COLLECTION BLACK. Les miches de la boulangère (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. Les miches de la boulangère (3/3)
COLLECTION BLACK. Les miches de la boulangère (3/3)
J’aurais pu conclure mon histoire à la fin de ce deuxième chapitre.
Boulangère dans un petit village Breton non loin de Carnac et de ses alignements, je suis la propriétaire de la boulangerie que nous avaient donnée mes parents.
Depuis ma naissance, j’avais tendance à avoir de grosses miches avant et arrière.
Mon père ayant peur que je reste vieille fille m’avait offert à son apprenti lui donnant sa boulangerie en guise de cadeau de noces, s’il m’épousait.
J’avais fait le nécessaire pour me faire aimer de ce garçon lui-même un peu disgracieux étant épais comme une ablette.
La grosse vache et le grand échalas, c’est ainsi que dans notre village nous étions perçus.
J’aurais pu couler des jours heureux avec Paul, c’est le nom de ce grand garçon, très bon boulanger et grand travailleur qui pendant plusieurs années a su faire du pain pour toute notre population.
Hélas, trois fois, hélas.
Le jour de la kermesse annuelle, grande fête de notre village, est-ce le surmenage pour avoir fourni les besoins habituels des habitants un dimanche, sans compter ce qu’il fallait pour cette fête, il a été frappé d’hémiplégie.
Le boulanger hors d’état de fabriquer son pain, j’aurais dû fermer la boulangerie et obliger nos habitants à faire de nombreux kilomètres afin d’aller chez Lucien et Sylvie nos homologues de la ville voisine.
Par chance un an plus tôt, Richard le maire de notre village nous avait demandé d’héberger un immigré africain, Amadou, qui souhaitait apprendre, comment nous faisions notre pain en France.
Nous aurions pu hésiter, mais Richard notre maire et copain de Paul a su être persuasif, en quinze jours, il a su faire fabriquer un petit appartement dans notre cour par ses services municipaux, afin de l’héberger.
Sans être vénielle, une pièce avec petite salle de bain et nécessaire pour ce faire à manger pourrait dans le futur nous apporter un supplément de salaire bien utile pour nos vieux jours.
Amadou a sauvé notre boulangerie en fabriquant le pain presque mieux que mon mari qui après l’hôpital a rejoint une structure où il pourra recevoir tous les soins nécessaires.
Il était tellement proche d’un légume, qu’il m’était impossible de le garder à la boulangerie.
Amadou, en plus du pain, confectionnent des fars bretons que nos clients s’arrachent tous les dimanches, aux pommes, aux pruneaux ou aux poires.
Nos recettes sont supérieures à celles de l’an passé, l’argent, c’est bien, mais le manque de sexe a commencé à me peser.
Une femme seule avec un jeune homme seul, par chance Amadou a su me satisfaire un dimanche avant que nous montions manger le poulet livré par Charles le boucher charcutier du village.
Paul me baisait après m’avoir pesé mes énormes seins, Amadou s’est contenté de les soupeser avant de m’ôter ma petite culotte et de me laisser glisser sur son mât de cocagne.
Ça fait presque deux semaines qu’Amadou a rejoint ma couche laissant libre le logement construit par Richard et son équipe.
La première fois dans le fournil et l’après-midi dans mon salon, je m’étais juré de sauvegarder mon lit conjugal, mais le plaisir qu’Amadou m’apportait l’a emporté sur mes principes.
Il a couché avec moi dès ce premier soir.
Ça fait donc quinze jours ou avant de se lever pour faire chauffer son four et me préparer mes croissants du matin, qu’il me pénètre allant même comme le faisait Paul jusqu’à m’enculer.
Cela, dès le deuxième soir où il m’a écarté mes miches arrière pour me bouffer ma petite rondelle et me fourrer sa langue au plus loin où il arrivait à la rentrer alors que j’étais positionné en levrette.
Sans être obnubilé par les verges noires, lorsqu’il m’a pénétré, j’ai cru qu’il allait carrément me faire connaitre le supplice du pal, mais mon anus régulièrement visité par Paul a su s’adapter.
