COLLECTION BLACK. Le démonte-pneu, non, les démonte-pneus (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. Le démonte-pneu, non, les démonte-pneus (1/2)
Mince, je me suis perdu, pourtant j’ai suivi dans ma tête le plan que Chantal m’avait fait pour que je puisse rejoindre son nouveau logement où elle vient d’emménager.
Droite, gauche, gauche, gauche, au rond-point, deuxième vers le centre commercial.
Merde le centre commercial Carrefour, j’ai dû me tromper et ou est-il ?
Je m’arrête pour téléphoner, mais avant je me retourne.
Arisa dort dans son couffin.
Arisa dort toujours dès que nous sommes en voiture, elle a trois mois et c’est un ange, mon petit ange.
J’appelle, aucun réseau, c’est bien ma veine, je vérifie le Bluetooth sur ma console. Pour la naissance de ma fille, Aldo mon mari m’a offert une dacia blanche et je dois encore métriser la console du tableau de bord.
Tout semble normal, à un détail près, un voyant est allumé.
Je prends le bouquin de ma Sandero, c’est bien ma chance, j’ai un pneu qui se dégonfle.
C’est bien ma veine, j’ai fini par arriver dans un quartier pourri et à midi, je suis seule avec ma fille.
Je suis dans un quartier industriel et j’ai dû ramasser un clou ou une vis d’une palette perdue lors d’une livraison.
« Comment changer une roue ? »
Ils me parleraient en arabe, ce seraient kif-kif.
Lorsque je lève la tête, une enseigne, « garage Mamadou » quand je dis que je suis dans un quartier pourri, même les garages me sont hostiles.
Mamadou, ils sont partout même dans les garages.
Je vois quelqu’un bouger derrière une vitre, je sors ma fille de la voiture, il fait chaud et je veux éviter d’être une mère indigne qui a laissé sa fille se déshydrater.
Le portail est fermé, je sonne, j’attends, ça finit par bouger et la petite porte finit par s’ouvrir après que j’ai insisté.
• Et petite dame, tu as vu, midi à quatorze heures, le garage est fermé, on a bien le droit de manger et de faire une petite sieste !
L’homme qui vient d’ouvrir, porte bien son nom, Mamadou, grand, une tête de plus que moi, des bisept comme mes cuisses, je les vois.
Il porte une salopette à bretelle sans chemise, c’est normal par cette chaleur.
Trente, trente-cinq ans, il est noir comme de l’ébène.
• C’est pourquoi ?
• Je suis perdu avec ma fille et j’ai crevé, j’ai vu votre garage, je suis dans l’impossibilité de changer ma roue, vous pouvez me la réparer !
• Entre, tu vas attraper la mort et ta fille aussi, elle dort, elle est chou.
Je vais t’offrir à boire, inutile de changer la roue avant quatorze heures, ils ont coupé le courant pour une réparation sur le transfo du quartier et mes machines fonctionnent avec du courant.
• Je peux téléphoner, je me rendais chez une copine pour lui présenter Arisa, ma fille, elle a trois mois.
• Zone blanche pour les portables et ma Live comme mes machines fonctionnent avec du courant, il te faudra attendre quatorze heures.
En attendant voilà de l’eau fraiche !
C’est bien ma chance, tout ça parce qu’au rond-point précédent, j’ai dû tourner une route avant celle prévue.
Il me sert de l’eau tirée d’une carafe sortie d’un frigo, nous sommes dans la cuisine où il devait être lorsque j’ai vu sa silhouette par la fenêtre.
Il est douze heures quarante à la pendule au-dessus de l’évier.
Arisa dort toujours, par chance je lui ai donné le sein avant de partir et comme elle est changée, elle dort du sommeil du juste.
Je fais un monologue dans ma tête, Mamadou elle loin d’être causant, pourtant c’est lui qui finit par parler, toujours en continuant de me tutoyer.
• Tu sembles triste, tu as une fille, tu devrais être heureuse, dis-moi avec ton mari, ça va bien.
• Oui, puisque nous avons eu notre fille !
L’intonation de ma voix doit lui dire le contraire, car il insiste.
• Je crois savoir ce qui t’arrive, ma sœur a été comme toi après son accouchement son mari refusait de la toucher.
Elle a fini par me dire que s’était même avant, dès qu’il a su qu’elle attendait leur garçon, il avait peur de faire mal au bébé.
