COLLECTION BLACK. La vie commence à 40 ans (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. La vie commence à 40 ans (2/2)
J’allais divorcer suite à la tromperie de mon mari avec sa secrétaire quand il est frappé d’hémiplégie le transformant en parfait légume.
Je sais, je dis cela sans la moindre compassion, mais lui en a-t-il eu alors que je me donnais du mieux que je le pouvais afin de le satisfaire.
Surtout sexuellement.
J’allais le quitter pour faire ma vie lorsqu’il a son attaque, ce qui m’attache un peu plus à lui, le divorce devenant impossible.
Pour cela, il faut être deux à signer et lui est dans l’incapacité de le faire.
Les dispositions qu’il avait prises me permettent de vendre notre entreprise partagée par moitié avec Jennifer, notre fille.
C’était le lendemain de son mariage alors que Greg était saoul, rempli de vin blanc, que j’avais décidé de le quitter et qu’il a fait son attaque.
Depuis je traîne ma flemme le laissant même quelques fois seul alors que je vais au restaurant.
Ce doit être le cas aujourd’hui quand on sonne à ma porte.
J’ai vu des pornos avec des hommes à grosse bite tournée par des actrices.
Quand j’ouvre l’homme que j’ai vu entrer un peu plus tôt, un aspirateur en main est devant moi.
Je le fais entrer dans la salle où se trouve Greg.
Je détache mon peignoir qui tombe au sol.
Je suis nue.
• Devant ton mari !
• Non, mon légume, un chou, un navet, surement plus une carotte où un poireau pourtant j’aimais les cultiver avant qu’il me trompe.
• Je comprends, tu te venges !
• Donne-moi ta bite, montre-moi si elle est aussi belle que celle du porno que j’ai regardé et qui m’a fait saliver.
Il détache la ceinture de son costume et me sort ma convoitise.
Je vais être servi.
Impossible de la faire entrer dans ma bouche.
Dommage, avec Greg, c’était ce qu’il préférait que je lui fasse, des gorges profondes.
On comprend que j’ai pu être jalouse quand il m’a trompé avec Carole sa pétasse.
• C’est impressionnant de se faire sucer divinement devant le regard de cet homme.
• De ce légume, je te l’ai dit.
Baise-moi.
Je me place les cuisses écartées les seins sur le dossier de notre canapé en véritable cuir vert.
Là encore ça a été un cadeau de ma part.
Greg étant issu d’une famille pauvre, je lui avais fait goûter au luxe et aux belles choses.
La verge qui cherche son chemin et qui la trouve facilement tellement que je suis mouillée fera partie de mon luxe personnel.
J’aime l’art éphémère et les grands coups de bite qu’il me donne en font partie.
• Arrête de hurler devant lui, tu vas le réveiller.
Pendant que je jouis, il éclate de rire avec sa grosse voix.
Je suis sûr que le cocu devant nous doit entendre au fond de lui et sait que sa femme est une belle salope.
Bref, je refuse son aspirateur alors que c’est ma bouche qui finit par aspirer son sperme.
Une fois seule, je suis satisfaite qu’un grand black à grosse bite m’ait pris, surtout devant mon cocu de mari.
Les jours passent quand en début d’après-midi un jour où je regardais un téléfilm à la télé, on sonne.
Un goût de revenez-y me fait rêver que mon vendeur d’aspirateur soit derrière la porte.
Je me trompe Carole, la pute, le résidu de capote, la fiente.
Celle par qui le malheur est arrivé est là devant moi dans le même tailleur que celui que je lui ai vu quand je l’ai fichu à la porte.
• Je venais simplement prendre des nouvelles de monsieur Greg, j’ai appris qu’il avait fait une attaque.
• Aucune pudeur, aucune honte, tu as baisée avec mon homme, ce qui l’a surmené et maintenant tu viens voir le résultat.
• Oh non !
C’est monsieur Greg qui voulait que nous fassions l’amour, moi je lui parlais tout le temps de vous et que c’était mal.
• Ça t’a fait tout de même du bien, sans être une bête de sexe, Greg savait s’occuper de nos sexes.
• Oui, un peu.
• Tu sembles pâle, es-tu malade ?
• Non, après mon licenciement, j’ai perdu mon logement, car mes indemnités de chômage sont insuffisantes à le payer.
• Dis-moi, je crois comprendre, c’est Greg qui t’avait mis dans ses meubles.
• Trois jours avant le mariage de votre fille, il en avait assez d’aller dans des maisons de rendez-vous.
• Il te fournissait un logement, mais tu étais devenue une pute.
• Je sais je lui disais et il me répondait en me disant aimer sa petite salope.
• Tu habites ou maintenant !
• Dans ma vieille bagnole dans une petite impasse de la ville.
• Veux-tu devenir ma pute !
• Comment ça ?
• Enlève tes fringues, regarde, moi j’aime être nue devant lui.
• Tu aimes les femmes !
• Il y a peu, j’ai essayé une grosse bite noire, pourquoi pas ta petite chatte sous ma bouche.
• Devant lui ?