Contrairement à ces sulpiciers des temps anciens, j’ai carrément hurlé mon plaisir lorsqu’il m’a mise bien profond.
• Patronne !
Amant mais toujours respectueux de qui il était, ça me changeait de Paul qui après le départ de mes parents m’a traité comme le maître qu’il était devenu.
• Oui, Amadou, as-tu un problème ?
• Non, je suis le plus heureux des hommes, mais j’ai reçu un message de ma sœur, son fils Hamed vient de franchir la Méditerranée et a réussi à tromper la vigilance de ses gardiens en Italie.
• Il vient ici !
• Ma sœur pense qu’il me rejoindra d’ici deux jours.
Si tu es d’accord, bien sûr, c’est toi la patronne, nous pourrions le mettre dans ma chambre qui est libre.
Le surcroit de clientèle commence à devenir problématique et au fournil une aide serait la bienvenue.
Voilà comment mon cœur d’artichaut m’a fait accepter ce deuxième noir dans les locaux de ma boulangerie.
Comme son oncle, malgré ses dix-neuf ans, Hamed est grand et fort, il porte les sacs de farine sur son épaule et le camion de livraison se vide rapidement.
Certains après-midi pendant la coupure, Isa la patronne du café vient me rendre visite et partager un café.
Isa est une vraie pipelette, j’apprends très vite que la plupart des gens se gaussent de ma situation, j’en avais un, il m’en avait fallu une deuxième plus jeune.
Je m’étais fichu des ragots pour Amadou, j’en fais de même après les propos d’Isa.
Si les gens savaient l’overdose de sexe que m’apporte mon amant, ils se garderaient bien de penser que ma chatte et aussi mes miches sont capables d’en supporter deux.
Surtout qu’Hamed sort sans nous et qu’on le voit rapidement au contact d’autres jeunes du village.
Pour Amadou, c’est différent, on nous voit aller manger la tête de veau avant de rejoindre Paul pour quelques heures.
Un mardi, je ferme pour la coupure, Isa étant prise pour une visite chez le médecin, je rejoins les garçons dans le fournil.
Il fait chaud et ils sont tous les deux simplement recouverts d’un short.
Je vois leur musculature et même la bosse de leurs peu de vêtements.
J’ai pu vérifier qu’Amadou est bien monté et que son neveu le suit de près.
Au début, j’ai dit que le fantasme de verge noire, je laissais ça pour les jeunes pucelles, là, j’aurais bien envie de pousser la comparaison un peu plus loin.
• Amadou, que fais-tu ?
Tu es devenu fou, devant ton neveu !
Amadou vient de me coincer contre le marbre déjà nettoyé et me fait sentir qu’en plus d’être grosse, elle est en parfait état de me prendre.
• Patronne, mon neveu est vierge et voudrait que tu le dépucelles.
Dans notre pays, nous partageons les femmes, pour leur plus grand plaisir.
Hamed montre ta queue à notre patronne, je suis sûr qu’elle va apprécier.
En moins de temps qu’il en faut, devant moi, je peux admirer deux verges prêtes à l’emploi.
La différence entre l’oncle et le neveu, je le constate lorsque je me baisse pour les pomper l’un après l’autre.
Le gland d’Hamed est plus proche d’un champignon atomique alors que celui d’Amadou est dans sa continuité.
Tous les deux sont circoncis ce qui est la principale différence avec Paul, mon mari.
Un coup à droite, un coup à gauche, le seul bruit qui parvient à mes oreilles, c’est le moment où les pompant, le bruit de succion se fait entendre.
Je deviens folle de mon cul, je sens que je mouille abondamment.
Amadou s’allonge sur le sol, il y a toujours un peu de farine.
• Viens t’empaler, Hamed va t’enculer, lui aussi aime ton gros cul.
Quelques années en arrière, on aurait parlé de mon gros cul, je serais devenue folle de rage et j’aurais tourné les talons.
