COLLECTION BLACK. Le visiteur de nuit (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. Le visiteur de nuit (2/2)
Que faire de ce grand black que je tiens au bout de mon vieux tromblon, mais qui fonctionne ?
Je l’avais retrouvé au fond du grenier lorsque je cherchais des objets encore en l’état, mais qui me sont devenus inutiles.
C’était pour la brocante annuelle de l’école où j’ai officié pendant des années avant de prendre ma retraite.
J’ai trouvé divers objets dont ce fusil.
J’allais le donner lorsque je me suis aperçu qu’il était toujours possible de le charger grâce à la boîte de cartouches l’accompagnant.
Je l’ai essayé dans la forêt, mes voisins auraient eu du mal à admettre de m’entendre tirer des coups de fusil dans mon jardin.
Donner un tromblon pour l’exposer dans une cour d’école, c’était prendre des risques de faire la une du journal de vingt heures, si un accident était survenu avec un enfant.
Je l’ai gardé et j’ai pu y mettre de nouvelles cartouches afin de me protéger de ce garçon venu de nuit piller mon réfrigérateur.
Je me retrouve accroupi devant lui à lui prendre la verge en main puis rapidement en bouche.
Quelle conne d’avoir été presque chastes depuis douze ans date du décès de Pierre, mon mari camionneur tué par un quarante tonnes sur les routes d’Allemagne.
Veuve à quarante-huit ans avec un amant occasionnel devenu incapable de bander, vu son âge avancé.
Youssef se penche pour écarter le devant de mon peignoir, je suis nu dessous.
• Tu dors nue, la nuit !
Je redresse ma tête ma langue lâchant le travail qu’elle avait commencé.
• C’est depuis ma plus tendre enfance que je dors sans vêtement de nuit.
Je faisais régulièrement pipi au lit étant petite fille.
Un jour mon père m’a enlevé ma chemise de nuit pour me punir.
Depuis ce jour, je dors toujours dans le plus simple appareil, un jour, j’en ai remis une et j’ai recommencé à mouiller mon lit.
Le temps que je prononce ces mots, il m’aide à me relever et comme dans un état second, il me conduit vers ma chambre.
Mon dieu quelle queue, je vais renouer avec les bites bien réelles surtout lorsque je rentre dans ma chambre.
Des bites bien réelles alors que sur mon lit se trouvent toute la panoplie de gode que je me suis acheté au fil des années.
Voilà pourquoi je disais que j’avais presque coupé les ponts avec les bites des hommes aux cours de ces dernières années.
Lorsque j’ai entendu du bruit venant de ma cuisine, j’étais en train de m’effiler Ernest dans la chatte, me servant de ses vibrations.
Tous mes godes ont un nom, Ernest, Édouard, Lionnel, tous des noms d’hommes que j’ai connus souvent bibliquement.
• Rigole, je me vois mal aller au café du coin et dire aux hommes présents, qui veulent me baiser, avec ces godes, j’ai remédié au problème.
Je m’assieds sur le pied de mon lit et reprends mon travail avec ma langue.
Elle est gigantesque.
Je me souviens d’une conversation avec Judith, ma collègue de CE1 lors de notre brocante annuelle.
C’est moi qui l’ai créé dix ans plus tôt après la mort de Pierre pour faire entrer de l’argent dans les caisses de la coopérative de l’école.
C’était tout bénef, objets offerts par les parents et amis.
Stands tenus par les parents et amis ainsi que les gâteaux confectionnés par les parents et certains amis.
Seules les boissons sans alcool nous les payons, mais avec une belle marge de bénéfice, là encore.
Avec Judith, donc, nous vendons des tickets afin de limiter le brassage d’argent fort de l’expérience de la deuxième année.
Une brocante ou une personne malfaisante avait fait les caisses et au bas mot en avait volé 1 500 à 2 000 €.
Nous avons gardé cela pour nous et c’est moi qui ai mis en place la vente de tickets.
Même les objets à vendre ont une étiquette qu’ils nous payent à cette caisse.
Au début, il y a foule et dans la journée, nous réussissons à parler.
Si vous saviez ce qui se passe dans les villages et qu’il est facile de détecter lorsque vous observez le comportement de certain croyant nous tromper à bon compte.
Séraphine, la boulangère aux belles miches et Julien l’apprenti.
Ou et comment baisent-ils ensemble ?
