COLLECTION BLACK. Lors des heures de travail. Début de la saison III (7/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2398 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 998 943 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 898 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION BLACK. Lors des heures de travail. Début de la saison III (7/9)
C’est fait, l’avion de Samy, ma nouvelle amie et ma nouvelle associée, du moins demain quand Thierry son bras droit m’aura fait signer le contrat, vient de s’envoler en direction du Canada.
• Que fait-on, je vous emmène à l’hôtel que j’ai récupéré après avoir été chez mes parents, il y a un bar ?
• J’ignore pour vous, mais mon mari doit m’attendre, raccompagné moi jusqu’à une station de taxis, je vais rentrer chez moi.
Renzo et les enfants seront contents de me retrouver, je les ai beaucoup abandonnés pendant la préparation de cette étape capitale de mon projet.
Thierry, ça vous dérange de déposer Amara !
Voilà, je vois partir Amara, celui qui aura fait déraper ma vie dans la luxure et la débauche.
Qui étais-je avant tous ce qui s’est passé dans ces dernières heures ?
Une femme aimante avec des enfants que je vais retrouver dès que le taxi m’aura déposé.
Trois bras qui se tendent, trois bouches qui m’embrassent partout où elles peuvent.
Une quatrième, quand ils repartent vers leurs dessins animer à croire que Scoubidou est plus intéressant que moi.
C’est normal, ce sont des enfants.
Une quatrième donc, quand Renzo me prend dans ses bras et que nos langues se retrouvent.
Renzo passe ses mains dans mon dos et me masse de ma nuque à mes fesses comme il sait si bien me le faire.
Je me raidis, mon anus me rappelle qu’il a aimé être perforé.
• Que t’arrive-t-il, pourquoi tes fesses sont si sensibles.
On y est, pratiquer l’adultère, c’est s’exposer à des contradictions entre notre vie d’avant et le moment présent.
Savoir mentir, moi qui prône à mes enfants la loyauté et la vérité et surtout trouver rapidement un motif acceptable.
• Vole dans un hélicoptère pendant plusieurs heures, tu verras si tes fesses résisteront aussi bien que les miennes.
Je vais les mettre dans l’eau, ça va les retaper.
C’est bon, je m’en sors bien, Renzo passe à autre chose et moi je peux me rendre dans notre chambre pour me faire couler un bain, mais bien chaud comme je les aime.
Tout revient comme avant, mes enfants m’aiment, j’aime mes enfants et bien sûr Renzo.
La journée bien entamée, vu l’heure à laquelle je rentre de mon voyage à Brest se termine sur notre canapé à regarder des variétés à la télé.
Celle ou lorsque je rejoins Renzo dans notre lit, mes monstres couchés, il me prend dans ses bras, de nouveau il m’embrasse en me passant la main sous ma courte chemise de nuit.
Ma chatte est humide prêt à le recevoir, je le reçois toujours depuis le premier jour ou j’ai accepté d’être à lui, jusqu’à ce jour ou j’ai fait déraper ma vie.
Pourtant quand il se couche sur moi après que je l’ai masturbé, je ressens la même chose que les centaines de fois où nous avons fait l’amour.
Ce soir, il y a une petite différence, à ce jour, j’ai toujours joui atteignant même fréquemment l’orgasme, s’est comme cela que nous avons conçu nos trois enfants.
Pour une fois, alors que j’aime le sentir aller et venir en moi, je regarde par-dessus son épaule dans la glace de ma table de maquillage ce sexe auquel j’ai été infidèle malgré mon serment devant le maire et le curé.
La vision de sa verge me fascine, mais dans le même temps je détache mon cerveau de ce que nous faisons.
Aussi, quand Renzo retient ses cris de plaisir comme nous le faisons tout le temps, obligé à cause des enfants, je reçois sa semence en bonne épouse que j’aurais toujours dû être.
Un baiser devoir accomplit sans qu’il semble avoir le moindre soupçon des turpitudes que j’ai pu faire depuis que j’ai ouvert la boîte de Pandore du sexe.
Enfin Pandore, il faut relativiser car le plaisir que j’ai pris avec la verge noire d’Amara et la langue de Samy, sont loin d’avoir été une malédiction.
Au matin, unième réception de nos petits monstres dans notre lit finissant immanquablement par une bataille d’oreillers.
