COLLECTION BLACK. Lors des heures de travail. Début de la saison I (1/3) - histoire érotique

• Mon chéri, c’est rare que ça arrive, je suis obligé de rester à mon bureau.
J’ai une opportunité de signer un contrat demain avec une boîte canadienne qui va nous permettre d’équilibrer l’année qui était plus qu’incertaine.
Mieux, nous couvrirons le premier trimestre 2022.
• Prends ton temps ma chérie, je suis sûr que tu sauras te débrouiller pour obtenir ce contrat.
Je te prépare un sandwich, pour ton retour.
• Non, Marie est allée me chercher un mac à côté avec un soda avant de rentrer chez-elle.
Couche-toi et dors, je ferais attention d’éviter de te réveiller.
• Tu peux me réveiller, tu sais que je suis un bon petit soldat, prêt au combat.
• Je sais que tu es mon grand général prêt à risquer ta vie pour mon plus grand plaisir.
Assez de bêtise, surtout embrasse les enfants pour moi.
Dis leurs que leur maman les aime plus que tout au monde.

Je raccroche, cette situation se reproduisant de temps en temps.
J’ai connu Renzo en Italie lors de vacances avec mes parents, persuadé au début qu’il était du cru sicilien.
Je faisais une grosse erreur, il était parisien tout comme moi et nous habitions même lui porte de Versailles et moi celle d’Orléans.
J’avais 17 ans, lui 22 et s’apprêtait à devenir professeur de collège faute d’avoir pu aller jusqu’à être prof des lycées.
Je voulais faire des études d’ingénieur en mécanique des fluides, mais un accident de parcours m’a contrainte à limiter mes envies à un BTS dans le même secteur.
Ce BTS je l’ai passée enceinte de Camille, notre première fille à l’âge de 20 ans.
Camille, puis Dino mon mari étant originaire du village ou nous nous sommes rencontrées.
Qu’importe le niveau de mes études, j’attendais Sophie à quelques jours de créer ma boîte de mécanique spécialisée dans les éoliennes.
Je travaille avec mes équipes dans mes bureaux parisiens sur planche et je viens de démarrer une unité de fabrication près de Brest.
Dernièrement les éoliennes maritimes ont la faveur de nos dirigeants car moins polluante dans l’environnement que celles dans nos plaines autour de Paris et sur nos montagnes.
Mon concept pour ces éoliennes, leur hauteur très peu visible de la côte.
Nous sommes presque au point, mais il me manque un élément fabriqué par cette compagnie canadienne et qui va me permettre de finaliser mon projet.

J’ai presque fini , mais quelques choses me chagrinent et étant têtu, je m’accroche, car je sens que je suis très proche de la solution.
J’entends du bruit dans le couloir près de mon bureau.
J’étais persuadé que je suis seule, je suis de nature sereine, j’ai fait du karaté jusqu’à mon bac, même en compétition.
Je suis très féminine pour autant, mais comme l’on dit, vient me chercher, tu me trouveras.
La porte s’ouvre.

• Au pardon madame, j’ignorais qu’il y avait encore quelqu’un.
Depuis deux semaines que je viens tous les soirs, c’est la première fois que je rencontre une autre personne.

Le grand noir qui vient de rentrer, au karaté j’en ai connu certain à qui il était difficile de chercher des noises.
Plus longiligne que Teddy Riner au judo, mais baraquée tout de même.
Voir cet homme pousser un chariot de nettoyage, un chiffon à la main est surprenant.
Il est certainement originaire d’un autre pays que le nôtre, même nos îles, car s’il parle très bien le français, on sent à son accent qu’il est né hors de nos territoires.

• Finissez votre travail, j’attendrais.
• Excusez, vous avez bien dit j’attendrais.
• Oui, votre bureau est le dernier qu’il me reste à nettoyer, j’attendrais pour le faire.
• Et vous finirez votre travail à point d’heure.
• Oui, mon cousin m’a dit d’éviter de déranger les gens qui travaillent et que si ça arrive, je dois attendre.
• Votre cousin ?
• Oui, il m’emploie en attendant d’avoir des papiers définitifs s’ils me les accordent.
Ça me paye ma chambre d’hôtel et mon repas journalier.
• D’où êtes-vous si vous acceptez de me le dire ?
• Je suis du Niger, je fais partie d’une famille de touarègue !

Les hommes bleus, j’ai vu un reportage, grands, fins et fiers.
Cet homme malgré sa cote de travail en est un digne représentant.