Je tombe en larmes, la pression de tout ce qu’il m’est arrivé et ce que je vis chez moi.
• Tu as raison, je vis le même calvaire, j’ai l’impression qu’il a compensé son manque d’envie pour moi en m’offrant une voiture neuve.
• C’est fréquent, il voit la mère en toi et la femme s’est effacée de sa mémoire, ma sœur, ça a pris presque un an avant qu’il recommence à la toucher.
Il se lève, viens vers moi et me plaque contre lui me prenant la tête dans ses grosses mains.
• Sèche tes larmes, petite fille, tu vas voir, tout va s’arranger, ça finit toujours par s’arranger.
En me disant ces mots apaisants, ma joue est posée sur sa salopette, juste où il faut pour que je sente que ce garçon est une vraie force de la nature.
Je suis mariée et surtout ma fille dors à côté de moi.
Je me dégage un peu brusquement.
• Tu as pris peur, tu l’as senti, veux-tu la voir ?
Avant ma réponse, il dégraphe les bretelles de sa salopette qui tombe au sol, me dévoilant une chose monstrueuse.
Aldo, mon mari mesure dix à onze centimètres pour six de diamètre.
Je le sais, un après-midi lorsque nous faisions l’amour avant la naissance d’Arisa, je venais de finir de faire de la couture et après une bonne fellation, nous avions ri en la mesurant avec mon mètre de couturière.
Je peux même ajouter, qu’il mesure six petits centimètres lorsqu’il est au repos et bandant déjà, au bas mot, dix à onze.
Mamadou fait bien ses vingt-cinq centimètres pour dix à douze de diamètre.
Qui de lui ou de moi plaque ma bouche sur cette monstruosité noire ?
Je suis dans l’impossibilité de le dire surtout que je suis incapable de prendre son gland dans ma bouche, le saisissant, je le lèche en le masturbant.
• Viens, ma chambre est à côté, laisse ta fille dormir et rejoignons là, je vais te faire l’amour.
Certains diront lorsque je me lève ayant été prise par la main, que je le suis comme une vache se rendant à l’abattoir, mais ce serait faux, car ma chatte dégouline d’envie.
Certains diront que c’est normal, avant ma fille, je baisais avec celui qui m’avait dépucelé presque tous les jours voire même deux fois, mais comme je l’ai dit depuis que je lui ai montré deux petits chaussons, rideau !
J’ai un instant de surprise en entrant dans la chambre, c’est la première fois que je vois un lit rond.
• Je te déshabille où souhaites-tu que le faire toi-même, je suis déjà près !
Étant en sandales d’été, il lui a été facile de les laisser avec sa salopette dans la cuisine près de ma fille.
Je me pends à son cou et je reçois ses grosses lèvres noires sur ma jolie petite bouche rose.
Sa langue large et épaisse pénètre en moi et ce simple contact m’apporte un début de jouissance.
Allaitant Arisa, j’ai une robe facile à dégrafer pour sortir mes seins pleins de lait.
Ma belle-mère se plait à dire qu’à la révolution, alors qu’elle qui était plate comme une limande, j’aurais pu être la nourrice du roi de France et régaler les deux.
Ma robe tombe, je suis ailleurs, oh ! bien dans cette chambre, mais ailleurs tout de même, en un mot je suis une autre que celle que je pensais être.
Ce qui est certain, c’est que la main qui se pose sur ma chatte, est loin de me rendre indifférente.
Je dois reconnaitre que je suis impatiente qu’il me prenne avec son immense démonte-pneu.
C’est drôle, était-ce une prémonition lorsque avant notre mariage Aldo employait le même terme en parlant de sa verge, mais de façon négative.
Il avait un complexe depuis le jour où son père lui avait fait faire du foot et où les entraineurs leur avaient imposé la douche, montrant à ses petits copains que du côté bite, il manquait de proportion.
Je l’avais rassuré et je me contentais jusqu’à ce jour de ce qu’il avait à m’offrir.
Avec mon mari, je possédais un mont du Cantal, avec Mamadou, ma chatte allait s’attaquer à un Everest phallique.
Allais-je être à la hauteur et atteindre le sommet, j’avais peur de caler avant de l’avoir entièrement en moi.
Nue, moi aussi après qu’il m’ait ôté ma petite culotte, il me balance sur le lit rond.
J’adore sa rudesse, chez moi, j’ai l’impression que mon mari a peur de me casser, du moins avant son manque d’envie.