Tout s’arrête lorsque Renzo tape sur la tête de Camille partant en pleure, car l’oreiller a explosé la recouvrant de plumes.
Je cours la consoler en bonne mère de famille, même si je suis dans l’impossibilité de dire bonne épouse.
Nous déjeunons, il est déjà plus de 10 heures avant de nous rendre compte qu’il nous faut choisir entre le repas ou le nettoyage de notre chambre.
Ajoutez les lits des trois petits, l’aspirateur, le nettoyage de la salle de bains et de la cuisine.
À oui, une machine à laver que je démarre et que j’étends entre deux lits alors que Renzo corrige des copies.
Je me retrouve obligée de leur proposer d’aller chez Mac Do manger leur menu enfant.
Renzo prend son Big machin et moi une salade largement suffisante pour ma ligne surtout qu’après une ballade au parc où ils ont pu faire de la balançoire et du toboggan, je dois me préparer pour ma soirée.
En temps normal, j’adore pratiquer du tape-cul avec Renzo.
Nous d’un côté, les enfants de l’autre.
Aujourd’hui, j’oublie d’en faire, mon voyage en hélico les ayant tallé.
C’est beau de finir par croire en son alibi, surtout quand assise sur un banc, vous regardez votre mari et vos enfants jouer à chat perché autour de vous.
De retour à la maison, je me prépare passant un de mes plus beaux tailleurs , celui avec des lisières argentées lui donnant de la classe.
Dans la journée je le préviens que ce soir, il doit garder les enfants une nouvelle fois, car je vais signer mon contrat.
Un baiser me fait voir qu’il le fera sans aucun problème, il sait comment mon entreprise me tient à cœur.
Pendant que je me maquille, les enfants devant leur télé, j’en profite pour lui parler de la proposition de Samy pour des vacances au Canada dans les rocheuses.
Je lui explique que ce serait au bord du lac Émeraude près de Calgary dans le chalet de la femme canadienne qui le possède.
Je lui parle de nos sociétés qui ce soir vont signer le contrat finalisant mon projet.
Le voyage, au début, il veut voir s’il est disponible et s’interroge pour les enfants.
Je lui rétorque que ce sera possible lorsqu’ils seront en Corse.
Je sais ce qui le chagrine, c’est de prendre l’avion.
Un baiser malgré mon rouge à lèvres que je suis obligé d’en remettre et c’est sereinement qu’à tous, je leur envoie des smacks avant de rejoindre mon taxi.
Taxi qui s’arrête pour récupérer Amara qui m’embrasse devant le chauffeur semblant avoir du mal à admettre nos différences de couleurs de peaux.
En me retrouvant devant le restaurant, je prends conscience de mon indécision, je pensais, avec du recul, que je prendrais les choses en mains pour arrêter notre relation.
Je me réveille, sa main posée sur ma cuisse, ma main sur la sienne, mon destin se scelle sur ce que je suis devenue.
Il m’aide à descendre, je paye le taxi au centime prêt, sans le moindre pourboire.
Si je suis avec Amara, c’est en toute conscience, car je suis certaine que si je suis ici ce soir recevant le baisemain de Thierry, c’est bien grâce à lui.
• Après dîner, nous irons jusqu’à mon hôtel où le contrat devrait être arrivé.
Je pensais l’amener, mais la patronne a eu du retard à cause du Premier ministre.
La direction de l’hôtel doit me laisser le fax dans ma chambre.
Je devrais m’étonner de ce fax dans sa chambre, mais je suis si excitée de sa signature que je prends cette proposition sans le moindre soupçon.
Ducasse, que dire du repas, à la hauteur de sa réputation surtout lorsque nous discutons plus spécifiquement sur tout et rien de manière plus informelle qu’au haut de la tour Montparnasse.
Est-ce l’absence de Samy, je le trouve charmant surtout quand il blague avec mon amant et que c’est la jambe de celui-ci qui vient caresser la mienne me faisant frisonner.
Thierry appelle le serveur.
• Madame à froid, pouvez-vous faire quelque chose ?
• Je vais voir monsieur.
J’ai envie de le détromper, mais ça serait lui avouer mes relations avec Amara.
