COLLECTION BLACK. Le visiteur de nuit (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Le visiteur de nuit (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. Le visiteur de nuit (1/2)
• Haut les mains, j’étais sûr d’avoir un visiteur de nuit !
Allez, bien haut, oui voilà comme cela c’est très bien.
• Madame, soyez gentille, j’ai faim et je dois me cacher.
• Levez les mains, ma pétoire est peut-être ancienne, mais je sais très bien viser.
Je connais mes droits, ma défense doit être proportionnée à votre attaque.
Je vise vos couilles, vous aurez fini de bander, mais vous serez dans l’incapacité de venir voler et violer une vieille femme chez elle la nuit.
• Madame, baisser votre engin, vous allez blesser quelqu’un, vous risquez que ce vieux fusil vous explose dans les mains.
Si vous pensez que je suis venu vous violer, vous faite fausse route, je suis un gars extrêmement gentil et serviable.
Je me cache de la police qui me cherche pour me ramener dans mon pays.
Il y a quatre jours que la gendarmerie patrouille en ville, ils vont finir par partir et je pourrais reprendre ma route vers Berck où j’ai un frère et toute sa famille.
Je suis sénégalais, je viens de Dakar, plus précisément Thiès.
J’ai traversé la Mauritanie, le Sahara Occidental et le Maroc avant de réussir à me cacher dans un camping-car de vieilles personnes suisses.
Sans qu’ils le sachent, j’ai rejoint l’Espagne et la France.
• Vous parlez bien Français.
• Au Sénégal on parle Français, dans mon pays j’étais Kinésithérapeute.
• Bon je fatigue, ce vieux machin est bien lourd et il serait parfaitement inefficace, il y a longtemps que les cartouches ont disparu.
Ou te caches-tu dans la journée ?
• Dans la cabane au fond du jardin, hier, votre jardinier est venu chercher la tondeuse, je me suis caché derrière la toile cirée sous la table de jardin.
J’ai cru qu’il allait me découvrir ses pieds sont passés à dix centimètres de ma figure.
• C’est toi qui as mangé mes tomates ?
Hier au soir, j’ai voulu les cueillir pour faire ma salade et j’ai constaté que celles que je laissais murir encore un peu avaient disparu.
J’allais appeler l’organisme qui gère mon jardinier pour me plaindre que ce garçon se soit permis de me les prendre sans me prévenir.
À cause de toi, j’allais créer une injustice et risquer de faire virer ce garçon qui me rend bien des services.
Comment es-tu entré chez moi, les portes sont fermées, je vérifie tous les soirs avant de me coucher.
• Vous êtes marrant vous les Français, vous fermez à clef, mais par peur d’être enfermé à l’extérieur, vous cachez une clef sous un pot de fleurs près de la porte.
J’ai ouvert celle de la buanderie et je suis monté dans votre cuisine.
J’ai juste bu du lait avec un morceau de fromage, mais j’ai fait tomber la plaquette de beurre, ça vous a réveillé !
• Bon, que faisons-nous, si j’appelle les gendarmes à cette heure de la nuit, nous en serons encore là au petit matin.
J’ai une idée, ôtent tes vêtements, je vais t’enfermer dans le placard de cette cuisine.
Nu et enfermé, tu seras bien obligé d’attendre que je prenne une décision.

Je m’appelle Sylvana, j’ai soixante ans, veuve depuis douze ans, Pierre mon mari est mort dans un accident de camion en Allemagne.
L’assurance de l’enfoiré qui s’est endormi au volant de son quarante tonnes traversant la barrière de sécurité de l’autoroute, m’a dédommagé ce qui me donne un bon revenu en plus de ma retraite d’institutrice.
J’ai une fille, Paulette, c’est Pierre qui a choisi son prénom lors de son inscription à l’état civil.
Sa grand-mère s’appelait ainsi alors que je lui avais dit de la déclarer avec comme prénom Gisèle, c’était ma grand-mère à moi.
Nous avons failli divorcer dans ces temps-là, mais il a su être convaincant, il faut dire que c’était un homme viril qui avait des bras comme mes molets.
Il en avait besoin lorsqu’il est monté dans son premier camion, bien moins confortable que celui dans lequel il est mort.
Paulette fait du hasard, habite à Meknès au Maroc, sa femme Wafae est de là-bas.
Ça nous a fait un choc, à Pierre et à moi d’apprendre que nous avions une fille lesbienne, étant de parfaits hétéros.
Comme je l’ai dit, Pierre était une force de la nature qui me satisfaisait sexuellement au retour de chacun de ses voyages.
Je me suis demandé si c’était lui qui était bi et qu’il se faisait trombiner par d’autres mâles bien virils lors des moments où son camion était immobilisé sur un air d’autoroute.
Il partait jusqu’en Pologne à l’international et certains week-ends, ils étaient arrêtés de longues heures.
Paulette et Wafae se sont connues en vacances à El Jadida dans un hôtel de luxe.
Wafae était cliente et Paulette au service des chambres.
J’ignore, comment s’est fait le rapprochement bien que j’aie une petite idée, mais c’est fait et elle habite à Meknès.
Wafae a un fils de son union hétéro avant de divorcer et les deux femmes envisagent une grossesse pour ma fille.
Je serais très heureuse d’avoir un petit-fils, je dois reconnaitre qu’à sa naissance, j’aurais préféré un fils qu’une fille, mais là nous avions une chance sur deux.
À y bien y regarder, du moins en remontant dans mes souvenirs, déjà lointains, c’est peut-être moi qui avais des penchants lesbiens dans ma jeunesse.
Ça s’est produit une fois avec Arlette, une amie colocataire lorsque je faisais mes études en fac après mon bac.
Nous étions sorties en copine et nous avions bravé l’interdit dans ces années-là entrant dans un bar pour fêter son anniversaire.
Nous avions dîner dans un verre et nous étions rentrés pétés aussi bien l’une que l’autre.
C’est en se déshabillant l’une aidant l’autre dans l’état où nous étions que nos mains ont caressé nos corps qui se sont rapidement enflammés.
Je me souviens de la bouche d’Arlette sur ce que nous appelions en ce temps-là, nos minettes.
C’est à cet instant que celle qui aurait pu devenir mon amie, dite intime, a eu ce que l’on peut dire un accident.
Elle m’a aspergé de whisky coca coupant net nos envies, du moins les miens.
Je l’ai repoussé, immédiatement je suis allé dans la salle de bains pendant qu’elle se mettait à ronfler, arrêtant net et définitivement mes penchants de lesbiennes.
C’est deux jours plus tard que ma route croisait celle de mon camionneur et que mes besoins de chatte se trouvaient remplacés par des envies de bites lorsqu’il m’a dépucelé.