• Il est dommage que le courant soit coupé, tu aurais aimé, être prise en voyant le lit tourné et la chambre sous des angles différents.
Dommage, oui, mais sa langue venant sur ma minette en feu s’enflamme à l’idée que devrait être le faite de faire l’amour après tant de mois d’abstinence en tournant.
Un instant, car sa langue achève de me faire planer, moi qui aime peindre.
Sur ces quatre murs blancs, je verrais bien une fresque avec des scènes salaces, que les maîtresses d’Aldo regarderaient comme un film sans fin.
Pour me lécher la vulve, il m’écarte les cuisses et avants de me pénétrer attrape sur la table de nuit une capote.
J’espère que c’est une taille 5 xl, car sinon, nous risquons l’incident de parcours, si cette protection explose sous la pression de ses grosses couilles lorsque je le ferais éjaculer.
C’est fini, non, pas de me faire baiser, ça commence juste lorsqu’il entre en moi, mais mon veuvage dû à ma grossesse et au peu d’attention que mon mari me porte depuis que j’ai accouché.
Je me sens redevenue femme, même si la bite de Mamadou m’écarte comme jamais.
Ses mouvements en moi font rapidement de moi une femelle en redemandant encore et encore.
Depuis combien de temps est-il en moi, je l’ignore ?
Sur la table de nuit ou mon amant a saisi sa capote, me montrant par là même que des femmes doivent venir ici, un radio-réveil est, lui aussi en manque de courant.
C’est le moment où tout redémarre, quelle heure m’avait-il dite, quatorze heures.
J’ignore depuis combien de temps il est en moi m’ayant déjà fait monter aux rideaux deux fois, mais certainement bien plus longtemps que les cinq minutes et je suis généreuse, ou mon mari me pénètre avant d’éjaculer.
Je suis à deux doigts de paniquer, mais Mamadou me libère avant que j’aie le temps de lui dire qu’il faut que j’y aille, quand me retournant il me prend en levrette.
J’ai l’impression d’être une poupée de chiffon dans ses grosses mains pour mon plus grand plaisir.
Au moment où un orgasme m’atteint à plus de dix sur l’échelle de Richter, il se vide dans la capote me laissant pantelante, des ondes de plaisirs interminables me traversant.
Le temps m’a tellement échappé que lorsque mes yeux passent devant le radio-réveil celui-ci est en marche et de la musique remplit la pièce.
Je panique, non pas d’avoir trompé mon mari, la jouissance que m’a apportée mon amant est bien supérieure à ce sentiment, mais dans la cuisine j’entends hurler Arisa.
Femme indigne certes, mais surtout mère indigne, je me rends compte qu’étant pilonné à quatre pattes, mes seins ont eu une montée de lait et qu’ils en ont mis pleine la couverture.
• Ma chérie, tu as faim, maman a perdu la notion du temps, vient.
Je sors ma fille de son couffin et je la mets au sein, elle me tête goulument.
• Mamadou, tu veux être gentil, Arisa s’est mouillé, peux-tu aller dans ma voiture, sur le siège avant il y a son sac, il faut que je la chance.
• As-tu remarqué que nous avons fait divinement l’amour et que j’ignore qui tu es, toi tu sais tout de moi mon nom étant sur le bandeau au-dessus de la porte d’entrée de mon garage !
Me tenant ces propos, il remet salopette et sandale, à part ma fille qui me tête à la limite de la jouissance tellement elle avait faim, nous présentons un couple présentable.
• Radia, si tu es africain, je le suis aussi, je suis d’origine marocaine mais née à Paris et j’ai suivi mon mari dans son déplacement.
• Moi aussi, avec mes frères qui vont arriver, nous sommes de Paris étant originaire du Sénégal.
Mamadou sort, je change ma fille de sein, c’est vrai que je pourrais allaiter deux enfants sans aucun problème.
Par compte, je me demande si ce lait sortant de mes mamelles pourrait être la cause du manque d’entrain de mon mari.
Chantal, mince que va-t-elle penser de mon retard, Chantal donc a eu deux garçons des jumeaux, Alex, son mari, pleurait si ses deux garnements la vidaient de son lait, il adorait téter le reste.
Pour sa part, Aldo aurait pu essayer de me téter, va-t-il falloir que je fasse passer mon lait pour qu’il retrouve le chemin de ma chatte à cette heure rassasiée.
