ce que j’ai subi.
J’ai appelé les secours, la caserne des pompiers de mon village étant proche, ils sont arrivés en trois minutes.
Hélas, rupture au niveau du cœur, infarctus fulgurant, lui qui était une force de la nature.
Nous l’avons enterré et je vais régulièrement entretenir sa tombe les lundis jour de fermeture de la boulangerie.
Ce matin donc, j’ouvre l’église et je fais un tour jusqu’à la sacristie lieu où sont rangés les divers objets du culte.
J’ai la clef sur le trousseau, tout étant en place, sans office aujourd’hui, je ressors et je referme.
Dans le soleil commençant à monter, je vois une ombre vers l’orgue qui se trouve sur la mezzanine à hauteur des vitraux de notre église de style Gotique.
Je prends peur, une personne serait-elle entrée derrière moi !
Derrière moi, oui, mais pourquoi être monté à cet endroit ?
Je prends mon courage à deux mains.
J’attaque l’escalier et j’arrive près de l’orgue.
Je connais bien le chemin, car lorsqu’il fait mauvais, je viens jouer, il faut dire que Louis était l’organiste et m’avait appris comment ça fonctionnait.
• Que faite-vous là, je vais appeler la police.
• Non, la dame, moi, je cache de la police, j’ai dormi là cette nuit.
J’étais caché quand vous êtes venue fermer l’église hier au soir, j’étais tranquille.
L’homme parle en Français dans une voix incertaine.
Devant moi, assis sur un sac de couchage, un noir plus imposant que Louis qui sur ce plan était plutôt balaise dans son genre.
Il me dépasse de quarante bons centimètres, je ne vois que ses mains, s’il me fiche une baffe, je suis morte.
Je décide d’éviter de lui faire voir ma peur.
Je mets en pratique ce que mon père m’a appris avec les chiens, or ce garçon semble être un chien fou, mais surtout déraciné.
• Ramassez vos affaires et descendez, c’est impossible que vous restiez ici.
Il est peu contrariant, il replis son sac de couchage, le met sur le haut d’un sac à dos et me suit.
Il passe devant moi, j’ai l’air d’une puce, mais il descend sans rechigner.
Nous allons passer le portail quand il me montre une grande frayeur.
• Police, madame, cachez-moi.
Je manque d’éclater de rire, il en faudrait trois comme moi pour le cacher.
Il se place derrière le portail, devant nous passe une camionnette de la gendarmerie.
• Eux, cherche-moi.
Je vois la camionnette reculer jusqu’à ma hauteur.
• Salut Isabelle, on cherche un grand noir, tu l’as vue dans le coin !
• Non, pourquoi ?
C’est tout naturellement que je fais ce pieux mensonge.
• C’est un immigré du Congo et il doit être renvoyé dans son pays, nous l’avions arrêté et Robert l’a laissé filer.
Nous voulons le retrouver pour éviter de le dire à nos chefs, car sinon, Robert aura des ennuis.
• Je comprends, si je le vois je vous appèlerais !
Si l’on connaissait ma vie, on pourrait dire que je me venge.
Le dénommé Robert a été mon premier homme, nous avions vingt ans lors du bal du 14 Juillet sur la place du village.
Il m’a fait un enfant que Louis a élevé, car lorsqu’il l’a appris, il s’est engagé dans la marine.
Dans un premier temps, il a quitté cette arme, pour se faire muter dans la gendarmerie après que le scandale de son abandon se soit calmé.
Les gendarmes repartent.
• Suivez-moi, venez jusque chez moi dans la rue voisine, vous serez en sécurité.
• Toi avoir des ennuis à cause moi !
• Je connais ce gros con de Robert, aujourd’hui il fait du zèle, demain il retournera à ses vieilles manies.
Je peux te le dire, je suis sûr que ton français t’empêche de comprendre.
Il aime de plus en plus une boisson jaune et anisée.
• Oui, je comprends, c’est grâce à bouteille que je suis échappé.
• Tu as entendu, mon nom, Isabelle.
• Samuel, Sam, oui.
Il est plus malin que penser, je lui tends la main, le courant passe.
Nous nous faufilons jusque chez moi et je l’installe dans la chambre d’ami.
Depuis combien de temps est-elle vide, des lustres.
Depuis combien de temps, suis-je aller dans l’armoire du couloir chercher des linges de toilettes pendant que je le laisse dans la salle de bain.
• Oh ! mon dieu, Sam excuse-moi !
• Non, entre, chez nous on vit nu souvent.
Ce oh, c’est un oh ! de surprise quand je vois l’engin qui pend au bas du ventre de mon invité.
Ça fait clicher, j’avais une amie vivante avec un noir de la Réunion et qui se vantait que son homme était monté comme un âne.
Devant moi, j’en ai un.