Il est vrai que j’ignore ce qu’ils se sont dit hier lorsqu’il l’a raccompagné.
Thierry sait-il que nous sommes amants.
Le repas se termine sans incidant.
Notre hôte regarde sa montre.
• Il faut y aller, nous sommes attendus.
Je suis étonnée, mais je me tais, trop contente d’aller signer.
En tout cas, je me retrouve de nouveau dans un taxi en route pour l’hôtel où il a sa chambre.
C’est dans l’ascenseur que Thierry me dit ce qu’il semblait m’avoir caché, ce qui un instant me trouble.
• Dans cinq minutes, Samy nous attend.
A-t-elle fait demi-tour ?
Le Premier ministre a-t-il reporté leur entretient ?
Thierry ouvre sa porte avec sa clef magnétique et va vers une table où se trouvent des papiers et un ordi.
Il le démarre et le log.
• Bonsoir, Françoise, comment vas-tu ?
Amara, autant pour toi, nous signons !
Moi je l’ai fait et le contrat est devant toi.
C’est devant l’ordi de Thierry en visio que je comprends que Samy est avec nous, mais sans y être.
Je prends mon stylo et je paraphe les diverses pages.
À la dernière, je sais que je viens d’enclencher la possibilité de gagner énormément d’argent et surtout d’assurer du travail pour des centaines de gens pendant des années.
• Françoise, j’ai une proposition à te faire.
• Je t’écoute Samy.
• Tu sais que j’aime les techniques modernes dans mon travail et dans ma vie.
Regarde, je tourne ma caméra, que vois-tu ?
• Le pied d’un lit ?
• Et là ?
• Deux beaux spécimens de la race humaine, un black et un blanc.
• C’est bien ma belle salope et toi qui vois-tu, sur ta droite.
• Un lit.
• C’est très bien.
En passant, qui y a-t-il sur la table de nuit ?
• Un seau avec deux bouteilles de champagne.
• C’est parfait, regarde, j’ai les mêmes près de moi, Dom Pérignon, ça devrait être pas mal !
Les deux beaux gosses, Léo et Heston que font-ils ?
• Ils se masturbent et ils bandent.
C’est drôle, au mouvement de son doigt, Léo est le noir doc, Heston le blanc.
• Parfait.
• Thierry et Amara, déshabillez-vous et ainsi que notre amie, nous allons baiser par visioconférence...
• Que fait-on, je vous emmène à l’hôtel que j’ai récupéré après avoir été chez mes parents, il y a un bar ?
• J’ignore pour vous, mais mon mari doit m’attendre, raccompagné moi jusqu’à une station de taxis, je vais rentrer chez moi.
Renzo et les enfants seront contents de me retrouver, je les ai beaucoup abandonnés pendant la préparation de cette étape capitale de mon projet.
Thierry, ça vous dérange de déposer Amara !
Voilà, je vois partir Amara, celui qui aura fait déraper ma vie dans la luxure et la débauche.
Qui étais-je avant tous ce qui s’est passé dans ces dernières heures ?
Une femme aimante avec des enfants que je vais retrouver dès que le taxi m’aura déposé.
Trois bras qui se tendent, trois bouches qui m’embrassent partout où elles peuvent.
Une quatrième, quand ils repartent vers leurs dessins animer à croire que Scoubidou est plus intéressant que moi.
C’est normal, ce sont des enfants.
Une quatrième donc, quand Renzo me prend dans ses bras et que nos langues se retrouvent.
Renzo passe ses mains dans mon dos et me masse de ma nuque à mes fesses comme il sait si bien me le faire.
Je me raidis, mon anus me rappelle qu’il a aimé être perforé.
• Que t’arrive-t-il, pourquoi tes fesses sont si sensibles.
On y est, pratiquer l’adultère, c’est s’exposer à des contradictions entre notre vie d’avant et le moment présent.
Savoir mentir, moi qui prône à mes enfants la loyauté et la vérité et surtout trouver rapidement un motif acceptable.
• Vole dans un hélicoptère pendant plusieurs heures, tu verras si tes fesses résisteront aussi bien que les miennes.
Je vais les mettre dans l’eau, ça va les retaper.
C’est bon, je m’en sors bien, Renzo passe à autre chose et moi je peux me rendre dans notre chambre pour me faire couler un bain, mais bien chaud comme je les aime.