• Je te présente Amat, mon jumeau et Boubacar, notre plus jeune frère, ils ont voulu te saluer avant d’aller désosser de vieilles voitures.
Nous achetons des épaves ou nous récupérons des pièces susceptibles d’être utile comme pièce d’occasion.
Nous avons de quoi réparer des voitures en arrêt de fabrication et même des voitures de collection.
Voilà ton sac.
Deux frères, un jumeau identique à mon amant et un frère un peu plus petit en taille et du même calibre concernant la musculature.
Je me prends à rêver que si ces trois garçons me faisaient l’amour, je sortirais de leur bras comme si j’étais passée dans une lessiveuse.
Mais je fantasme, je range mes seins avant de récupérer des couches et de mettre ma fille au sec.
• Dis-moi Radia, t’es-tu arrêté après être parti de chez toi ?
• Oui, à la pharmacie près de chez moi, pour acheter un tube de crème pour les fesses de ma fille.
• Tu as dû tomber sur une bande de chenapans qui ont fait le coup classique du morceau d’allumette dans la valve d’un de tes pneus.
Il perd doucement et lorsque tu t’aperçois, que tu es à plat, même s’ils sont loin, ça les fait marrer.
• Oui, j’ai vu quatre jeunes de six ou sept ans partir en courant lorsque je suis sortie.
• Mes frères vont aller le regonfler pendant que tu finis de changer ta jolie Arisa.
Tient je te donne une carte avec notre numéro de téléphone, tu appelles quand tu veux, de jour comme de nuit, nous viendrons te dépanner ou que tu sois dans la région.
Gracieusement il va de soi, tu auras été un doux moment de ma vie.
Il m’embrasse me refaisant mouiller.
Si ma fille est rassasiée pour ma part je suis à deux doigts de lui demander de faire encore tourner son lit.
Mais je suis raisonnable et alors qu’il porte mon sac, nous retournons à ma voiture, je tourne ma clef de contact, le voyant pneu en perdition est éteint.
En redémarrant, je vois trois mains qui me font signent au revoir, mais il est temps de retrouver ma vie d’avant, ma vie du temps ou j’étais fidèle.
Avant qu’il disparaisse de ma vue, je me prends à rêver que les trois frères auraient trois démonte-pneus identiques à celui que m’a offert Mamadou.
Bien sûr, je tiens à laisser cette vision dans le domaine du fantasme...
Droite, gauche, gauche, gauche, au rond-point, deuxième vers le centre commercial.
Merde le centre commercial Carrefour, j’ai dû me tromper et ou est-il ?
Je m’arrête pour téléphoner, mais avant je me retourne.
Arisa dort dans son couffin.
Arisa dort toujours dès que nous sommes en voiture, elle a trois mois et c’est un ange, mon petit ange.
J’appelle, aucun réseau, c’est bien ma veine, je vérifie le Bluetooth sur ma console. Pour la naissance de ma fille, Aldo mon mari m’a offert une dacia blanche et je dois encore métriser la console du tableau de bord.
Tout semble normal, à un détail près, un voyant est allumé.
Je prends le bouquin de ma Sandero, c’est bien ma chance, j’ai un pneu qui se dégonfle.
C’est bien ma veine, j’ai fini par arriver dans un quartier pourri et à midi, je suis seule avec ma fille.
Je suis dans un quartier industriel et j’ai dû ramasser un clou ou une vis d’une palette perdue lors d’une livraison.
« Comment changer une roue ? »
Ils me parleraient en arabe, ce seraient kif-kif.
Lorsque je lève la tête, une enseigne, « garage Mamadou » quand je dis que je suis dans un quartier pourri, même les garages me sont hostiles.
Mamadou, ils sont partout même dans les garages.
Je vois quelqu’un bouger derrière une vitre, je sors ma fille de la voiture, il fait chaud et je veux éviter d’être une mère indigne qui a laissé sa fille se déshydrater.
Le portail est fermé, je sonne, j’attends, ça finit par bouger et la petite porte finit par s’ouvrir après que j’ai insisté.
• Et petite dame, tu as vu, midi à quatorze heures, le garage est fermé, on a bien le droit de manger et de faire une petite sieste !
L’homme qui vient d’ouvrir, porte bien son nom, Mamadou, grand, une tête de plus que moi, des bisept comme mes cuisses, je les vois.
Il porte une salopette à bretelle sans chemise, c’est normal par cette chaleur.