Leurs regards et leurs yeux les trahissent, lorsqu’il lui prend les doigts discrètement.
Le plus drôle, c’est Albert, le cocu de l’autre côté de madame qui regarde un tableau miteux sans se rendre compte de leur trahison.
Sylvain et Audrey, lui au chômage et elle femme au foyer, mais eux c’est lorsqu’ils viennent à l’école chercher leur progéniture que leur comportement me montre l’ambiguïté de leur relation.
Je sais, ce sont des cancans, mais dans un petit village comme le nôtre, ils vont bon train et c’est pour cela que depuis que je suis veuve, je me contente de gode pour satisfaire ma libido.
Une nouvelle fois je m’égare.
Je veux peut-être retarder le moment où la verge de Youssef entrera en moi et bouleversera l’ordre établi.
Elle fera de moi une salope comme les autres, bien que moi ce serait seulement la mémoire de Pierre que je trahirais.
Comment en suis-je arrivée toutes ces années à passer pour la veuve éplorée alors qu’une vraie verge, c’est si bon.
C’est Youssef qui prend l’initiative, il me saisit sous les jambes, me les relèves et je vois sa verge rejoindre ma chatte.
Je coule littéralement, ma cyprine lubrifiant mon conduit alors qu’avec les godes, je dois me mettre du gel pour faciliter leur pénétration.
Comme je l’ai dit et répété, ça fait si longtemps qu’une véritable bite m’a été interdite par ma connerie.
L’impuissance de notre maire y est pour beaucoup, surtout lorsqu’il entre, j’ai l’impression d’être un puits sans fond.
Pourtant lorsque je relève légèrement ma tête, il reste quelques centimètres noirs à l’extérieur alors que je sens son gland comprimer mon utérus.
C’est en le regardant entrer et sortir commençant à sentir mon corps s’enflammer que je réalise le fantasme que de nombreuses femmes ont de se faire baiser par un pieu aussi grand et aussi noir que celui de Youssef.
Pardon, si...
Je viens de jouir une première fois, étant incapable de dire à ce moment précis ce que je ressens.
Je reprends mes esprits, mais pour un court instant.
Costaud comme il est et aussi si jeune comparé à moi, il me retourne et c’est en levrette qu’il recommence à me faire l’amour.
Quel homme, lorsque j’émerge de plusieurs orgasmes successifs, il fait jour et je suis encore couverte de sueur.
Je me lève définitivement, mon fusil gît au pied de mon lit.
Mon amant est étalé sur le ventre, récupérant, lui aussi de sa nuit, notre nuit.
Inutile de remettre mon peignoir lui aussi au pied de mon lit, je retrouve mes habitudes de me promener dans le plus simple appareil passant même devant mes fenêtres.
La vue sur la campagne m’entourant me permet cette petite privauté.
J’ignore ce qu’il prend au petit déjeuner qui va se combiner avec le déjeuner, vu l’heure, mais le plateau que je lui apporte va le ragaillardir.
Aujourd’hui, rien de prévu et je compte bien profiter encore une fois de cette verge lorsqu’elle a repris des forces.
• La confiture de mûres, c’est moi qui l’ai fait, je vais les cueillir et je les fais cuirs avant de stériliser les pots.
Je lui parle de ma confiture de mûres alors que ma main s’égare sous le plateau.
D’autres, surtout Joseph du temps de leur splendeur, arrivaient à tirer un coup étant dans l’impossibilité de recommencer dans les heures suivantes.
Bien sûres, les petites pilules bleues aidaient grandement les hommes en panne d’inspiration, mais pour les acheter, il fallait passer par la pharmacie ou question déontologie nous pouvions repasser.
Christophe, le pharmacien, avait tendance à s’épancher dans certaines circonstances et tous savaient que notre maire avait des problèmes d’érection.
Bref, Youssef de nouveau est prêt à l’emploi et lorsque je lui enlève son plateau entièrement vidé, c’est avec délice que je m’empale sur cette verge gigantesque.
Nous baisons pendant deux jours, mais tout plaisir à une fin.
Il nous faut revenir à la réalité surtout que ces bêtes africaines, sa baise, mais ça mange et il avait déjà bien entamé mon frigo lorsque je l’ai tenu dans ma ligne de mire.
• Joseph, il fait que je te parle.