• Je pense qu’il a été aux premières loges, sans se plaindre quand j’ai sucé cette bite et qu’il m’a enfilé.
Il va en être de même pour toi.
J’ai essayé la télé, même les films en V.O. sans réaction de sa part.
• Tu es dure !
• Seulement réaliste, je lui avais juré fidélité et lui aussi.
Mais il y a eu toi.
• Et je le regrette.
Elle ôte, ses vêtements, je l’aide un peu et nos bouches se trouvent une longue minute.
Bite noire, bouche pulpeuse et chatte épilée.
• Soit sans regret, grâce à toi, je laisse ce minable à ce qu’il ait.
Un être sans parole et qui a eu ce qu’il méritait.
Sans toi, je serais en train de lui essuyer le cul alors que je laisse cela à son auxiliaire de vie.
Nous roulons sur le canapé, mais j’en ai déjà parlé.
J’aime les bites, mais je découvre aussi les chattes, sa chatte qu’elle m’offre comme une mangue bien juteuse.
Bien sûr, devant son amant et cela pendant les jours qui ont suivi.
Attention, j’aime baiser avec Caro, mais j’aime toujours autant les bites.
Surtout après que la chance nous ait mis en présence de Lary et de son aspirateur.
J’en ai acheté un que nous passons à tour de rôle pendant que celle qui est libre se pavane sur le canapé avec sa bite dans sa chatte.
Quand l’une ou l’autre a terminé, nous nous rejoignions et pendant que je lui lèche la fente, je me fais sodomiser.
Eh oui, j’ai franchi le pas et Caro aussi.
Certains jours, nous sommes toutes les deux à quatre pattes les seins sur le dossier à nous faire prendre l’une après l’autre.
Greg apprécie, au théâtre ce soir, la pièce de John Cardwell avec des costumes de Bob l’Éponge et des décors de Laure Dudulle sans jamais se plaindre.
L’une après l’autre avec sa seule grosse bite, Lamy son jumeau arrivant de point à Pitre va nous rejoindre.
De quoi diversifier le spectacle que je souhaite offrir à notre homme.
Lary nous a promis des doubles pénétrations.
On l’aime celui qui garde toujours ses remarques pour lui.
Il mérite bien une petite promenade de vacances.
Je viens de réserver une villa avec piscine sur la Côte atlantique près de Saint-Palais-sur-mer !
Messieurs et aussi mesdames, si dans le mois qui suit, vous souhaitez baiser deux belles salopes auprès d’une piscine, vous êtes les bienvenues.
Laissez un message sur ce site.
Il va de soi que nous baiserons exclusivement en présence de notre homme qui je vous le promets restera sans la moindre réaction.
Je sais, je dis cela sans la moindre compassion, mais lui en a-t-il eu alors que je me donnais du mieux que je le pouvais afin de le satisfaire.
Surtout sexuellement.
J’allais le quitter pour faire ma vie lorsqu’il a son attaque, ce qui m’attache un peu plus à lui, le divorce devenant impossible.
Pour cela, il faut être deux à signer et lui est dans l’incapacité de le faire.
Les dispositions qu’il avait prises me permettent de vendre notre entreprise partagée par moitié avec Jennifer, notre fille.
C’était le lendemain de son mariage alors que Greg était saoul, rempli de vin blanc, que j’avais décidé de le quitter et qu’il a fait son attaque.
Depuis je traîne ma flemme le laissant même quelques fois seul alors que je vais au restaurant.
Ce doit être le cas aujourd’hui quand on sonne à ma porte.
J’ai vu des pornos avec des hommes à grosse bite tournée par des actrices.
Quand j’ouvre l’homme que j’ai vu entrer un peu plus tôt, un aspirateur en main est devant moi.
Je le fais entrer dans la salle où se trouve Greg.
Je détache mon peignoir qui tombe au sol.
Je suis nue.
• Devant ton mari !
• Non, mon légume, un chou, un navet, surement plus une carotte où un poireau pourtant j’aimais les cultiver avant qu’il me trompe.
• Je comprends, tu te venges !
• Donne-moi ta bite, montre-moi si elle est aussi belle que celle du porno que j’ai regardé et qui m’a fait saliver.
Il détache la ceinture de son costume et me sort ma convoitise.
Je vais être servi.
Impossible de la faire entrer dans ma bouche.
Dommage, avec Greg, c’était ce qu’il préférait que je lui fasse, des gorges profondes.
On comprend que j’ai pu être jalouse quand il m’a trompé avec Carole sa pétasse.
• C’est impressionnant de se faire sucer divinement devant le regard de cet homme.
• De ce légume, je te l’ai dit.
Baise-moi.
Je me place les cuisses écartées les seins sur le dossier de notre canapé en véritable cuir vert.
Là encore ça a été un cadeau de ma part.
Greg étant issu d’une famille pauvre, je lui avais fait goûter au luxe et aux belles choses.
La verge qui cherche son chemin et qui la trouve facilement tellement que je suis mouillée fera partie de mon luxe personnel.
