COLLECTION BLACK. Les miches de la boulangère (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Les miches de la boulangère (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. Les miches de la boulangère (1/3)
• Ma chérie, tu as bien fermé la porte de la boutique que je soupèse tes miches, tu sais que j’en suis friand.
Depuis que ton père m’a donné sa fille en même temps que ça boutique, je suis le plus heureux des hommes, même si je dois me lever tôt !

Paul prend la balance lui servant à peser les miches de pain afin qu’elles aient environ toujours le même poids, il ouvre ma blouse, fort bien rempli et me pose le droit sur le plateau.

• 1 kilo 250, voyons l’autre, 1 kilo 282, lorsqu’ils seront cuits, ça fera deux belles miches dans la vitrine.
Je comprends pourquoi les clients se bousculent pour les admirer, mais c’est moi qui ai du plaisir lorsque je les pétris.

Le jeu avec mes seins, ça dure depuis notre mariage lorsque Paul a envie de me sauter pour faire tomber la pression due à notre métier.
Les moments sont rares où nous sommes ensemble dans notre lit.
Il se couche tôt et se lève tôt avant de faire sa sieste alors que je dois nettoyer le fournil et le magasin.
Seuls les dimanches où le four reste froid car le lundi comme au spectacle la boutique fait relâche, nous dormons dans notre lit ensemble.
Alors, nous avons trouvé ce moment dans le fournil à l’heure où je ferme jusqu’à 16 heures ou j’ouvre de nouveau jusqu’à 19 heures.
J’adore lorsqu’il me malaxe mes seins, je dirais mes gros seins taille 125, bonnet F.
Lorsque j’étais petite, j’avais peu de copines, elles m’appelaient « la vache à lait » dès que mes seins mais aussi mon cul ont commencé à se développer.
Les autres filles rapidement ont eu des petits amis, la grosse vache, c’était aussi un de mes surnoms, elle restait seule, ce qui faisait du mal à mon père.

• Va me chercher une sucette, tu sais que j’aime te voir les sucer !

Mes seins bien malaxés et prêts à être mis au four tellement ils sont déjà chauds, la sucette amenée du magasin est un autre de nos jeux.

• Paul, mon amour, inutile que je me déplace, tu as là tout ce qu’il faut pour satisfaire la bouche et la gorge d’une honnête femme mariée aimant son mari.

Je m’agenouille, je détache son tablier, et je sors de son short de travail couvert de farine sa verge que je m’empresse de prendre en bouche.
Si j’ai de grosses miches en guise de poitrines, j’ai une bouche et une gorge assez profonde pour le sucer jusqu’à ses couilles que je malaxe pour son plus grand plaisir.

• Tu sens son parfum goût café, je viens de finir des éclaires à ce parfum que tu vendras ce soir.

Dans une boulangerie, ma boulangerie place de l’église dans notre petit village breton, il y a divers gâteaux à divers parfums me permettant de varier mes plaisirs depuis que mon papa a embauché Paul comme apprenti.
Après notre mariage, j’ai su par un de ses copains que mon père lui avait promis sa boutique s’il m’épousait.
Ce qu’ignorait ce personnage peu délicat, c’est que j’avais su me servir de ces handicaps pour m’attacher mon mari à vie, j’en veux pour preuve l’étape suivante de nos jeux que certains pourraient trouver coquin.

• Arrête de me sucer, j’ai d’autres objectifs pour mon sperme, passe-moi le beurre servant à fabriquer les petits pains au chocolat.

Solange, « Passe-moi le beurre », célèbre réplique entre Marlon Brando et Maria Schneider dans le dernier tango à Paris ».
Si a l’écran le « passe-moi le beurre suggérait ou Marlon lui mettait sa queue.
Moi c’est bien dans mon cul que la verge de mon mari vient entrer dès qu’il m’a badigeonné mes autres miches.
Miches avant, miches arrière, c’est comme ça que j’ai attaché mon mari à ma personne sans compter la boulangerie dont il en ait le maître.
Miches arrière dans lesquelles il entre comme dans du beurre alors qu’il a repris celle de devant à pleines mains et qu’il les tire à les décrocher de mes côtes.

• Han, han, han...
• Oui, oui, oui...

C’est ce qui s’entend dans notre fournil jusqu’à ce que je jouisse de l’anus, c’est là un de mes points forts qui m’a attaché ce grand échalas lui aussi risé de notre village.
Dans notre enfance, si on m’appelait avec des noms de vaches, Paul, ils l’appelaient par des noms, certains méchants comme « fil de fer » alors qu’il était le plus gros mangeur de far breton de notre cité.
Dans notre salle à manger, j’ai encore le dauphin en plâtre qu’il a gagné l’année de son exploit toujours inégalé depuis.
La différence, c’est que les fars, c’est nous qui les vendons au comité des fêtes, même si nous leur faisons une ristourne de 10% sur l’ensemble de la commande.
Le repas du soir réunissant 200 personnes compense largement, nous fournissons pains et gâteaux pour le dessert.
J’oubliais, pour la journée, un stand où les bénévoles vendent des sandwichs est ouvert.
Le dimanche de la fête, je ferme à douze heures, car je vais aider à vendre ces sandwichs.
Ce jour-là, je mets mon beau chemisier et mon soutien-gorge à balconnet, les jeunes puceaux du village ont toujours une petite faim leur permettant de les admirer lorsque je me penche pour leur donner leur commande.