Impudeur de ma part, j’avance ma main tout en posant les serviettes sur la chaise à ma portée.
Moi toujours si prude pour éviter de dire chaste, je suis la sacristaine, je le masturbe tout en m’agenouillant pour essayer de le prendre dans ma bouche.
Peine perdue alors je fais courir ma langue tout en lui pressant les bourses ayant du mal à l’entourer dans ma main.
Ce qui se détend est phénoménal, je parlais d’âne, quand il me porte sur le lit tel un fétu de paille, je jouis déjà d’être prise par un tel membre.
J’ai beau avoir cinquante-cinq ans et des heures de vols, côté sexe, s’il essaye de me la mettre entièrement jusqu’aux couilles, il me rend difforme.
Je suis dans l’impossibilité de dire s’il y arrive au moment où je tourne de l’œil.
Moment idyllique, moi qui étais persuadé que seule la prière égayerait mes jours et surtout mes nuits.
Ça fait quinze jours que lorsque je rentre chez moi, il m’éclate.
Par chance pour mon âne, la sodomie, il évite, alors que s’il m’encule, je suis sûr d’être obligé de me faire mettre une prothèse.
Ça frappe à la porte.
• Robert que veux-tu ?
• Remets-le-moi, on sait que tu le caches.
• Si tu l’emmènes, dès ce soir, les autorités sauront que tu es un poivrot qui conduit bourré la camionnette des gendarmes !
• Salope.
• Et j’en suis fière, même si je suis loin d’apprécier de t’avoir donnée ma virginité et que nous ayons eu un enfant.
Continu à nous emmerder et ta retraite, tu verras ou tu te la colleras.
Robert me quitte, Sam qui était derrière moi me prends dans ses bras et me cloue littéralement sur la porte d’entrée sans avoir l’air de forcer.
Sortant sa trompe d’éléphant, il me pénètre.
Depuis que je l’ai récupéré chez moi, je vis la chatte, épilée et nue, aimant qu’il me prenne à des endroits toujours insolites.
Les autorités ont été prévenues par le maire s’étant porté comme garant.
En attendant sa régulation définitive, Sam a été assigné à résidence dans notre ville et plus précisément dans mon lit pour mon plus grand bonheur.
C’est moi qui lui ai trouvé du travail.
Apprenti boulanger.
On a même baisé à deux endroits insolites.
Dans la sacristie, car je reste la sacristaine à genoux sur le prie-dieu dont se servait le vieux curé.
Il vient chaque soir m’accompagner pour fermer de peur d’un intrus s’étant faufilé.
La deuxième, le fournil, le cul dans la patte que Sam venait de pétrir en l’absence des boulangers partie pour acheter une maison en Bretagne avant de prendre leur retraite.
Mon homme est capable, maintenant de m’offrir mes propres petits pains au chocolat comme il est dit, ici, en Côte d’Or.
Il est capable de tenir ce commerce que je viens d’acheter avec l’assurance-vie, suite au décès de Louis, la compagnie contestant certains points du contrat.
Dernière chose avant de le retrouver qui peut dire une nouvelle fois le cul dans la pâte !
Un curé va venir de Dijon marier Isabelle, la sacristaine à un dénommé Sam boulanger de son état, qui peut dire que la vie est belle.
On s’attendrait à une, Lucette, Lucienne ou autre Agathe, prénom ancien pour une femme s’occupant de l’église,
Je suis une sacristaine des temps modernes.
Monsieur le curé ayant délaissé le village, il m’a été demandé si je voulais bien aider celui qui vient soit le samedi, soit le dimanche dans cette commune de Côte-d’or.
Tous les prêtes viennent de la capitale des Duc de Bourgogne pour assurer l’office au moins une fois par mois.
Il faut principalement ouvrir l’église le matin et la fermer le soir.
Je suis veuve depuis deux ans, la dernière personne ayant été bonne de curé avant que lui aussi décède s’est retiré dans un couvent.
À la demande de notre maire responsable de notre édifice, comme j’allais à la messe tous les dimanches, un responsable dijonnais m’a demandé si je voulais assurer ce travail.
Louis, mon mari m’a aussi laissé seule pour aller manger les pissenlits par la racine.
Ça m’a obligé à cinquante-cinq ans à trouver un emploi à la boulangerie, grâce au maire là encore, j’ai accepté.
Ce matin, c’est ma grosse clef en main que je vais faire mon office.
Ce sera la seule chose que j’aurais à faire de la journée avant de fermer ce soir.
Les boulangers sont en vacances pour quinze jours, entraînant la même chose pour moi.
Je suis toute guillerette ce matin, il fait beau.
J’ai déjà préparé ma chaise longue, mieux même, j’ai déjà enfilé mon maillot de bain rose, je vais bronzer sur ma terrasse.