• Inutile d’attendre, j’ai presque fini, je réglais un dernier détail, faites votre travail.

Voulant trouver, ça m’énerve car à ce détail près, je pourrais retrouver mon mari et mon lit après avoir pris une douche et embrasser mes enfants endormis.
Il passe son chiffon sur les meubles qui remplissent mon bureau.
À un moment, il s’approche de moi et prestement récupère ma corbeille qu’il vide dans son chariot avant de la replacer.
Il prend son balai serpillère et commence à le passé.
Je suis dans mes pensées, mais à un moment je suis intriguée.
L’espace derrière mon bureau est-il si grand qu’il me semble que ça fasse trois fois qu’il passe et repasse.

• Qui êtes-vous, vous êtes un agent de la concurrence qui sait que j’ai un rendez-vous avec des Canadiens pour signer un juteux contrat.
• Détrompez-vous, madame, j’ai vu votre travail lorsque j’ai récupéré et replacé votre corbeille à papier et ça m’a intéressé.
• Comment un technicien de surface peut-il s’intéresser à mes éoliennes de mer ?
• Je m’appelle Amara et je suis ingénieur en mécanique.
J’ai eu l’impression que vous pourriez améliorer la puissance développée par vos éoliennes et fabriquer plus de courant.
• Ingénieur, ou avez-vous fait vos études.
• Dans une École supérieure de Niamey.
• Et vous avez trouvé la réponse !
• Si vous permettez, je pratiquerai autrement.

Il s’avance vers moi à presque me toucher et se penche pour être plus près de mon écran.

• Vous voyez, ce moteur, il vous gêne pour augmenter la grandeur du système rotatif qui permet à l’air de circuler et de fabriquer du courant.
Placé ici, la place dégagée permettra d’augmenter cette pièce rotative.
Le coût du câblage supplémentaire sera largement compensé par les gains en énergie.

C’est exactement ce que je cherchais sans voir mon nez au milieu de ma figure.
Cette pièce rotative, c’est justement celle que doit me fournir la société canadienne et son augmentation même si elle aura un surcoût va me permettre d’emporter le marché final.
C’est à ce moment que me redressant je touche avec mon bras, sa combinaison de travail.
Mon dieu que c’est gros et dur.
Susy, ma copine étant une chaude de la minette, m’a dit un jour avoir eu un amant noir qui d’après elle était monté comme un taureau.
Je l’écoute toujours d’une oreille distraite, car chaque fois que je la vois elle a changé d’amant et le nouveau à quelque chose de plus que le précédent.
Ce que je viens de sentir derrière ce morceau de tissu est assez impressionnant.
Il faut dire, que Renzo sans me délaisser se sent obligé de me laisser tranquille.
Lorsque je suis en position de faire grandir ma société, le sexe et moi ça fait deux.
Sans aller jusque-là, il doit avoir l’impression de tremper son sexe dans une poupée gonflable étant dans l’impossibilité d’avoir mes élans habituels.
Ajoutez à ça, la période mensuelle de chaque femme et vous avez une femme étant un peu en manque.

• Vous voulez la voir, je vous sens troublée depuis que j’ai senti que vous l’avez touchée.

Mon regard doit en dire long, car il fait glisser la partie centrale de sa cote jusqu’à son sexe qui me saute au visage.
Je devrais le repousser, mais je l’empoigne restant fasciné par ce que je vois.
Dès nos premiers rapports, j’ai sucé Renzo, il adore que je lui fasse des fellations avant de me prendre principalement en levrette.
Je suis sûr que nos trois enfants nous les avons conçus alors que j’étais à quatre pattes ma tête reposant sur les bras.
Chaque fois je suis certaine d’avoir senti les spermatozoïdes entrer profondément dans mon utérus retrouvant mes œufs nous donnant nos enfants.
Présentement, je pense plus à la chose chaude que j’ai en main plutôt qu’à mes enfants.
J’approche ma bouche.
« Attention, Françoise, si tu la laisses entrer, tu deviendras la même salope que ta copine Susy ! » J’essaye de la faire entrer tout en la masturbant, car le gland est trop gros pour être absorbé par ma bouche.
Amara est un mâle exceptionnel, à tous les points de vu.

• Oh ! madame, que c’est bon, continuez.

Pour continuer, je continue et rapidement lorsque je regarde mon poignet le sexe que je découvre à le même diamètre.
J’aurais dû mieux écouter Susy de ce qu’elle avait fait d’un tel engin...