Trente, trente-cinq ans, il est noir comme de l’ébène.
• C’est pourquoi ?
• Je suis perdu avec ma fille et j’ai crevé, j’ai vu votre garage, je suis dans l’impossibilité de changer ma roue, vous pouvez me la réparer !
• Entre, tu vas attraper la mort et ta fille aussi, elle dort, elle est chou.
Je vais t’offrir à boire, inutile de changer la roue avant quatorze heures, ils ont coupé le courant pour une réparation sur le transfo du quartier et mes machines fonctionnent avec du courant.
• Je peux téléphoner, je me rendais chez une copine pour lui présenter Arisa, ma fille, elle a trois mois.
• Zone blanche pour les portables et ma Live comme mes machines fonctionnent avec du courant, il te faudra attendre quatorze heures.
En attendant voilà de l’eau fraiche !
C’est bien ma chance, tout ça parce qu’au rond-point précédent, j’ai dû tourner une route avant celle prévue.
Il me sert de l’eau tirée d’une carafe sortie d’un frigo, nous sommes dans la cuisine où il devait être lorsque j’ai vu sa silhouette par la fenêtre.
Il est douze heures quarante à la pendule au-dessus de l’évier.
Arisa dort toujours, par chance je lui ai donné le sein avant de partir et comme elle est changée, elle dort du sommeil du juste.
Je fais un monologue dans ma tête, Mamadou elle loin d’être causant, pourtant c’est lui qui finit par parler, toujours en continuant de me tutoyer.
• Tu sembles triste, tu as une fille, tu devrais être heureuse, dis-moi avec ton mari, ça va bien.
• Oui, puisque nous avons eu notre fille !
L’intonation de ma voix doit lui dire le contraire, car il insiste.
• Je crois savoir ce qui t’arrive, ma sœur a été comme toi après son accouchement son mari refusait de la toucher.
Elle a fini par me dire que s’était même avant, dès qu’il a su qu’elle attendait leur garçon, il avait peur de faire mal au bébé.
Je tombe en larmes, la pression de tout ce qu’il m’est arrivé et ce que je vis chez moi.
• Tu as raison, je vis le même calvaire, j’ai l’impression qu’il a compensé son manque d’envie pour moi en m’offrant une voiture neuve.
• C’est fréquent, il voit la mère en toi et la femme s’est effacée de sa mémoire, ma sœur, ça a pris presque un an avant qu’il recommence à la toucher.
Il se lève, viens vers moi et me plaque contre lui me prenant la tête dans ses grosses mains.
• Sèche tes larmes, petite fille, tu vas voir, tout va s’arranger, ça finit toujours par s’arranger.
En me disant ces mots apaisants, ma joue est posée sur sa salopette, juste où il faut pour que je sente que ce garçon est une vraie force de la nature.
Je suis mariée et surtout ma fille dors à côté de moi.
Je me dégage un peu brusquement.
• Tu as pris peur, tu l’as senti, veux-tu la voir ?
Avant ma réponse, il dégraphe les bretelles de sa salopette qui tombe au sol, me dévoilant une chose monstrueuse.
Aldo, mon mari mesure dix à onze centimètres pour six de diamètre.
Je le sais, un après-midi lorsque nous faisions l’amour avant la naissance d’Arisa, je venais de finir de faire de la couture et après une bonne fellation, nous avions ri en la mesurant avec mon mètre de couturière.
Je peux même ajouter, qu’il mesure six petits centimètres lorsqu’il est au repos et bandant déjà, au bas mot, dix à onze.
Mamadou fait bien ses vingt-cinq centimètres pour dix à douze de diamètre.
Qui de lui ou de moi plaque ma bouche sur cette monstruosité noire ?
Je suis dans l’impossibilité de le dire surtout que je suis incapable de prendre son gland dans ma bouche, le saisissant, je le lèche en le masturbant.
• Viens, ma chambre est à côté, laisse ta fille dormir et rejoignons là, je vais te faire l’amour.
Certains diront lorsque je me lève ayant été prise par la main, que je le suis comme une vache se rendant à l’abattoir, mais ce serait faux, car ma chatte dégouline d’envie.
Certains diront que c’est normal, avant ma fille, je baisais avec celui qui m’avait dépucelé presque tous les jours voire même deux fois, mais comme je l’ai dit depuis que je lui ai montré deux petits chaussons, rideau !