Je regrette le temps ou ta queue était performante, mais les choses sont ainsi faites que j’ai besoin de tes services.
Pourrais-tu demander aux gendarmes de laisser tomber leur recherche concernant un certain noir ?
• Et qu’aurais-je à y gagner ?
Avec Joseph, c’est toujours comme ça, c’est donnant donnant, après la mort de Pierre, malgré ses carences il m’avait proposé de me satisfaire seulement avec sa langue.
Je lui avais éclaté de rire au nez le vexant.
• Un kiné, qui pourrait s’installer dans la boutique vide de Serge, le coiffeur qui nous a quitté l’an passé et qui dort près de mon mari.
• Mais moi ?
Si je veux que Youssef s’installe légalement dans notre commune et aussi dans mon lit, il faut savoir faire des sacrifices et donner de sa personne, c’est ainsi que je suis devenue sa maîtresse.
• Je passerais dans ton bureau une fois par semaine et tu me suceras la chatte comme tu voulais le faire après la mort de mon mari.
Youssef qui se cache chez moi, parle Français, est capable de chanter la Marseillaise et a des doigts de fée lorsqu’il vous masse.
Je le sais, je le pratique tous les jours lorsque nous avons un instant de repos entre deux parties de jambes en l’air.
• Tu sais que tu es une salope !
• J’avais oublié que je l’étais pendant des années, mais si le reconnaitre, c’est avoir ton aide, je suis prête à ce que tout le village le dise aussi.
Voilà Yossef est bien allé voir son frère à Berck avec moi lors de vacances.
Il a passé son permis et conduit la voiture de mon ancien mari remisé depuis douze ans.
Voiture et chatte reprennent du service malgré notre différence d’âge.
Puissant comme il l’est, je suis certaine que quelques dames de notre commune, profite de ses talents de masseur et aussi de sa belle verge noire.
Je tiens à en profiter le plus longtemps possible aussi je suis prête à le partager un peu pour le développement de notre petite commune.
Quant à Joseph, suite à la promesse qu’aller, une fois par semaine, le voir dans son bureau, son cœur s’est arrêté et il repose, lui aussi à côté de Pierre.
À la mairie, c’est moi qui ai fait un score de dictateur pour le remplacer, sans que pour autant je me déclare candidate.
Ainsi va la vie dans nos petites communes.
Je l’avais retrouvé au fond du grenier lorsque je cherchais des objets encore en l’état, mais qui me sont devenus inutiles.
C’était pour la brocante annuelle de l’école où j’ai officié pendant des années avant de prendre ma retraite.
J’ai trouvé divers objets dont ce fusil.
J’allais le donner lorsque je me suis aperçu qu’il était toujours possible de le charger grâce à la boîte de cartouches l’accompagnant.
Je l’ai essayé dans la forêt, mes voisins auraient eu du mal à admettre de m’entendre tirer des coups de fusil dans mon jardin.
Donner un tromblon pour l’exposer dans une cour d’école, c’était prendre des risques de faire la une du journal de vingt heures, si un accident était survenu avec un enfant.
Je l’ai gardé et j’ai pu y mettre de nouvelles cartouches afin de me protéger de ce garçon venu de nuit piller mon réfrigérateur.
Je me retrouve accroupi devant lui à lui prendre la verge en main puis rapidement en bouche.
Quelle conne d’avoir été presque chastes depuis douze ans date du décès de Pierre, mon mari camionneur tué par un quarante tonnes sur les routes d’Allemagne.
Veuve à quarante-huit ans avec un amant occasionnel devenu incapable de bander, vu son âge avancé.
Youssef se penche pour écarter le devant de mon peignoir, je suis nu dessous.
• Tu dors nue, la nuit !
Je redresse ma tête ma langue lâchant le travail qu’elle avait commencé.
• C’est depuis ma plus tendre enfance que je dors sans vêtement de nuit.
Je faisais régulièrement pipi au lit étant petite fille.
Un jour mon père m’a enlevé ma chemise de nuit pour me punir.
Depuis ce jour, je dors toujours dans le plus simple appareil, un jour, j’en ai remis une et j’ai recommencé à mouiller mon lit.
Le temps que je prononce ces mots, il m’aide à me relever et comme dans un état second, il me conduit vers ma chambre.
Mon dieu quelle queue, je vais renouer avec les bites bien réelles surtout lorsque je rentre dans ma chambre.