Tout revient comme avant, mes enfants m’aiment, j’aime mes enfants et bien sûr Renzo.
La journée bien entamée, vu l’heure à laquelle je rentre de mon voyage à Brest se termine sur notre canapé à regarder des variétés à la télé.
Celle ou lorsque je rejoins Renzo dans notre lit, mes monstres couchés, il me prend dans ses bras, de nouveau il m’embrasse en me passant la main sous ma courte chemise de nuit.
Ma chatte est humide prêt à le recevoir, je le reçois toujours depuis le premier jour ou j’ai accepté d’être à lui, jusqu’à ce jour ou j’ai fait déraper ma vie.
Pourtant quand il se couche sur moi après que je l’ai masturbé, je ressens la même chose que les centaines de fois où nous avons fait l’amour.
Ce soir, il y a une petite différence, à ce jour, j’ai toujours joui atteignant même fréquemment l’orgasme, s’est comme cela que nous avons conçu nos trois enfants.
Pour une fois, alors que j’aime le sentir aller et venir en moi, je regarde par-dessus son épaule dans la glace de ma table de maquillage ce sexe auquel j’ai été infidèle malgré mon serment devant le maire et le curé.
La vision de sa verge me fascine, mais dans le même temps je détache mon cerveau de ce que nous faisons.
Aussi, quand Renzo retient ses cris de plaisir comme nous le faisons tout le temps, obligé à cause des enfants, je reçois sa semence en bonne épouse que j’aurais toujours dû être.
Un baiser devoir accomplit sans qu’il semble avoir le moindre soupçon des turpitudes que j’ai pu faire depuis que j’ai ouvert la boîte de Pandore du sexe.
Enfin Pandore, il faut relativiser car le plaisir que j’ai pris avec la verge noire d’Amara et la langue de Samy, sont loin d’avoir été une malédiction.
Au matin, unième réception de nos petits monstres dans notre lit finissant immanquablement par une bataille d’oreillers.
Tout s’arrête lorsque Renzo tape sur la tête de Camille partant en pleure, car l’oreiller a explosé la recouvrant de plumes.
Je cours la consoler en bonne mère de famille, même si je suis dans l’impossibilité de dire bonne épouse.
Nous déjeunons, il est déjà plus de 10 heures avant de nous rendre compte qu’il nous faut choisir entre le repas ou le nettoyage de notre chambre.
Ajoutez les lits des trois petits, l’aspirateur, le nettoyage de la salle de bains et de la cuisine.
À oui, une machine à laver que je démarre et que j’étends entre deux lits alors que Renzo corrige des copies.
Je me retrouve obligée de leur proposer d’aller chez Mac Do manger leur menu enfant.
Renzo prend son Big machin et moi une salade largement suffisante pour ma ligne surtout qu’après une ballade au parc où ils ont pu faire de la balançoire et du toboggan, je dois me préparer pour ma soirée.
En temps normal, j’adore pratiquer du tape-cul avec Renzo.
Nous d’un côté, les enfants de l’autre.
Aujourd’hui, j’oublie d’en faire, mon voyage en hélico les ayant tallé.
C’est beau de finir par croire en son alibi, surtout quand assise sur un banc, vous regardez votre mari et vos enfants jouer à chat perché autour de vous.
De retour à la maison, je me prépare passant un de mes plus beaux tailleurs , celui avec des lisières argentées lui donnant de la classe.
Dans la journée je le préviens que ce soir, il doit garder les enfants une nouvelle fois, car je vais signer mon contrat.
Un baiser me fait voir qu’il le fera sans aucun problème, il sait comment mon entreprise me tient à cœur.
Pendant que je me maquille, les enfants devant leur télé, j’en profite pour lui parler de la proposition de Samy pour des vacances au Canada dans les rocheuses.
Je lui explique que ce serait au bord du lac Émeraude près de Calgary dans le chalet de la femme canadienne qui le possède.
Je lui parle de nos sociétés qui ce soir vont signer le contrat finalisant mon projet.
Le voyage, au début, il veut voir s’il est disponible et s’interroge pour les enfants.
Je lui rétorque que ce sera possible lorsqu’ils seront en Corse.
Je sais ce qui le chagrine, c’est de prendre l’avion.