Depuis la mort de Louis, c’est la première fois que je fais une telle extravagance.
J’ai pris l’habitude de ma solitude surtout sexuelle.
Au début, il m’arrivait de me masturber avec mes doigts.
Cette pratique est vite devenue frustrante et petit à petit la prière a remplacé ces petites décharges me laissant sur ma faim.
Ce que l’opinion publique ignore, sauf notre médecin qui est intervenue à mon appel, c’est que Louis est mort en m’honorant.
Ma position favorite étant la levrette, il était derrière moi quand il s’est affalé sur mon dos.
J’ai cru qu’il avait déchargé sans que je sente son sperme giclant au fond de mon vagin.
Il a poussé un grand cri, mais très vite, j’ai compris qu’il y avait une situation anormale.
Je l’ai poussé sur le côté, il est tombé d’une masse, atterrissant sur la descente de lit.
C’est morbide, mais, hélas, c’est ce que j’ai subi.
J’ai appelé les secours, la caserne des pompiers de mon village étant proche, ils sont arrivés en trois minutes.
Hélas, rupture au niveau du cœur, infarctus fulgurant, lui qui était une force de la nature.
Nous l’avons enterré et je vais régulièrement entretenir sa tombe les lundis jour de fermeture de la boulangerie.
Ce matin donc, j’ouvre l’église et je fais un tour jusqu’à la sacristie lieu où sont rangés les divers objets du culte.
J’ai la clef sur le trousseau, tout étant en place, sans office aujourd’hui, je ressors et je referme.
Dans le soleil commençant à monter, je vois une ombre vers l’orgue qui se trouve sur la mezzanine à hauteur des vitraux de notre église de style Gotique.
Je prends peur, une personne serait-elle entrée derrière moi !
Derrière moi, oui, mais pourquoi être monté à cet endroit ?
Je prends mon courage à deux mains.
J’attaque l’escalier et j’arrive près de l’orgue.
Je connais bien le chemin, car lorsqu’il fait mauvais, je viens jouer, il faut dire que Louis était l’organiste et m’avait appris comment ça fonctionnait.
• Que faite-vous là, je vais appeler la police.
• Non, la dame, moi, je cache de la police, j’ai dormi là cette nuit.
J’étais caché quand vous êtes venue fermer l’église hier au soir, j’étais tranquille.
L’homme parle en Français dans une voix incertaine.
Devant moi, assis sur un sac de couchage, un noir plus imposant que Louis qui sur ce plan était plutôt balaise dans son genre.
Il me dépasse de quarante bons centimètres, je ne vois que ses mains, s’il me fiche une baffe, je suis morte.
Je décide d’éviter de lui faire voir ma peur.
Je mets en pratique ce que mon père m’a appris avec les chiens, or ce garçon semble être un chien fou, mais surtout déraciné.
• Ramassez vos affaires et descendez, c’est impossible que vous restiez ici.
Il est peu contrariant, il replis son sac de couchage, le met sur le haut d’un sac à dos et me suit.
Il passe devant moi, j’ai l’air d’une puce, mais il descend sans rechigner.
Nous allons passer le portail quand il me montre une grande frayeur.
• Police, madame, cachez-moi.
Je manque d’éclater de rire, il en faudrait trois comme moi pour le cacher.
Il se place derrière le portail, devant nous passe une camionnette de la gendarmerie.
• Eux, cherche-moi.
Je vois la camionnette reculer jusqu’à ma hauteur.
• Salut Isabelle, on cherche un grand noir, tu l’as vue dans le coin !
• Non, pourquoi ?
C’est tout naturellement que je fais ce pieux mensonge.
• C’est un immigré du Congo et il doit être renvoyé dans son pays, nous l’avions arrêté et Robert l’a laissé filer.
Nous voulons le retrouver pour éviter de le dire à nos chefs, car sinon, Robert aura des ennuis.
• Je comprends, si je le vois je vous appèlerais !
Si l’on connaissait ma vie, on pourrait dire que je me venge.
Le dénommé Robert a été mon premier homme, nous avions vingt ans lors du bal du 14 Juillet sur la place du village.
Il m’a fait un enfant que Louis a élevé, car lorsqu’il l’a appris, il s’est engagé dans la marine.
Dans un premier temps, il a quitté cette arme, pour se faire muter dans la gendarmerie après que le scandale de son abandon se soit calmé.
Les gendarmes repartent.
• Suivez-moi, venez jusque chez moi dans la rue voisine, vous serez en sécurité.
• Toi avoir des ennuis à cause moi !
• Je connais ce gros con de Robert, aujourd’hui il fait du zèle, demain il retournera à ses vieilles manies.
Je peux te le dire, je suis sûr que ton français t’empêche de comprendre.