Avec les âges en plus et l’atout qu’il représente, je loue mes parents de m’avoir donné ce cul qu’Hamed pénètre me prenant en sandwich.
Je jouissais facilement lorsque Paul m’enculait, que dire de l’orgasme qui me traverse lorsque les deux garçons jouissent en même temps dans ma chatte et dans mon cul.
Dans les jours qui suivent, je reprends l’habitude de baiser avec l’un ou l’autre dans le fournil.
Seul Amadou a le droit à mes appartements.
J’ai mes parties intimes chaudes bouillantes, il est hors de question de faire chambre à trois.
J’ignore combien de neveux Amadou possèdent au pays.
À beaucoup baiser, ce que Paul a été incapable de me donner un fils, Amadou qui est le seul à pénétrer ma chatte, me donne un fils.
Hamed a le droit à ma bouche et mon cul.
Enfin un fils, une écographie de notre fils suçant son pouce.
Je sais, les ragots, certains s’en batteraient la queue petite ou grande.
Moi avec ma chatte, je me contrefiche des mals baiser de notre village, à la rigueur qu’elles se fassent sauter par Hamed, je suis prête à leur prêter.
Le principal, c’est qu’avec la naissance à venir, je fais perdurer la durée de vie de ma boulangerie, même si pour cela, le boulanger sera légèrement noir, nul doute que les habitants accepteront !
Sinon retour à la case départ et aux kilomètres pour aller voir le fils de Louis et Sylvie, Isa m’a appris qu’elle attendait, elle aussi un garçon
Dans le même temps Isa m’a annoncé aussi une naissance, mais une fille.
Dans vingt ans ou un peu moins nos fils dragueront peut-être cette jeune fille espérant l’épouser et hériter du café de notre village.
Voilà, Isa vient de m’annoncer sa grossesse en même temps que je lui annonçais la mienne.
Peut-être que la vie dans notre petit village d’irréductible gaulois même s’ils sont devenus caramel sera digne que je lui consacre quelques lignes.
Je demande que l’on m’excuse je dois allonger mes grosses miches, mon bébé en a besoin pour venir à terme.
J’aurais pu conclure mon histoire à la fin de ce deuxième chapitre.
Boulangère dans un petit village Breton non loin de Carnac et de ses alignements, je suis la propriétaire de la boulangerie que nous avaient donnée mes parents.
Depuis ma naissance, j’avais tendance à avoir de grosses miches avant et arrière.
Mon père ayant peur que je reste vieille fille m’avait offert à son apprenti lui donnant sa boulangerie en guise de cadeau de noces, s’il m’épousait.
J’avais fait le nécessaire pour me faire aimer de ce garçon lui-même un peu disgracieux étant épais comme une ablette.
La grosse vache et le grand échalas, c’est ainsi que dans notre village nous étions perçus.
J’aurais pu couler des jours heureux avec Paul, c’est le nom de ce grand garçon, très bon boulanger et grand travailleur qui pendant plusieurs années a su faire du pain pour toute notre population.
Hélas, trois fois, hélas.
Le jour de la kermesse annuelle, grande fête de notre village, est-ce le surmenage pour avoir fourni les besoins habituels des habitants un dimanche, sans compter ce qu’il fallait pour cette fête, il a été frappé d’hémiplégie.
Le boulanger hors d’état de fabriquer son pain, j’aurais dû fermer la boulangerie et obliger nos habitants à faire de nombreux kilomètres afin d’aller chez Lucien et Sylvie nos homologues de la ville voisine.
Par chance un an plus tôt, Richard le maire de notre village nous avait demandé d’héberger un immigré africain, Amadou, qui souhaitait apprendre, comment nous faisions notre pain en France.
Nous aurions pu hésiter, mais Richard notre maire et copain de Paul a su être persuasif, en quinze jours, il a su faire fabriquer un petit appartement dans notre cour par ses services municipaux, afin de l’héberger.
Sans être vénielle, une pièce avec petite salle de bain et nécessaire pour ce faire à manger pourrait dans le futur nous apporter un supplément de salaire bien utile pour nos vieux jours.