Mais je m’égare, sous la menace de mon arme vide, ce grand noir enlève sa chemisette trop grande pour lui.
Il a dû la voler sur une corde à linge, pour moi, ce sont tous des voleurs dès qu’ils ont cette couleur de peau, mais la surprise est ailleurs.
Il descend son short et là je découvre un engin disproportionné en rapport de ce qu’à ce jour, j’ai eu la chance de voir.
C’est vrai, je viens de dire que j’étais vierge lorsque j’ai rencontré Pierre, par principe j’aurais dû voir la sienne et c’est tout.
Mais je vous ai dit qu’il partait fréquemment au bout de l’Europe.
Je l’ai trompé deux fois dans cette période.
Une fois avec le père d’un de mes élèves, ses yeux bleus m’avaient fait craquer.
C’est carrément sur la table où s’assayait son fils qu’il m’a fait assoir après m’avoir remonté ma robe sans enlever ma petite culotte.
Sa bite, je l’ai eue en main une fraction de seconde, avant qu’il me défonce la chatte.
Je peux comparer avec celle que mon bel inconnu me montre, il est impossible que je dise que celle du passé, c’est là même que celle de mon présent.
Comment comparer un engin, de 15 à 16 centimètres à celle qu’il a sortie avoisinant les 40 à 50 au repos ?
Comprenez qu’il m’est difficile d’aller chercher mon mètre de couturière pour être plus précise.
Mais à l’oeil nu, la différence est phénoménale, certainement plus longue que mon avant-bras.

La deuxième que j’ai eue en main et en moi, c’est celle de monsieur le maire, Joseph copain d’enfance de Pierre.
Lors d’un de ces voyages, c’est toujours ou du moins souvent que l’on est cocu par son meilleur copain.
Joseph m’a eu un jour, là encore au moment où j’étais dans ma classe.
Nous étions montés dans les soupentes, car lors d’un orage de l’eau avait taché le plafond de ma salle de classe.
C’est en me tenant à une poutre mon cul en arrière qu’il m’a pris la première fois.
Il y a eu de nombreuses autres fois, il voulait même me baiser dans le lit conjugal, car rapidement dès que Pierre partait il rappliquait.
Un jour, il a voulu me sodomiser, je l’ai renvoyé vers Patricia sa femme le menaçant de tout dire à Pierre dès son retour.
Ça l’a calmé jusqu’à la mort de mon mari où il est revenu à la charge.
Le temps ayant passé, j’ai eu beau le sucer pendant un temps qu’il m’a paru infini, m’en faisant mal à mes mâchoires, mais sa verge restait définitivement aux abonnés absents.
Depuis, rien ni chatte ni bitte, bien que cela soit en partie vrai, nous le verrons plus tard, si ce black me laisse la vie sauve.

• Comment t’appelles-tu ?
• Youssef madame Sylvana.
• Es-tu musulman ?
• Oui.
• Si j’avais su, dimanche, j’aurais fait cuire un rôti de porc et non un poulet.

Je sais, ce sont des cliches un peu racistes, mais il faut dire que Pierre, au long de ces kilomètres avaient développé des ressentiments envers les étrangers bien supérieurs à moi.
C’est à ce moment que m’approchant, j’ai fait à Youssef une proposition allant bouleverser ma vie.

• Je peux la prendre en main !

Si après ce que je viens de dire, demander à ce garçon de le prendre dans ma main, c’est profondément incongru.
Mais que voulez-vous, douze ans d’abstinence peuvent bouleverser une honnête femme, qui plus ait ayant l’âge d’être grand-mère.
À partir de ce moment la situation m’a complètement échappé.
Youssef aurait pu faire ce qu’il voulait de moi, mon tromblon vide reposant sur le parquet.
Il s’est pris en main en même temps que j’y mettais la mienne aussi et c’est vers ma bouche que ce pieu démesuré s’est avancé vers ma bouche.
Que faire ?...

Les avis des lecteurs

le 19 merci, une surprise dès lr 20 donc dans deux jours

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