Des bites bien réelles alors que sur mon lit se trouvent toute la panoplie de gode que je me suis acheté au fil des années.
Voilà pourquoi je disais que j’avais presque coupé les ponts avec les bites des hommes aux cours de ces dernières années.
Lorsque j’ai entendu du bruit venant de ma cuisine, j’étais en train de m’effiler Ernest dans la chatte, me servant de ses vibrations.
Tous mes godes ont un nom, Ernest, Édouard, Lionnel, tous des noms d’hommes que j’ai connus souvent bibliquement.
• Rigole, je me vois mal aller au café du coin et dire aux hommes présents, qui veulent me baiser, avec ces godes, j’ai remédié au problème.
Je m’assieds sur le pied de mon lit et reprends mon travail avec ma langue.
Elle est gigantesque.
Je me souviens d’une conversation avec Judith, ma collègue de CE1 lors de notre brocante annuelle.
C’est moi qui l’ai créé dix ans plus tôt après la mort de Pierre pour faire entrer de l’argent dans les caisses de la coopérative de l’école.
C’était tout bénef, objets offerts par les parents et amis.
Stands tenus par les parents et amis ainsi que les gâteaux confectionnés par les parents et certains amis.
Seules les boissons sans alcool nous les payons, mais avec une belle marge de bénéfice, là encore.
Avec Judith, donc, nous vendons des tickets afin de limiter le brassage d’argent fort de l’expérience de la deuxième année.
Une brocante ou une personne malfaisante avait fait les caisses et au bas mot en avait volé 1 500 à 2 000 €.
Nous avons gardé cela pour nous et c’est moi qui ai mis en place la vente de tickets.
Même les objets à vendre ont une étiquette qu’ils nous payent à cette caisse.
Au début, il y a foule et dans la journée, nous réussissons à parler.
Si vous saviez ce qui se passe dans les villages et qu’il est facile de détecter lorsque vous observez le comportement de certain croyant nous tromper à bon compte.
Séraphine, la boulangère aux belles miches et Julien l’apprenti.
Ou et comment baisent-ils ensemble ?
Leurs regards et leurs yeux les trahissent, lorsqu’il lui prend les doigts discrètement.
Le plus drôle, c’est Albert, le cocu de l’autre côté de madame qui regarde un tableau miteux sans se rendre compte de leur trahison.
Sylvain et Audrey, lui au chômage et elle femme au foyer, mais eux c’est lorsqu’ils viennent à l’école chercher leur progéniture que leur comportement me montre l’ambiguïté de leur relation.
Je sais, ce sont des cancans, mais dans un petit village comme le nôtre, ils vont bon train et c’est pour cela que depuis que je suis veuve, je me contente de gode pour satisfaire ma libido.
Une nouvelle fois je m’égare.
Je veux peut-être retarder le moment où la verge de Youssef entrera en moi et bouleversera l’ordre établi.
Elle fera de moi une salope comme les autres, bien que moi ce serait seulement la mémoire de Pierre que je trahirais.
Comment en suis-je arrivée toutes ces années à passer pour la veuve éplorée alors qu’une vraie verge, c’est si bon.
C’est Youssef qui prend l’initiative, il me saisit sous les jambes, me les relèves et je vois sa verge rejoindre ma chatte.
Je coule littéralement, ma cyprine lubrifiant mon conduit alors qu’avec les godes, je dois me mettre du gel pour faciliter leur pénétration.
Comme je l’ai dit et répété, ça fait si longtemps qu’une véritable bite m’a été interdite par ma connerie.
L’impuissance de notre maire y est pour beaucoup, surtout lorsqu’il entre, j’ai l’impression d’être un puits sans fond.
Pourtant lorsque je relève légèrement ma tête, il reste quelques centimètres noirs à l’extérieur alors que je sens son gland comprimer mon utérus.
C’est en le regardant entrer et sortir commençant à sentir mon corps s’enflammer que je réalise le fantasme que de nombreuses femmes ont de se faire baiser par un pieu aussi grand et aussi noir que celui de Youssef.
Pardon, si...
Je viens de jouir une première fois, étant incapable de dire à ce moment précis ce que je ressens.
Je reprends mes esprits, mais pour un court instant.
Costaud comme il est et aussi si jeune comparé à moi, il me retourne et c’est en levrette qu’il recommence à me faire l’amour.