Amadou a sauvé notre boulangerie en fabriquant le pain presque mieux que mon mari qui après l’hôpital a rejoint une structure où il pourra recevoir tous les soins nécessaires.
Il était tellement proche d’un légume, qu’il m’était impossible de le garder à la boulangerie.
Amadou, en plus du pain, confectionnent des fars bretons que nos clients s’arrachent tous les dimanches, aux pommes, aux pruneaux ou aux poires.
Nos recettes sont supérieures à celles de l’an passé, l’argent, c’est bien, mais le manque de sexe a commencé à me peser.
Une femme seule avec un jeune homme seul, par chance Amadou a su me satisfaire un dimanche avant que nous montions manger le poulet livré par Charles le boucher charcutier du village.
Paul me baisait après m’avoir pesé mes énormes seins, Amadou s’est contenté de les soupeser avant de m’ôter ma petite culotte et de me laisser glisser sur son mât de cocagne.
Ça fait presque deux semaines qu’Amadou a rejoint ma couche laissant libre le logement construit par Richard et son équipe.
La première fois dans le fournil et l’après-midi dans mon salon, je m’étais juré de sauvegarder mon lit conjugal, mais le plaisir qu’Amadou m’apportait l’a emporté sur mes principes.
Il a couché avec moi dès ce premier soir.
Ça fait donc quinze jours ou avant de se lever pour faire chauffer son four et me préparer mes croissants du matin, qu’il me pénètre allant même comme le faisait Paul jusqu’à m’enculer.
Cela, dès le deuxième soir où il m’a écarté mes miches arrière pour me bouffer ma petite rondelle et me fourrer sa langue au plus loin où il arrivait à la rentrer alors que j’étais positionné en levrette.
Sans être obnubilé par les verges noires, lorsqu’il m’a pénétré, j’ai cru qu’il allait carrément me faire connaitre le supplice du pal, mais mon anus régulièrement visité par Paul a su s’adapter.
Contrairement à ces sulpiciers des temps anciens, j’ai carrément hurlé mon plaisir lorsqu’il m’a mise bien profond.
• Patronne !
Amant mais toujours respectueux de qui il était, ça me changeait de Paul qui après le départ de mes parents m’a traité comme le maître qu’il était devenu.
• Oui, Amadou, as-tu un problème ?
• Non, je suis le plus heureux des hommes, mais j’ai reçu un message de ma sœur, son fils Hamed vient de franchir la Méditerranée et a réussi à tromper la vigilance de ses gardiens en Italie.
• Il vient ici !
• Ma sœur pense qu’il me rejoindra d’ici deux jours.
Si tu es d’accord, bien sûr, c’est toi la patronne, nous pourrions le mettre dans ma chambre qui est libre.
Le surcroit de clientèle commence à devenir problématique et au fournil une aide serait la bienvenue.
Voilà comment mon cœur d’artichaut m’a fait accepter ce deuxième noir dans les locaux de ma boulangerie.
Comme son oncle, malgré ses dix-neuf ans, Hamed est grand et fort, il porte les sacs de farine sur son épaule et le camion de livraison se vide rapidement.
Certains après-midi pendant la coupure, Isa la patronne du café vient me rendre visite et partager un café.
Isa est une vraie pipelette, j’apprends très vite que la plupart des gens se gaussent de ma situation, j’en avais un, il m’en avait fallu une deuxième plus jeune.
Je m’étais fichu des ragots pour Amadou, j’en fais de même après les propos d’Isa.
Si les gens savaient l’overdose de sexe que m’apporte mon amant, ils se garderaient bien de penser que ma chatte et aussi mes miches sont capables d’en supporter deux.
Surtout qu’Hamed sort sans nous et qu’on le voit rapidement au contact d’autres jeunes du village.
Pour Amadou, c’est différent, on nous voit aller manger la tête de veau avant de rejoindre Paul pour quelques heures.