J’ai un instant de surprise en entrant dans la chambre, c’est la première fois que je vois un lit rond.
• Je te déshabille où souhaites-tu que le faire toi-même, je suis déjà près !
Étant en sandales d’été, il lui a été facile de les laisser avec sa salopette dans la cuisine près de ma fille.
Je me pends à son cou et je reçois ses grosses lèvres noires sur ma jolie petite bouche rose.
Sa langue large et épaisse pénètre en moi et ce simple contact m’apporte un début de jouissance.
Allaitant Arisa, j’ai une robe facile à dégrafer pour sortir mes seins pleins de lait.
Ma belle-mère se plait à dire qu’à la révolution, alors qu’elle qui était plate comme une limande, j’aurais pu être la nourrice du roi de France et régaler les deux.
Ma robe tombe, je suis ailleurs, oh ! bien dans cette chambre, mais ailleurs tout de même, en un mot je suis une autre que celle que je pensais être.
Ce qui est certain, c’est que la main qui se pose sur ma chatte, est loin de me rendre indifférente.
Je dois reconnaitre que je suis impatiente qu’il me prenne avec son immense démonte-pneu.
C’est drôle, était-ce une prémonition lorsque avant notre mariage Aldo employait le même terme en parlant de sa verge, mais de façon négative.
Il avait un complexe depuis le jour où son père lui avait fait faire du foot et où les entraineurs leur avaient imposé la douche, montrant à ses petits copains que du côté bite, il manquait de proportion.
Je l’avais rassuré et je me contentais jusqu’à ce jour de ce qu’il avait à m’offrir.
Avec mon mari, je possédais un mont du Cantal, avec Mamadou, ma chatte allait s’attaquer à un Everest phallique.
Allais-je être à la hauteur et atteindre le sommet, j’avais peur de caler avant de l’avoir entièrement en moi.
Nue, moi aussi après qu’il m’ait ôté ma petite culotte, il me balance sur le lit rond.
J’adore sa rudesse, chez moi, j’ai l’impression que mon mari a peur de me casser, du moins avant son manque d’envie.
• Il est dommage que le courant soit coupé, tu aurais aimé, être prise en voyant le lit tourné et la chambre sous des angles différents.
Dommage, oui, mais sa langue venant sur ma minette en feu s’enflamme à l’idée que devrait être le faite de faire l’amour après tant de mois d’abstinence en tournant.
Un instant, car sa langue achève de me faire planer, moi qui aime peindre.
Sur ces quatre murs blancs, je verrais bien une fresque avec des scènes salaces, que les maîtresses d’Aldo regarderaient comme un film sans fin.
Pour me lécher la vulve, il m’écarte les cuisses et avants de me pénétrer attrape sur la table de nuit une capote.
J’espère que c’est une taille 5 xl, car sinon, nous risquons l’incident de parcours, si cette protection explose sous la pression de ses grosses couilles lorsque je le ferais éjaculer.
C’est fini, non, pas de me faire baiser, ça commence juste lorsqu’il entre en moi, mais mon veuvage dû à ma grossesse et au peu d’attention que mon mari me porte depuis que j’ai accouché.
Je me sens redevenue femme, même si la bite de Mamadou m’écarte comme jamais.
Ses mouvements en moi font rapidement de moi une femelle en redemandant encore et encore.
Depuis combien de temps est-il en moi, je l’ignore ?
Sur la table de nuit ou mon amant a saisi sa capote, me montrant par là même que des femmes doivent venir ici, un radio-réveil est, lui aussi en manque de courant.
C’est le moment où tout redémarre, quelle heure m’avait-il dite, quatorze heures.
J’ignore depuis combien de temps il est en moi m’ayant déjà fait monter aux rideaux deux fois, mais certainement bien plus longtemps que les cinq minutes et je suis généreuse, ou mon mari me pénètre avant d’éjaculer.
Je suis à deux doigts de paniquer, mais Mamadou me libère avant que j’aie le temps de lui dire qu’il faut que j’y aille, quand me retournant il me prend en levrette.
J’ai l’impression d’être une poupée de chiffon dans ses grosses mains pour mon plus grand plaisir.
Au moment où un orgasme m’atteint à plus de dix sur l’échelle de Richter, il se vide dans la capote me laissant pantelante, des ondes de plaisirs interminables me traversant.
Le temps m’a tellement échappé que lorsque mes yeux passent devant le radio-réveil celui-ci est en marche et de la musique remplit la pièce.