Il aime de plus en plus une boisson jaune et anisée.
• Oui, je comprends, c’est grâce à bouteille que je suis échappé.
• Tu as entendu, mon nom, Isabelle.
• Samuel, Sam, oui.
Il est plus malin que penser, je lui tends la main, le courant passe.
Nous nous faufilons jusque chez moi et je l’installe dans la chambre d’ami.
Depuis combien de temps est-elle vide, des lustres.
Depuis combien de temps, suis-je aller dans l’armoire du couloir chercher des linges de toilettes pendant que je le laisse dans la salle de bain.
• Oh ! mon dieu, Sam excuse-moi !
• Non, entre, chez nous on vit nu souvent.
Ce oh, c’est un oh ! de surprise quand je vois l’engin qui pend au bas du ventre de mon invité.
Ça fait clicher, j’avais une amie vivante avec un noir de la Réunion et qui se vantait que son homme était monté comme un âne.
Devant moi, j’en ai un.
Impudeur de ma part, j’avance ma main tout en posant les serviettes sur la chaise à ma portée.
Moi toujours si prude pour éviter de dire chaste, je suis la sacristaine, je le masturbe tout en m’agenouillant pour essayer de le prendre dans ma bouche.
Peine perdue alors je fais courir ma langue tout en lui pressant les bourses ayant du mal à l’entourer dans ma main.
Ce qui se détend est phénoménal, je parlais d’âne, quand il me porte sur le lit tel un fétu de paille, je jouis déjà d’être prise par un tel membre.
J’ai beau avoir cinquante-cinq ans et des heures de vols, côté sexe, s’il essaye de me la mettre entièrement jusqu’aux couilles, il me rend difforme.
Je suis dans l’impossibilité de dire s’il y arrive au moment où je tourne de l’œil.
Moment idyllique, moi qui étais persuadé que seule la prière égayerait mes jours et surtout mes nuits.
Ça fait quinze jours que lorsque je rentre chez moi, il m’éclate.
Par chance pour mon âne, la sodomie, il évite, alors que s’il m’encule, je suis sûr d’être obligé de me faire mettre une prothèse.
Ça frappe à la porte.
• Robert que veux-tu ?
• Remets-le-moi, on sait que tu le caches.
• Si tu l’emmènes, dès ce soir, les autorités sauront que tu es un poivrot qui conduit bourré la camionnette des gendarmes !
• Salope.
• Et j’en suis fière, même si je suis loin d’apprécier de t’avoir donnée ma virginité et que nous ayons eu un enfant.
Continu à nous emmerder et ta retraite, tu verras ou tu te la colleras.
Robert me quitte, Sam qui était derrière moi me prends dans ses bras et me cloue littéralement sur la porte d’entrée sans avoir l’air de forcer.
Sortant sa trompe d’éléphant, il me pénètre.
Depuis que je l’ai récupéré chez moi, je vis la chatte, épilée et nue, aimant qu’il me prenne à des endroits toujours insolites.
Les autorités ont été prévenues par le maire s’étant porté comme garant.
En attendant sa régulation définitive, Sam a été assigné à résidence dans notre ville et plus précisément dans mon lit pour mon plus grand bonheur.
C’est moi qui lui ai trouvé du travail.
Apprenti boulanger.
On a même baisé à deux endroits insolites.
Dans la sacristie, car je reste la sacristaine à genoux sur le prie-dieu dont se servait le vieux curé.
Il vient chaque soir m’accompagner pour fermer de peur d’un intrus s’étant faufilé.
La deuxième, le fournil, le cul dans la patte que Sam venait de pétrir en l’absence des boulangers partie pour acheter une maison en Bretagne avant de prendre leur retraite.
Mon homme est capable, maintenant de m’offrir mes propres petits pains au chocolat comme il est dit, ici, en Côte d’Or.
Il est capable de tenir ce commerce que je viens d’acheter avec l’assurance-vie, suite au décès de Louis, la compagnie contestant certains points du contrat.
Dernière chose avant de le retrouver qui peut dire une nouvelle fois le cul dans la pâte !
Un curé va venir de Dijon marier Isabelle, la sacristaine à un dénommé Sam boulanger de son état, qui peut dire que la vie est belle.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ces petites histoires, toujours aussi excitantes...
Je connais une amie qui est comme ta vedette de l'histoire, j'aimerais bien que ça lui arrive une histoire comme ça, ça lui ferait du bien aussi
Cyrille
Je connais une amie qui est comme ta vedette de l'histoire, j'aimerais bien que ça lui arrive une histoire comme ça, ça lui ferait du bien aussi
Cyrille
Merci mimi bjr au 68 !
à un numéro prêt s'était la fête du slip...
à un numéro prêt s'était la fête du slip...
trop bien
trop bien