Un mardi, je ferme pour la coupure, Isa étant prise pour une visite chez le médecin, je rejoins les garçons dans le fournil.
Il fait chaud et ils sont tous les deux simplement recouverts d’un short.
Je vois leur musculature et même la bosse de leurs peu de vêtements.
J’ai pu vérifier qu’Amadou est bien monté et que son neveu le suit de près.
Au début, j’ai dit que le fantasme de verge noire, je laissais ça pour les jeunes pucelles, là, j’aurais bien envie de pousser la comparaison un peu plus loin.
• Amadou, que fais-tu ?
Tu es devenu fou, devant ton neveu !
Amadou vient de me coincer contre le marbre déjà nettoyé et me fait sentir qu’en plus d’être grosse, elle est en parfait état de me prendre.
• Patronne, mon neveu est vierge et voudrait que tu le dépucelles.
Dans notre pays, nous partageons les femmes, pour leur plus grand plaisir.
Hamed montre ta queue à notre patronne, je suis sûr qu’elle va apprécier.
En moins de temps qu’il en faut, devant moi, je peux admirer deux verges prêtes à l’emploi.
La différence entre l’oncle et le neveu, je le constate lorsque je me baisse pour les pomper l’un après l’autre.
Le gland d’Hamed est plus proche d’un champignon atomique alors que celui d’Amadou est dans sa continuité.
Tous les deux sont circoncis ce qui est la principale différence avec Paul, mon mari.
Un coup à droite, un coup à gauche, le seul bruit qui parvient à mes oreilles, c’est le moment où les pompant, le bruit de succion se fait entendre.
Je deviens folle de mon cul, je sens que je mouille abondamment.
Amadou s’allonge sur le sol, il y a toujours un peu de farine.
• Viens t’empaler, Hamed va t’enculer, lui aussi aime ton gros cul.
Quelques années en arrière, on aurait parlé de mon gros cul, je serais devenue folle de rage et j’aurais tourné les talons.
Avec les âges en plus et l’atout qu’il représente, je loue mes parents de m’avoir donné ce cul qu’Hamed pénètre me prenant en sandwich.
Je jouissais facilement lorsque Paul m’enculait, que dire de l’orgasme qui me traverse lorsque les deux garçons jouissent en même temps dans ma chatte et dans mon cul.
Dans les jours qui suivent, je reprends l’habitude de baiser avec l’un ou l’autre dans le fournil.
Seul Amadou a le droit à mes appartements.
J’ai mes parties intimes chaudes bouillantes, il est hors de question de faire chambre à trois.
J’ignore combien de neveux Amadou possèdent au pays.
À beaucoup baiser, ce que Paul a été incapable de me donner un fils, Amadou qui est le seul à pénétrer ma chatte, me donne un fils.
Hamed a le droit à ma bouche et mon cul.
Enfin un fils, une écographie de notre fils suçant son pouce.
Je sais, les ragots, certains s’en batteraient la queue petite ou grande.
Moi avec ma chatte, je me contrefiche des mals baiser de notre village, à la rigueur qu’elles se fassent sauter par Hamed, je suis prête à leur prêter.
Le principal, c’est qu’avec la naissance à venir, je fais perdurer la durée de vie de ma boulangerie, même si pour cela, le boulanger sera légèrement noir, nul doute que les habitants accepteront !
Sinon retour à la case départ et aux kilomètres pour aller voir le fils de Louis et Sylvie, Isa m’a appris qu’elle attendait, elle aussi un garçon
Dans le même temps Isa m’a annoncé aussi une naissance, mais une fille.
Dans vingt ans ou un peu moins nos fils dragueront peut-être cette jeune fille espérant l’épouser et hériter du café de notre village.
Voilà, Isa vient de m’annoncer sa grossesse en même temps que je lui annonçais la mienne.
Peut-être que la vie dans notre petit village d’irréductible gaulois même s’ils sont devenus caramel sera digne que je lui consacre quelques lignes.
Je demande que l’on m’excuse je dois allonger mes grosses miches, mon bébé en a besoin pour venir à terme.
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