Quel homme, lorsque j’émerge de plusieurs orgasmes successifs, il fait jour et je suis encore couverte de sueur.
Je me lève définitivement, mon fusil gît au pied de mon lit.
Mon amant est étalé sur le ventre, récupérant, lui aussi de sa nuit, notre nuit.
Inutile de remettre mon peignoir lui aussi au pied de mon lit, je retrouve mes habitudes de me promener dans le plus simple appareil passant même devant mes fenêtres.
La vue sur la campagne m’entourant me permet cette petite privauté.
J’ignore ce qu’il prend au petit déjeuner qui va se combiner avec le déjeuner, vu l’heure, mais le plateau que je lui apporte va le ragaillardir.
Aujourd’hui, rien de prévu et je compte bien profiter encore une fois de cette verge lorsqu’elle a repris des forces.
• La confiture de mûres, c’est moi qui l’ai fait, je vais les cueillir et je les fais cuirs avant de stériliser les pots.
Je lui parle de ma confiture de mûres alors que ma main s’égare sous le plateau.
D’autres, surtout Joseph du temps de leur splendeur, arrivaient à tirer un coup étant dans l’impossibilité de recommencer dans les heures suivantes.
Bien sûres, les petites pilules bleues aidaient grandement les hommes en panne d’inspiration, mais pour les acheter, il fallait passer par la pharmacie ou question déontologie nous pouvions repasser.
Christophe, le pharmacien, avait tendance à s’épancher dans certaines circonstances et tous savaient que notre maire avait des problèmes d’érection.
Bref, Youssef de nouveau est prêt à l’emploi et lorsque je lui enlève son plateau entièrement vidé, c’est avec délice que je m’empale sur cette verge gigantesque.
Nous baisons pendant deux jours, mais tout plaisir à une fin.
Il nous faut revenir à la réalité surtout que ces bêtes africaines, sa baise, mais ça mange et il avait déjà bien entamé mon frigo lorsque je l’ai tenu dans ma ligne de mire.
• Joseph, il fait que je te parle.
Je regrette le temps ou ta queue était performante, mais les choses sont ainsi faites que j’ai besoin de tes services.
Pourrais-tu demander aux gendarmes de laisser tomber leur recherche concernant un certain noir ?
• Et qu’aurais-je à y gagner ?
Avec Joseph, c’est toujours comme ça, c’est donnant donnant, après la mort de Pierre, malgré ses carences il m’avait proposé de me satisfaire seulement avec sa langue.
Je lui avais éclaté de rire au nez le vexant.
• Un kiné, qui pourrait s’installer dans la boutique vide de Serge, le coiffeur qui nous a quitté l’an passé et qui dort près de mon mari.
• Mais moi ?
Si je veux que Youssef s’installe légalement dans notre commune et aussi dans mon lit, il faut savoir faire des sacrifices et donner de sa personne, c’est ainsi que je suis devenue sa maîtresse.
• Je passerais dans ton bureau une fois par semaine et tu me suceras la chatte comme tu voulais le faire après la mort de mon mari.
Youssef qui se cache chez moi, parle Français, est capable de chanter la Marseillaise et a des doigts de fée lorsqu’il vous masse.
Je le sais, je le pratique tous les jours lorsque nous avons un instant de repos entre deux parties de jambes en l’air.
• Tu sais que tu es une salope !
• J’avais oublié que je l’étais pendant des années, mais si le reconnaitre, c’est avoir ton aide, je suis prête à ce que tout le village le dise aussi.
Voilà Yossef est bien allé voir son frère à Berck avec moi lors de vacances.
Il a passé son permis et conduit la voiture de mon ancien mari remisé depuis douze ans.
Voiture et chatte reprennent du service malgré notre différence d’âge.
Puissant comme il l’est, je suis certaine que quelques dames de notre commune, profite de ses talents de masseur et aussi de sa belle verge noire.
Je tiens à en profiter le plus longtemps possible aussi je suis prête à le partager un peu pour le développement de notre petite commune.
Quant à Joseph, suite à la promesse qu’aller, une fois par semaine, le voir dans son bureau, son cœur s’est arrêté et il repose, lui aussi à côté de Pierre.
À la mairie, c’est moi qui ai fait un score de dictateur pour le remplacer, sans que pour autant je me déclare candidate.
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