J’aime l’art éphémère et les grands coups de bite qu’il me donne en font partie.
• Arrête de hurler devant lui, tu vas le réveiller.
Pendant que je jouis, il éclate de rire avec sa grosse voix.
Je suis sûr que le cocu devant nous doit entendre au fond de lui et sait que sa femme est une belle salope.
Bref, je refuse son aspirateur alors que c’est ma bouche qui finit par aspirer son sperme.
Une fois seule, je suis satisfaite qu’un grand black à grosse bite m’ait pris, surtout devant mon cocu de mari.
Les jours passent quand en début d’après-midi un jour où je regardais un téléfilm à la télé, on sonne.
Un goût de revenez-y me fait rêver que mon vendeur d’aspirateur soit derrière la porte.
Je me trompe Carole, la pute, le résidu de capote, la fiente.
Celle par qui le malheur est arrivé est là devant moi dans le même tailleur que celui que je lui ai vu quand je l’ai fichu à la porte.
• Je venais simplement prendre des nouvelles de monsieur Greg, j’ai appris qu’il avait fait une attaque.
• Aucune pudeur, aucune honte, tu as baisée avec mon homme, ce qui l’a surmené et maintenant tu viens voir le résultat.
• Oh non !
C’est monsieur Greg qui voulait que nous fassions l’amour, moi je lui parlais tout le temps de vous et que c’était mal.
• Ça t’a fait tout de même du bien, sans être une bête de sexe, Greg savait s’occuper de nos sexes.
• Oui, un peu.
• Tu sembles pâle, es-tu malade ?
• Non, après mon licenciement, j’ai perdu mon logement, car mes indemnités de chômage sont insuffisantes à le payer.
• Dis-moi, je crois comprendre, c’est Greg qui t’avait mis dans ses meubles.
• Trois jours avant le mariage de votre fille, il en avait assez d’aller dans des maisons de rendez-vous.
• Il te fournissait un logement, mais tu étais devenue une pute.
• Je sais je lui disais et il me répondait en me disant aimer sa petite salope.
• Tu habites ou maintenant !
• Dans ma vieille bagnole dans une petite impasse de la ville.
• Veux-tu devenir ma pute !
• Comment ça ?
• Enlève tes fringues, regarde, moi j’aime être nue devant lui.
• Tu aimes les femmes !
• Il y a peu, j’ai essayé une grosse bite noire, pourquoi pas ta petite chatte sous ma bouche.
• Devant lui ?
• Je pense qu’il a été aux premières loges, sans se plaindre quand j’ai sucé cette bite et qu’il m’a enfilé.
Il va en être de même pour toi.
J’ai essayé la télé, même les films en V.O. sans réaction de sa part.
• Tu es dure !
• Seulement réaliste, je lui avais juré fidélité et lui aussi.
Mais il y a eu toi.
• Et je le regrette.
Elle ôte, ses vêtements, je l’aide un peu et nos bouches se trouvent une longue minute.
Bite noire, bouche pulpeuse et chatte épilée.
• Soit sans regret, grâce à toi, je laisse ce minable à ce qu’il ait.
Un être sans parole et qui a eu ce qu’il méritait.
Sans toi, je serais en train de lui essuyer le cul alors que je laisse cela à son auxiliaire de vie.
Nous roulons sur le canapé, mais j’en ai déjà parlé.
J’aime les bites, mais je découvre aussi les chattes, sa chatte qu’elle m’offre comme une mangue bien juteuse.
Bien sûr, devant son amant et cela pendant les jours qui ont suivi.
Attention, j’aime baiser avec Caro, mais j’aime toujours autant les bites.
Surtout après que la chance nous ait mis en présence de Lary et de son aspirateur.
J’en ai acheté un que nous passons à tour de rôle pendant que celle qui est libre se pavane sur le canapé avec sa bite dans sa chatte.
Quand l’une ou l’autre a terminé, nous nous rejoignions et pendant que je lui lèche la fente, je me fais sodomiser.
Eh oui, j’ai franchi le pas et Caro aussi.
Certains jours, nous sommes toutes les deux à quatre pattes les seins sur le dossier à nous faire prendre l’une après l’autre.
Greg apprécie, au théâtre ce soir, la pièce de John Cardwell avec des costumes de Bob l’Éponge et des décors de Laure Dudulle sans jamais se plaindre.
L’une après l’autre avec sa seule grosse bite, Lamy son jumeau arrivant de point à Pitre va nous rejoindre.
De quoi diversifier le spectacle que je souhaite offrir à notre homme.
Lary nous a promis des doubles pénétrations.
On l’aime celui qui garde toujours ses remarques pour lui.
Il mérite bien une petite promenade de vacances.
Je viens de réserver une villa avec piscine sur la Côte atlantique près de Saint-Palais-sur-mer !
Messieurs et aussi mesdames, si dans le mois qui suit, vous souhaitez baiser deux belles salopes auprès d’une piscine, vous êtes les bienvenues.
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Il va de soi que nous baiserons exclusivement en présence de notre homme qui je vous le promets restera sans la moindre réaction.
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