Je panique, non pas d’avoir trompé mon mari, la jouissance que m’a apportée mon amant est bien supérieure à ce sentiment, mais dans la cuisine j’entends hurler Arisa.
Femme indigne certes, mais surtout mère indigne, je me rends compte qu’étant pilonné à quatre pattes, mes seins ont eu une montée de lait et qu’ils en ont mis pleine la couverture.
• Ma chérie, tu as faim, maman a perdu la notion du temps, vient.
Je sors ma fille de son couffin et je la mets au sein, elle me tête goulument.
• Mamadou, tu veux être gentil, Arisa s’est mouillé, peux-tu aller dans ma voiture, sur le siège avant il y a son sac, il faut que je la chance.
• As-tu remarqué que nous avons fait divinement l’amour et que j’ignore qui tu es, toi tu sais tout de moi mon nom étant sur le bandeau au-dessus de la porte d’entrée de mon garage !
Me tenant ces propos, il remet salopette et sandale, à part ma fille qui me tête à la limite de la jouissance tellement elle avait faim, nous présentons un couple présentable.
• Radia, si tu es africain, je le suis aussi, je suis d’origine marocaine mais née à Paris et j’ai suivi mon mari dans son déplacement.
• Moi aussi, avec mes frères qui vont arriver, nous sommes de Paris étant originaire du Sénégal.
Mamadou sort, je change ma fille de sein, c’est vrai que je pourrais allaiter deux enfants sans aucun problème.
Par compte, je me demande si ce lait sortant de mes mamelles pourrait être la cause du manque d’entrain de mon mari.
Chantal, mince que va-t-elle penser de mon retard, Chantal donc a eu deux garçons des jumeaux, Alex, son mari, pleurait si ses deux garnements la vidaient de son lait, il adorait téter le reste.
Pour sa part, Aldo aurait pu essayer de me téter, va-t-il falloir que je fasse passer mon lait pour qu’il retrouve le chemin de ma chatte à cette heure rassasiée.
• Je te présente Amat, mon jumeau et Boubacar, notre plus jeune frère, ils ont voulu te saluer avant d’aller désosser de vieilles voitures.
Nous achetons des épaves ou nous récupérons des pièces susceptibles d’être utile comme pièce d’occasion.
Nous avons de quoi réparer des voitures en arrêt de fabrication et même des voitures de collection.
Voilà ton sac.
Deux frères, un jumeau identique à mon amant et un frère un peu plus petit en taille et du même calibre concernant la musculature.
Je me prends à rêver que si ces trois garçons me faisaient l’amour, je sortirais de leur bras comme si j’étais passée dans une lessiveuse.
Mais je fantasme, je range mes seins avant de récupérer des couches et de mettre ma fille au sec.
• Dis-moi Radia, t’es-tu arrêté après être parti de chez toi ?
• Oui, à la pharmacie près de chez moi, pour acheter un tube de crème pour les fesses de ma fille.
• Tu as dû tomber sur une bande de chenapans qui ont fait le coup classique du morceau d’allumette dans la valve d’un de tes pneus.
Il perd doucement et lorsque tu t’aperçois, que tu es à plat, même s’ils sont loin, ça les fait marrer.
• Oui, j’ai vu quatre jeunes de six ou sept ans partir en courant lorsque je suis sortie.
• Mes frères vont aller le regonfler pendant que tu finis de changer ta jolie Arisa.
Tient je te donne une carte avec notre numéro de téléphone, tu appelles quand tu veux, de jour comme de nuit, nous viendrons te dépanner ou que tu sois dans la région.
Gracieusement il va de soi, tu auras été un doux moment de ma vie.
Il m’embrasse me refaisant mouiller.
Si ma fille est rassasiée pour ma part je suis à deux doigts de lui demander de faire encore tourner son lit.
Mais je suis raisonnable et alors qu’il porte mon sac, nous retournons à ma voiture, je tourne ma clef de contact, le voyant pneu en perdition est éteint.
En redémarrant, je vois trois mains qui me font signent au revoir, mais il est temps de retrouver ma vie d’avant, ma vie du temps ou j’étais fidèle.
Avant qu’il disparaisse de ma vue, je me prends à rêver que les trois frères auraient trois démonte-pneus identiques à celui que m’a offert Mamadou.
Bien sûr, je tiens à laisser cette vision dans le domaine du fantasme...
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