• Chérie, je suis à deux doigts de décharger, je vais te remplir la chatte, j’espère que cette fois, nous aurons une petite boulange que je formerais pour qu’il reprenne notre commerce.

La petite Solange boulangère de son état, c’est là le point noir de notre histoire, à bientôt trente ans et dix ans de mariage.
Il a beau me remplir la chatte chaque fois que je ferme la boutique avant sa sieste, chaque mois, les Anglais débarquent au grand dam de notre couple et des clients qui ont intérêt à savoir ce qu’ils veulent dans ces moments-là.

• Qui veut mon sandwich jambon beurre, 2 € avec du bon jambon de la charcuterie Charles place de la mairie ?

Il faut être solidaire dans les métiers de bouche.
Charles je le connais, c’est le seul point noir de mon couple le jour ou il m’a livré un rosbif pour mon anniversaire et ou je l’ai laissé trainer sa queue au fond de mon vagin.
Ça s’est fait si rapidement que je me demande encore si c’est réel ou si c’est un phantasme.
Un instant j’ai cru que ça pourrait être lui qui nous donne un fils, dans ces moments-là entre personnes consentantes et en pleine santé, qui a une capote dans sa poche ou dans sa boutique.
Mais ces putains d’Anglais sont venus casser mon rêve d’enfant même si une boutique et un gosse, ce serait dur à gérer.

La kermesse, c’est aujourd’hui, Paul est à la buvette et parle avec le maire, je me demande ce que manigancent ces deux-là.
Si Paul avait peu de copains, Richard notre maire, fils d’exploitation agricole et fils de l’ancien maire, faisait partie de ses intimes.
Je vois défiler les verres de muscadet fourni par Loïc viticulteur sur notre commune qui fournit, lui aussi les bouteilles, dans cette journée tous les commerces doivent en profiter pour faire leur beurre, m^me avec cette remise.
Un autre point noir, ce soir Paul ira dormir dans son fournil sur les sacs de farine, il est hors de question qu’il fasse comme la dernière kermesse ou il a dégueulé dans notre lit.
C’est bras dessus, bras dessous que je les attends pour rentrer dans notre boutique à deux pas de la kermesse, je les attends de pied ferme Paul soutenant Richard et Richard soutenant Paul.
Mon mari tombe sur les sacs et par le plus grand des hasards Richard arrive à repartir.

• Paul demain lorsque tu verras clair, tu me donneras ta réponse, tu m’enlèveras une grosse aiguille du pied.

C’est d’une voix incertaine que Richard prononce cette phrase bien énigmatique.
Inutile de leur en demander plus, Paul serait capable de se relever et d’ouvrir une nouvelle bouteille, il en a toujours dans le frigo ou la pâtisserie est prête à être vendue.
Attention loin de moi l’idée de penser que mon mari est alcoolique, avec son travail très dur, à part le jour de la kermesse, il boit peu de boissons alcoolisées.
Oui, tous les dimanches, il traverse la place jusque chez Louis, le café-tabac restaurant de notre village, ils refont le monde un verre de muscadet en main.
C’est à cause de cette habitude somme toute bien banale en France où Sardou dit qu’il y a un bistrot par habitant que j’ai été infidèle, une seule fois je le rappelle.
Charles est entré grâce à la porte du fournil, servant aux minoteries à décharger les sacs ou mon mari ronfle ayant entrainé ma faute.
Lorsqu’il m’a coincé sur le marbre ou mon mari prépare ses pâtisseries et ou il me baise avant sa sieste me défonçant mon gros cul, que je me suis laissé faire.
Avec Paul, étant sages depuis huit jours, ces putains d’Anglais ayant débarqué, il a réussi à me coincer.
La nouveauté m’a plu, lorsque malgré mes formes imposantes, il m’a assis sur ce marbre.
Paul transporte des sacs de farine, Charles mani des carcasses de différents animaux, il a des bras presque comme mes cuisses.
Je devais découvrir une nouvelle facette des jeux amoureux, le cunnilingus, Paul étant peu enclin à me bouffer la chatte.
Je dois être franche, j’ai beaucoup aimé, surtout qu’avant de m’enfiler, un premier plaisir a traversé mon corps.
Pouvoir jouir sous la langue et la queue d’un autre, du moment ou cela reste un acte isolé, rien à craindre pour mon couple.
On dira que Charles cette fois-là était au bon endroit au bon moment, ça arrive parfois dans la vie de couple.
Je pourrais vous parler d’Isabelle, la bonne du curé...
J’arrête là, si je commence à raconter ce que cette salope est capable de faire, Paul sera rentré et le rosbif de Charles serait calciné.

Je constate que Chris71 a classé mon histoire dans la collection black, il est temps d’en faire entrer un dans mes aventures...

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Texte coquin : COLLECTION BLACK. Les miches de la boulangère (1/3)
Histoire sexe : Une rose rouge
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