Un baiser malgré mon rouge à lèvres que je suis obligé d’en remettre et c’est sereinement qu’à tous, je leur envoie des smacks avant de rejoindre mon taxi.
Taxi qui s’arrête pour récupérer Amara qui m’embrasse devant le chauffeur semblant avoir du mal à admettre nos différences de couleurs de peaux.
En me retrouvant devant le restaurant, je prends conscience de mon indécision, je pensais, avec du recul, que je prendrais les choses en mains pour arrêter notre relation.
Je me réveille, sa main posée sur ma cuisse, ma main sur la sienne, mon destin se scelle sur ce que je suis devenue.
Il m’aide à descendre, je paye le taxi au centime prêt, sans le moindre pourboire.
Si je suis avec Amara, c’est en toute conscience, car je suis certaine que si je suis ici ce soir recevant le baisemain de Thierry, c’est bien grâce à lui.
• Après dîner, nous irons jusqu’à mon hôtel où le contrat devrait être arrivé.
Je pensais l’amener, mais la patronne a eu du retard à cause du Premier ministre.
La direction de l’hôtel doit me laisser le fax dans ma chambre.
Je devrais m’étonner de ce fax dans sa chambre, mais je suis si excitée de sa signature que je prends cette proposition sans le moindre soupçon.
Ducasse, que dire du repas, à la hauteur de sa réputation surtout lorsque nous discutons plus spécifiquement sur tout et rien de manière plus informelle qu’au haut de la tour Montparnasse.
Est-ce l’absence de Samy, je le trouve charmant surtout quand il blague avec mon amant et que c’est la jambe de celui-ci qui vient caresser la mienne me faisant frisonner.
Thierry appelle le serveur.
• Madame à froid, pouvez-vous faire quelque chose ?
• Je vais voir monsieur.
J’ai envie de le détromper, mais ça serait lui avouer mes relations avec Amara.
Il est vrai que j’ignore ce qu’ils se sont dit hier lorsqu’il l’a raccompagné.
Thierry sait-il que nous sommes amants.
Le repas se termine sans incidant.
Notre hôte regarde sa montre.
• Il faut y aller, nous sommes attendus.
Je suis étonnée, mais je me tais, trop contente d’aller signer.
En tout cas, je me retrouve de nouveau dans un taxi en route pour l’hôtel où il a sa chambre.
C’est dans l’ascenseur que Thierry me dit ce qu’il semblait m’avoir caché, ce qui un instant me trouble.
• Dans cinq minutes, Samy nous attend.
A-t-elle fait demi-tour ?
Le Premier ministre a-t-il reporté leur entretient ?
Thierry ouvre sa porte avec sa clef magnétique et va vers une table où se trouvent des papiers et un ordi.
Il le démarre et le log.
• Bonsoir, Françoise, comment vas-tu ?
Amara, autant pour toi, nous signons !
Moi je l’ai fait et le contrat est devant toi.
C’est devant l’ordi de Thierry en visio que je comprends que Samy est avec nous, mais sans y être.
Je prends mon stylo et je paraphe les diverses pages.
À la dernière, je sais que je viens d’enclencher la possibilité de gagner énormément d’argent et surtout d’assurer du travail pour des centaines de gens pendant des années.
• Françoise, j’ai une proposition à te faire.
• Je t’écoute Samy.
• Tu sais que j’aime les techniques modernes dans mon travail et dans ma vie.
Regarde, je tourne ma caméra, que vois-tu ?
• Le pied d’un lit ?
• Et là ?
• Deux beaux spécimens de la race humaine, un black et un blanc.
• C’est bien ma belle salope et toi qui vois-tu, sur ta droite.
• Un lit.
• C’est très bien.
En passant, qui y a-t-il sur la table de nuit ?
• Un seau avec deux bouteilles de champagne.
• C’est parfait, regarde, j’ai les mêmes près de moi, Dom Pérignon, ça devrait être pas mal !
Les deux beaux gosses, Léo et Heston que font-ils ?
• Ils se masturbent et ils bandent.
C’est drôle, au mouvement de son doigt, Léo est le noir doc, Heston le blanc.
• Parfait.
• Thierry et Amara, déshabillez-vous et ainsi que notre amie, nous allons baiser par visioconférence...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...